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Airborne Museum

Aktie :

Vivez l’expérience des paras du Jour-J

Exposition : « La France combattante - Les Forces Françaises Libres de 1940 à 1945 » > Avril à Novembre 2019
        ►Depuis l'entrée en Guerre de la France en 1939 jusqu'à la signature de l'armistice de mai 1945, suivez le parcours héroïque des soldats français pendant la Seconde Guerre Mondiale. Après la défaite de la Bataille de France en juin 1940, l'Armée Française devient l'Armée d'Armistice. Sous la gouverne du Maréchal Pétain, elle n'en est pas moins sous le contrôle et à la botte du IIIe Reich d'Adolf Hitler.  En réponse à cette humiliation ultime, une autre France, qui ne veut et ne peut se soumettre au joug nazi, se dessine dès lors : il s'agit de la France Libre impulsée depuis Londres par le Général  De Gaulle. De 1940 à 1945, du désert de Lybie jusqu'aux monts escarpés d'Autriche, vous accompagnerez l'extraordinaire destinée de ses Français combattants qu'ils fussent marins, aviateurs, ou bien soldats des forces Françaises libres.

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Consulter l'offre pédagogique en ligne >>>  Airborne museum


 

https://prod-cheminsdememoire.cnmosis.dirisi.defense.gouv.fr/sites/default/files/inline-images/airborne-museum-DP-2019_1.jpg

 

L’Airborne Museum est situé au cœur de Sainte-Mère-Eglise, face au clocher sur lequel le parachutiste John Steele est resté suspendu. A travers une muséographie spectaculaire et réaliste, l’Airborne Museum vous fera vivre le Débarquement aux côtés des parachutistes Américains des 82ème et 101ème Airborne. De la préparation du Jour-J en Angleterre, jusqu’aux combats qui menèrent à la Liberté, vous accompagnerez les troupes aéroportées dans leur chemin vers la Victoire. Découvrez une exceptionnelle collection d’objets historiques, un authentique planeur et un avion C-47 ayant participé aux opérations du Jour-J.

Une extension majeure : Opération Neptune et le Centre de conférence Ronald Reagan.

Dans le bâtiment "Opération Neptune" préparez-vous à vivre les parachutages du 6 juin 1944 ! Embarquez de nuit dans un véritable avion C-47 en Angleterre, puis atterrissez sur la place de Sainte-Mère-Eglise au milieu des combats et prenez part aux opérations qui suivirent !

A  partir de Mai, au sein du centre de conférence Ronald Reagan, découvrez une exposition inédite : « La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944 » ainsi que dans le cinéma un film de 20 minutes qui retrace avec émotion la vie sous l’occupation allemande puis la libération de Sainte-Mère-Église et du Cotentin.

 

 

 

Opération-neptune-airborne-museum

Exposition : 01>09 Juin 2019

Les + :

  • Airborne Reality (depuis avril 2016): Munis de votre Smartphone ou votre tablette, téléchargez gratuitement l’application du musée et créez votre propre visite guidée en fonction de vos centres d’intérêt et de votre temps de visite !

Grâce à la réalité augmentée, soyez les témoins privilégiés du Débarquement et des parachutages sur Sainte-Mère-Eglise!

Téléchargement gratuit au musée, depuis le site web www.airborne-museum.org ou via Google Play et l’App Store. Application en français et anglais, puis, dans les mois à venir, en néerlandais.

  • Exposition (à partir de juillet 2016): La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944. A travers cette exposition, revivez les évènements de cette bataille.

Le 16 Décembre 1944, Hitler lance une offensive de grande envergure à travers les Ardennes belges pour reconquérir le port d’Anvers et repousser les forces alliées.  Ces dernières sont prises par surprise du fait de la soudaineté et de la rapidité de l’attaque. En urgence, le Général Eisenhower décide d’envoyer en renfort des unités qu’il tient en réserve en France. La bataille des Ardennes a été plus qu’éprouvante et meurtrière pour les forces alliées qui devaient faire face à un hiver très rigoureux et un manque criant de ravitaillement en nourriture et en armes. L’armée allemande ne sera mise en échec qu’après l’apparition d’une accalmie salutaire permettant le ravitaillement des troupes au sol et facilitant l’arrivée de l’armée du Général Patton. La bataille des Ardennes ne prendra fin que fin janvier 1945.

Cette exposition inédite mettra également en lumière la voie de la liberté partant de Sainte-Mère-Eglise et arrivant à Bastogne ainsi que le rôle de l’armée Patton au sein de la bataille des Ardennes.

 

Guides de visite sous forme de livrets-jeux disponibles de 6 à 15 ans, téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place +1€/enfant

 

 

Sources : ©Airborne Museum
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Informationen

Anschrift

14 rue Eisenhower 50480
Sainte-Mère-Église
02 33 41 41 35

Gebühr

IndividuelsADULTE : 8.00 €ENFANT (6 à 16 ans) : 5.00 €Famille :2 adultes et 2 enfants payants minimumADULTE : 7.50 €ENFANT : 4.00 €Groupes AdultesVisite Libre : 6.00€ / adulteVisite guidée (1h15) à partir de 20 personnes :7.30€ / adulte- Une gratuité pour 20 payants- Guide et chauffeur gratuits- Groupes enfantsVisite Libre : 4.00€ / enfantVisite guidée (1h15) à partir de 20 enfants : 5.30€ / enfant- Une gratuité pour 10 payants- Guide et chauffeur gratuitsGuide de visite enfants et adolescents :• CP à CE2 (6 à 9 ans)• CM1 à 6ème (9 à 12 ans)• 5ème à 3ème (13 à 15 ans)Téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place : +1€/ enfant

Wöchentliche Öffnungszeiten

Horaires du MuséeDe mai à Août : 9h-19hAvril et septembre : 9h30-18h30Octobre à mars : 10h-18h

Fermetures annuelles

Fermé en décembre et janvier sauf vacances de Noël

Musée de l'Artillerie

Aktie :

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Informationen

Anschrift

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Gebühr

entrée gratuite

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie

Aktie :

Résultat de la volonté de résistants de transmettre aux jeunes générations l’histoire de la Résistance et de la Déportation de Picardie et les idéaux pour lesquels les résistants s’étaient battus, un musée a été inauguré en 1986 dans l’Aisne à Tergnier.

L’initiative de la création revient à M.Etienne DROMAS, capitaine FFI du groupement B et président des Combattants Volontaires de la Résistance.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Picardie


La Picardie est une région fortement touchée par les deux guerres mondiales. 

Région stratégique, lieu de passage entre le nord de l'Europe et Paris, la Picardie se trouve partagée entre la zone interdite et la zone occupée. La présence de l'occupant est durement ressentie. Des hommes et des femmes vont peu à peu réagir. "L'armée de l'ombre" se construit. 

Le département de l'Aisne a sur son territoire un musée consacré à l'histoire des résistants et des déportés. Un musée voulu par des résistants dont Etienne Dromas, qui a trouvé sa place dans la commune associée de Tergnier, Fargniers. 

Vous êtes invités à découvrir ce musée unique en Picardie, implanté sur une place classée monument historique.

L’histoire du lieu

Après avoir trouvé à Tergnier un bâtiment pouvant l’accueillir, le conseil général de l’Aisne vote la somme nécessaire à sa rénovation. L’office départemental de tourisme, avec à sa tête Maurice Bruaux, apporte son aide et son concours. Le premier aménagement se fait grâce à la mobilisation des résistants qui assurent son fonctionnement pendant de nombreuses années.

 

À voir

Le premier espace permet de découvrir et de comprendre l’histoire de la période allant de l’arrivée d’Hitler au pouvoir jusqu’à l’intervention du maréchal Pétain le 17 juin 1940, suivent des espaces consacrés à l’appel du 18 juin, la naissance de la Résistance et son action, la vie quotidienne sous l’Occupation, la répression et la Déportation. Un espace est également consacré au bureau des opérations aériennes et aux parachutages, aux forces françaises libres dans le monde, au Débarquement et à la Libération. De nombreux objets et matériels viennent compléter l’exposition permanente : un Beechcraft C.45, une locomotive, un wagon ayant servi à la déportation… En octobre 2005, 300 mètres carrés se sont ajoutés à la salle d’exposition permanente. Cet espace polyvalent met à disposition du public une salle de réunion, de conférence, d’exposition temporaire et de projection ainsi qu’une médiathèque et un centre documentaire.

Le musée accorde une place toute particulière au public scolaire. Des dossiers pédagogiques ont été élaborés. Des ateliers (analyse de documents, rencontre avec des témoins…) sont développés sur différents thèmes (la vie sous l’Occupation, la Résistance…), et sont animés par les enseignants ou par un intervenant du musée.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie
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Informationen

Anschrift

5 place carnegie FARGNIERS 02700
Tergnier
Téléphone/ 03.23.57.93.77

Gebühr

Individuels :- adultes : 5€- 18-25 ans : 1€- moins de 18 ans : gratuité.Entrée + visite guidée : 6 € (sur réservation)Groupes (à partir de 10 personnes):- adultes : 5€- scolaires : 2€.

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18hDimanche après-midi de 14h30 à 18h30

Fermetures annuelles

1 mai1er novembre24 et 25 décembre31 décembre et 1er janvier et tous les lundisOffice de tourisme : place du marché Couvert - 02300 Chauny - Tel : 03.23.52.10.79

Befestigungsanlage von Mimoyecques

Aktie :

Befestigungsanlagen von Mimoyecques – Eingang zu den Gängen - © CEN NPDC - Quelle: http://www.reserves-naturelles.org

Als Militärbasis der Deutschen war diese Befestigungsanlage Ausgangspunkt für den täglichen Beschuss von London.

 

Die Geheimbasis war in Landrethun-le-nord stationiert, auch bekannt als „Mimoyecques“. Ihr Zweck war es, London täglich mit Hunderten Geschossen des Typs „V3“ zu bombardieren. Diese Aktionen wurden erst am 6. Juli 1944 durch den Abwurf von Tallboy-Bomben beendet.

Dank aufwändiger Räumungsarbeiten konnte ein Eingang freigelegt werden, wodurch nun einige der Gänge besichtigt werden können. Die V-3 (Vergeltungswaffen) wurden maßgeblich für die Bombardierung von England eingesetzt und speziell für den Beschuss des Hauptziels London. Die mangelnde Mobilität dieses Waffentyps machte ihn sehr gefährlich für die Bombardierung und Luftangriffe. Dies war auch ein Grund für die Einbindung dieser Waffen in ein Befestigungssystem.

 

In Mimoyecques, Gemeinde der Marquise von Pas-de-Calais, wurden fünf dieser Gänge errichtet sowie ein umfangreiches Netzwerk an Gängen, Tunneln und Räumen. Dieses Netzwerk umfasste mehrere Etagen, die unentbehrlich waren für die Unterbringung der Truppen und der zahlreichen technischen Abteilungen. Ein im Innenbereich errichteter Schienenweg sicherte den Transport von einem Ende ans andere. Die Oberfläche war insbesondere anfällig an den Stellen, an denen die Schächte platziert waren. Diese waren geschützt durch 5,50 m dicke Betonplatten. Die Schachtöffnungen selbst waren durch 20 cm dicke Stahlplatten geschützt.

 

Die Wahl dieses Standorts wurde aufgrund seiner Nähe zum Ziel getroffen (168 km entfernt von London), jedoch auch wegen der Küstenlage, die einen Angriff über den Seeweg verhindern sollte. Der Standort lag außerdem in der Nähe einer Eisenbahnstrecke, was den Nachschub an Kanonenteilen, notwendigem Schwermaterial und die Evakuierung der ausgehobenen Stellen sicherstellen sollte. Weiterhin musste der Nachschub an Munition, Sprengstoff und Ersatzteilen gewährleistet werden. Ein weiterer Vorteil war die in der Nähe befindliche Stromleitung, die zur Versorgung der unterirdischen Stadt unerlässlich war. Vom Elektrizitätswerk Nordwest beanspruchten die Deutschen eine Versorgung in Höhe von 5.000 Kilowatt. Für die Fertigstellung dieses Bauwerks mit 120.000 m3 waren 5.000 Arbeiter im Einsatz.

 


Befestigungsanlage von Mimoyecques

Landrethum-le-Nord 62250 Marquise

Tel: +33 03.21.87.10.34

Fax: +33 03.21.83.33.10

E-Mail: Mimoyecques@wanadoo.fr

 

Öffnungszeiten: Vom 18. April bis 18. Oktober von 9.00 Uhr bis 18.00 Uhr. Im Juli und August von 10.00 Uhr bis 19.00 Uhr. Gruppenbesuche sind möglich zwischen 9.00 Uhr und 19.00 Uhr nach Vereinbarung.

 

Eintrittspreise Erwachsene: 5,50 Euros Kinder: 4,00 € Gruppen + 15 Personen - Erwachsene: 4,50 € - Kinder: 3,35 € Schüler: 3,35 €

 

Dieses Bauwerk befindlich sich südlich von Calais an der Straße D249 zwischen Leubringhen und Landrethum le Nord.

 

Audiomaterial verfügbar in 3 Sprachen: Französisch, Englisch, Niederländisch. Der Besuch dauert ungefähr eine Stunde. Im Innenbereich ist es sehr kühl, bitte bringen Sie warme Kleidung mit. Temperatur ungefähr + 8°C

Base V3 - Mimoyecques

 

Quizz : Forts und Zitadellen

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Informationen

Anschrift

Rue de la forteresse 62250
Landrethum-le-Nord
Tél : 03.21.87.10.34 Fax : 03.21.83.33.10

Gebühr

Tarifs Individuels : 5,50€ Adultes ; 4€ Jeunes (de 6 à 16 ans) Tarifs Groupes (à partir de 15 personnes) : 4,50€ Adultes ; 3,35€ Jeunes (scolaires) Tarif Famille (2 adultes et de 1 à 5 enfants) : 12,50 €

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ouvert du 16 avril au 14 octobre de 9h00 à 18h00 En juillet et août, de 10h00 à 19h00 Les groupes peuvent être reçus de 9h à 19h sur rendez-vous.

Das Museum der Fremdenlegion

Aktie :

Ansicht des Museums. Quelle: Museum der Fremdenlegion

Dieses Museum gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt...
Das Legionsmuseum, ein besonderes Museum für eine besondere Einrichtung Das Museum der Fremdenlegion gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt... Da diese in den Fachschulen vertretenen Museen Initiatoren zur Erkennung der verschiedenen Waffen waren, dienen sie der Darstellung dieses besonderen Bereichs, der Legion. Das Dasein dieser Einrichtung beruht auf den Kompetenzen des Befehlsgenerals der Fremdenlegion und dies sowohl hinsichtlich der Moral, dem Kulturgut und der Tradition. Das Museum der Fremdenlegion ist eine öffentliche Einrichtung und soll allen Bereichen der Öffentlichkeit das Kulturgut der Legion vorstellen, wobei der Schwerpunkt auf dem Legionär liegt, sowohl dem jungen Aktiven als auch den höhergestellten Männern in Führungsposition, um die nötigen Anhaltspunkte bezüglich der Tradition, Schulung und Ausbildung darzustellen. Seit mehr als einem Jahrhundert wird hier eine starke Idee verfolgt, die besonders heute wieder aktuell ist: der Einsatz des Berufssoldaten, meistens Ausländern, sollte von einigen Orientierungspunkten geleitet werden, um diesen den nötigen Mut einzuhauchen, mitten in das Geschehen einzuschreiten, besonders wenn er mit neuen Situationen konfrontiert wird, bei denen Initiative gefragt ist. 36 000 Legionäre sind für Frankreich gestorben, dazu kommen ca. 100 000 Verletzte, die Zeitzeugen in diesem Museum sind und zeigen, falls nötig, dass der Legionär mehr opfert als er gewinnt, ganz im Gegensatz zum schlechten Image der Söldner. Aus diesem Grunde hat sich das Museum die Aufgabe gestellt, den früheren, gegenwärtigen und zukünftigen Legionär an sein Vorbild und die Traditionen zu erinnern, und die Fremdenlegion einem außenstehenden Publikum mit Hilfe der historische Realität und Legende zu vergegenwärtigen. Dazu wurde es wie einerseits wie ein innerer Spiegel für die Legionäre und eine Vitrine für die Öffentlichkeit gestaltet, es ist ein Mittel des Zusammenhalts, der Erinnerung und der Öffnung zu einer bürgerlichen Gesellschaft.
Der Ursprung des Museums der Fremdenlegion beruht auf den Entscheidungen des Ministers Boulanger, der damit der Stimmungskrise der Armee entgegenwirken wollte. Mit dreifarbigen Schilderhäuschen und der Annahme eines Taufnamens für die militärischen Viertel ist die Errichtung von Ehrensälen seit Ende des 19. Jahrhunderts gebräuchlich. Unter der Einwirkung von Oberst Wattringue beginnt das 1. Fremdenregiment seinen Aufbau 1888; zu diesem Zeitpunkt wird der erste Stein gelegt. In dem Nebengebäude des Gardekorps im Viertel Viénot in Sidi-bel-Abbès wird ein Raum für das, was Wattringue "glorreicher Trödelmarkt" nannte, eingerichtet. Nach vierjährigen Arbeiten darf Oberst Zéni, der sehr viel Energie und einen Teil seines persönlichen Vermögens in dieses Projekt investiert hatte, die Einrichtung eröffnen! Unter dem nunmehr dichten Dach sind in einem weitläufigen Raum die wichtigsten Erinnerungsstücke gesammelt: die bewegliche Prothese des Majors Jean Danjou, der in Mexiko an der Spitze der 3. Kompanie des 1. Bataillons des Fremdenregiments gestorben ist, der Adler der Flagge des Fremdenregiments im Zweiten Reich, die provisorische Flagge, die mit persönlichen Mitteln der Abteilung im September 1870 bei Ausruf der vorübergehenden Exekutive hergestellt wurde, die vom letzten Feldzug in Tonkin mitgebrachten Tropheen. Die afrikanischen Feldzüge vom Dahomey (Benin) und dem Sudan (Mali), die Expedition von Madagaskar, der lange Feldzug gegen Bou Amama im Süd-Oran und der Einzug in Marokka bringen viele Tropheen und Kriegsbeute. Die Räumlichkeiten werden zu klein, die Zimmer werden nach und nach überfüllt. Ein gewisser Leutnant Rollet spendet eine Sammlung von fast dreißig madegassischen Speeren.
1931 wurde bei Herannahmen der großen Feste zum hundertjährigen Bestehen der Fremdenlegion ein zweiter Saal gebaut. Er wurde "Heldentempel" genannt und den beförderten oder nicht beförderten, auf dem Ehrenfeld gefallenen oder lebendig in die Geschichte eingegangenen Legionären gewidmet, die General Rollet besonders ehren und als Beispiel nennen möchte. Aber sehr schnell wird auch dieser Raum unzureichend, da unter Einwirkung des Oberst Azan mehrere Künstler in den Rängen der Legion arbeiten. Unteroffizier Sméou malte mehr als sechzi Ölgemälde auf Leinwand oder auf Holz, darunter die berühmte Ansicht des Oberst Danjou, die auch heute noch besichtigt werden kann. Gleichzeitig wird in der Legion über die Nützlichkeit und die Funktion des Ehrensaales nachgedacht. 1936 entstand aus diesen Überlegungen ein Museum der Erinnerung, das von den früheren Sälen getrennt war und wo die historische Bedeutung sehr viel deutlicher wurde. Leutnant Andolenko, zukünftiger General, gibt in seinem ersten Büchlein eine genaue Beschreibung des Museums, eine Besichtigung der Ehrensäle und des Museums (Sidi bel Abbès, 1938, 281 S.). Eine chronologische Führung wird erstellt, die den militärischen oder zivilrechtlichen Besucher auf einen Rundgang durch die Kampfgebiete führt. Somit wird die Feierlichkeit der früheren Säle im Rahmen ihrer Funktion als Ehrensäle für verschiedene Zeremonien und militärische Aktionen gewahrt.
Zu Ende des Zweiten Weltkriegs und des Kriegs von Indochina zeigt sich, dass das Museum viel zu klein ist, 1958 wird über eine Erweiterung des Ehrensaals nachgedacht, der um einen Raum für Fahnen und Reliquien und einem großen Raum für Feldzüge vergrößert werden soll. Diese Erweiterung findet 1961 statt und dient nur weniger als ein Jahr, bevor die Räumlichkeiten verlassen werden. Dieses zwiespaltige Konzept wurde damals angewandt, als in Aubagne, dem neuen Haupthaus der Legion, ein neues Museum der Fremdenlegion gebaut wurde. Die Pläne von 1958 wurden als Bezugsdokumente verwendet und an die Besonderheiten des Gebietes im Nordwesten des großen Waffenplatzes des im Bau befindlichen Viertels angepasst. Das Gebäude besteht aus zwei Etagen, das Titelbild der ersten Etage zeigt eine weiße Leinwand, von der sich, in der Perspektive des "heiligen Wegs" das Monument der Toten der Fremdenlegion abzeichnet. Herr Pierre Messmer, Armeeminister, legt am 30. April 1963 den ersten Stein und eröffnet drei Jahre später zusammen mit General König, genau wie er ein früherer Offizier der Legion, das Bauwerk. Das Museum der Fremdenlegion, Besuch im Lande der Fremden, die Frankreich dienten In diesen Mauern der 60er Jahre besitzt jede Etage ihr eigenes Thema. Die ebenerdige Etage ist für interne Zwecke vorgesehen, kann jedoch außerhalb der Tage, an denen Zeremonien durchgeführt werden, besichtigt werden. Sie besteht aus einem Ehrensaal,der durch eine Krypte verlängert wird. In diesem riesigen Saal empfängt der junge Berufskandidat der Legion seinen Verpflichtungsvertrag aus den Händen seines ersten Abteilungschefs, ein Leutnant mit Fremdentitel, also von Rang, der ihm das Dokument vor dem Bildnis des Jean Adolphe Beaucé, Schüler von Ch. Bazin, für die Schlacht in Kamerun überreicht.
Ab dem Beginn seines Militärlebens wird der Mann also mit dem Bild der Treue zum gegebenen Wort und dem darunter verstandenen Opfer konfrontiert. Nach viermonatiger Erstausbildung kehrt der junge Mann, der nun Legionär ist, in diesen Saal zurück, wo ein früherer Obergefreiter ihm einige einfache Anhaltspunkte mit auf den Weg gibt: Kamerun, der Eid, der Tornister des 19. Jahrhunderts und seine berühmte "Blutwurst". Mit den entsprechenden Worten für die nicht französisch Sprechenden unter ihnen richtet der Oberbefehlshaber der Fremdenlegion oder der von ihm beauftragte Offizier einen Glückwunsch zum Erfolg der Ausbildung an ihn und begleitet ihn zur Krypte. Beim Strammstehen vor den Namen der auf dem Ehrenfeld gefallenen Toten, die die Hand des Oberst Danjou umgeben, ein physisches Symbol des Treueeids und des Opfers, schreitet der Legionär zu den Fahnen der früheren Ehrenregimente. Hier spricht der General von den Opfern der Ehemaligen, die der Legion in Erinnerung bleiben. Viel später, am Tage seines Rentenempfangs oder am Ende eines Zeitvertrages, kehrt der Legionär, egal welchen Grades, in den Ehrensaal zurück, wo wiederum eine ähnliche Feier begangen wird. Zum letzten Mal sammelt er sich vor dem Symbol der früheren, für Frankreich gefallenen Legionäre.
Er legt gewissermaßen eine Bilanz seiner Dienste vor den Mannen der Ehemaligen ab, die er auch später noch besuchen wird, oft bei den Feiern für Kamerun oder bei der Gelegenheit einer Reise. So gibt es jährlich fast 3000 Ehemalige, die an diesen Ort des Gedächtnisses, quasi das Familiengrab, zurückkehren. Der Saal der Feldzüge auf der 1. Etage wurde besonders gestaltet, um die Militärgeschichte der Fremdenlegion durch ihre Schlachten darzustellen. Der Besucher befindet sich in einem weniger engen und mit weniger Zeichen beladenen Raum. Auch hier sind sicherlich Gegenstände, aber auch die pädagogische Ausstattung eines Museums: Strophenblatt, Übereinkommen, verschiedenes Unterrichtsmaterial. Der Ehrensaal kann nicht ohne einen Führer, der den Gruppen immer zur Verfügung steht, oder einen Audio-Führer für einzelne Besucher, verständlich sein, wogegen man sich im Saal der Feldzüge in einem chronologischen Rundgang, der sowohl für die weniger geschichtlich bewanderten Besucher als auch für den schlechter französisch Sprechenden unter ihnen zugänglich ist, frei bewegen kann. Nach der Erinnerung an die Tradition der Fremdenlegion Frankreichs, den genuesischen Armbrustschützen von 1346 im Regiment von Hohenlohe, das 1830 aufgelöst wurde, wird der Besucher von der Gründung der Fremdenlegion, die nach dem Gesetz vom 9. März 1931 erfolgte, bis zu den aktuellen Einsätzen der Legion geführt. Bei jedem geschichtlichen Abschnitt kann er die besonderen Objekte dieser Zeit sehen, Waffen, Uniformen, Kriegsbeute, ethnische Funde. Zusätzlich zu diesen dreidimensionalen Elementen besitzt das Museum eine bemerkenswerte Sammlung graphischer Dokumente, die sich seit einem Jahrhundert angesammelt haben. Benigni, Rousselot, Toussaint, Marin-Gillet alias Marino, Rosenberg haben sich als fast offizielle Maler des Museums der Fremdenlegion abgewechselt und fast 400 ihrer Werke, meistenteils Aquarellzeichnungen, begleiten diese Besichtigung. Die in der Öffentlichkeit weniger bekannten Werke der Legionäre Jondvedt, Toussaint Yvon, Burda, Kauffmann, Perez y cid und Kwon stellen die restliche Sammlung dar. Weiterhin gehört der Anhang Puyloubier, das Museum der Legionsuniform, unbedingt zu dieser Ausstellung. Dieser Teil ist bis zur Fertigstellung des "großen Museums" in Aubagne, einer weltweit einzigartigen Sammlung, die von Raymond Guyader seit fast 40 Jahren zusammengestellt wird und die Trachten und Zubehör der Legionäre von 1831 bis zum heutigen Tag enthält, in der Invalideneinrichtung der Fremdenlegion untergebracht. Der der Öffentlichkeit präsentierte Bereich besteht u.a. aus 94 von Puppen getragenen Uniformen, ab der ersten Uniform im Jahr 1931 bis zum Ende der Gegenwart in Algerien im Jahre 1968.
Aktualität: ein Zentrum der Geschichtsforschung über die Fremdenlegion Das Museum der Fremdenlegion, welches heute von einem hohen Offizier, falls möglich ein Diplomkonservator, geleitet wird, der für die Geschichte und die Traditionen innerhalb des Generalstabs des Kommandos der Fremdenlegion verantwortlich ist, erfüllt mit Sicherheit die drei klassischen Aufgaben eines jeden Museums: erhalten, aufwerten und übermitteln, aber seit September 2004 verfügt es auch über ein unterstützendes Forschungsmittel. Gemeinsam mit der Revue Weißes Kepi wurde im September 2004 ein Zentrum der historischen Dokumentation innerhalb des Museums gegründet. Dies beruht auf der Dokumentarsammlung des Museums, welche früher fälschlicherweise "Archiv der Fremdenlegion" genannt wurde, auf der historischen Bibliothek der Legion und auf der Sammlung der alten Fotos der Revue Weißes Kepi und soll diese der Öffentlichkeit zugänglich machen, wobei Universitäten und Verlägen der Vorrang gegeben wird. Mit dem Ziel, die Forschung und Unterrichtung der Militärgeschichte der Fremdenlegion zu fördern, werden dem Forscher verschiedenen Quellen und fast 5000 Werke zur Verfügung gestellt, unter Achtung der vom Gesetz festgelegten Kommunikationsgrenzen. Der gesamte Bereich steht und fällt auch mit einem erfahrenen Team, welches mittelfristig über ein Inventarprogramm und Forschungen nach Thema verfügt.
Museum der Fremdenlegion von Aubagne Quartier Viénot Route de la Thuillère 13600 Aubagne Tél : 00 33(0)4 42 18 82 41 Briefkontakt Monsieur le général commandant la Légion étrangère (Generalbefehlshaber der Fremdenlegion) D.H.P.L.E. Quartier Viénot BP38 13998 Marseille Armées Tél : 00 33(0)4 42 18 12 41 e-mail : museelegionetrangere@hotmail.com e-mail : centre-documentaire@comle.terre.defense.gouv.fr Öffnungszeiten Winter (1. Oktober bis 31. März): Mittwoch, Samstag, Sonntag, 10 Uhr, 12 Uhr, 14 Uhr Sommer (1. Juni bis 30. September): Täglich außer montags und donnerstags:10 Uhr-12 Uhr und 15 Uhr-19 Uhr. Zufahrt Westviertel von Aubagne Strecke nach Thuilière (RD 44), Richtung Eoures Parkplatz mit freiem Zugang vorhandent Gruppen auf Vereinbarung
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Informationen

Anschrift

Route de la Thuillère Quartier Viénot 13600
Aubagne
04 42 18 12 41

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Mercredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Vendredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Samedi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Dimanche: de 10h à 12h et de 15h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé du 12/03/2012 au mois de mars 2013 pour cause de rénovation.

Mametz

Aktie :

Le Mémorial à la division galloise. ©Michael Yare

Gedenkstätte der walisischen Division in Mametz, der Drachen, Symbol für das Land Wales, das Frankreich vor den Deutschen schützt.

Gedenkstätte der walisischen Division (Mémorial à la division galloise)

Unter Umgehung des "Vorsprungs von Fricourt" im Süden eroberte die 7. britische Division den Ort am Nachmittag des 1. Juli 1916. Der Name Mametz ist jedoch wegen der Schlacht im Wald nordöstlich von Mametz in Erinnerung geblieben. Dieses Widerstandsnest behinderte den gesamten Vormarsch nach Osten. Es fiel am 12. Juli 1916 nach 8 Tagen erbitterter Kämpfe und sehr schweren Verlusten fast vollständig in die Hände der 3. walisischen Division. Seit 1994 ist an der Wand der Gedenkstätte eine Platte angebracht, die an dieses Regiment aus Manchester erinnert. Die Gedenkstätte der walisischen Division. Am 11. Juli 1987 wurde ein Denkmal zur Erinnerung an die ruhmreichen Soldaten der 3. walisischen Division (38th Welsh Division) eingeweiht, die vom 3. bis 12. Juli 1916 im Wald von Mametz erbitterte Kämpfe führte und dabei schwere Verluste erlitt. Das Denkmal stellt einen roten Drachen mit Flügeln dar, der Feuer speit und den Stacheldraht zerreißt. Der Drache, das Emblem von Wales, ist ein Fabeltier mit zweideutiger Symbolik: Er kann Gutes und Böses bringen, einen Engel oder den Teufel verkörpern. Im Falle des Denkmals von Mametz symbolisiert er das Land Wales, das Frankreich vor den Deutschen schützt.
Fremdenverkehrsamt Somme (Comité du tourisme de la Somme) 21 rue Ernest-Cauvin 80000 Amiens Tel. +33 (0) 322 71 22 71 Fax +33 (0) 322 71 22 69 e-mail: accueil@somme-tourisme.com Das FremdenverkehrsamtSomme steht Ihnen jederzeit für Auskünfte über die Schlachtfelder der Somme und die Straße der Erinnerung zur Verfügung: Gedenkfeiern, Zufahrtsmöglichkeiten, Verkehrsmittel, Führungen für Gruppen und Einzelpersonen, Besichtigung im Hubschrauber, Unterkunftsmöglichkeiten usw. Das Fremdenverkehrsamt veröffentlicht auch verschiedene Broschüren zu diesem Thema unter der Reihe "Tourisme de Mémoire".

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Informationen

Anschrift

80300
Mametz
03 22 71 22 71

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accessible toute l'année

Musée du Débarquement d’Arromanches

Aktie :

A l'initiative de Raymond TRIBOULET, premier sous-préfet de la France libérée » l'exposition permanente du débarquement à Arromanches a été inaugurée officiellement le 5 juin 1954 par Monsieur René COTY, Président de la République.

Il s'agit du premier musée construit pour commémorer le 6 juin 1944 et la bataille de Normandie.

Ce musée a été édifié à l'endroit même où fut implanté le port artificiel dont on peut encore voir les vestiges à quelques centaines de mètres du rivage.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Arromanches


Avec l'invasion de la Pologne le 1 septembre 1939, commence la seconde guerre mondiale. Rapidement les forces du Reich submergent toute l'Europe et en l'espace de 2 ans les drapeaux de l'Axe1 flottent sur tout le continent.Seul bastion de défense, la Grande Bretagne, est la première à stopper les forces du Reich dans une terrible bataille qui se joue dans les airs.

 

7 décembre 1941 : les États-Unis basculent dans la guerre.

1942 sonne le glas des victoires allemandes avec la défaite infligée au renard du désert2 à El Alamein.

Dès 1943, les allemands font retraite sur tous les fronts.

Au début de l'année 1944 la situation semble bloquée : les Russes attendent le printemps pour reprendre leur offensive et les Anglo-américains ne progressent que très lentement et avec d'énormes difficultés en Italie. Le seul moyen de changer le cours de la guerre afin de remporter une victoire rapide et décisive, passe par un débarquement sur les côtes nord de l'Europe où l'ennemi possède la meilleure défense.
Hitler a fait ériger de gigantesques ouvrages de défense tout au long de cette côte : le mur de l'Atlantique.

La tentative désastreuse de débarquement à Dieppe en août 1942 en a montré toute la puissance. Les forces alliées apprennent au prix de lourdes pertes que les fortifications rendent impossible la capture d'un port existant, condition pourtant sine qua non au ravitaillement d'un débarquement de plus grande ampleur.

Les stratèges ébauchent un plan ambitieux sous le nom de code Overlord qui est accepté lors de la conférence Quadrant en août 1943 par Winston CHURCHILL3 et Franklin ROOSEVELT4 à Québec. Il s'agit de débarquer en Normandie avec 30 divisions. Pierre angulaire de ce plan, la construction de ports artificiels sous le nom de code Mulberry garantira le ravitaillement des troupes débarquées.

Le 6 juin 1944, les alliés débarquent en Normandie : le jour le plus long commence.

 

Ce que vous verrez lors de votre visite

Les visites se décomposent en cinq parties :

Elles peuvent être guidées en trois langues :

  • français,
  • anglais (sur réservation),
  • allemand (sur réservation).

Nous recommandons aux organisateurs de voyages de réserver quelques semaines à l'avance.
Coordonnées complètes, horaires d'ouvertures, tarifs, accès au musée... disponibles ici

 

Dossiers pédagogiques

Un dossier pédagogique est disponible en téléchargement sur notre site internet en FR et en GB (niveau 1 et niveau 2)

https://www.musee-arromanches.fr/docs/carnet_pedagogique_niv1_fr.pdf

https://www.musee-arromanches.fr/docs/carnet_pedagogique_niv2_fr.pdf

 

 

 

Sources : ©Musée du Débarquement d’Arromanches
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Informationen

Anschrift

Place du 6 juin 1944 14117
Arromanches
02 31 22 34 31

Gebühr

Plein tarif : 7,90 eurosEnfant : 5,80 eurosGroupes adultes : 6, 20 eurosGroupes scolaires : 4,00 eurosGratuité : Handicapés, pupilles de la nation, enfant de moins de 6 ans, vétérans seconde guerre mondiale

Wöchentliche Öffnungszeiten

Février –novembre – décembre : 10h00 à 12h30 / 13h30 à 17h00Mars – octobre : 9h30 à 12h30 / 13h30 à 17h30Avril : 9h00 à 12h30 / 13h30 à 18h00Mai – juin – juillet – août : 9h00 à 19h00Septembre : 9h00 à 18h00

Fermetures annuelles

Le musée est ouvert tous les jours, toute l’année sauf janvier.2 boutiques sont à disposition du public en haute saison.Office de tourisme de référence - Arromanches - 2 Rue Maréchal JOFFRE - 02 31 22 36 45

Beaumont-Hamel

Aktie :

Le Caribou en bronze, monument de Beaumont-Hamel emblème du Newfoundland Regiment. Source : GNU Free Documentation License

Am ersten Juli 1916, dem Beginn der Schlacht der Somme, wurden die Neufundländer in ihren ersten Kampf in Frankreich verwickelt.

Diese Gemeinde umfasst die Ortschaften Beaumont, Gare-de-Beaucourt und Hamel. Sie lagen direkt hinter den deutschen Linien. Neufundland war zur Zeit des Ersten Weltkriegs eine britische Kolonie und hatte aus diesem Grund - wie alle anderen Länder des Empire - eine Armee aus Freiwilligen aufgestellt. Am 1. Juli 1916 um 9.00 Uhr morgens wurden die neufundländischen Soldaten, kaum aus ihren Schützengräben gekrochen, von den deutschen Maschinengewehren unter Beschuss genommen. Eine halbe Stunde später waren nur noch 68 Soldaten kampffähig. Alle Offiziere waren tot oder verletzt. Im Verhältnis zu den eingesetzten Truppen war das eine der mörderischsten Aktionen der Somme-Offensive. Das Dorf wurde schließlich am 13. November 1916 durch das 5. Regiment der schottischen Highlander eingenommen.

Der vom Landschaftsarchitekten Rudolph Cochius geschaffene Gedächtnispark erstreckt sich über 16 Hektar und wurde 1925 eingeweiht. Am Eingang steht das Denkmal der 29. Division, zu der das königliche Regiment aus Neufundland gehörte. Ein Weg führt zu einer Orientierungstafel auf der Spitze der Butte du Caribou - Karibuhügel gennant, weil hier oben eine Bronzestatue eines Karibus steht, das Wahrzeichen des Königlichen Neufundland Regiments, ein Werk des englischen Bildhauers Basil Gotto. Von hier aus hat man eine Übersicht über das gesamte Schlachtfeld und kann das System der Schützengräben sehr gut erfassen. Drei Tafeln wurden in die Basis des Hügels eingebracht und dienen als nationale Gedenkstätten für die Verstorbenen. Ein einziger versteinerter Baum ist der Verwüstung des Orts entgangen: Es ist das Skelett des "Baums der Gefahr". Er erhielt seinen Namen, weil er an einem besonders exponierten Beobachtungspunkt stand. Die erste deutsche Linie verlief durch den hinteren Teil des Parks, in der Nähe der Statue des Schotten im Kilt der 51. Division der Highlander, die sich am 13. November 1916 der feindlichen Position bemächtigte ...
Junge zweisprachige kanadische Studenten führen von Anfang April bis Ende November Führungen durch. Interpretationszentrum vor Ort.
Neufundland-Gedenkstätte 80300 Beaumont-Hamel Tel.: +33 3 22 76 70 86 Fax: +33 3 22 76 70 89 E-Mail : newfoundland_memorial@vac-acc.gc.ca Öffnungszeiten:Jeden Tag vom 15. Januar bis 15. Dezember von 9.00 bis 17.00 Uhr (vom 1. ai bis 30 Oktober von 10.00 bis 17.00 Uhr). Comité du tourisme de la somme 21 rue Ernest-Cauvin 80000 Amiens Tel.: +33 322 71 22 71 FAX: +33 322 71 22 69 E-Mail : accueil@somme-tourisme.com Das Fremdenverkehrsamt Comité du Tourisme de La Somme steht Ihnen für weitere Informationen über die Schlachtfelder in der Somme und den Circuit du Souvenir zur Verfügung: Gedenkfeiern, Anfahrt, Transportmittel, Führungen für Gruppen und Einzelpersonen, Rundflug mit dem Hubschrauber, Unterkünfte, etc. ... Das CDT gibt auch eine Reihe von Broschüren über den Gedenktourismus heraus.

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Informationen

Anschrift

80300
Beaumont-Hamel
Tél. : 03 22 76 70 86Fax : 03 22 76 70 89 Comité du tourisme de la somme21 rue Ernest-Cauvin 80000 AmiensTél. : +33 (0) 322 71 22 71 FAX : +33 (0) 322 71 22 69 e-mail : accueil@somme-tourisme.com

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ouvert tous les jours du 15 janvier au 15 décembre de 9h à 17h (du 1er mai au 30 octobre, de 10h à 17h).

Triumphbogen

Aktie :

Arc de Triomphe. Photos © Frédéric Prochasson - Fotolia.com

Die Perspektiven des Arc de Triomphe sind mindestens so vielfältig, wie die Zahl der Strassen die von Place Etoile aus starten...

Kurzer Überblick der Erbauung Im Februar 1806, befiehlt Napoleon der I die Erbauung des Arc de Triomphe um den Sieg seiner Armeen zu gedenken. Am Ende entscheidet sich der Kaiser für Place d'Etoile. Der erste Stein dieses Denkmales wird am 15. August 1806 gelegt. Die Pläne wurden vom Architekten CHALGRIN entworfen. Im Jahre 1810, anlässlich der Hochzeit Napoleons I mit der Erzherzogin Marie-Louise aus Österreich, wird der Architekt ein Trompe-oeuil aus Holz und bemaltem Tuch errichten. Die Kulisse wird rechtzeitig für die Zeremonie beendet und verleiht einen ersten Eindruck des zukünftigen Denkmals. CHALGRIN stirbt im Jahre 1810. Er wird von Louis-Robert ersetzt. Am Ende des Jahres 1813 erreicht das Arc de Triomphe eine Höhe von 19 Metern. Die Ereignisse von 1814 setzen alles in Frage. Unter der "Restaurierung" verlangsamen sich die Arbeiten. Louis Philippe, der König von Frankreich im Jahre 1830 geworden ist, beschließt das Projekt weiterzuführen. Die Arbeiten werden erneut in die Wege geleitet und das Arc de Triomphe, das den Armeen der Revolution und dem Imperium gewidmet ist, wird rasch vom Architekten Guillaume - Abel BLOUET beendet. Das Monument wird am 29. Juli 1836 eingeweiht.

Das Monument Die Proportionen sind riesig : Das Arc de Triomphe misst 49 Meter Höhe und überschreitet 45 Meter Breite. Der Bogen der zwei großen Fassaden erreicht 20,50 Meter Höhe für eine Breite von 14,50 Metern. Die Querfassaden sind von einem 19 Meter hohen und 8,50 Meter breiten Bogen durchquert. Der große Fries umgibt die vier Seiten und stellt die großen Persönlichkeiten der Revolution und des Imperiums, aber auch die Rückkehr der Armeen von Italien und Ägypten dar.
Das zweifellos großartigste Ornament ist von den vier kolossalen Gruppen gebildet, die sich auf jeden Pfeiler der zwei großen Fassaden aufrichtet : - Avenue des Champs Elysées : Der Aufbruch der Freiwilligen (rechts), das heute noch Die Marseillaise heißt, von François RUDE und der Triumph des Kaisers (links), von Jean-Pierre CORTOT ausgemeißelt. - Avenue de la Grande Armée, die zwei ausgemeißelten Hochreliefs stellen die Resistance (rechts) und den Frieden (links) dar. Auf den Innenmauern befinden sich große und kleine Bogen, wo die Namen der Generäle, sowie der großen Schlachten der Revolution und des Imperiums gemeißelt sind. Auf den Boden, in der Nähe des Grabes des unbekannten Soldaten, erinnern mehrere Bronzetafeln, an wichtige Ereignisse der zeitgenössischen Geschichte : die Verkündung der Republik am 4. September 1870, die Rückkehr des Elsass-Lothringens am 11. November 1918 und der Appell vom 18. Juni 1940. Sie erwähnen ebenfalls die Soldaten und Wiederstandskämpfer des zweiten Weltkrieges, sowie die, der für Frankreich umgekommenen Soldaten in Algerien, Tunesien und Marokko.
Den Arc de Triomphe hinaufsteigen Den Arc de Triomphe zu ersteigen, heißt 284 Stufen zu steigen (ein Aufzug ermöglicht den Zugang der behinderten Personen), aber auch Zugang zu verschiedenen Sälen des Museums und der Terrasse zu haben. Der große Museumssaal, der sich unter der Terrasse befindet, stellt viele Dokumente aus : Gravierungen, Zeichnungen, Fotos, Modelle und verschiedene Originalstücke bezüglich der Projekte (wie z.B. den Elefanten), die Konstruktion und das Dekor des Arc de Triomphe, sowie Dokumente bezüglich der großen Ereignisse, wie die Rückkehr der Aschen Napoleons I (am 15. Dezember 1840), die Totenwache von Victor HUGO (29. Mai 1885), die Siegesparade (14. Juli 1919), die Ankunft der unbekannten Soldaten (am 28. Januar 1921), die Ehrerweisung des Generals de Gaulle auf dem Grab des unbekannten Soldaten in der befreiten Hauptstadt Paris ( am 26. August 1944). Von der Terrasse aus kann man eine großartige Sicht bewundern, die sich auf ganz Paris erstreckt, auf den Champs Elysées, den Louvre, den Eifelturm, den Dom des Invalides und Richtung Westen den Arche de la Défense.
Der unbekannte Soldat Der Waffenstillstand der dem ersten Weltkrieg ein Ende setzt, wird am 11. November 1918 in Rethondes (in der Nähe von Compiègne dans l'Oise) unterzeichnet. Die Freude des Sieges kann die Trauer der 1 500 000 umgekommenen jungen Männer nicht ersetzen. Bald wird man in den großen , sowie in den kleinen Dörfer, aber auch in den Städten, Denkmäler zum Gedenken an die Todesopfer aufrichten. In den Unternehmen, Schulen und Gymnasien bring man Gedächtnistafeln an. Am 20. November 1916, während jeder die grausame Schlacht von Verdun im Gedächtnis hat, schlägt F. SIMON, Präsident des französischen Gedenkens vor, einen Soldaten, der tapfer für sein Vaterland gekämpft hat und gestorben ist am Panthéon zu ehren. Das Projekt wird schließlich von den Abgeordneten am 12. November 1919 angenommen. Ein Jahr später, Anfang November, beschließt das Parlament, die Reste eines der unidentifizierten Soldaten, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind, unter dem Arc de Triomphe beizusetzen. Acht unidentifizierte Körper französischer Soldaten, die unter den verschiedenen Frontzonen ausgesucht wurden, werden bis zur Zitadelle von Verdun transportiert. Am 10. November 1920 um 15:00 Uhr bestimmt Auguste THIN, er selber Sohn eines umgekommenen Soldaten, indem er einen Blumenstrauß auf einen der Särge legt, welcher nach Paris verschickt werden soll. Am 11. November 1920, nach der Zeremonie im Panthéon, wird der Sarg in einem der Säle des Arc de Triomphe abgelegt und in der Kapelle eingerichtet, wo er von brennenden Kerzen umgeben ist. Am 28. Januar 1921, wird der Sarg des ungekannten Soldaten in der Mitte des Hauptbogens, vor den Champs Elysée beigesetzt.
Das Symbol der Flamme Nach der Anregung, im Frühjahr 1921 von dem Bildhauer Gregor Calvet, dann im Oktober 1923 von dem Schriftsteller Gabriel Boissy, die heilige Flamme unter dem Arc de Triomphe wurde zum ersten Mal angezündet November 11, 1923 bis 18 Stunden von Andre Maginot, Kriegsminister, während die Truppen der 5. RI präsentierte die Band spielte Chopins Trauermarsch." Seit diesem Tage wurde die Flamme niemals ausgemacht. Jeden Abend um 18:30, wird die Flamme von den Vertretern der Assoziation der Veteranen, dessen Bürgersinn anerkannt ist (wie das rote Kreuz) neu belebt. Diese Zeremonie wurde niemals unterbrochen, auch nicht während der Besetzung zwischen 1940 und 1944. Natürlich werden sich die Pariser Gymnasiasten und Studenten dem Sarg des Unbekannten Soldaten und der Flamme richten, als sie durch ihre Demonstrationen den Besetzer herausfordern. Für einige stellt die Flamme auch die Flamme der Resistance dar, von der ein gewisser Charles de Gaulle einst sprach. Heutzutage symbolisiert der Grab des unbekannten Soldaten und die Flamme des Gedenkens für alle Franzosen, aber auch für alle Touristen der Welt, die Aufopferung all jener, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind. Die Flamme des Gedenkens symbolisiert auch die Ehrerweisung all der Menschen die mit dem Leben gezahlt haben, um uns heute zu ermöglichen in einem freien Land zu leben. Nach den grausamen Tagen der Besetzung, repräsentiert die Flamme nun auch die Hoffnung für die Zukunft und den Glauben im Schicksal unseres Landes.
Die Zeremonie der Anfachung Ab dem 11. November 1923, wird die Flamme jeden Abend um 18:30 von den Vertretern der verschiedenen Assoziationen (nach Planung des Komitees der Flamme) angefachten. Das Zeremoniell ist sehr präzis. Jeden Tag werden mindestens zwei Mitglieder des Komitees der Kommissäre ausgewählt, um die verschiedenen Assoziationen willkommen zu heißen und die Zeremonie zu organisieren. Die Assoziationen versammeln sich entweder an der Kreuzung Champs Elysées/Balzac oder oberhalb der Champs Elysées oder auch direkt beim Arc de Triomphe, wenn nicht zu viele Vertreter anwesend sind. Sie werden dann bis zum Arc de Triomphe, geführt. An der Spitze dieses Aufmarsches defilieren die Träger der Blumensträuße, gefolgt von den Fahnenträgern und der Assoziationsmitglieder, sie marschieren über die Hauptallee der Champs-Elysées Achse. Die Teilnehmer nehmen auf beiden Seiten der heiligen Steinplatte Stellung; die Fahnenträger ordnen sich im Kreis auf des Westseite der Steinplatte auf. Vor der Zeremonie, richten der Kommissar und der Dienstwärter die Fahne der "Flamme", das Horn und die Trommel der Republikanischen Wache auf. Schließlich erreichen der Kommissar der Flamme und die Verschiedenen Assoziationspräsidenten die heilige Steinplatte, indem sie vom Signal "Die FLAMME" begleitet werden. Die Delegationen werden dann aufgefordert ihre Blumensträuße abzulegen und sich dann in der Nähe der Flamme zu stellen. Der Kommissar übermittelt dem Präsidenten den Schwert und fordert ihn auf die Anfachungsgeste zu machen. Das Signal "an die Todesopfer" ertönt, die Fahnen werden abgesetzt und eine Schweigeminute wird eingelegt. Wird eine Militärmusik gespielt, (oder anderes), ist das Signal "an die Todesopfer" von der Marseillaise gefolgt. Der Präsident, der von den verschiedenen Behörden begleitet wird, unterzeichnet das Goldene Buch. Indem er die brüderliche Geste ausübt, verabschiedet er sich von den verschiedenen Fahnenträger, den anwesenden Kommissären der Flamme, den Mitgliedern der Assoziationen und der eingeladenen Persönlichkeiten die entlang der Steinplatte aufgereiht sind. Alle finden sich am Fuße des Grabes wieder und die Musiker spielen die Hymne "zu Ehren des unbekannten Soldaten". Anschließend werden sie vom Dienstkommissar begleitet, während die Musik das Signal "der Flamme" spielt. Selbst wenn der General, Präsident der "Flamme unter dem Arc de Triomphe" anwesend ist, bleibt dieses Ritual das selbe. Die Delegationen sind dann aufgefordert das Goldene Buch zu unterzeichnen.
Arc de Triomphe Place de l'Etoile 75008 Paris Anreise U-Bahn-Station Charles de Gaulle-Etoile (1, 2, 6) RER A Charles de Gaulle-Etoile

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Informationen

Anschrift

place de l'étoile 75008
Paris
01 55 37 73 77

Gebühr

Plein tarif : 9,50 € Tarif réduit : 6 € Groupe adultes : 7,50 € (à partir de 20 personnes) Groupes scolaires : 30 € (20 € pour les ZEP) ; 35 élèves maximum. Gratuit : Moins de 18 ans (en famille et hors groupes scolaires) 18-25 ans (ressortissants des 27 pays de l’Union Européenne et résidents réguliers non-européens sur le territoire français) Personne handicapée et son accompagnateur Demandeur d’emploi

Wöchentliche Öffnungszeiten

Du 1er avril au 30 septembre, 10h à 23h Du 1er octobre au 31 mars, 10h à 22h30

Fermetures annuelles

1er janvier, 1er mai, 8 mai (matin), 14 juillet (matin), 11 novembre (matin), 25 décembre

Der kanadische Militärfriedhof von Bény-sur-Mer Reviers

Aktie :

Der kanadische Friedhof. Photo: DMPA

Auf dem kanadischen Militärfriedhof von Bény-sur-Mer Reviers haben die 335 Soldaten der 3. kanadischen Division ihre Ruhestätte gefunden.
Auf dem kanadischen Militärfriedhof von Bény-sur-Mer Reviers ruhen die 335 Soldaten der 3. kanadischen Division, die am 6. Juni 1944 im Bereich Juno Beach an Land gingen und bei den Kämpfen anlässlich der Landung starben sowie die 1694 kanadischen Soldaten und 15 Flieger, die bei den Kämpfen auf dem Vormarsch ins Binnenland getötet wurden. In Bény sind außerdem ein britischer Flieger und drei britische Soldaten sowie ein französischer Soldat begraben. Die anderen Kanadier, die bei der Schlacht um die Normandie ihr Leben ließen, sind auf dem kanadischen Militärfriedhof von Bretteville-sur-Laize begraben.
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Informationen

Anschrift

14440
Beny sur mer

Wöchentliche Öffnungszeiten

Février, novembre et décembre: de 10h à 17h.