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Musée de l'Artillerie

Aktie :

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Informationen

Anschrift

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Gebühr

entrée gratuite

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie

Aktie :

Résultat de la volonté de résistants de transmettre aux jeunes générations l’histoire de la Résistance et de la Déportation de Picardie et les idéaux pour lesquels les résistants s’étaient battus, un musée a été inauguré en 1986 dans l’Aisne à Tergnier.

L’initiative de la création revient à M.Etienne DROMAS, capitaine FFI du groupement B et président des Combattants Volontaires de la Résistance.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Picardie


La Picardie est une région fortement touchée par les deux guerres mondiales. 

Région stratégique, lieu de passage entre le nord de l'Europe et Paris, la Picardie se trouve partagée entre la zone interdite et la zone occupée. La présence de l'occupant est durement ressentie. Des hommes et des femmes vont peu à peu réagir. "L'armée de l'ombre" se construit. 

Le département de l'Aisne a sur son territoire un musée consacré à l'histoire des résistants et des déportés. Un musée voulu par des résistants dont Etienne Dromas, qui a trouvé sa place dans la commune associée de Tergnier, Fargniers. 

Vous êtes invités à découvrir ce musée unique en Picardie, implanté sur une place classée monument historique.

L’histoire du lieu

Après avoir trouvé à Tergnier un bâtiment pouvant l’accueillir, le conseil général de l’Aisne vote la somme nécessaire à sa rénovation. L’office départemental de tourisme, avec à sa tête Maurice Bruaux, apporte son aide et son concours. Le premier aménagement se fait grâce à la mobilisation des résistants qui assurent son fonctionnement pendant de nombreuses années.

 

À voir

Le premier espace permet de découvrir et de comprendre l’histoire de la période allant de l’arrivée d’Hitler au pouvoir jusqu’à l’intervention du maréchal Pétain le 17 juin 1940, suivent des espaces consacrés à l’appel du 18 juin, la naissance de la Résistance et son action, la vie quotidienne sous l’Occupation, la répression et la Déportation. Un espace est également consacré au bureau des opérations aériennes et aux parachutages, aux forces françaises libres dans le monde, au Débarquement et à la Libération. De nombreux objets et matériels viennent compléter l’exposition permanente : un Beechcraft C.45, une locomotive, un wagon ayant servi à la déportation… En octobre 2005, 300 mètres carrés se sont ajoutés à la salle d’exposition permanente. Cet espace polyvalent met à disposition du public une salle de réunion, de conférence, d’exposition temporaire et de projection ainsi qu’une médiathèque et un centre documentaire.

Le musée accorde une place toute particulière au public scolaire. Des dossiers pédagogiques ont été élaborés. Des ateliers (analyse de documents, rencontre avec des témoins…) sont développés sur différents thèmes (la vie sous l’Occupation, la Résistance…), et sont animés par les enseignants ou par un intervenant du musée.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie
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Informationen

Anschrift

5 place carnegie FARGNIERS 02700
Tergnier
Téléphone/ 03.23.57.93.77

Gebühr

Individuels :- adultes : 5€- 18-25 ans : 1€- moins de 18 ans : gratuité.Entrée + visite guidée : 6 € (sur réservation)Groupes (à partir de 10 personnes):- adultes : 5€- scolaires : 2€.

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18hDimanche après-midi de 14h30 à 18h30

Fermetures annuelles

1 mai1er novembre24 et 25 décembre31 décembre et 1er janvier et tous les lundisOffice de tourisme : place du marché Couvert - 02300 Chauny - Tel : 03.23.52.10.79

Internierungslager von Septfonds

Aktie :

Septfonds 1939. Républicains espagnols parqués au camp de Judes. Source photo : Carte postale

 

Das Lager von Tarn-et-Garonne war ein französisches Straflager für Ausländer…

 

 

Das Lager von Septfonds wurde im Rahmen des massiven Stroms von spanischen Flüchtlinien der republikanischen Partei Anfang Januar 1939 errichtet. Hinzu kam die Massenflucht der so genannten Ostjuden aus dem von Hitler regierten Deutschland.

Drei Jahre später, nachdem General Franco durch einen Staatsstreich die republikanische Regierung Madrids gestürzt hatte und Barcelona gefallen war, begann am 26. Januar 1939 ein Flüchtlingsstrom von 300.000 Zivilpersonen und 200.000 Soldaten.


General Ménard, Kommandant der Militärregion Toulouse, wird im Februar damit beauftragt, entsprechende Maßnahmen für den Empfang der Flüchtlinge zu ergreifen. Mit dem Ziel, die Anzahl der Lager im Departement Pyrénées-Orientales zu beschränken, lässt er sechs große Lager an der spanischen Grenze errichten, die 100.000 Menschen beherbergen konnten: Bram (Aude), Le Vernet (Haute-Garonne), Agde (Hérault), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), Oloraon (Pays Basque), und Septfonds (gemäß Entscheidung vom 26. Februar).

 

 

 

 

Louis Boucoiran und weitere hochrangige Offiziere, darunter auch General Noël, Kommandant der 17. Militärregion, entschieden sich für eine 50 Hektar große Schafweide in Tarn-et-Garonne.

M. Olivier, Architekt und der Hauptmann der Pioniere, Castéla, werden mit der Durchführung beauftragt.


 

Die Armee errichtet eine 50 Kilometer lange Umzäunung (Stacheldraht, Wachtürme, Scheinwerfer). Der Gemeindeweg Nr. 10 wird zum Fahrweg und die lokalen Unternehmen werden mit der Errichtung von ungefähr 40 Baracken, einer Krankenstation und einem Gefängnis beauftragt.

Mehr als 1.000 Soldaten sind für die Überwachung dieser Orte im Einsatz: Sechs Truppen der Bereitschaftspolizei, ein Schwadron der 20. Dragoner, ein Infanteriebataillon des 107. Angoulême sowie ein Bataillon des 16. Regiments der senegalesischen Infanterie, die aus der Kaserne Guibert de Montauban abgezogen wurden.

Am 5. März trifft der erste Konvoi in Septfonds ein. Es folgen täglich 2.000 Menschen und die Lager werden immer voller. Da die Bauarbeiten noch nicht abgeschlossen sind, werden die ersten spanischen Republikaner vorübergehend im Lager von La Lande untergebracht, bevor sie dann in das für sie vorgesehene Lager, das der Juden, am 16 März übergesiedelt werden. 16.000 Spanier werden in 45 Bretterbaracken mit Wellblechdächern zusammengepfercht.


 


Wie bei vielen anderen spanischen Flüchtlingslagern waren auch hier die Lebensbedingungen äußerst schwierig: Sanitäre und hygienische Missstände, mangelhafte Versorgung, kein fließend Wasser, Heizung oder Elektrizität. Mindestens 81 der bereits zu Beginn angekommenen Menschen verstarben nach kürzester Zeit, was die Errichtung eines Friedhofs notwendig machte.

Dennoch entstand im Lager ein gesellschaftliches, kulturelles und politisches Leben: Die spanischen Aktivisten der kommunistischen Partei gründen Komitees und Zellen. Andere Insassen organisieren künstlerische Veranstaltungen und die spanischen Kinder erhalten Schulunterricht.

Es werden Teams für die Instandhaltung des Lagers gebildet und wiederum andere werden öffentlichen Arbeiten außerhalb des Lagers zugeteilt (insbesondere Reinigung der Graben, Wiederherstellung der Flussufer). Viele Menschen werden von den Landwirten oder Industrieunternehmen aus der Umgebung beschäftigt, vor allem von den im Sommer 1938 entstandenen Dienstleistungserbringern. Ein Jahr später führt die bestehende Kriegsbedrohung dazu, dass diese Arbeitskräfte in der Schwerindustrie und der Armee eingesetzt werden. 79 Kompanien bestehend aus ausländischen Arbeitern gliedern nach der Kriegserklärung 20.000 Spanier ein.


 


Das Lager besteht bis zum 1. März 1940, bis es dann wieder in die Verteidigungsaktivitäten eingebunden wird. Nur die 220. und 221. Kompanien bleiben weiterhin mit der Instandhaltung betraut.

Das Lager dient nun zur Unterweisung der Ausländer in den Dienst der französischen Armee. Es wird unterstützt durch ungefähr 800 Flieger der polnischen Armee in Frankreich. Der Krieg bringt zahlreiche Deutsche und Staatsangehörige des Reichs in die Straßen des Landes. Die spanischen Flüchtlingslager werden wieder in Betrieb genommen. Nach der Auflösung im Mai-Juni 1940 und der Einsetzung der Regierung von Vichy Anfang Juli, wird das Lager von Septfonds zum Zentrum der Demobilisierung für Ausländer, die freiwillig in der Armee dienten. „Überbleibsel“ der leichten Infanteriebataillons aus Afrika und der Fremdenlegion sowie französische Soldaten, die „unverwünscht waren“.


 

Das Gesetz vom 27. September 1940 ersetzt die Kompanien ausländischer Arbeiter (CTE) durch die Verbindung ausländischer Arbeiter (GTE). Im Lager von Septfonds werden drei Gruppen gegründet: Die Gruppen 552 und 533 bestehen aus Spaniern, die Gruppe 302 ist demobilisierten ausländischen Freiwilligen vorbehalten, darunter hauptsächlich Juden.


Am 17. November verkündigt die Regierung von Vichy ein Gesetz, das die Verantwortung für die Überwachung der Lager an das Innenministerium überträgt. Im Januar 1941 unterhält das Lager ein Internierungslager für Ausländer, Gruppen von ausländischen Arbeitern sowie eine Anbindung an das städtische Krankenhaus. Im Februar 1941 werden die Ausländer dann als ungefährlich erachtet und zusammengebracht. Das Lager von Septfonds ist nun ein Ort der Unterbringung von Ausländern, die „für die nationale Wirtschaft in Überzahl vorhanden waren“ und sollte 2.500 Personen beherbergen, gemeinsam mit einer neuen Kategorie von Internierten: Offizieren der Alliierten-Armee, darunter Polen. Hinzu kommen ausländische Kommunisten, die bis Ende Juni 1941 in Tarn-et-Garonne gefangen gehalten waren und hier inhaftiert wurden.


 

Im Herbst 1941 steht das Lager kurz vor der Schließung und wird somit zum regionalen Zentrum, in dem unerwünschte Ausländer oder Personen in ungeregelten Zuständen aussortiert wurden, die sich innerhalb des Departements in Haft befinden. Vichy bestimmt in zunehmendem Maße, die Anzahl der inhaftierten jüdischen Arbeiter zu erhöhen, indem Inhaftierte aus anderen Lagern verlegt werden sollten. Es wird weiterhin beschlossen, Gruppen zu gründen, die ausschließlich aus Juden bestehen sollten. In Septfonds ist dies die 203. „palästinensische" Gruppe ausländischer Arbeiter. Auf Befehl des Innenministeriums wird das Lager mitsamt den Inhaftierten am 30. Juni zwangsgeräumt und geschlossen. Die im Departement befindlichen Juden werden großteils überwachten Behausungen zugeteilt, bis das Lager im August 1942 im Rahmen der Endlösung wieder eröffnet wird, auf dem Gebiet des Nazi-Reichs nach Abschluss der Wannsee-Konferenz (Januar 1942).

Nach den Massenverhaftungen der Juden im Departement werden die 84 GTE des Lagers über Drancy und den Bahnhof von Caussade nach Auschwitz deportiert. Die im Departement stattfindende Massenverhaftung vom 26. August führt zur Verhaftung von 173 Menschen, von denen sich viele mit Réalville und Montech verbündet hatten. 1942 wurden insgesamt 295 Juden durch Septfonds transportiert.


 


Im November ist die freie Zone verschwunden. Das Lager bleibt bestehen: Im Frühjahr 1943 werden die 70 ausländischen Deportierten zur Zwangsarbeit auf den Baustellen von Todt verpflichtet. Dasselbe Schicksal ereilte ab September 1943 auch die jüdischen „mittel- und arbeitslosen“ Frauen.

Anfang August 1944 wurde Septfonds während des „nächtlichen Angriffs Carnaval 44“ von den Widerstandsgruppen befreit.

Zwischen August 1944 und Mai 1945, Zeitpunkt der Schließung des Lagers, dient das Lager zur Inhaftierung von 500 Menschen des Departements, die der Kollaboration verdächtigt wurden. Die Kollaboration betraf in den meisten Fällen eine wirtschaftliche Zusammenarbeit: Landwirtschaftlicher Nachschub, Bau- oder Reparaturarbeiten.


 

Der Ort bleibt 30 Jahre ungenutzt. Die Baracken und Friedhöfe werden durch Brachland und Gestrüpp überwachsen. Anfang der 70er Jahre entscheiden sich Verantwortliche von Institutionen und Verbänden, Septfonds in eine Gedächtnisstätte umzuwandeln. Man einigt sich auf vier Bereiche: Ein spanischer Friedhof (zwei Kilometer vom Dorf entfernt), eine Gedenksäule zum Gedenken an die deportierten Juden (Henry Grau Platz), eine polnische Kapelle, die von den Gefangenen vor ihrer Verlegung erbaut wurde und eine Lagergedenkstätte.
Der spanische Friedhof entsteht 1978. 1990 wird eine Gedenksäule zum Gedenken an 295 Juden, die im August 1942 vom Lager deportiert wurden, auf einem Dorfplatz in Septfonds errichtet. Zwei Jahre später folgt eine Ausstellung über die historische Synthese des Lagers und der verschiedenen Nutzungszeiten. 1995 werden ein Ausstellungsraum und die Dokumentation in das Museum des Widerstands und der Deportation in Montauban verlegt. Sie sind der Geschichte der Internierungslagers im Südwesten gewidmet, insbesondere dem Lager von Septfonds. Die 1942 auf der Zufahrtsstraße zum Lager errichtete polnische Kapelle wird restauriert.

1996 wird die Gedenkstätte des Lagers von Septfonds erbaut und eine Gedenksäule errichtet. Zwei Jahre später kommen historische Tafeln hinzu.


 


Bürgermeisteramt Septfonds

Rue de la République 82240 Septfonds

Tel: +33 05.63.64.90.27

Fax: +33 05.63.64.90.42

E-Mail: mairie-septfonds@info82.com

 

 

Fremdenverkehrsamt Tarn-et-Garonne

 

 


Ville de Septfonds (82)

 

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Informationen

Anschrift

82240
Sptfonds
Tél. : 05.63.64.90.27 Fax : 05.63.64.90.42

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ein Besuch ist ganzjährig möglich

Das Museum der Fremdenlegion

Aktie :

Ansicht des Museums. Quelle: Museum der Fremdenlegion

Dieses Museum gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt...
Das Legionsmuseum, ein besonderes Museum für eine besondere Einrichtung Das Museum der Fremdenlegion gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt... Da diese in den Fachschulen vertretenen Museen Initiatoren zur Erkennung der verschiedenen Waffen waren, dienen sie der Darstellung dieses besonderen Bereichs, der Legion. Das Dasein dieser Einrichtung beruht auf den Kompetenzen des Befehlsgenerals der Fremdenlegion und dies sowohl hinsichtlich der Moral, dem Kulturgut und der Tradition. Das Museum der Fremdenlegion ist eine öffentliche Einrichtung und soll allen Bereichen der Öffentlichkeit das Kulturgut der Legion vorstellen, wobei der Schwerpunkt auf dem Legionär liegt, sowohl dem jungen Aktiven als auch den höhergestellten Männern in Führungsposition, um die nötigen Anhaltspunkte bezüglich der Tradition, Schulung und Ausbildung darzustellen. Seit mehr als einem Jahrhundert wird hier eine starke Idee verfolgt, die besonders heute wieder aktuell ist: der Einsatz des Berufssoldaten, meistens Ausländern, sollte von einigen Orientierungspunkten geleitet werden, um diesen den nötigen Mut einzuhauchen, mitten in das Geschehen einzuschreiten, besonders wenn er mit neuen Situationen konfrontiert wird, bei denen Initiative gefragt ist. 36 000 Legionäre sind für Frankreich gestorben, dazu kommen ca. 100 000 Verletzte, die Zeitzeugen in diesem Museum sind und zeigen, falls nötig, dass der Legionär mehr opfert als er gewinnt, ganz im Gegensatz zum schlechten Image der Söldner. Aus diesem Grunde hat sich das Museum die Aufgabe gestellt, den früheren, gegenwärtigen und zukünftigen Legionär an sein Vorbild und die Traditionen zu erinnern, und die Fremdenlegion einem außenstehenden Publikum mit Hilfe der historische Realität und Legende zu vergegenwärtigen. Dazu wurde es wie einerseits wie ein innerer Spiegel für die Legionäre und eine Vitrine für die Öffentlichkeit gestaltet, es ist ein Mittel des Zusammenhalts, der Erinnerung und der Öffnung zu einer bürgerlichen Gesellschaft.
Der Ursprung des Museums der Fremdenlegion beruht auf den Entscheidungen des Ministers Boulanger, der damit der Stimmungskrise der Armee entgegenwirken wollte. Mit dreifarbigen Schilderhäuschen und der Annahme eines Taufnamens für die militärischen Viertel ist die Errichtung von Ehrensälen seit Ende des 19. Jahrhunderts gebräuchlich. Unter der Einwirkung von Oberst Wattringue beginnt das 1. Fremdenregiment seinen Aufbau 1888; zu diesem Zeitpunkt wird der erste Stein gelegt. In dem Nebengebäude des Gardekorps im Viertel Viénot in Sidi-bel-Abbès wird ein Raum für das, was Wattringue "glorreicher Trödelmarkt" nannte, eingerichtet. Nach vierjährigen Arbeiten darf Oberst Zéni, der sehr viel Energie und einen Teil seines persönlichen Vermögens in dieses Projekt investiert hatte, die Einrichtung eröffnen! Unter dem nunmehr dichten Dach sind in einem weitläufigen Raum die wichtigsten Erinnerungsstücke gesammelt: die bewegliche Prothese des Majors Jean Danjou, der in Mexiko an der Spitze der 3. Kompanie des 1. Bataillons des Fremdenregiments gestorben ist, der Adler der Flagge des Fremdenregiments im Zweiten Reich, die provisorische Flagge, die mit persönlichen Mitteln der Abteilung im September 1870 bei Ausruf der vorübergehenden Exekutive hergestellt wurde, die vom letzten Feldzug in Tonkin mitgebrachten Tropheen. Die afrikanischen Feldzüge vom Dahomey (Benin) und dem Sudan (Mali), die Expedition von Madagaskar, der lange Feldzug gegen Bou Amama im Süd-Oran und der Einzug in Marokka bringen viele Tropheen und Kriegsbeute. Die Räumlichkeiten werden zu klein, die Zimmer werden nach und nach überfüllt. Ein gewisser Leutnant Rollet spendet eine Sammlung von fast dreißig madegassischen Speeren.
1931 wurde bei Herannahmen der großen Feste zum hundertjährigen Bestehen der Fremdenlegion ein zweiter Saal gebaut. Er wurde "Heldentempel" genannt und den beförderten oder nicht beförderten, auf dem Ehrenfeld gefallenen oder lebendig in die Geschichte eingegangenen Legionären gewidmet, die General Rollet besonders ehren und als Beispiel nennen möchte. Aber sehr schnell wird auch dieser Raum unzureichend, da unter Einwirkung des Oberst Azan mehrere Künstler in den Rängen der Legion arbeiten. Unteroffizier Sméou malte mehr als sechzi Ölgemälde auf Leinwand oder auf Holz, darunter die berühmte Ansicht des Oberst Danjou, die auch heute noch besichtigt werden kann. Gleichzeitig wird in der Legion über die Nützlichkeit und die Funktion des Ehrensaales nachgedacht. 1936 entstand aus diesen Überlegungen ein Museum der Erinnerung, das von den früheren Sälen getrennt war und wo die historische Bedeutung sehr viel deutlicher wurde. Leutnant Andolenko, zukünftiger General, gibt in seinem ersten Büchlein eine genaue Beschreibung des Museums, eine Besichtigung der Ehrensäle und des Museums (Sidi bel Abbès, 1938, 281 S.). Eine chronologische Führung wird erstellt, die den militärischen oder zivilrechtlichen Besucher auf einen Rundgang durch die Kampfgebiete führt. Somit wird die Feierlichkeit der früheren Säle im Rahmen ihrer Funktion als Ehrensäle für verschiedene Zeremonien und militärische Aktionen gewahrt.
Zu Ende des Zweiten Weltkriegs und des Kriegs von Indochina zeigt sich, dass das Museum viel zu klein ist, 1958 wird über eine Erweiterung des Ehrensaals nachgedacht, der um einen Raum für Fahnen und Reliquien und einem großen Raum für Feldzüge vergrößert werden soll. Diese Erweiterung findet 1961 statt und dient nur weniger als ein Jahr, bevor die Räumlichkeiten verlassen werden. Dieses zwiespaltige Konzept wurde damals angewandt, als in Aubagne, dem neuen Haupthaus der Legion, ein neues Museum der Fremdenlegion gebaut wurde. Die Pläne von 1958 wurden als Bezugsdokumente verwendet und an die Besonderheiten des Gebietes im Nordwesten des großen Waffenplatzes des im Bau befindlichen Viertels angepasst. Das Gebäude besteht aus zwei Etagen, das Titelbild der ersten Etage zeigt eine weiße Leinwand, von der sich, in der Perspektive des "heiligen Wegs" das Monument der Toten der Fremdenlegion abzeichnet. Herr Pierre Messmer, Armeeminister, legt am 30. April 1963 den ersten Stein und eröffnet drei Jahre später zusammen mit General König, genau wie er ein früherer Offizier der Legion, das Bauwerk. Das Museum der Fremdenlegion, Besuch im Lande der Fremden, die Frankreich dienten In diesen Mauern der 60er Jahre besitzt jede Etage ihr eigenes Thema. Die ebenerdige Etage ist für interne Zwecke vorgesehen, kann jedoch außerhalb der Tage, an denen Zeremonien durchgeführt werden, besichtigt werden. Sie besteht aus einem Ehrensaal,der durch eine Krypte verlängert wird. In diesem riesigen Saal empfängt der junge Berufskandidat der Legion seinen Verpflichtungsvertrag aus den Händen seines ersten Abteilungschefs, ein Leutnant mit Fremdentitel, also von Rang, der ihm das Dokument vor dem Bildnis des Jean Adolphe Beaucé, Schüler von Ch. Bazin, für die Schlacht in Kamerun überreicht.
Ab dem Beginn seines Militärlebens wird der Mann also mit dem Bild der Treue zum gegebenen Wort und dem darunter verstandenen Opfer konfrontiert. Nach viermonatiger Erstausbildung kehrt der junge Mann, der nun Legionär ist, in diesen Saal zurück, wo ein früherer Obergefreiter ihm einige einfache Anhaltspunkte mit auf den Weg gibt: Kamerun, der Eid, der Tornister des 19. Jahrhunderts und seine berühmte "Blutwurst". Mit den entsprechenden Worten für die nicht französisch Sprechenden unter ihnen richtet der Oberbefehlshaber der Fremdenlegion oder der von ihm beauftragte Offizier einen Glückwunsch zum Erfolg der Ausbildung an ihn und begleitet ihn zur Krypte. Beim Strammstehen vor den Namen der auf dem Ehrenfeld gefallenen Toten, die die Hand des Oberst Danjou umgeben, ein physisches Symbol des Treueeids und des Opfers, schreitet der Legionär zu den Fahnen der früheren Ehrenregimente. Hier spricht der General von den Opfern der Ehemaligen, die der Legion in Erinnerung bleiben. Viel später, am Tage seines Rentenempfangs oder am Ende eines Zeitvertrages, kehrt der Legionär, egal welchen Grades, in den Ehrensaal zurück, wo wiederum eine ähnliche Feier begangen wird. Zum letzten Mal sammelt er sich vor dem Symbol der früheren, für Frankreich gefallenen Legionäre.
Er legt gewissermaßen eine Bilanz seiner Dienste vor den Mannen der Ehemaligen ab, die er auch später noch besuchen wird, oft bei den Feiern für Kamerun oder bei der Gelegenheit einer Reise. So gibt es jährlich fast 3000 Ehemalige, die an diesen Ort des Gedächtnisses, quasi das Familiengrab, zurückkehren. Der Saal der Feldzüge auf der 1. Etage wurde besonders gestaltet, um die Militärgeschichte der Fremdenlegion durch ihre Schlachten darzustellen. Der Besucher befindet sich in einem weniger engen und mit weniger Zeichen beladenen Raum. Auch hier sind sicherlich Gegenstände, aber auch die pädagogische Ausstattung eines Museums: Strophenblatt, Übereinkommen, verschiedenes Unterrichtsmaterial. Der Ehrensaal kann nicht ohne einen Führer, der den Gruppen immer zur Verfügung steht, oder einen Audio-Führer für einzelne Besucher, verständlich sein, wogegen man sich im Saal der Feldzüge in einem chronologischen Rundgang, der sowohl für die weniger geschichtlich bewanderten Besucher als auch für den schlechter französisch Sprechenden unter ihnen zugänglich ist, frei bewegen kann. Nach der Erinnerung an die Tradition der Fremdenlegion Frankreichs, den genuesischen Armbrustschützen von 1346 im Regiment von Hohenlohe, das 1830 aufgelöst wurde, wird der Besucher von der Gründung der Fremdenlegion, die nach dem Gesetz vom 9. März 1931 erfolgte, bis zu den aktuellen Einsätzen der Legion geführt. Bei jedem geschichtlichen Abschnitt kann er die besonderen Objekte dieser Zeit sehen, Waffen, Uniformen, Kriegsbeute, ethnische Funde. Zusätzlich zu diesen dreidimensionalen Elementen besitzt das Museum eine bemerkenswerte Sammlung graphischer Dokumente, die sich seit einem Jahrhundert angesammelt haben. Benigni, Rousselot, Toussaint, Marin-Gillet alias Marino, Rosenberg haben sich als fast offizielle Maler des Museums der Fremdenlegion abgewechselt und fast 400 ihrer Werke, meistenteils Aquarellzeichnungen, begleiten diese Besichtigung. Die in der Öffentlichkeit weniger bekannten Werke der Legionäre Jondvedt, Toussaint Yvon, Burda, Kauffmann, Perez y cid und Kwon stellen die restliche Sammlung dar. Weiterhin gehört der Anhang Puyloubier, das Museum der Legionsuniform, unbedingt zu dieser Ausstellung. Dieser Teil ist bis zur Fertigstellung des "großen Museums" in Aubagne, einer weltweit einzigartigen Sammlung, die von Raymond Guyader seit fast 40 Jahren zusammengestellt wird und die Trachten und Zubehör der Legionäre von 1831 bis zum heutigen Tag enthält, in der Invalideneinrichtung der Fremdenlegion untergebracht. Der der Öffentlichkeit präsentierte Bereich besteht u.a. aus 94 von Puppen getragenen Uniformen, ab der ersten Uniform im Jahr 1931 bis zum Ende der Gegenwart in Algerien im Jahre 1968.
Aktualität: ein Zentrum der Geschichtsforschung über die Fremdenlegion Das Museum der Fremdenlegion, welches heute von einem hohen Offizier, falls möglich ein Diplomkonservator, geleitet wird, der für die Geschichte und die Traditionen innerhalb des Generalstabs des Kommandos der Fremdenlegion verantwortlich ist, erfüllt mit Sicherheit die drei klassischen Aufgaben eines jeden Museums: erhalten, aufwerten und übermitteln, aber seit September 2004 verfügt es auch über ein unterstützendes Forschungsmittel. Gemeinsam mit der Revue Weißes Kepi wurde im September 2004 ein Zentrum der historischen Dokumentation innerhalb des Museums gegründet. Dies beruht auf der Dokumentarsammlung des Museums, welche früher fälschlicherweise "Archiv der Fremdenlegion" genannt wurde, auf der historischen Bibliothek der Legion und auf der Sammlung der alten Fotos der Revue Weißes Kepi und soll diese der Öffentlichkeit zugänglich machen, wobei Universitäten und Verlägen der Vorrang gegeben wird. Mit dem Ziel, die Forschung und Unterrichtung der Militärgeschichte der Fremdenlegion zu fördern, werden dem Forscher verschiedenen Quellen und fast 5000 Werke zur Verfügung gestellt, unter Achtung der vom Gesetz festgelegten Kommunikationsgrenzen. Der gesamte Bereich steht und fällt auch mit einem erfahrenen Team, welches mittelfristig über ein Inventarprogramm und Forschungen nach Thema verfügt.
Museum der Fremdenlegion von Aubagne Quartier Viénot Route de la Thuillère 13600 Aubagne Tél : 00 33(0)4 42 18 82 41 Briefkontakt Monsieur le général commandant la Légion étrangère (Generalbefehlshaber der Fremdenlegion) D.H.P.L.E. Quartier Viénot BP38 13998 Marseille Armées Tél : 00 33(0)4 42 18 12 41 e-mail : museelegionetrangere@hotmail.com e-mail : centre-documentaire@comle.terre.defense.gouv.fr Öffnungszeiten Winter (1. Oktober bis 31. März): Mittwoch, Samstag, Sonntag, 10 Uhr, 12 Uhr, 14 Uhr Sommer (1. Juni bis 30. September): Täglich außer montags und donnerstags:10 Uhr-12 Uhr und 15 Uhr-19 Uhr. Zufahrt Westviertel von Aubagne Strecke nach Thuilière (RD 44), Richtung Eoures Parkplatz mit freiem Zugang vorhandent Gruppen auf Vereinbarung
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Informationen

Anschrift

Route de la Thuillère Quartier Viénot 13600
Aubagne
04 42 18 12 41

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Mercredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Vendredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Samedi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Dimanche: de 10h à 12h et de 15h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé du 12/03/2012 au mois de mars 2013 pour cause de rénovation.

Geburtshaus von Marschall Foch

Aktie :

Tafel an der Fassade. Quelle: Creative-Commons-Lizenz Urheberschaft

Das Geburtshaus von Marschall Foch befindet sich im Stadtzentrum von Tarbes im historischen Viertel unweit der Kathedrale Notre-Dame-de-la-Sède.

Dieses schöne Wohnhaus im Stil der Bigorre im Stadtzentrum im historischen Viertel unweit der Kathedrale von Tarbes zeigt die Erinnerungen an den Marschall und seine Familie.

Seit Ende des Krieges 1914 - 1918 erinnert eine Tafel daran, dass der „Generalissimus“ der alliierten Streitkräfte hier geboren ist.

Dieses 1938 unter Denkmalschutz gestellte Haus wurde 1951 zum Museum.

Am 1. März 2008 ging es aus dem Staatseigentum in jenes der Stadt Tarbes über.

Das Haus aus dem 18. Jahrhundert im Stil der Bigorre ist von besonderem architektonischen Interesse: Veranda mit Geländersäulen und Schabracken sowie Fenster mit Marmorrahmen. Im Inneren entdeckt man eine schöne geschnitzte Holztreppe, welche die Schmiedearbeiten aus dem 17. Jahrhundert imitiert.

In diesem intimen Rahmen verbrachte Ferdinand Foch die zwölf ersten Jahre seines Lebens. Das Elternhaus beherbergt heute persönliche Gegenstände und Erinnerungen an den Offizier. Die Porträts zeigen den Mann des Krieges, Marschall von Frankreich, Großbritannien und Polen.

Die Sammlungen beinhalten Erinnerungen an den Marschall oder seine Familie und zeichnen seinen persönlichen Weg und sein öffentliches Leben als Marschall von Frankreich nach. Ein Raum ist der Anerkennung der alliierten Länder gewidmet.

Der Fachschulingenieur, ausgebildete Artillerist und Professor für Kriegstaktik bleibt als eine der wichtigsten Persönlichkeiten des Ersten Weltkriegs im Gedächtnis, der die Alliierten zum Sieg führte. Marschall Foch starb am 20. März 1929 in Paris und hinterließ die Erinnerung an eine weltweite Anerkennung.

 

 

Geburtshaus von Marschall Foch
2, rue de la Victoire - 65000 Tarbes
Tel.: 05.62.93.19.02
E-Mail: musee@mairie-tarbes

 

 

Gemeinde Tarbes

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2 rue de la Victoire - 65000
Tarbes
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Triumphbogen

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Arc de Triomphe. Photos © Frédéric Prochasson - Fotolia.com

Die Perspektiven des Arc de Triomphe sind mindestens so vielfältig, wie die Zahl der Strassen die von Place Etoile aus starten...

Kurzer Überblick der Erbauung Im Februar 1806, befiehlt Napoleon der I die Erbauung des Arc de Triomphe um den Sieg seiner Armeen zu gedenken. Am Ende entscheidet sich der Kaiser für Place d'Etoile. Der erste Stein dieses Denkmales wird am 15. August 1806 gelegt. Die Pläne wurden vom Architekten CHALGRIN entworfen. Im Jahre 1810, anlässlich der Hochzeit Napoleons I mit der Erzherzogin Marie-Louise aus Österreich, wird der Architekt ein Trompe-oeuil aus Holz und bemaltem Tuch errichten. Die Kulisse wird rechtzeitig für die Zeremonie beendet und verleiht einen ersten Eindruck des zukünftigen Denkmals. CHALGRIN stirbt im Jahre 1810. Er wird von Louis-Robert ersetzt. Am Ende des Jahres 1813 erreicht das Arc de Triomphe eine Höhe von 19 Metern. Die Ereignisse von 1814 setzen alles in Frage. Unter der "Restaurierung" verlangsamen sich die Arbeiten. Louis Philippe, der König von Frankreich im Jahre 1830 geworden ist, beschließt das Projekt weiterzuführen. Die Arbeiten werden erneut in die Wege geleitet und das Arc de Triomphe, das den Armeen der Revolution und dem Imperium gewidmet ist, wird rasch vom Architekten Guillaume - Abel BLOUET beendet. Das Monument wird am 29. Juli 1836 eingeweiht.

Das Monument Die Proportionen sind riesig : Das Arc de Triomphe misst 49 Meter Höhe und überschreitet 45 Meter Breite. Der Bogen der zwei großen Fassaden erreicht 20,50 Meter Höhe für eine Breite von 14,50 Metern. Die Querfassaden sind von einem 19 Meter hohen und 8,50 Meter breiten Bogen durchquert. Der große Fries umgibt die vier Seiten und stellt die großen Persönlichkeiten der Revolution und des Imperiums, aber auch die Rückkehr der Armeen von Italien und Ägypten dar.
Das zweifellos großartigste Ornament ist von den vier kolossalen Gruppen gebildet, die sich auf jeden Pfeiler der zwei großen Fassaden aufrichtet : - Avenue des Champs Elysées : Der Aufbruch der Freiwilligen (rechts), das heute noch Die Marseillaise heißt, von François RUDE und der Triumph des Kaisers (links), von Jean-Pierre CORTOT ausgemeißelt. - Avenue de la Grande Armée, die zwei ausgemeißelten Hochreliefs stellen die Resistance (rechts) und den Frieden (links) dar. Auf den Innenmauern befinden sich große und kleine Bogen, wo die Namen der Generäle, sowie der großen Schlachten der Revolution und des Imperiums gemeißelt sind. Auf den Boden, in der Nähe des Grabes des unbekannten Soldaten, erinnern mehrere Bronzetafeln, an wichtige Ereignisse der zeitgenössischen Geschichte : die Verkündung der Republik am 4. September 1870, die Rückkehr des Elsass-Lothringens am 11. November 1918 und der Appell vom 18. Juni 1940. Sie erwähnen ebenfalls die Soldaten und Wiederstandskämpfer des zweiten Weltkrieges, sowie die, der für Frankreich umgekommenen Soldaten in Algerien, Tunesien und Marokko.
Den Arc de Triomphe hinaufsteigen Den Arc de Triomphe zu ersteigen, heißt 284 Stufen zu steigen (ein Aufzug ermöglicht den Zugang der behinderten Personen), aber auch Zugang zu verschiedenen Sälen des Museums und der Terrasse zu haben. Der große Museumssaal, der sich unter der Terrasse befindet, stellt viele Dokumente aus : Gravierungen, Zeichnungen, Fotos, Modelle und verschiedene Originalstücke bezüglich der Projekte (wie z.B. den Elefanten), die Konstruktion und das Dekor des Arc de Triomphe, sowie Dokumente bezüglich der großen Ereignisse, wie die Rückkehr der Aschen Napoleons I (am 15. Dezember 1840), die Totenwache von Victor HUGO (29. Mai 1885), die Siegesparade (14. Juli 1919), die Ankunft der unbekannten Soldaten (am 28. Januar 1921), die Ehrerweisung des Generals de Gaulle auf dem Grab des unbekannten Soldaten in der befreiten Hauptstadt Paris ( am 26. August 1944). Von der Terrasse aus kann man eine großartige Sicht bewundern, die sich auf ganz Paris erstreckt, auf den Champs Elysées, den Louvre, den Eifelturm, den Dom des Invalides und Richtung Westen den Arche de la Défense.
Der unbekannte Soldat Der Waffenstillstand der dem ersten Weltkrieg ein Ende setzt, wird am 11. November 1918 in Rethondes (in der Nähe von Compiègne dans l'Oise) unterzeichnet. Die Freude des Sieges kann die Trauer der 1 500 000 umgekommenen jungen Männer nicht ersetzen. Bald wird man in den großen , sowie in den kleinen Dörfer, aber auch in den Städten, Denkmäler zum Gedenken an die Todesopfer aufrichten. In den Unternehmen, Schulen und Gymnasien bring man Gedächtnistafeln an. Am 20. November 1916, während jeder die grausame Schlacht von Verdun im Gedächtnis hat, schlägt F. SIMON, Präsident des französischen Gedenkens vor, einen Soldaten, der tapfer für sein Vaterland gekämpft hat und gestorben ist am Panthéon zu ehren. Das Projekt wird schließlich von den Abgeordneten am 12. November 1919 angenommen. Ein Jahr später, Anfang November, beschließt das Parlament, die Reste eines der unidentifizierten Soldaten, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind, unter dem Arc de Triomphe beizusetzen. Acht unidentifizierte Körper französischer Soldaten, die unter den verschiedenen Frontzonen ausgesucht wurden, werden bis zur Zitadelle von Verdun transportiert. Am 10. November 1920 um 15:00 Uhr bestimmt Auguste THIN, er selber Sohn eines umgekommenen Soldaten, indem er einen Blumenstrauß auf einen der Särge legt, welcher nach Paris verschickt werden soll. Am 11. November 1920, nach der Zeremonie im Panthéon, wird der Sarg in einem der Säle des Arc de Triomphe abgelegt und in der Kapelle eingerichtet, wo er von brennenden Kerzen umgeben ist. Am 28. Januar 1921, wird der Sarg des ungekannten Soldaten in der Mitte des Hauptbogens, vor den Champs Elysée beigesetzt.
Das Symbol der Flamme Nach der Anregung, im Frühjahr 1921 von dem Bildhauer Gregor Calvet, dann im Oktober 1923 von dem Schriftsteller Gabriel Boissy, die heilige Flamme unter dem Arc de Triomphe wurde zum ersten Mal angezündet November 11, 1923 bis 18 Stunden von Andre Maginot, Kriegsminister, während die Truppen der 5. RI präsentierte die Band spielte Chopins Trauermarsch." Seit diesem Tage wurde die Flamme niemals ausgemacht. Jeden Abend um 18:30, wird die Flamme von den Vertretern der Assoziation der Veteranen, dessen Bürgersinn anerkannt ist (wie das rote Kreuz) neu belebt. Diese Zeremonie wurde niemals unterbrochen, auch nicht während der Besetzung zwischen 1940 und 1944. Natürlich werden sich die Pariser Gymnasiasten und Studenten dem Sarg des Unbekannten Soldaten und der Flamme richten, als sie durch ihre Demonstrationen den Besetzer herausfordern. Für einige stellt die Flamme auch die Flamme der Resistance dar, von der ein gewisser Charles de Gaulle einst sprach. Heutzutage symbolisiert der Grab des unbekannten Soldaten und die Flamme des Gedenkens für alle Franzosen, aber auch für alle Touristen der Welt, die Aufopferung all jener, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind. Die Flamme des Gedenkens symbolisiert auch die Ehrerweisung all der Menschen die mit dem Leben gezahlt haben, um uns heute zu ermöglichen in einem freien Land zu leben. Nach den grausamen Tagen der Besetzung, repräsentiert die Flamme nun auch die Hoffnung für die Zukunft und den Glauben im Schicksal unseres Landes.
Die Zeremonie der Anfachung Ab dem 11. November 1923, wird die Flamme jeden Abend um 18:30 von den Vertretern der verschiedenen Assoziationen (nach Planung des Komitees der Flamme) angefachten. Das Zeremoniell ist sehr präzis. Jeden Tag werden mindestens zwei Mitglieder des Komitees der Kommissäre ausgewählt, um die verschiedenen Assoziationen willkommen zu heißen und die Zeremonie zu organisieren. Die Assoziationen versammeln sich entweder an der Kreuzung Champs Elysées/Balzac oder oberhalb der Champs Elysées oder auch direkt beim Arc de Triomphe, wenn nicht zu viele Vertreter anwesend sind. Sie werden dann bis zum Arc de Triomphe, geführt. An der Spitze dieses Aufmarsches defilieren die Träger der Blumensträuße, gefolgt von den Fahnenträgern und der Assoziationsmitglieder, sie marschieren über die Hauptallee der Champs-Elysées Achse. Die Teilnehmer nehmen auf beiden Seiten der heiligen Steinplatte Stellung; die Fahnenträger ordnen sich im Kreis auf des Westseite der Steinplatte auf. Vor der Zeremonie, richten der Kommissar und der Dienstwärter die Fahne der "Flamme", das Horn und die Trommel der Republikanischen Wache auf. Schließlich erreichen der Kommissar der Flamme und die Verschiedenen Assoziationspräsidenten die heilige Steinplatte, indem sie vom Signal "Die FLAMME" begleitet werden. Die Delegationen werden dann aufgefordert ihre Blumensträuße abzulegen und sich dann in der Nähe der Flamme zu stellen. Der Kommissar übermittelt dem Präsidenten den Schwert und fordert ihn auf die Anfachungsgeste zu machen. Das Signal "an die Todesopfer" ertönt, die Fahnen werden abgesetzt und eine Schweigeminute wird eingelegt. Wird eine Militärmusik gespielt, (oder anderes), ist das Signal "an die Todesopfer" von der Marseillaise gefolgt. Der Präsident, der von den verschiedenen Behörden begleitet wird, unterzeichnet das Goldene Buch. Indem er die brüderliche Geste ausübt, verabschiedet er sich von den verschiedenen Fahnenträger, den anwesenden Kommissären der Flamme, den Mitgliedern der Assoziationen und der eingeladenen Persönlichkeiten die entlang der Steinplatte aufgereiht sind. Alle finden sich am Fuße des Grabes wieder und die Musiker spielen die Hymne "zu Ehren des unbekannten Soldaten". Anschließend werden sie vom Dienstkommissar begleitet, während die Musik das Signal "der Flamme" spielt. Selbst wenn der General, Präsident der "Flamme unter dem Arc de Triomphe" anwesend ist, bleibt dieses Ritual das selbe. Die Delegationen sind dann aufgefordert das Goldene Buch zu unterzeichnen.
Arc de Triomphe Place de l'Etoile 75008 Paris Anreise U-Bahn-Station Charles de Gaulle-Etoile (1, 2, 6) RER A Charles de Gaulle-Etoile

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Informationen

Anschrift

place de l'étoile 75008
Paris
01 55 37 73 77

Gebühr

Plein tarif : 9,50 € Tarif réduit : 6 € Groupe adultes : 7,50 € (à partir de 20 personnes) Groupes scolaires : 30 € (20 € pour les ZEP) ; 35 élèves maximum. Gratuit : Moins de 18 ans (en famille et hors groupes scolaires) 18-25 ans (ressortissants des 27 pays de l’Union Européenne et résidents réguliers non-européens sur le territoire français) Personne handicapée et son accompagnateur Demandeur d’emploi

Wöchentliche Öffnungszeiten

Du 1er avril au 30 septembre, 10h à 23h Du 1er octobre au 31 mars, 10h à 22h30

Fermetures annuelles

1er janvier, 1er mai, 8 mai (matin), 14 juillet (matin), 11 novembre (matin), 25 décembre

Radarmuseum - Douvres-la-Délivrande

Aktie :

Douvres-la-Délivrande beherbergt einen britischen Solddatenfriedhof mit über 2.000 Gräbern sowie ein Museum, das die Geschichte der Radartechnologie erzählt.

Obwohl die Radartechnologie Ende des Zweiten Weltkrieges noch in den Kinderschuhen steckte, gab es bereits Modelle, die sowohl bei Tag als auch in der Nacht Bewegungen im Meer erkennen konnten, die mit bloßem Auge nicht erkennbar waren. Besatzungstruppen wie den Alliierten gelang es, die Einrichtungen dieser „Zauberohren" zu perfektionieren.

 

Aufgrund seiner Höhenlage war Douvres Ende 1942 mit einem „weitreichenden“ Radar ausgestattet und informierte die Generalstäbe über jeglichen Landungsversuch in der Region.

 

Wie bei jeder Erfindung einer neuen Kriegsmaschine wurde auch beim Radar ein Gegenmittel zur Neutralisierung erfunden: Die aus Nebel oder falschen Echos bestehenden Gegenmaßnahmen bewährten sich in der Nacht vom 5. auf den 6. Juni 1944!

Das Radarmuseum

Diese Radarstation war bis zum 17. Juni (10 Tage nach der Befreiung von Douvres selbst) noch verschanztes Gebiet. Die heute zur Gedenkstätte in Caen gehörige Radarstation wurde zu einem einzigartigen Museum an der Küste. Zwei Bunker blieben erstaunlich gut erhalten und diese Originalszenerie macht es leichter, die Rolle der Radarsysteme und ihre technische Entwicklung zu verstehen.

 

Die deutsche Radarstation von Douvres befindet sich 3 km entfernt von den Landungsstränden JUNO, auf der Straße nach Basly und diente mehrere Tage als Ort, an dem sich die Soldaten verschanzten. In der Nähe eines Klosters in La Délivrande wurde eine vorgeschobene Sanitätseinheit errichtet. Am 6. Juni 1944 wurden hier die ersten Toten beerdigt, weitere Gräber von Soldaten, die an der Küste und in Caen gefallen waren, folgten.


 

Der britische Soldatenfriedhof

Am Eingang des Marktfleckens, auf der Straße nach Caen, sticht der Friedhofseingang sofort ins Auge.

 

Ein viereckiger Pavillon mit Spitzdach aus Stein, umrahmt von einer Pergola. Die Achse des Vorbaus wird dominiert von einem Opferkreuz, das am Ende des Mittelgangs angebracht ist. Es befindet sich auf einem kleinen Grashügel und ist mit einer niedrigen Mauer umgeben.

 

Die Säulen sind symmetrisch nebeneinander angeordnet und reihen sich ein in eine zentrale Allee aus geschnittenen Eiben. Der deutsche Bereich mit verschiedenen Steinsäulen und zwei Schrägen befindet sich auf der rechten Seite. Erstaunlicherweise liegt das Grab des einzigen polnischen Soldaten vollkommen isoliert.

 

Die in weitem Umfang angepflanzten hohen Linden und Magnolien schotten den Friedhof gegen die Wohnanlagen in der Nähe ab. Der Friedhof ist umrahmt von geschnittenen Weißbuchen und Buchen.

 

 


 

Musée Franco-Allemand « Station Radar 44 » Route de Bény – CD83 – 14440 Douvres-la-Délivrande

Tél. : 07.57.48.77.32

Site internet : www.musee-radar.fr - Courriel : contact@musee-radar.fr

 


 

Choisissez votre mode de visite :

en autonomie : en suivant les panneaux

Avec Audiospot : en téléchargeant une application gratuite qui transforme son propre smartphone en Audioguide

Visites Commentées (par un guide bénévole) réservation sur le site internet obligatoire

mode-visite-musee-radar

 


 

hdp_radardouvres
 Musée du Radar - Douvres-la-Délivrande. Michel.dehaye@avuedoiseau.com
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Informationen

Anschrift

« Station Radar 44 » Route de Bény – CD83 14440
Douvres-la-Délivrande
07.57.48.77.32

Gebühr

Indiv. : 6.50€ ; réduit : 5.00€ ; Gratuit - 10 ans Groupes à partir de 9 pers : 4.50€

Wöchentliche Öffnungszeiten

https://www.musee-radar.fr/web/infos-pratiques.php

Fermetures annuelles

Fermé sauf pour les groupes sur RDV (à partir de 9 personnes) 10h à 18h Fermé le lundi / Closed on Monday du 4 Avril au 30 juin et du 1er Sept. au 15 Nov. 10h à 19h Ouvert tous les jours / daily open du 1er Juillet au 31 Août

Site Web : www.musee-radar.fr

François-Joseph Ier de Habsbourg

1830-1916

Aktie :

Portrait von Franz-Joseph. Quelle: www.elysee.fr

 

Franz-Joseph gelangt nach dem revolutionären Aufstand von 1848 an die Macht und folgt somit seinem Onkel Ferdinand I (am 2. Dezember 1848) in Olmütz.Er ist der älteste Sohn des Erzherzogs Franz-Karl und der Prinzessin Sophie von Bayern. 1854 heiratet er Elisabeth von Bayern. Die Siege seines Kanzlers, dem Prinz von Schwarzenberg und des Generals Radetzki erneuern die Vorherrschaft Österreichs über die Ungarn und die Italiener (1849). Von Russland unterstützt, richtet er eine autoritäre Politik ein, die nationalen Minderheiten feindselig gegenübersteht. 1855 verliert er den Schutz Russlands durch sein Zögern während des Krimkrieges. Der Kaiser wird 1859 durch die Truppen von Victor-Emmanuel und Napolean geschlagen (Schlachten von Solferino und Magenta). Er muss die Lombardie durch das Abkommen von Zürich (10. November 1859) abgeben. Die Rivalität mit Preussen bezüglich der Vorherrschaft über die Herzogschaften Schleswig und Holstein, welche 1864 von Dänemark erstanden wurden, bietet Preussen 1866 die Gelegenheit, den Krieg zu erklären. Am 3. Juli 1866 wird er in Sadowa geschlagen und schliesst Frieden mit Preussen (Abkommen von Prag am 23. August 1866). Er gibt damit seine Rechte in Norddeutschland sowie jedes Eingreifen in den Zusammenschluss von Deutschland zugunsten des Siegers auf - die Regierung von Wien ist 1851 an der von Preussen angeführte Bewegung des "Kleinen Deutschlands" gescheitert. Außerdem muss er Venetien über Frankreich (Abkommen von Wien, 3. Oktober 1866), welches sich nach einer geheimen Zusammenkunft von Napoleon III und Bismarck in Biarritz mit Preussen verbündete, an Italien abgeben.

Um die nationalistischen Bewegungen seines Reiches zu beruhigen, bewilligt er Österreich 1867 einen Status, welcher das Land in eine doppelte Monarchie verwandelt (österreichisch-ungarisch), die föderalistisch geführt wird. Die Gebiete des früheren Reiches von Österreich werden in zwei Teile beiderseits der Leitha werden aufgeteilt und bilden die Gebiete Cisleithanien um Österreich und Transleithanien um Ungarn. Cisleithanien besteht aus Österreich, Böhmen, Mähren, Gabissien, Slowenien, Istrien und der Gebiete entlang der dalmatischen Küste. Transleithanien besteht aus Ungarn, Kroatien, der Begiete um Temesvar und Transsylvanien. Es gibt kein allgemeines männliches Wahlrecht, welches die Rolle der anderen Völker unter der Vorherrschaft von Budapest hervorgehoben hätte. Der Kaiser schwankte immer zwischen dem autoritären Weg (von Deutschland inspiriert) und dem Föderalismus der Ministerien Taaffe und Badeni. Franz-Joseph versucht, diese Blockade durch die Innenpolitik auszugleichen.

Die von Andrassy geleitete Annäherungspolitik an Preußen führt zu einer Aussöhnung mit der Politik Bismarcks: 1873 Bündnis der drei Kaiser (Deutschland, Russland, Österreich), was 1879 zum Doppelbündnis von Deutschland und Österreich und 1883 durch das Dazukommen von Italien zum Dreierbündnis wurde - ab 1892-1893 spricht man sogar von einer "diplomatischen Unterordnung gegenüber Deutschland". Österreich besetzt (1878) Bosnien-Herzegowina und annektiert dies 1908, um den russischen Einfluss in den Balkanländern zu vermindern. Seit dem Austritt aus dem Bündnis führten die Russen eine panslawistische Politik und griffen in die Angelegenheiten der Doppelten Monarchie ein. Der Anschluss von Bosnien-Herzegowina bringt eine internationale Krise mit sich. Das Problem Bosniens scheint mit dem Serbiens und der Lage der Südslawen unter der Vorherrschaft von Budapest verbunden zu sein, die sich in Richtung Belgrad orientieren. Zwischen dem erobernden Panslawismus und Pangermanismus scheitert Franz-Joseph mit seinem Willen, einen Weg der Mitte in Zentral-Ost-Europa zu verkörpern. In seiner lange Herrschaft von 68 Jahren musste er die Hinrichtung seines Bruders Maximilian im Jahre 1867 in Mexiko, den Selbstmord seines Sohnes Rudolph 1889 in Mayerling, das Attentat auf seine Gattin durch einen Anarchisten 1889 in Genf und das auf seinen Neffen und mutmaßlichen Erben Franz-Joseph am 28. Juni 1914 in Sarajevo, ein Ereignis, welches den 1. Weltkrieg auslöste, ertragen. Die doppelte Monarchie tritt somit politisch relativ stabil in den Krieg ein. Ihr Herrscher konnte bei den meisten Untertanen, jedoch auch in der Armee und anderen Einrichtungen eine gewisse Untergebenheit erreichen. Als sein Gründer verstirbt, muss Österreich-Ungarn mehr unter den Härten des Krieges und seiner Million Toten leiden als unter antimonarchistischen Bewegungen.

Wilhelm Keitel

1882 - 1946

Aktie :

Wilhelm Keitel. Foto Sammlung DMPA

Wilhelm Keitel trat 1901 in die Armee ein und besetzte im Ersten Weltkrieg verschiedene Offiziersposten des Generalsstabs. Nach der Kapitulation Deutschlands im Jahre 1918 verfolgte er seine militärische Laufbahn in der neuen deutschen Armee, der Reichswehr, die im Abkommen von Versailles genehmigt worden war.

Als Adolft Hitler 1933 an die Macht kam und begann, die Streitkräfte wieder aufzubauen, machte Wilhelm Keitel schnell Karriere. Er wurde 1934 zum Brigadegeneral ernannt, wurde Vorsteher des Kabinets des Kriegsministers, Direktor des Wehrmachtsamtes und im folgenden Jahr mit der Koordinierung der Streitkräfte beauftragt. 1938 wird Wilhelm Keitel zum Chef des Oberkommandos der Wehrmacht (OKW) ernannt, das neu gegründet wurde. Am 22. Juni 1940 unterzeichnet er den französisch-deutschen Waffenstillstand in Rethondes. Dieser eifrige Ausführer der Befehle Adolf Hitlers wird im Juli 1940 zum Marschall ernannt und trifft während des Krieges alle militärischen Entscheidungen sowie die jeweiligen Terrormaßnahmen in den besetzten Gebieten, was sich hauptsächlich auf die Hinrichtung der Geiseln und der politischen Kommissare der Roten Armee, sowie auf die Hinrichtung von Kriegsgefangenen der NN ausrichtet. Trotz einiger Versuche seitens der führenden Kreise der Armee und des Generalstabs zum Austausch von Personen, behält er seinen Posten bis zum Ende des Zweiten Weltkrieges. Am 9. Mai 1945 unterzeichnet er die bedingungslose Kapitulation der Wehrmacht auf Anordnung des Kanzler-Admirals Dönitz. 1946 verurteilt ihn das Nürnberger Gericht für Verbrechen gegen den Frieden, Kriegsverbrechen und Verbrechen gegen die Menschlichkeit zum Tode.

Charles de Gaulle

1890-1970

Aktie :

Portrait de Charles de Gaulle. Source : Photo SHD

Der französische General und Politiker Charles de Gaulle (1890-1970) ist der erste, der für die Idee eintrat, dass Frankreich über eine Panzerkampfeinheit verfügen sollte. Diese bedeutende Persönlichkeit des französischen Widerstands während des Zweiten Weltkriegs war auch der Gründervater der V. Republik, die sich insbesondere durch die direkte Wahl eines Präsidenten durch das Volk auszeichnet.

Charles de Gaulle wurde am 22. November 1890 in einer patriotischen und katholischen Familie geboren. Er verbringt seine Kindheit in Paris, studiert bei den Jesuiten und entscheidet sich schon früh für eine militärische Laufbahn. 1908 wird er in die Militärschule École spéciale militaire de Saint-Cyr aufgenommen. Nach vier Studienjahren geht er 1912 als Unterleutnant nach Arras.

Während des Ersten Weltkriegs wird er drei Mal im Kampf verletzt und in der Schlacht um Douaumont (1916) für tot liegen gelassen. Er gerät in deutsche Gefangenschaft, aus der er fünf Mal zu fliehen sucht, aber immer wieder aufgegriffen wird. Er kommt erst mit dem Waffenstillstand am 11. November 1918 frei. Im Verlauf seiner weiteren Karriere beim Militär erfüllt der Hauptmann de Gaulle Missionen in mehreren Ländern (Polen, Libanon). Zwischen den beiden Weltkriegen veröffentlicht er mehrere Werke, in denen er die französische Verteidigungspolitik kritisiert. Er vertritt insbesondere die Ansicht, dass die Armee den Entscheidungen der Politiker zu folgen habe und dass es zum Schutz Frankreichs notwendig sei, eine Panzereinheit zu schaffen, die in der Lage wäre, der mechanischen Streitmacht Deutschlands entgegenzutreten. Parallel dazu beginnt seine Einführung in die Staatsangelegenheiten. 1931 erhält er einen Posten im Staatssekretariat der Verteidigung in Paris. Er wird 1937 zum Oberst und Befehlshaber des 507. Panzerregiments in Metz ernannt. Als Frankreich und England Deutschland am 3. September 1939 den Krieg erklären, erhält er das stellvertretende Kommando über die Panzer der 5. Armee. Bei der deutschen Invasion zeichnet sich de Gaulle mehrmals an der Spitze seiner Einheit aus, indem es ihm unter anderem gelingt, die Deutschen bei Abbeville (27.-30. Mai 1940) zu stoppen. Er wird am 1. Juni 1940 zum General ernannt und wird nur wenige Tage später Unterstaatssekretär der Verteidigung in der Regierung von Paul Reynaud.

Am 17. Juni bricht de Gaulle nach London auf, um den Krieg fortzusetzen; er ruft am 18. Juni auf dem Sender BBC zum Widerstand auf. Als Landesverräter wird er im August in Abwesenheit zum Tode verurteilt. Von Churchill als "Anführer der freien Franzosen" anerkannt, organisiert de Gaulle die Streitkräfte, die Forces françaises libres, freie französische Streitkräfte genannt werden. Außerdem gibt er dem freien Frankreich eine Art Exilregierung, das französische Nationalkomitee (Comité national français), das am 3. Juni 1943 nach seiner Ankunft in Algier in Französisches Komitee für die Nationale Befreiung (Comité français de la Libération nationale - CFLN) umbenannt wird. Ab 1942 beauftragt de Gaulle Jean Moulin damit, den Nationalen Widerstandsrat (Comité national de la Résistance - CNR) in Frankreich zu organisieren, in dem die politischen Parteien, Gewerkschaften und Widerstandsbewegungen aller Richtungen vertreten sein sollen, um den Kampf zu koordinieren. Nach der Landung der Alliierten in der Normandie am 6. Juni 1944, setzt sich de Gaulle bei General Eisenhower dafür ein, dass Paris rasch befreit wird, während eigentlich vorgesehen war, direkt in Richtung Osten vorzudringen, ohne die Hauptstadt zu berühren. Schließlich befreit das 2. DB von General Leclerc Paris am 25. August.

 

Nach Beendigung der Kampfhandlungen beginnt de Gaulle an der Spitze einer provisorischen Regierung mit dem Wiederaufbau des Landes. Mehrere wichtige Maßnahmen werden von ihm getroffen (Gründung der Sozialversicherung). Am 20. Januar 1946 legt er die Macht nieder, da er mit der von den politischen Parteien gespielten Rolle nicht einverstanden ist. Die Konstitution der IV. Republik, die wenig später angenommen wird, enttäuscht ihn zutiefst. Er kritisiert sie wiederholt (Rede von Bayeux, Juni 1946) und wirft ihr die Schwäche der Exekutive vor. Von diesem Moment an begibt sich de Gaulle in die Opposition. 1947 gründet er die Sammlungsbewegung des französischen Volkes (Rassemblement du peuple français - RPF), die trotz zahlreicher Beitritte bei den folgenden Wahlen einen Rückschlag erlebt. Damit beginnt für de Gaulle während mehrerer Jahre die "Durchquerung der Wüste": Er zieht sich nach Colombey-les-Deux-Églises zurück, schreibt seine Memoiren und reist.
Frankreich ist seit 1954 in einen Entkolonialisierungskrieg in Algerien verwickelt. Am 13. Mai 1958 beginnen die algerischen Franzosen in Algier mit einem Aufstand, um ihre Positionen zu stärken. Sie verlangen nach der Machtübernahme durch de Gaulle. René Coty, der Präsident der französischen Republik hat Angst, dass diese Krise in einem Bürgerkrieg mündet und bietet de Gaulle den Posten des Ratspräsidenten an. Den Gaulle will nur unter der Bedingung zurückkehren, dass er das Recht hat, die Institutionen zu ändern. Während des Sommers 1958 legt er den Grundstein zu einer neuen Konstitution. Diese wird bei einem Referendum am 28. September 1958 von fast 80 % der Franzosen gebilligt. Die V. Republik war geboren. Am 21. Dezember 1958 wird Charles de Gaulle in einer indirekten Wahl erneut zum Präsidenten der französischen Republik gewählt.

Die wichtigste Aufgabe liegt damals in Algerien. 1959 schlägt de Gaulle die Selbstbestimmung der Algerier vor und organisiert 1961 ein Referendum zu diesem Thema. 75% der Franzosen sagen "ja" zur Selbstbestimmung Algeriens. Die Befürworter eines französischen Algeriens, unzufrieden mit dieser Entscheidung, versuchen im April 1961 in Algier zu putschen, allerdings ohne Erfolg. Die Verhandlungen zwischen Frankreich und Algerien enden mit den Verträgen von Evian, die am 22. März unterzeichnet und in Frankreich und Algerien per Referendum bestätigt werden. Das Jahr 1962 steht für eine echte Wende, in erster Linie auf institutioneller Ebene: Der General schlägt vor, das Staatsoberhaupt in direkter Wahl durch das Volk zu wählen. Diese Reform ruft eine heftige Opposition auf den Plan, aber das Referendum über die Verfassungsänderung ist mit 60% Jastimmen ein Erfolg. 1965 wird die Präsidentschaftswahl mit dem neuen direkten Wahlrecht zum ersten Mal in die Tat umgesetzt. Mit einem Prozentsatz von 43,7% der Stimmen geht de Gaulle damals gegen Mitterrand in den zweiten Wahlgang und wird dort mit einer Mehrheit von 54,8% der Stimmen zum Präsidenten gewählt. Gegenüber dem Ausland führt de Gaulle eine Politik der nationalen Unabhängigkeit und stattet Frankreich mit eigenen Verteidigungsmitteln aus. Die erste französische Atombombe explodiert im Februar 1960 in Reggane in der Sahara. De Gaulle lehnt die Abhängigkeit von den USA ab und verlässt das integrierte System der NATO 1966, Frankreich bleibt aber weiterhin Mitglied des nordatlantischen Bündnisses. Zur gleichen Zeit tritt Frankreich am 1. Januar 1959 der Europäischen Wirtschaftsgemeinschaft (EWG) bei. Im Mai 1968 durchlebt das Land eine ernste Krise. Studenten organisieren groß angelegte Demonstrationen und werden von den Arbeitern unterstützt, die einen Generalstreik ausrufen. De Gaulle gelingt es die Wogen zu glätten, in dem er den Arbeitern einige Vergünstigungen zuspricht. Am 27. April 1969 unterbreitet er den Franzosen ein Projekt zur Regionalisierung und zur Reform des Senats. Sein Vorschlag wird bei einem Referendum mit 52,4% der Stimmen abgelehnt. Nach dieser Niederlage vertritt er die Ansicht, das Vertrauen der Franzosen verloren zu haben und tritt zurück. De Gaulle zieht sich nach Colombey-les-Deux-Églises zurück, wo er weiter an seinen Memoiren schreibt. Er stirbt am 9. November 1970. Er liegt neben seiner Tochter Anne begraben mit als einziger Grabinschrift "Charles de Gaulle 1890-1970".