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Airborne Museum

Aktie :

Vivez l’expérience des paras du Jour-J

Exposition : « La France combattante - Les Forces Françaises Libres de 1940 à 1945 » > Avril à Novembre 2019
        ►Depuis l'entrée en Guerre de la France en 1939 jusqu'à la signature de l'armistice de mai 1945, suivez le parcours héroïque des soldats français pendant la Seconde Guerre Mondiale. Après la défaite de la Bataille de France en juin 1940, l'Armée Française devient l'Armée d'Armistice. Sous la gouverne du Maréchal Pétain, elle n'en est pas moins sous le contrôle et à la botte du IIIe Reich d'Adolf Hitler.  En réponse à cette humiliation ultime, une autre France, qui ne veut et ne peut se soumettre au joug nazi, se dessine dès lors : il s'agit de la France Libre impulsée depuis Londres par le Général  De Gaulle. De 1940 à 1945, du désert de Lybie jusqu'aux monts escarpés d'Autriche, vous accompagnerez l'extraordinaire destinée de ses Français combattants qu'ils fussent marins, aviateurs, ou bien soldats des forces Françaises libres.

France-combattante-airborne-museum


Consulter l'offre pédagogique en ligne >>>  Airborne museum


 

https://prod-cheminsdememoire.cnmosis.dirisi.defense.gouv.fr/sites/default/files/inline-images/airborne-museum-DP-2019_1.jpg

 

L’Airborne Museum est situé au cœur de Sainte-Mère-Eglise, face au clocher sur lequel le parachutiste John Steele est resté suspendu. A travers une muséographie spectaculaire et réaliste, l’Airborne Museum vous fera vivre le Débarquement aux côtés des parachutistes Américains des 82ème et 101ème Airborne. De la préparation du Jour-J en Angleterre, jusqu’aux combats qui menèrent à la Liberté, vous accompagnerez les troupes aéroportées dans leur chemin vers la Victoire. Découvrez une exceptionnelle collection d’objets historiques, un authentique planeur et un avion C-47 ayant participé aux opérations du Jour-J.

Une extension majeure : Opération Neptune et le Centre de conférence Ronald Reagan.

Dans le bâtiment "Opération Neptune" préparez-vous à vivre les parachutages du 6 juin 1944 ! Embarquez de nuit dans un véritable avion C-47 en Angleterre, puis atterrissez sur la place de Sainte-Mère-Eglise au milieu des combats et prenez part aux opérations qui suivirent !

A  partir de Mai, au sein du centre de conférence Ronald Reagan, découvrez une exposition inédite : « La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944 » ainsi que dans le cinéma un film de 20 minutes qui retrace avec émotion la vie sous l’occupation allemande puis la libération de Sainte-Mère-Église et du Cotentin.

 

 

 

Opération-neptune-airborne-museum

Exposition : 01>09 Juin 2019

Les + :

  • Airborne Reality (depuis avril 2016): Munis de votre Smartphone ou votre tablette, téléchargez gratuitement l’application du musée et créez votre propre visite guidée en fonction de vos centres d’intérêt et de votre temps de visite !

Grâce à la réalité augmentée, soyez les témoins privilégiés du Débarquement et des parachutages sur Sainte-Mère-Eglise!

Téléchargement gratuit au musée, depuis le site web www.airborne-museum.org ou via Google Play et l’App Store. Application en français et anglais, puis, dans les mois à venir, en néerlandais.

  • Exposition (à partir de juillet 2016): La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944. A travers cette exposition, revivez les évènements de cette bataille.

Le 16 Décembre 1944, Hitler lance une offensive de grande envergure à travers les Ardennes belges pour reconquérir le port d’Anvers et repousser les forces alliées.  Ces dernières sont prises par surprise du fait de la soudaineté et de la rapidité de l’attaque. En urgence, le Général Eisenhower décide d’envoyer en renfort des unités qu’il tient en réserve en France. La bataille des Ardennes a été plus qu’éprouvante et meurtrière pour les forces alliées qui devaient faire face à un hiver très rigoureux et un manque criant de ravitaillement en nourriture et en armes. L’armée allemande ne sera mise en échec qu’après l’apparition d’une accalmie salutaire permettant le ravitaillement des troupes au sol et facilitant l’arrivée de l’armée du Général Patton. La bataille des Ardennes ne prendra fin que fin janvier 1945.

Cette exposition inédite mettra également en lumière la voie de la liberté partant de Sainte-Mère-Eglise et arrivant à Bastogne ainsi que le rôle de l’armée Patton au sein de la bataille des Ardennes.

 

Guides de visite sous forme de livrets-jeux disponibles de 6 à 15 ans, téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place +1€/enfant

 

 

Sources : ©Airborne Museum
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Informationen

Anschrift

14 rue Eisenhower 50480
Sainte-Mère-Église
02 33 41 41 35

Gebühr

IndividuelsADULTE : 8.00 €ENFANT (6 à 16 ans) : 5.00 €Famille :2 adultes et 2 enfants payants minimumADULTE : 7.50 €ENFANT : 4.00 €Groupes AdultesVisite Libre : 6.00€ / adulteVisite guidée (1h15) à partir de 20 personnes :7.30€ / adulte- Une gratuité pour 20 payants- Guide et chauffeur gratuits- Groupes enfantsVisite Libre : 4.00€ / enfantVisite guidée (1h15) à partir de 20 enfants : 5.30€ / enfant- Une gratuité pour 10 payants- Guide et chauffeur gratuitsGuide de visite enfants et adolescents :• CP à CE2 (6 à 9 ans)• CM1 à 6ème (9 à 12 ans)• 5ème à 3ème (13 à 15 ans)Téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place : +1€/ enfant

Wöchentliche Öffnungszeiten

Horaires du MuséeDe mai à Août : 9h-19hAvril et septembre : 9h30-18h30Octobre à mars : 10h-18h

Fermetures annuelles

Fermé en décembre et janvier sauf vacances de Noël

Haus der Erinnerung in Maillé

Aktie :

Maillé, 25. August 1944, Drama des Zweiten Weltkriegs


Das pädagogische Angebot einsehen >>>  maison Maillé


Am 25. August 1944, als Paris seine Befreiung feierte, werden 124 Bewohner von Maillé, einer kleinen Gemeinde im Süden der Touraine, von deutschen Soldaten hingemordet.

In den Jahren nach dem Drama wird das Dorf wieder vollständig aufgebaut. Die fehlenden Ruinen tragen in der Folge dazu bei, dass dieses Drama, im Gegensatz zu Oradour-sur-Glane, völlig in Vergessenheit gerät, obwohl es das zweitgrößte Massaker ist, das die Nationalsozialisten auf französischem Boden begangen haben.

Das 2006 eröffnete Haus der Erinnerung möchte dieses Drama mit über 250 Dokumenten und einem Film mit Berichten von Zeitzeugen bekannt machen. Es erinnert an die Geschichte des Dorfes vor, während und nach diesem Massaker. Als pädagogischer und bürgerschaftlicher Raum regt es zum Nachdenken über das Schicksal der Zivilbevölkerung in den zeitgenössischen Konflikten ein. Das ganze Jahr über werden Ausstellungen und Veranstaltungen angeboten.

Am 25. August 2008 erhält dieses Massaker schließlich die nationale Anerkennung durch die feierliche Eröffnung des Hauses der Erinnerung durch den Staatspräsidenten.

facebook.com/MaisonduSouvenirdeMaille

Quellen : ©Maison du Souvenir de Maillé
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Informationen

Anschrift

1 Rue de la paix 37800
Maillé
Tél. : 02 47 65 24 89

Gebühr

Eintrittspreis für einen einzelnen erwachsenen Besucher: 6,40 € Ermäßigter Tarif (Kinder +12 Jahre, Studierende, Lehrkräfte, Partnerschaft mit der SNCF): 3,20 € Kinder bis 12 Jahre gratis Eintrittspreis für erwachsene Besucher in der Gruppe (>10 Pers.) : 5,40 € Pauschalpreis für eine Gruppenführung (10-25 Pers.) : 23,00 € Videoprojektion für Einzelpersonen: 1,90 € Videoprojektion für Gruppen (10-40 Pers.) : 6,40 € Pauschalpreis für Schülergruppen (< 35 Schüler, gegen Voranmeldung): 59,00 €

Wöchentliche Öffnungszeiten

Montag bis Samstag von 10:30 bis 13:00 und von 14:00 bis 18:00 Uhr. Sonntag von 14:00 bis 18:00 Uhr

Fermetures annuelles

1. Januar und 25 Dezember. Wochenenden von Dezember bis Ende März. Tourismusbüro Azay Chinon Val de Loire - Bureau de Sainte-Maure-de-Touraine - Les Passerelles - 77 avenue du Général-de-Gaulle - 37800 Saint-Maure-de-Touraine - Tel.: 02 47 65 66 20

Batterien von Mont Canisy

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Visite gratuite assurée par les guides de l'association les Amis du Mont Canisy. Photo Michel Dehaye

Das Naturschutzgebiet Mont Canisy liegt 110 Meter über dem Meeresspiegel.

 

Das in Bénerville-sur-mer (Calvados) liegende Naturschutzgebiet Mont Canisy liegt 110 Meter über dem Meeresspiegel.
 

Im Laufe der Jahrhunderte wurde die strategische Position im Süden der Seine-Bucht immer gerne genutzt: Turm an Turm, 1793 aufgeteilt in verschiedene Lehensgebiete, Verteidigungsposten für U-Boot-Abwehr von 1917 bis 1918, Küstenbatterie zwischen 1935 und 1940, wertvollster Artillerie-Stützpunkt des Atlantikwalls und dann umfunktioniert zum Küstenstützpunkt der Artillerie: von 1935 bis 1940 errichtete die nationale Marine zwei Batterien, die zur Sicherung des Hafens von Le Havre dienten; von 1942 bis 1944 wurde sie zum wichtigen Glied im Atlantikwall, die die Angriffe der Alliierten abwehren sollte.

 

Einige Überbleibsel aus diesen beiden Epochen sind immer noch erhalten (Kasematten, Keller, Festungsanlagen mit 260 m langen Gängen, die eine Garnison unterirdisch beherbergen konnten).

 

 

Batterien von Mont Canisy

Tel: +33 02 31 87 91 14

Öffnungszeiten: samstags 14.30 Uhr bis 17.30 Uhr

Batterien von Mont Canisy

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Informationen

Anschrift

Rue du Canisy 14910
Bénerville-sur-mer
02 31 87 91 14

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accès libre

Küstenbatterie von Longues-sur-Mer

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Bunker du Mur de l'Atlantique à Longues-sur-Mer. Source : GNU Free Documentation License

Teil des Atlantikwalls, der deutschen Verteidigungsanlage, 8 km nördlich von Bayeux.

Als Teil des Atlantikwalls, der deutschen Verteidigungsanlage, liegt die Küstenbatterie von Longues-sur-Mer 8 km nördlich von Bayeux, in der frz. Provinz Calvados. Westlich von Arromanches-les-Bains in der Normandie, dominiert Longues-sur-Mer den Ozean von einer 65 Meter hohen Klippe. Es ist eine ideale Position, auf der die Deutschen eine Küstenbatterie mit vier Geschützen von Kaliber 15 cm installieren. Die Batterie zählt zu den wenigen noch komplett erhaltenen Resten des Atlantikwalls.

Am 6. Juni 1944, um 5.30 Uhr, bombardieren mehrere Kreuzer und ein Panzerkreuzer die Stellung. Aber als die Flotte der Alliierten heranrückt, eröffnet die Küstenbatterie ebenfalls das Feuer. Die HMS Ajax erwidert das Feuer auf See aus einem Kilometer Entfernung. Die deutschen Geschütze setzen mit dem Beschuss einen Moment aus und nehmen ihn dann wieder auf. Das letzte Geschütz fällt um 17.00 Uhr aus. Die Übergabe der Küstenbatterie von Longues-sur-Mer mit 184 Männern der Garnison erfolgt an die Briten am nächsten Tag. Vier 15 cm Geschütze von 19,5 km Reichweite befanden sich in dieser Batterie. Ein Feuerleitstand, der am 6. Juni 1944 gerade fertiggestellt war, lag am Rand des Felsens.
Küstenbatterie von Longues-sur-Mer 14400 Longues-sur-Mer Tel. : +33 (0) 231 06 06 45 Fax : +33 (0) 231 06 01 66 Zufahrt über die D514 Ganzjährig geöffnet Führungen von Ostern bis September

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Informationen

Anschrift

14400
Longues-sur-Mer
02 31 06 06 45

Gebühr

Plein tarif: 3 €

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 10h à 18h

Musée de la Résistance à Châteaubriant

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Vue du site de la Sablière. Source : MINDEF/SGA/DMPA - JP Le Padellec

La Sablière fut le témoin d’un évènement de la Seconde Guerre mondiale. Le 22 octobre 1941, 27 otages furent fusillés par les Allemands en représailles de la mort du Feldkommandant de Nantes (Loire-Inférieure) Karl Hotz, tué deux jours plus tôt par de jeunes résistants français. Suite à cette date, La Sablière se fait appeler la « Carrière des fusillés » et des rassemblements rendant hommage aux fusillés de Châteaubriant s’organisent.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Châteaubriant


Le 30 septembre 1945, « L’Amicale Des Anciens Internés Politiques de Châteaubriant-Voves » est créée. Dès lors, cette Association a pour but de maintenir le souvenir de ces hommes, objectif intégré dans la démarche du tourisme de mémoire.

Cette ambition passe par l’entretien du mémorial national érigé à Châteaubriant et par l’aménagement de la Carrière des fusillés. Le site fut classé en 1993.

Le monument inauguré le 22 octobre 1950 fut réalisé par Antoine ROHAL, sculpteur.
Depuis 1951, les alvéoles devant le monument contiennent un peu de terre des hauts lieux de la Résistance. Tout autour de la carriére sont installées en 1986 les stéles portant photographie et les indications personnelles de chaque fusillé.

Elle passe également par l’organisation de commémorations et de conférences. Actuellement, le titre est « Amicale de Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt ».

Pour transmettre cette histoire au public, le Musée de la Résistance à Châteaubriant,implanté dans la ferme qui jouxtait la carrière où ont été fusillés 27 hommes dont Guy Môquet, est inauguré en 2001 par l’Amicale. En 2007, l’Amicale délègue la gestion et l’animation du Musée à l’« Association des Amis du Musée de la Résistance de Châteaubriant ». Des expositions permettent de mieux comprendre la vie des internés et la Résistance dans le pays de Châteaubriant. Chaque année, une exposition en lien avec le thème du Concours National de la résistance et de la Déportation.

L’Office de Tourisme Intercommunal du Castelbriantais propose des visites guidées payantes de la Carrière et du Musée. Le Musée peut également être visité de manière libre et gratuite. Des documents sont mis à la disposition du public.

 

 

 

Sources : ©Musée de la Résistance à Châteaubriant
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Informationen

Anschrift

La Sablière, Carrière des Fusillés 44110
Châteaubriant
02 40 28 60 36 (ou office de tourisme : 02 40 28 20 90)

Gebühr

Gratuité (sauf office de tourisme)

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mercredi et samedi de 14H à 17H et sur rendez‐vous pour les visites de groupes en téléphonant

Fermetures annuelles

Le Musée est fermé au public du 23 décembre 2015 au mardi 12 janvier 2016 inclus, la réouverture s’effectue le mercredi 13 janvier 2016 à 14h.Office de tourisme de référence - 29 Place Charles de Gaulle ‐ BP 203 ‐ 44146 CHATEAUBRIANT Cedex - Tel. : 02 40 28 20 90

Denkmal Cascade du Bois de Boulogne

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Denkmal Cascade du Bois de Boulogne. Source : GNU Free Documentation License

Am 16. August 1944 massakrieren die Deutschen 35 junge Mitglieder der Francs Tireurs Partisans, die für Freiheit und Hoffnung kämpfen.

Am 16. August 1944 werden 35 junge Männer im Alter von 18 bis 22 Jahren hinter dem Teich des Réservoirs erschossen, nachdem sie in eine Falle geraten, die zu ihrer Verhaftung führt. Sie gehören drei Organisationen der Résistance an und sind 20 Francs Tireurs (Freischärler) und Partisanen aus der Stadt Chelles, drei Mitglieder der Zivil- und Militärorganisation der Jugend und 12 Jeunes Chrétiens Combattants, die sich an der Befreiung von Paris (25.-26. August) beteiligen wollen. Sie akzeptieren eine Mission für einen Waffentransport, die ihnen ein vermeintlicher Agent des Intelligence Service vorgeschlägt und erscheinen unbewaffnet am vereinbarten Treffpunkt, der Place des Ternes. Kaum versammelt, werden sie von der Gestapo umzingelt und zu deren Hauptquartier abgeführt, wo sie fast 22 Stunden festgehalten und verhört werden, bevor man sie zur Cascade bringt und dort erschießt. Jedes Jahr wird am Schauplatz des Dramas, wo die alten Eichen "in ihrem Herzen die Kugeln bewahren, die diese jungen Männer töteten", an dieses tragische Ereignis erinnert.

Der Bois de Boulogne wird während des Zweiten Weltkrieges mehrmals bombardiert, doch am tragischsten verläuft der 4. April 1943, als von den 38 Bomben, die über dem 16. Arrondissement niedergehen 6 auf die Pferderennbahn Longchamp fallen, die gerade den Tag ihrer Wiedereröffnung feiert und wo unzählige Passanten zu Tode kommen. Als Erinnerung an dieses tragische Ereignis pflanzte man in den Bombenkratern Nadelbäume, doch ein Sturm im Dezember 1999 entwurzelte viele davon.
Cascade du Bois de Boulogne Bois de Boulogne Carrefour de Longchamp 75016 Paris

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Informationen

Anschrift

Carrefour de Longchamp 75016
Paris

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accessible toute l'année

Die Kasematte von der Pont Saint Louis - Brücke

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Petit bunker près de l'ancienne douane supérieur. Photo : Tangopaso

Die Kasematte befindet sich auf einem kleinen Platz gegenüber dem französischen Zoll...

Die Kasematte befindet sich auf einem kleinen Platz gegenüber dem französischen Zollgebäude an der linken Seite der Nationalstraße 5, kaum 7 Meter von der Grenze entfernt. Sie besteht aus der Kasematte selbst, einer Panzersperre und einer ständigen Minenanlage (DMP) 20 Meter weiter hinten an der Garavan - Kreuzung, gegenüber der heutigen französischen Polizeistation. Sie enthält auch eine Panzersperre mit einem Minenfeld, d.h. zwei Reihen mit 6 Löchern für Panzerabwehrgranaten Ollivier (105 mm Granaten, überragt von einem Pflock aus Stahl). Die Panzersperre erhält ihre Festigkeit durch Streben, und das Hindernis wird durch Stacheldraht vervollständigt. Ursprünglich führte ein Schützengraben zu der zweiflügeligen Tür mit einem Sockel für ein Maschinengewehr FM 24/29, das für die Verteidigung des Zugangsgrabens aus der Nähe benutzt wurde. Aus dieser Stellung konnten Granaten oder Signalraketen abgefeuert werden, um Artilleriefeuer anzufordern (grüne Rakete) bzw. gegebenenfalls den Rückzug der Besatzung (rote Rakete). Bau der Festung Das Befestigungswerk wurde von einer privaten Firma zum Preis von 0,34 Millionen Francs der damaligen Zeit gebaut. Zum Vergleich, die Festung Cap Martin hat 17 Millionen Francs gekostet. Der Vorentwurf datiert vom 1. Oktober 1930, aber nach der Planung vom 14. März 1940 hätten weitere Räume dazu gekauft werden können. Der Rohbau ist im August 1932 fertig gestellt, nach vielen Schwierigkeiten, insbesondere durch Probleme mit dem Trichter für das 37 mm Geschütz. 1934 erhält die Festung ihre endgültige Bewaffnung. Die Kasematte ist endlich fertig gestellt, obwohl General Besson, der das Werk im April 1938 besuchte, Zweifel äußerte: "Dieser Bunker wird keine 5 Minuten halten... ".

Beschreibung der Festung Man tritt über einen engen, etwa 12 Meter langen, 0,80 Meter breiten und 1,70 Meter hohen Flur ein, der in den Schießraum führt. Gegenüber dem Eingang befindet sich ein kleiner Raum von 2 mal 2 Metern, in dem das Lüftungssystem, ein Filter und ein Steuerungskasten untergebracht sind, der ebenfalls der Lüftung dient. Außen sind die Antenne für das OTCF - Funkgerät und das Kabel für das Telefon angebracht, das die Festung mit dem Cap Martin verbindet. Der Feuerraum enthält eine Schießscharte für das FM 24/29 und eine Schießscharte, aus der abwechselnd die Panzerabwehrkanone von 37 mm, Modell 1934, und die Reibel - Maschinengewehre schossen. Wegen der Nähe der Grenze und des reduzierten Schussfeldes (6 Meter breit und 10 Meter lang) blieb das Geschütz immer in der Scharte, und die Verbindung mit den Maschinengewehren ist nie zum Einsatz gekommen. Ein Rohr für einen Granatwerfer befindet sich rechts von der Schießscharte für das Panzerabwehrgeschütz.
Die Besatzung der Kasematte wird aus dem 96. Alpenfestungsbataillon gebildet und besteht aus dem Unteroffizier Bourgoin, dem Gefreiten Lucien Robert, den Alpenjägern Gaston Chazarin, Marcel Guzzi, Nicolas Petrio, André Garon, Paul Lieutaud, seit dem 17. Juni 1940 unter der Führung von Leutnant Charles Gros. Die Kasematte und ihre Besatzung wurden von General René Olry im Namen der Armee ehrenvoll erwähnt.
La casemate du Pont Saint Louis Esplanade Jojo Arnaldi 06500 Menton Tel. : 06 64 26 34 61 ou 06 69 48 69 57 Wegbeschreibung : Bus Linien 3 und 8 Bahnhof Menton Geöffnet das ganze Jahr über auf Anmeldung, im Juni und September sonnabends auf Anmeldung und sonntags von 9h bis 12h und von 14h bis 18h Preise Gruppen (mehr als 10 Personen) : 1,50€ Erwachsene : 1€ Kinder (unter 10 Jahren) : 0,50€ Eintritt frei (auf Vorlage des Ausweises) für Polizei, Gendarmerie, Zoll, ehemalige Frontsoldaten, Militär

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Informationen

Anschrift

Esplanade Jojo Arnaldi 6500
Menton
06 64 26 34 61 06 69 48 69 57

Gebühr

Groupe (+ de 10 personne): 1,50 € Adultes: 1 € Enfants (- de 10 ans): 0,50 € Gratuit : Policiers, gendarmes, douaniers, anciens combattants, militaires

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ouvert toute l'année sur RDV. De juin à Septembre, ouvert le samedi sur RDV et le dimanche de 9h à 12h et de 14h à 18h

Freilichtmuseum in Saint-Nazaire

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Freilichtmuseum in Saint-Nazaire. Quelle: © Saint-Nazaire Tourisme & Patrimoine

 

Das Freilichtmuseum, eine Reise durch die Geschichte der Stadt.

 

Das Freilichtmuseum von Saint-Nazaire befindet sich gegenüber der Schiffswerft. Es zeigt eine Dauerausstellung sowie Sonderausstellungen und Animationen zum Gedenken verschiedener Themen rund um die Marine oder die Geschichte von Saint-Nazaire.
 
 
Der Panzerkreuzer Jean Bart
 
Am 12. Dezember 1936 beginnen die Arbeiten, um den Panzerkreuzer Jean Bart ins Trockendock zu bringen. Hierbei wird eine neue Bauweise (anschließend als Jean Bart Form bekannt) entwickelt und in den Werkstätten und der Werft Loire in Saint-Nazaire umgesetzt. Im Mai 1940 zerschlagen die deutschen Truppen die französische Front. Obwohl noch nicht ausreichend vorbereitet, muss die am 19. Juni 1940 festgelegte Bauweise des Panzerkreuzers unter anhaltendem Beschuss von drei deutschen Jagdflugzeugen hastig fertiggestellt werden. Unter dem Kommando von Schiffsleutnant Ronarc'h und seinen 375 Marinesoldaten und Offizieren, 159 zivilen Arbeitern und Ingenieuren aus verschiedenen Werften Saint-Nazaires, erreicht der Panzerkreuzer Jean Bart am 22. Juni 1940 Casablanca (Marokko). Am 25. August 1945 kehrt er wieder nach Frankreich zurück, wo er dann bis 1950 in Brest verbleibt. Während der Sueskrise im Jahr 1956 ist er abermals im Einsatz, bevor 1970 die Waffen entfernt und der Panzerkreuzer verschrottet wird.

 

Hauptmerkmale der ersten unfertigen Schiffsversion im Jahr 1936:
Länge: 248 m
Breite: 33,08 m. 
Tiefgang: 9,17 m
Bewegung: 38.450 Tonnen
Durchschnittliche Geschwindigkeit: 32 Knoten
Triebkraft: 150.000 PS
Anzahl Propellerwellen: 4
 
 
Bewaffnung:
8 380-mm-Kanonen mit 4 Geschütztürmen
- 15 152-mm-Kanonen mit 3 Geschütztürmen
- 12 100-mm-Kanonen mit 6 doppelten Geschütztürmen
- 12 37-mm-Kanonen mit 6 doppelten Lafetten
- 24 13,2-mm-Maschinengewehre mit 6 vierfachen Lafetten
- 3 Wasserflugzeuge Loire-Nieuport und 2 Katapulten.
Erbauer: Ateliers et Chantier de la Loire et Chantier de Penhoët Saint-Nazaire
Reeder: Marine Nationale
 
 
Der Krieg von 1940 bis 1945
 
Die Besetzung des Hafens
Der Hafen von Saint-Nazaire nimmt während des Zweiten Weltkriegs eine äußerst wichtige strategische Rolle ein. Am 12. Juni 1940 wird die Front von den Truppen der Wehrmacht zerschlagen. 40.000 britische, polnische und tschechische Soldaten flüchten in den Hafen von Saint-Nazaire, um von dort aus nach Großbritannien einzuschiffen. Am 17. Juni kommen 3.000 Flüchtlinge, sowohl Soldaten als auch Zivilisten an Bord des Passagierschiffes Lancastria ums Leben. Aus Saint-Nazaire kommend, lautete ihr Ziel Loire. Am 19 Juni verlässt der Panzerkreuzer Jean Bart, zu diesem Zeitpunkt in Bau in Saint-Nazaire, den Hafen, um sich vor den deutschen Truppen in Sicherheit zu bringen, die anschließend am 21. Juni in die Stadt einmarschierten. Im Januar 1941 beginnt die Besatzungsmacht mit der Errichtung einer U-Boot-Basis sowie mehreren Bunkern entlang der Küste und der Hafeneinfahrt. Dieser als Verteidigungsanlage dienende Hafen erleidet am 27. März 1942 einen heftigen Überraschungsangriff durch ein britisches Sonderkommando, der so genannte Chariot-Überfall. Dem britischen Kommando gelingt es, die Hafenanlagen auszuschalten und mit einer gelungenen Sprengung des Zerstörers Campbeltown eine wichtige Schleuse, die so genannte Joubert, zwischen die beiden Hafenbecken zu treiben.
 
 
Campbeltown
Länge: 101 m
Breite: 9,90 m
Tiefgang: 3,30 m
Maximale Geschwindigkeit : 35 Knoten
 
Die Campbeltown war ein ehemaliger Zerstörer der USA mit Namen Buchanan. Er wurde 1920 in Betrieb genommen und dann im September 1940 gemeinsam mit weiteren 49 Einheiten an Großbritannien abgegeben. Im Austausch dafür erhielten die USA die Zusage, die britischen Stützpunkte in Neufundland und auf den Westindischen Inseln nutzen zu dürfen. Nachdem die Campbeltown für die Operation Chariot ausgewählt wurde, wurde sie in die Schiffswerft von Portsmouth verlagert, wo entsprechende Änderungen vorgenommen werden sollten. Ziel war nicht nur die Ausstattung mit fünf Tonnen Sprengstoff, eingelassen in Zement, sondern auch die Änderung der beachtenswerten Silhouette, ihrer auffallenden spitz zulaufenden Form und den vier Kaminen. Die hinteren Kamine wurden entfernt, während die vorderen die Form einer Pfeife erhielten. Auf diese Weise glichen sie eher einem deutschen Torpedoschiff des Typs „Möve-Class“. Das Schiff bekommt einen neuen Anstrich in den üblichen Farben der Schiffe, die auf der Manche verkehrten. Dies sollte sicherstellen, dass das Schiff sich möglichst unauffällig bewegen konnte. Binnen drei Wochen war das Bélier-Schiff für die Operation Chariot bereit.
 
 
 
Die Bombardierung der Stadt und des Hafens
 
Der deutsche U-Boot-Stützpunkt in Saint-Nazaire stellt für die alliierten Kräfte ein strategisches Ziel dar. Während der über 50 Bombardierungen der Stadt zählen die Bewohner zu den ersten Opfern. Insgesamt sterben 479 Menschen, mehrere hundert werden verletzt und 85% der Stadt wird zerstört. Bereits seit Beginn der Besetzung wird Saint-Nazaire von der britischen Luftwaffe bombardiert. 1943 werden sie abgelöst durch die amerikanischen Flieger „Flying Fortress“, die hunderte mit Sprengsätzen bestückte Bomben und Brandbomben abwerfen. Obwohl es aussichtslos schien, die U-Boot-Basis zu zerstören, entscheiden sich die Alliierten 1913 die Stadt dem Erdboden gleich zu machen. Durch die Zerstörung der Infrastruktur und die Bombardierung aus großer Höhe sollte das Leben sowie die Nutzung des Hafens unmöglich gemacht werden. Nach der Bombardierung mit Brandbomben am 28. Februar 1943 liegt nahezu die Hälfte der Stadt in Schutt und Asche. Weitere Bombardierungen folgen, unter anderem eine am 29. Mai 1943, bei der bei einem einzigen Angriff auf Saint-Nazaire 170 Bomber zum Einsatz kommen. Am 1. März 1943 wird die Evakuierung aller Einwohner organisiert. Die Bewohner von Saint-Nazaire finden eine neue Heimat im benachbarten Brière und in zahlreichen Gemeinden der Halbinsel Guérande.
 
 
 
Die Befreiung des Hafens
 
Im Juni 1944 beginnt die Befreiung des französischen Gebiets, ausgenommen des Bereichs rund um die U-Boot-Stützpunkte, die von den Deutschen verteidigt werden. Zwischen September 1944 und Mai 1945 ist das Gebiet rund um Saint-Nazaire von alliierten amerikanischen Truppen sowie französischen Widerstandskämpfern umzingelt. Der Kreis umfasst 30 Kilometer im Norden und reicht im Süden bis zur Mündung der Loire. In der Mitte dieser Festung von Saint-Nazaire befindet sich die U-Boot-Basis. Am 10. Mai 1945 stimmt der deutsche General Junck der Kapitulation der Basis in Saint-Nazaire und der dort stationierten 28.000 Soldaten zu. Am 11. Mai marschieren die alliierten Truppen in die zerstörte Stadt ein. Sie übernehmen die U-Boot-Basis mitsamt dem U-Boot des Typs U-510 IX, einen Öltanker, ein Sanitätsschiff, zwei Minenleger, ein Dutzend Minensuchboote, ungefähr 10 Schlepper sowie ca. 15 Patrouillenboote. Die U-510 wird unter dem Namen „Commandant Bouan“ in die nationale französische Marine aufgenommen. Der Generalstab der Alliierten richtet sein Hauptquartier an Bord des deutschen Sanitätsschiffes, der München, ein. Am 23. Juli besucht General de Gaulle, Leiter der vorübergehenden Regierung die in Trümmern liegende Stadt und die Schiffswerften. Ins goldene Buch der Stadt schreibt er nur einen einzigen, einfachen Satz: „Für Saint-Nazaire, die Beispiel und Hoffnung zugleich ist.“
 
 
 
Aufruf an die Bevölkerung
 
Offizielle deutsche Autoritäten behaupten, dass die „Zivilbevölkerung Frankreichs am Vorabend Kriegshandlungen gegen die Besatzungsarmee geführt haben. Wir können nicht glauben, dass dies geschehen ist. Wir fühlen uns verpflichtet, unsere Mitbürger unverzüglich über die Geschehnisse zu informieren: Die Gesamtbevölkerung wird die Verantwortung für dieses erneute Attentat übernehmen müssen. Wenn die Verantwortlichen auf dem Stützpunkt nicht gefunden werden, wird ein Zehntel der Einwohner des Viertels, in dem sich das Attentat ereignete, ohne Verurteilung erschossen. Des Weiteren muss mit weiteren Maßnahmen für die gesamte Bevölkerung gerechnet werden. Jeglicher Schlag gegen die deutsche Armee wird mit einem Schlag gegen die französische Armee vergolten. Wir rufen die Bevölkerung erneut auf, Ruhe zu bewahren und die Menschenwürde zu achten. Saint-Nazaire, am 31. März 1942, P. TOSCER, Bürgermeister. GEORGELIN, GARREC, GAUFFRIAU, GRIMAUD, Stellvertreter.
 
 
 
Dreieckshandel
 
Die Loire-Mündung war schon immer eine Drehachse für die Handelsschiffe. Bereits ab dem 17. Jahrhundert bis Anfang 19. Jahrhundert waren zahlreiche Sklavenschiffe in beiden Richtungen unterwegs. Die Reedereien in Nantes bestückten die Sklavenschiffe mit Waffen und Besatzungsmitgliedern, die auch teilweise von der Halbinsel Guérande rekrutiert werden.  Die Schiffe wurden zunächst mit hergestellten Produkten und wertlosen Gütern beladen, die dann als Zahlungsmittel zum Tausch gegen Sklaven aus der Westküste von Afrika (Senegal, Golf von Guinea) eingesetzt wurden. Diese bis auf die Antillen verschickten Sklaven wurden dann wiederum gegen tropische Waren (Holz, Zucker, Kaffee usw.) getauscht, die dann wieder nach Nantes zurück transportiert wurden. Als erster Hafen für französische Sklavenschiffe wurden in Nantes 450.000 Afrikaner nach Mittelamerika verschifft, was 40% der Seetransporte ausmachte.
 
 
Die Abschaffung der Sklaverei
 
Während der französischen Revolution beschließt die gesetzgebende Versammlung am 26. August 1789 die „Erklärung der Menschen- und Bürgerrechte“, die als Fundament für die Philosophie und Rechtssprechung der Republik Frankreich gilt. Die wesentlichen Neuerungen dieses Textes werden im 1. Absatz zusammengefasst: „Jeder Mensch wird frei und mit denselben Rechten geboren“. Die Durchsetzung dieses Rechts gestaltete sich schwierig, da die in den französischen Kolonien (Antillen) befindlichen Sklaven nicht als echte Einwohner anerkannt wurden. Trotz der Befreiung der Sklaven in den Kolonien im Jahr 1794, wird der Dreieckshandel bis 1848 fortgesetzt. Die endgültige Abschaffung erfolgt erst nach Einführung der Zweiten Republik Frankreichs.
 
 
Die Mayo-Skulptur
 
Ab 1863 war es möglich, die Mündung zwischen Saint-Nazaire und dem Südufer des Mindin per Fährschiff zu überqueren. Die Anzahl der Verbindungen zwischen den beiden Flüssen nehmen ständig zu, es fahren bald Fährschiffe für Passagiere, Tiere und Fahrzeuge. 1959 entstanden die ersten Verbindungen per Amphidrom-Schiffen, die äußerst wichtig waren für die Beförderung von Motorfahrzeugen. Diese Schiffe wurden 1975 im Hafen von Saint-Nazaire in Betrieb genommen. Im Rahmen der Gedenkfeier anlässlich des 200. Jahrestags der französischen Revolution im Jahr 1989, fertigt der Bildhauer Jean-Claude Mayo aus Reunion eine Skulptur an. Sie symbolisiert die Herzöge des Albe-Geschlechts an der ehemaligen Anlegestelle der Fähre am Mindin. Sein Werk besteht aus verschiedenen aus Holz gefertigten Teilen, die den Rumpf eines Sklavenschiffes erahnen lassen. Drei Bronzefiguren zeigen die verschiedenen Stufen der Abschaffung der Sklaverei:
 
Freilichtmuseum
Avenue de Saint-Hubert 44600 Saint-Nazaire
Tel.: +33 02 51 10 03 03
Fax: +33 02 51 10 12 03
E-Mail: ecomusee@mairie-saintnazaire.fr
 
 
Quelle: MINDEF/SGA/DMPA
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Informationen

Anschrift

Avenue de Saint-Hubert 44600
Saint-Nazaire
02 51 10 03 03

Gebühr

Eintrittspreise: Preis Erwachsene: 3 € Kinder (von 4 – 17 Jahren): 2 € Kostenpflichtiger Besuch vom 1. April bis 30. September, während des restlichen Jahres ist der Eintritt kostenlos.

Neuf-Brisach

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Vue aérienne de Neuf-Brisach. Source : ©Denis DONTENVILLE. http://www.fotocommunity.de

Neuf-Brisach (Neubreisach) entstand 1697 nach dem Verlust von Vieux-Brisach (Breisach) auf der anderen Rheinseite und ist die einzige Anlage des 3. Systems des Festungsbauers Vauban, die wunderbar erhalten ist.

Nach dem Friedensvertrag von Rijswijk muss Frankreich 1697 die rechtsrheinischen Plätze zurückgeben, darunter Breisach. Damit verliert Frankreich den deutschen Brückenkopf und lässt das mittlere Elsass ohne Verteidigung. Der vor Ort bestellte Festungsarchitekt Vauban setzt ab 1698 drei Entwürfe auf, unter denen Ludwig XIV am 6. September 1689 den ausgereiftesten auswählt. Der erfahrene Architekt stützt sich weitestgehend auf den Plan der Festungsanlage von Landau und entwirft einen Platz mit doppelter Hauptumfassung, welche die Standhaftigkeit des Platzes verlängern und ihre Verletzbarkeit durch Abpraller, eine Schusstechnik, die Vauban selbst entwickelt hat, mindern soll.

Der perfekt achteckige Platz hat einen inneren Wall, den sogenannten "Sicherheitswall", dessen Kurtinen (Umwallungsmauern) von bastionierten Türmen flankiert werden, und einen äußeren Schutzwall, den sogenannten "Kampfwall". Dieser letztere weist zwei verschiedene Verteidigungsniveaus auf. Das erste besteht aus Kontergarden (Außenwerke), die als Artillerieplattformen dienen und die bastionierten Türme maskieren und aus Tenailles (Grabenscheren), die die Kurtinen schützen. Das zweite Niveau bilden die vor den Tenailles angeordneten Demi-Lunes (Außenwerke), von denen lediglich nur die zu den Toren weisenden ein Réduit (Rückzugsstellung) haben und einen bedeckten Weg, der den gesamten Platz umgibt. Innerhalb der Umfassung ist Neuf-Brisach in 48 Quadrate eingeteilt. In der Mitte liegt der Paradeplatz. Neuf-Brisach wird aus dem Nichts auf dem linken Rheinufer errichtet, in nur geringer Entfernung zur alten Stadt Breisach. Die 1700 aufgenommenen Bauarbeiten werden in einer Rekordzeit durchgeführt, denn bereits im März 1702 kann der Platz in den Verteidigungszustand versetzt werden.
Die Rückgabe von Breisach an Frankreich bedeutet 1703 für Neuf-Brisach zunächst einmal das Ende. Wegen fehlender Kredite wird das im Vauban-Plan vorgesehene Kronwerk nicht mehr gebaut. Der erste Stein für die Ludwigskirche wird nicht vor 1731 gelegt und der Bau des Hotels des Gouverneurs wird erst 1772 in Angriff genommen. Bis Mitte des 19. Jh. werden lediglich geringfügige Modernisierungsarbeiten ausgeführt, um kleinere Mängel zu beheben, in erster Linie wegen der fehlenden Kasematten. Nach dem Bau des Rhein-Rhonekanals längs des Glacis im Osten ist es wichtig, die Verteidigung an die neuen Gegebenheiten anzupassen. Dafür wird eine Lünette angebaut, die eine Schleuse überdeckt. Nach einigen Alarmsituationen 1814 und 1815 kennt Neuf-Brisach ihre erste Belagerung erst 1870: Die am 6. Oktober 1870 umzingelte Festung ist vom 2. bis 10. November schwerem Artilleriebeschuss ausgesetzt und ergibt sich am 11. November.
Die militärische Bestimmung von Neuf-Brisach endet damit jedoch nicht. Die Deutschen nehmen an den Wällen und in der städtischen Struktur des antiken befestigten Platzes tiefgreifende Veränderungen vor. Sie machen aus ihm das zentrale Element des Brückenkopfes von Neuf-Brisach, der, zusammen mit vielen hochmodernen Werken, einen wichtigen Passierpunkt über den Rhein schützen soll. Im Juni 1940 wird die Rheinüberquerung der Deutschen im Sektor von Neuf-Brisach von heftigen Kämpfen markiert, bevor die Stadt vorübergehend zum größten Gefangenenlager Frankreichs wird. Gegen Ende des Zweiten Weltkriegs muss Neuf-Brisach erneut schwere Bombardierungen, diesmal von amerikanischer Seite, über sich ergehen lassen.
Office du tourisme (Fremdenverkehrsamt) Point I Neuf-Brisach 6, place d'Armes 68600 Neuf-Brisach Tel.: 03 89 72 56 66 Fax: 03 89 72 91 73 E-mail: info@tourisme-rhin.com

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68600
Neuf-Brisach
Tél. 03 89 72 56 66Fax : 03 89 72 91 73

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Gedenksäule zu Ehren der vier Generäle

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Gedenksäule zu Ehren der vier Generäle. Quelle: SGA/DMPA - JP le Padellec

Gedenksäule zu Ehren von vier Kriegshelden, Alphonse Juin, Jean de Lattre de Tassigny, Marie-Pierre Koenig und Philippe Leclerc de Hauteclocque.

Die im ersten Jahrhundert unseres Zeitalters errichtete römische Stadt Laon war für die Kontrolle über die Nordost-Region von großer strategischer Bedeutung. Die Stadt ist als Durchgangsort in Richtung Paris bekannt und während den Kriegsjahren 1870, 1914-1918 und 1939-1945 diente sie den Truppen als wichtige Passage. Die Gedenksäule zu Ehren der vier Generäle wurde am 18. Juni 2006 auf dem Platz der Gedenkstätte zu Ehren der Toten durch Frau Ratte, Präfektin von Aisne eingeweiht. Sie steht gegenüber der Gedenkstätte zu Ehren der Toten, die in den beiden Weltkriegen bei Operationen im Ausland und insbesondere in Nordafrika gefallen sind. 

Am Gedenktag der Befreiung der Stadt von den deutschen Truppen ziert die Säule ein Bild mit dem Lothringer Kreuz, umrahmt von Informations- und Gedenktafeln für vier französische Generäle, die sich auszeichneten durch ihren Widerstand, die Befreiung ihrer Nation und deren Übergang in ein neues Zeitalter: Alphonse Juin (1888-1967), Jean de Lattre de Tassigny (1887-1952), Marie-Pierre Koenig (1898-1970) und Philippe Leclerc de Hauteclocque (1902-1947).

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Rue du Mont de Vaux 2000
Laon
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