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Musée de l'Artillerie

Aktie :

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Informationen

Anschrift

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Gebühr

entrée gratuite

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie

Aktie :

Résultat de la volonté de résistants de transmettre aux jeunes générations l’histoire de la Résistance et de la Déportation de Picardie et les idéaux pour lesquels les résistants s’étaient battus, un musée a été inauguré en 1986 dans l’Aisne à Tergnier.

L’initiative de la création revient à M.Etienne DROMAS, capitaine FFI du groupement B et président des Combattants Volontaires de la Résistance.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Picardie


La Picardie est une région fortement touchée par les deux guerres mondiales. 

Région stratégique, lieu de passage entre le nord de l'Europe et Paris, la Picardie se trouve partagée entre la zone interdite et la zone occupée. La présence de l'occupant est durement ressentie. Des hommes et des femmes vont peu à peu réagir. "L'armée de l'ombre" se construit. 

Le département de l'Aisne a sur son territoire un musée consacré à l'histoire des résistants et des déportés. Un musée voulu par des résistants dont Etienne Dromas, qui a trouvé sa place dans la commune associée de Tergnier, Fargniers. 

Vous êtes invités à découvrir ce musée unique en Picardie, implanté sur une place classée monument historique.

L’histoire du lieu

Après avoir trouvé à Tergnier un bâtiment pouvant l’accueillir, le conseil général de l’Aisne vote la somme nécessaire à sa rénovation. L’office départemental de tourisme, avec à sa tête Maurice Bruaux, apporte son aide et son concours. Le premier aménagement se fait grâce à la mobilisation des résistants qui assurent son fonctionnement pendant de nombreuses années.

 

À voir

Le premier espace permet de découvrir et de comprendre l’histoire de la période allant de l’arrivée d’Hitler au pouvoir jusqu’à l’intervention du maréchal Pétain le 17 juin 1940, suivent des espaces consacrés à l’appel du 18 juin, la naissance de la Résistance et son action, la vie quotidienne sous l’Occupation, la répression et la Déportation. Un espace est également consacré au bureau des opérations aériennes et aux parachutages, aux forces françaises libres dans le monde, au Débarquement et à la Libération. De nombreux objets et matériels viennent compléter l’exposition permanente : un Beechcraft C.45, une locomotive, un wagon ayant servi à la déportation… En octobre 2005, 300 mètres carrés se sont ajoutés à la salle d’exposition permanente. Cet espace polyvalent met à disposition du public une salle de réunion, de conférence, d’exposition temporaire et de projection ainsi qu’une médiathèque et un centre documentaire.

Le musée accorde une place toute particulière au public scolaire. Des dossiers pédagogiques ont été élaborés. Des ateliers (analyse de documents, rencontre avec des témoins…) sont développés sur différents thèmes (la vie sous l’Occupation, la Résistance…), et sont animés par les enseignants ou par un intervenant du musée.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie
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Informationen

Anschrift

5 place carnegie FARGNIERS 02700
Tergnier
Téléphone/ 03.23.57.93.77

Gebühr

Individuels :- adultes : 5€- 18-25 ans : 1€- moins de 18 ans : gratuité.Entrée + visite guidée : 6 € (sur réservation)Groupes (à partir de 10 personnes):- adultes : 5€- scolaires : 2€.

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18hDimanche après-midi de 14h30 à 18h30

Fermetures annuelles

1 mai1er novembre24 et 25 décembre31 décembre et 1er janvier et tous les lundisOffice de tourisme : place du marché Couvert - 02300 Chauny - Tel : 03.23.52.10.79

Das Museum der Fremdenlegion

Aktie :

Ansicht des Museums. Quelle: Museum der Fremdenlegion

Dieses Museum gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt...
Das Legionsmuseum, ein besonderes Museum für eine besondere Einrichtung Das Museum der Fremdenlegion gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt... Da diese in den Fachschulen vertretenen Museen Initiatoren zur Erkennung der verschiedenen Waffen waren, dienen sie der Darstellung dieses besonderen Bereichs, der Legion. Das Dasein dieser Einrichtung beruht auf den Kompetenzen des Befehlsgenerals der Fremdenlegion und dies sowohl hinsichtlich der Moral, dem Kulturgut und der Tradition. Das Museum der Fremdenlegion ist eine öffentliche Einrichtung und soll allen Bereichen der Öffentlichkeit das Kulturgut der Legion vorstellen, wobei der Schwerpunkt auf dem Legionär liegt, sowohl dem jungen Aktiven als auch den höhergestellten Männern in Führungsposition, um die nötigen Anhaltspunkte bezüglich der Tradition, Schulung und Ausbildung darzustellen. Seit mehr als einem Jahrhundert wird hier eine starke Idee verfolgt, die besonders heute wieder aktuell ist: der Einsatz des Berufssoldaten, meistens Ausländern, sollte von einigen Orientierungspunkten geleitet werden, um diesen den nötigen Mut einzuhauchen, mitten in das Geschehen einzuschreiten, besonders wenn er mit neuen Situationen konfrontiert wird, bei denen Initiative gefragt ist. 36 000 Legionäre sind für Frankreich gestorben, dazu kommen ca. 100 000 Verletzte, die Zeitzeugen in diesem Museum sind und zeigen, falls nötig, dass der Legionär mehr opfert als er gewinnt, ganz im Gegensatz zum schlechten Image der Söldner. Aus diesem Grunde hat sich das Museum die Aufgabe gestellt, den früheren, gegenwärtigen und zukünftigen Legionär an sein Vorbild und die Traditionen zu erinnern, und die Fremdenlegion einem außenstehenden Publikum mit Hilfe der historische Realität und Legende zu vergegenwärtigen. Dazu wurde es wie einerseits wie ein innerer Spiegel für die Legionäre und eine Vitrine für die Öffentlichkeit gestaltet, es ist ein Mittel des Zusammenhalts, der Erinnerung und der Öffnung zu einer bürgerlichen Gesellschaft.
Der Ursprung des Museums der Fremdenlegion beruht auf den Entscheidungen des Ministers Boulanger, der damit der Stimmungskrise der Armee entgegenwirken wollte. Mit dreifarbigen Schilderhäuschen und der Annahme eines Taufnamens für die militärischen Viertel ist die Errichtung von Ehrensälen seit Ende des 19. Jahrhunderts gebräuchlich. Unter der Einwirkung von Oberst Wattringue beginnt das 1. Fremdenregiment seinen Aufbau 1888; zu diesem Zeitpunkt wird der erste Stein gelegt. In dem Nebengebäude des Gardekorps im Viertel Viénot in Sidi-bel-Abbès wird ein Raum für das, was Wattringue "glorreicher Trödelmarkt" nannte, eingerichtet. Nach vierjährigen Arbeiten darf Oberst Zéni, der sehr viel Energie und einen Teil seines persönlichen Vermögens in dieses Projekt investiert hatte, die Einrichtung eröffnen! Unter dem nunmehr dichten Dach sind in einem weitläufigen Raum die wichtigsten Erinnerungsstücke gesammelt: die bewegliche Prothese des Majors Jean Danjou, der in Mexiko an der Spitze der 3. Kompanie des 1. Bataillons des Fremdenregiments gestorben ist, der Adler der Flagge des Fremdenregiments im Zweiten Reich, die provisorische Flagge, die mit persönlichen Mitteln der Abteilung im September 1870 bei Ausruf der vorübergehenden Exekutive hergestellt wurde, die vom letzten Feldzug in Tonkin mitgebrachten Tropheen. Die afrikanischen Feldzüge vom Dahomey (Benin) und dem Sudan (Mali), die Expedition von Madagaskar, der lange Feldzug gegen Bou Amama im Süd-Oran und der Einzug in Marokka bringen viele Tropheen und Kriegsbeute. Die Räumlichkeiten werden zu klein, die Zimmer werden nach und nach überfüllt. Ein gewisser Leutnant Rollet spendet eine Sammlung von fast dreißig madegassischen Speeren.
1931 wurde bei Herannahmen der großen Feste zum hundertjährigen Bestehen der Fremdenlegion ein zweiter Saal gebaut. Er wurde "Heldentempel" genannt und den beförderten oder nicht beförderten, auf dem Ehrenfeld gefallenen oder lebendig in die Geschichte eingegangenen Legionären gewidmet, die General Rollet besonders ehren und als Beispiel nennen möchte. Aber sehr schnell wird auch dieser Raum unzureichend, da unter Einwirkung des Oberst Azan mehrere Künstler in den Rängen der Legion arbeiten. Unteroffizier Sméou malte mehr als sechzi Ölgemälde auf Leinwand oder auf Holz, darunter die berühmte Ansicht des Oberst Danjou, die auch heute noch besichtigt werden kann. Gleichzeitig wird in der Legion über die Nützlichkeit und die Funktion des Ehrensaales nachgedacht. 1936 entstand aus diesen Überlegungen ein Museum der Erinnerung, das von den früheren Sälen getrennt war und wo die historische Bedeutung sehr viel deutlicher wurde. Leutnant Andolenko, zukünftiger General, gibt in seinem ersten Büchlein eine genaue Beschreibung des Museums, eine Besichtigung der Ehrensäle und des Museums (Sidi bel Abbès, 1938, 281 S.). Eine chronologische Führung wird erstellt, die den militärischen oder zivilrechtlichen Besucher auf einen Rundgang durch die Kampfgebiete führt. Somit wird die Feierlichkeit der früheren Säle im Rahmen ihrer Funktion als Ehrensäle für verschiedene Zeremonien und militärische Aktionen gewahrt.
Zu Ende des Zweiten Weltkriegs und des Kriegs von Indochina zeigt sich, dass das Museum viel zu klein ist, 1958 wird über eine Erweiterung des Ehrensaals nachgedacht, der um einen Raum für Fahnen und Reliquien und einem großen Raum für Feldzüge vergrößert werden soll. Diese Erweiterung findet 1961 statt und dient nur weniger als ein Jahr, bevor die Räumlichkeiten verlassen werden. Dieses zwiespaltige Konzept wurde damals angewandt, als in Aubagne, dem neuen Haupthaus der Legion, ein neues Museum der Fremdenlegion gebaut wurde. Die Pläne von 1958 wurden als Bezugsdokumente verwendet und an die Besonderheiten des Gebietes im Nordwesten des großen Waffenplatzes des im Bau befindlichen Viertels angepasst. Das Gebäude besteht aus zwei Etagen, das Titelbild der ersten Etage zeigt eine weiße Leinwand, von der sich, in der Perspektive des "heiligen Wegs" das Monument der Toten der Fremdenlegion abzeichnet. Herr Pierre Messmer, Armeeminister, legt am 30. April 1963 den ersten Stein und eröffnet drei Jahre später zusammen mit General König, genau wie er ein früherer Offizier der Legion, das Bauwerk. Das Museum der Fremdenlegion, Besuch im Lande der Fremden, die Frankreich dienten In diesen Mauern der 60er Jahre besitzt jede Etage ihr eigenes Thema. Die ebenerdige Etage ist für interne Zwecke vorgesehen, kann jedoch außerhalb der Tage, an denen Zeremonien durchgeführt werden, besichtigt werden. Sie besteht aus einem Ehrensaal,der durch eine Krypte verlängert wird. In diesem riesigen Saal empfängt der junge Berufskandidat der Legion seinen Verpflichtungsvertrag aus den Händen seines ersten Abteilungschefs, ein Leutnant mit Fremdentitel, also von Rang, der ihm das Dokument vor dem Bildnis des Jean Adolphe Beaucé, Schüler von Ch. Bazin, für die Schlacht in Kamerun überreicht.
Ab dem Beginn seines Militärlebens wird der Mann also mit dem Bild der Treue zum gegebenen Wort und dem darunter verstandenen Opfer konfrontiert. Nach viermonatiger Erstausbildung kehrt der junge Mann, der nun Legionär ist, in diesen Saal zurück, wo ein früherer Obergefreiter ihm einige einfache Anhaltspunkte mit auf den Weg gibt: Kamerun, der Eid, der Tornister des 19. Jahrhunderts und seine berühmte "Blutwurst". Mit den entsprechenden Worten für die nicht französisch Sprechenden unter ihnen richtet der Oberbefehlshaber der Fremdenlegion oder der von ihm beauftragte Offizier einen Glückwunsch zum Erfolg der Ausbildung an ihn und begleitet ihn zur Krypte. Beim Strammstehen vor den Namen der auf dem Ehrenfeld gefallenen Toten, die die Hand des Oberst Danjou umgeben, ein physisches Symbol des Treueeids und des Opfers, schreitet der Legionär zu den Fahnen der früheren Ehrenregimente. Hier spricht der General von den Opfern der Ehemaligen, die der Legion in Erinnerung bleiben. Viel später, am Tage seines Rentenempfangs oder am Ende eines Zeitvertrages, kehrt der Legionär, egal welchen Grades, in den Ehrensaal zurück, wo wiederum eine ähnliche Feier begangen wird. Zum letzten Mal sammelt er sich vor dem Symbol der früheren, für Frankreich gefallenen Legionäre.
Er legt gewissermaßen eine Bilanz seiner Dienste vor den Mannen der Ehemaligen ab, die er auch später noch besuchen wird, oft bei den Feiern für Kamerun oder bei der Gelegenheit einer Reise. So gibt es jährlich fast 3000 Ehemalige, die an diesen Ort des Gedächtnisses, quasi das Familiengrab, zurückkehren. Der Saal der Feldzüge auf der 1. Etage wurde besonders gestaltet, um die Militärgeschichte der Fremdenlegion durch ihre Schlachten darzustellen. Der Besucher befindet sich in einem weniger engen und mit weniger Zeichen beladenen Raum. Auch hier sind sicherlich Gegenstände, aber auch die pädagogische Ausstattung eines Museums: Strophenblatt, Übereinkommen, verschiedenes Unterrichtsmaterial. Der Ehrensaal kann nicht ohne einen Führer, der den Gruppen immer zur Verfügung steht, oder einen Audio-Führer für einzelne Besucher, verständlich sein, wogegen man sich im Saal der Feldzüge in einem chronologischen Rundgang, der sowohl für die weniger geschichtlich bewanderten Besucher als auch für den schlechter französisch Sprechenden unter ihnen zugänglich ist, frei bewegen kann. Nach der Erinnerung an die Tradition der Fremdenlegion Frankreichs, den genuesischen Armbrustschützen von 1346 im Regiment von Hohenlohe, das 1830 aufgelöst wurde, wird der Besucher von der Gründung der Fremdenlegion, die nach dem Gesetz vom 9. März 1931 erfolgte, bis zu den aktuellen Einsätzen der Legion geführt. Bei jedem geschichtlichen Abschnitt kann er die besonderen Objekte dieser Zeit sehen, Waffen, Uniformen, Kriegsbeute, ethnische Funde. Zusätzlich zu diesen dreidimensionalen Elementen besitzt das Museum eine bemerkenswerte Sammlung graphischer Dokumente, die sich seit einem Jahrhundert angesammelt haben. Benigni, Rousselot, Toussaint, Marin-Gillet alias Marino, Rosenberg haben sich als fast offizielle Maler des Museums der Fremdenlegion abgewechselt und fast 400 ihrer Werke, meistenteils Aquarellzeichnungen, begleiten diese Besichtigung. Die in der Öffentlichkeit weniger bekannten Werke der Legionäre Jondvedt, Toussaint Yvon, Burda, Kauffmann, Perez y cid und Kwon stellen die restliche Sammlung dar. Weiterhin gehört der Anhang Puyloubier, das Museum der Legionsuniform, unbedingt zu dieser Ausstellung. Dieser Teil ist bis zur Fertigstellung des "großen Museums" in Aubagne, einer weltweit einzigartigen Sammlung, die von Raymond Guyader seit fast 40 Jahren zusammengestellt wird und die Trachten und Zubehör der Legionäre von 1831 bis zum heutigen Tag enthält, in der Invalideneinrichtung der Fremdenlegion untergebracht. Der der Öffentlichkeit präsentierte Bereich besteht u.a. aus 94 von Puppen getragenen Uniformen, ab der ersten Uniform im Jahr 1931 bis zum Ende der Gegenwart in Algerien im Jahre 1968.
Aktualität: ein Zentrum der Geschichtsforschung über die Fremdenlegion Das Museum der Fremdenlegion, welches heute von einem hohen Offizier, falls möglich ein Diplomkonservator, geleitet wird, der für die Geschichte und die Traditionen innerhalb des Generalstabs des Kommandos der Fremdenlegion verantwortlich ist, erfüllt mit Sicherheit die drei klassischen Aufgaben eines jeden Museums: erhalten, aufwerten und übermitteln, aber seit September 2004 verfügt es auch über ein unterstützendes Forschungsmittel. Gemeinsam mit der Revue Weißes Kepi wurde im September 2004 ein Zentrum der historischen Dokumentation innerhalb des Museums gegründet. Dies beruht auf der Dokumentarsammlung des Museums, welche früher fälschlicherweise "Archiv der Fremdenlegion" genannt wurde, auf der historischen Bibliothek der Legion und auf der Sammlung der alten Fotos der Revue Weißes Kepi und soll diese der Öffentlichkeit zugänglich machen, wobei Universitäten und Verlägen der Vorrang gegeben wird. Mit dem Ziel, die Forschung und Unterrichtung der Militärgeschichte der Fremdenlegion zu fördern, werden dem Forscher verschiedenen Quellen und fast 5000 Werke zur Verfügung gestellt, unter Achtung der vom Gesetz festgelegten Kommunikationsgrenzen. Der gesamte Bereich steht und fällt auch mit einem erfahrenen Team, welches mittelfristig über ein Inventarprogramm und Forschungen nach Thema verfügt.
Museum der Fremdenlegion von Aubagne Quartier Viénot Route de la Thuillère 13600 Aubagne Tél : 00 33(0)4 42 18 82 41 Briefkontakt Monsieur le général commandant la Légion étrangère (Generalbefehlshaber der Fremdenlegion) D.H.P.L.E. Quartier Viénot BP38 13998 Marseille Armées Tél : 00 33(0)4 42 18 12 41 e-mail : museelegionetrangere@hotmail.com e-mail : centre-documentaire@comle.terre.defense.gouv.fr Öffnungszeiten Winter (1. Oktober bis 31. März): Mittwoch, Samstag, Sonntag, 10 Uhr, 12 Uhr, 14 Uhr Sommer (1. Juni bis 30. September): Täglich außer montags und donnerstags:10 Uhr-12 Uhr und 15 Uhr-19 Uhr. Zufahrt Westviertel von Aubagne Strecke nach Thuilière (RD 44), Richtung Eoures Parkplatz mit freiem Zugang vorhandent Gruppen auf Vereinbarung
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Informationen

Anschrift

Route de la Thuillère Quartier Viénot 13600
Aubagne
04 42 18 12 41

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Mercredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Vendredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Samedi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Dimanche: de 10h à 12h et de 15h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé du 12/03/2012 au mois de mars 2013 pour cause de rénovation.

Pozières

Aktie :

Mémorial de Pozières. © CWGC

Das Dorf Pozières war Schauplatz des ersten Eingreifens der australischen Truppen.

 

Das Dorf Pozières würdigt das erste Eingreifens der australischen Truppen (zum Gedächtnis an die 1. und 2. Division Australiens). Die Überreste eines Blockhauses namens Gibraltar sind heute noch sichtbar. In Pozières befindet sich außerdem eine Gedenkstätte für die Panzerdivisionen, an der Teile von vier verschiedenen Modellen zu bestaunen sind.

Diesen Marktflecken galt es zu befreien, um dann weiter in Richtung Ferme du Mouquet und des Hügels von Thiepval vorzudringen.

Dieses Ziel der Umgehung wurde größtenteils den australischen Truppen anvertraut, von denen die meisten von Gallipoli zurückkehrten. Das Dorf liegt auf einem Kamm, der zwei entscheidende Gräben trennte; einerseits die zweite deutsche Linie und andererseits die beiden Blockhaus-Beobachtungsposten, die das ganze Schlachtfeld beherrschten (Seite Albert, "Gibraltar" - Seite Bapaume, "die Windmühle").


 

Nachdem die Australier am 23. Juli 1916 eingetroffen und von Pozières Besitz ergriffen hatten, wurden sie am 5. September, völlig erschöpft von den Gegenangriffen der Artillerie, von den Kanadiern an der so genannten Mouquet Farm abgelöst. Drei ihrer Divisionen war es gelungen, den Sektor von Pozières zu durchdringen, allerdings waren die Verluste sehr hoch. Das Dorf selbst wurde vollkommen zerstört. Der Name Pozières ist in Australien so fest im Gedächtnis, dass nach Kriegsende sogar ein kleines Dorf in Queensland (Australien) danach benannt wurde. Am 15. September 1916 fuhren erstmals Panzer auf dem Schlachtfeld auf. Von den 32 britischen Panzern vom Typ Mark I , die an der Courcelette-Longueval aufmarschierten, erreichten nur neun ihr Ziel. Dennoch markiert dieses Datum den Anfang für das Vorwärtskommen der britischen Truppen.

Die Schlacht von Pozières ist eine der unzähligen Schlachten um die Somme, ein strategisches Element der Alliierten für koordinierte Angriffe: Während die Russen am 4. Juni den Angriff auf Brusilov starten, greifen die Italiener in Trentin an. Im Laufe des Jahres 1916 reicht die Frontlinie vom Tal von Ancre de Thiepval bis Pozières. Am 1. Juli 1916 starten die Briten den Angriff: ihnen gegenüber steht die deutsche Armee, die im Dorf von Pozières mit seiner Windmühle einen soliden Rückhalt hatten: Bereits am ersten Kampftag sind unzählige Tote und Verletzte zu verzeichnen und die Zahl erhöhte sich bis auf 60.000. Die Australier (1. Division, 22. Division, 4. Division) übernehmen das Kommando und erobern schließlich am 23. Juli diese Position. Als sie im September abgelöst werden, sind bereits 23.000 Soldaten gefallen.


Comité du tourisme de la somme

21 rue Ernest-Cauvin 80000 Amiens

Tel.: +33 (0) 322 71 22 71

FAX: +33 (0) 322 71 22 69

E-Mail: accueil@somme-tourisme.com


 

Das „Comité du Tourisme de La Somme“ gibt gerne Auskunft über die Schlachtfelder in der Somme und die Gedenkstätten: Abläufe, Besuchsmöglichkeiten, Transport, Führungen für Gruppen und Einzelpersonen, Helikopterflug, Unterbringung usw. Über das CDT erhalten Sie außerdem eine Reihe von Broschüren über den Gedächtnistourismus.


 

La Somme 14-18

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Informationen

Anschrift

D929 80300
Pozières
Tél. : +33 (0) 322 71 22 71 FAX : +33 (0) 322 71 22 69

Gebühr

Eintritt kostenlos

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ein Besuch ist ganzjährig möglich

Fermetures annuelles

Eintritt kostenlos

Longueval

Aktie :

Mémorial national sud-africain. © Carcharoth - GNU Free Documentation License

Das südafrikanische Nationalmuseum und Nationaldenkmal in Longueval sind den südafrikanischen Soldaten gewidmet, die bei der Schlacht im Wald von Delville fast vollständig umkamen...

Die Einnahme des Walds von Delville (Bois Delville) (Schlachtfeld, Denkmal, Museum und Soldatenfriedhof), der auch als "Wald des Teufels" ("Devil Wood") bezeichnet wurde, war für den Vormarsch nach Osten unvermeidbar. Mit dieser Aufgabe wurde die südafrikanischen Brigade betraut, die dabei vom 15. bis 20. Juli 1916 an der Westfront fast vollständig vernichtet wurde, denn sie wurde unter ein äußerst heftiges Artilleriefeuer gesetzt - bis zu 400 Schüsse pro Minute - und die Soldaten waren in ihren eilig errichteten Unterständen kaum davor geschützt und darüber hinaus von den eigenen Verbänden getrennt, so dass bei der Ablösung von den ursprünglich 3.200 Soldaten der Brigade nur noch 143 aus den Schützengräben kamen. Longueval ist gleichzeitig auch der Ort der neuseeländischen Gedenkstätte. Am 15. September 1916 stürmte die neuseeländische Division, von Panzern unterstützt aus ihren Ausgangslinien (zwischen Longueval und dem Wald von Les Fourcaux) in Richtung Flers vor und erreichte ihr Ziel noch an demselben Tag. Der Wald von Les Fourcaux - der berühmte "High Wood" - fiel am 15. September in die Hände der 47. Division (London).

Südafrikanisches Nationaldenkmal (Mémorial national sud-africain) Das 63 Hektar große Gelände des Walds von Delville, auf dem die südafrikanische Infanteriebrigade im Juli 1916 praktisch vernichtet wurde, wurde 1920 von der südafrikanischen Regierung zur Errichtung ihres Nationaldenkmals erworben. Das 1926 eingeweihte Denkmal befindet sich am Ende einer Avenue mit aus Eicheln aus Südafrika gewachsenen Eichen. Das aus einem leeren Grab (Kenotaph) und einem Triumphbogen bestehende Denkmal wurde von Herbert Baker entworfen. Die beiden Häuser im typischen Kolonialstil stellen nach Aussage des Architekten die beiden weißen Rassen in Südafrika dar, während die halbkreisförmige Mauer die Verteidigung der Zivilisation darstellt. Auf dem Triumphbogen steht eine Personengruppe aus Bronze von Alfred Turner. Sie stellt die Dioskuren nach der griechischen Mythologie, nämlich die Zwillinge Castor und Pollux dar, die ein aufbäumendes Pferd festhalten. Castor und Pollux sind die Kinder von Leda und Zeus, d.h. einer Sterblichen und eines Gottes. Sie waren beide so vollkommen einig, dass bei Castors Tod Pollux von Zeus für beide die Unsterblichkeit erhielt. Diese beiden gestalten, die ursprünglich unterschiedlich waren, jedoch ein gemeinsames Schicksal hatten, symbolisieren nach Aussage des Bildhauers die Kameradschaft der Waffengenossen aus den beiden südafrikanischen weißen Rassen (Engländer und Holländer), die brüderliche Einigkeit zwischen Briten und Buren. Aus den früheren Feinden wurden Freunde, die im britischen Commonwealth gemeinsam den neuen Feind bekämpfen. Das Denkmal wurde am 10. Oktober 1926 von der Witwe des Präsidenten Louis Botha eingeweiht, der Südafrika nach dem Burenkrieg (1899-1902) vereinte, in dem die ursprünglichen holländischen Kolonialisten (Buren) gegen die eindringenden Briten kämpften.
Südafrikanisches Nationalmuseum (Musée national sud-africain)
Das auf der Rückseite des Denkmals um das Kreuz der Konsekration (Croix de la Consécration) errichtete und 1986 eröffnete Museum ist eine Nachbildung des Forts von Kapstadt. Es ist den Beiträgen von Südafrika im Ersten Weltkrieg (an der Westfront und in den deutschen Kolonien in Afrika), im Zweiten Weltkrieg, bei der Blockade von Berlin (1948-1949) und im Koreakrieg (1950-1953) gewidmet. Praktische Angaben: Südafrikanisches Nationalmuseum und Nationaldenkmal (Musée et Mémorial national sud-africain) 5, route de Ginchy 80360 LONGUEVAL Tel. +33 (0) 322 85 02 17 Fax +33 (0) 322 85 79 99 ÖffnungszeitenVom 1. Februar bis 10. November täglich außer montags 10.00 - 15.45 Uhr (Vom 1. April bis 14. Oktober 10.00 - 17.45 Uhr). Fremdenverkehrsamt Somme (Comité du Tourisme de la Somme) 21 rue Ernest-Cauvin 80000 Amiens Tél. : +33 (0) 322 71 22 71 FAX : +33 (0) 322 71 22 69 e-mail : accueil@somme-tourisme.com Das FremdenverkehrsamtSomme steht Ihnen jederzeit für Auskünfte über die Schlachtfelder der Somme und die Straße der Erinnerung zur Verfügung: Gedenkfeiern, Zufahrtsmöglichkeiten, Verkehrsmittel, Führungen für Gruppen und Einzelpersonen, Besichtigung im Hubschrauber, Unterkunftsmöglichkeiten usw. Das Fremdenverkehrsamt veröffentlicht auch verschiedene Broschüren zu diesem Thema unter der Reihe "Tourisme de Mémoire".

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Informationen

Anschrift

5 route Ginchy 80360
Longueval
03 22 85 02 17

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ouvert du 1 février au 10 novembre, tous les jours sauf le lundi, de 10h à 15h45 ( du 1er avril au 14 octobre de 10h à 17h45).

Musée du Débarquement d’Arromanches

Aktie :

A l'initiative de Raymond TRIBOULET, premier sous-préfet de la France libérée » l'exposition permanente du débarquement à Arromanches a été inaugurée officiellement le 5 juin 1954 par Monsieur René COTY, Président de la République.

Il s'agit du premier musée construit pour commémorer le 6 juin 1944 et la bataille de Normandie.

Ce musée a été édifié à l'endroit même où fut implanté le port artificiel dont on peut encore voir les vestiges à quelques centaines de mètres du rivage.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Arromanches


Avec l'invasion de la Pologne le 1 septembre 1939, commence la seconde guerre mondiale. Rapidement les forces du Reich submergent toute l'Europe et en l'espace de 2 ans les drapeaux de l'Axe1 flottent sur tout le continent.Seul bastion de défense, la Grande Bretagne, est la première à stopper les forces du Reich dans une terrible bataille qui se joue dans les airs.

 

7 décembre 1941 : les États-Unis basculent dans la guerre.

1942 sonne le glas des victoires allemandes avec la défaite infligée au renard du désert2 à El Alamein.

Dès 1943, les allemands font retraite sur tous les fronts.

Au début de l'année 1944 la situation semble bloquée : les Russes attendent le printemps pour reprendre leur offensive et les Anglo-américains ne progressent que très lentement et avec d'énormes difficultés en Italie. Le seul moyen de changer le cours de la guerre afin de remporter une victoire rapide et décisive, passe par un débarquement sur les côtes nord de l'Europe où l'ennemi possède la meilleure défense.
Hitler a fait ériger de gigantesques ouvrages de défense tout au long de cette côte : le mur de l'Atlantique.

La tentative désastreuse de débarquement à Dieppe en août 1942 en a montré toute la puissance. Les forces alliées apprennent au prix de lourdes pertes que les fortifications rendent impossible la capture d'un port existant, condition pourtant sine qua non au ravitaillement d'un débarquement de plus grande ampleur.

Les stratèges ébauchent un plan ambitieux sous le nom de code Overlord qui est accepté lors de la conférence Quadrant en août 1943 par Winston CHURCHILL3 et Franklin ROOSEVELT4 à Québec. Il s'agit de débarquer en Normandie avec 30 divisions. Pierre angulaire de ce plan, la construction de ports artificiels sous le nom de code Mulberry garantira le ravitaillement des troupes débarquées.

Le 6 juin 1944, les alliés débarquent en Normandie : le jour le plus long commence.

 

Ce que vous verrez lors de votre visite

Les visites se décomposent en cinq parties :

Elles peuvent être guidées en trois langues :

  • français,
  • anglais (sur réservation),
  • allemand (sur réservation).

Nous recommandons aux organisateurs de voyages de réserver quelques semaines à l'avance.
Coordonnées complètes, horaires d'ouvertures, tarifs, accès au musée... disponibles ici

 

Dossiers pédagogiques

Un dossier pédagogique est disponible en téléchargement sur notre site internet en FR et en GB (niveau 1 et niveau 2)

https://www.musee-arromanches.fr/docs/carnet_pedagogique_niv1_fr.pdf

https://www.musee-arromanches.fr/docs/carnet_pedagogique_niv2_fr.pdf

 

 

 

Sources : ©Musée du Débarquement d’Arromanches
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Informationen

Anschrift

Place du 6 juin 1944 14117
Arromanches
02 31 22 34 31

Gebühr

Plein tarif : 7,90 eurosEnfant : 5,80 eurosGroupes adultes : 6, 20 eurosGroupes scolaires : 4,00 eurosGratuité : Handicapés, pupilles de la nation, enfant de moins de 6 ans, vétérans seconde guerre mondiale

Wöchentliche Öffnungszeiten

Février –novembre – décembre : 10h00 à 12h30 / 13h30 à 17h00Mars – octobre : 9h30 à 12h30 / 13h30 à 17h30Avril : 9h00 à 12h30 / 13h30 à 18h00Mai – juin – juillet – août : 9h00 à 19h00Septembre : 9h00 à 18h00

Fermetures annuelles

Le musée est ouvert tous les jours, toute l’année sauf janvier.2 boutiques sont à disposition du public en haute saison.Office de tourisme de référence - Arromanches - 2 Rue Maréchal JOFFRE - 02 31 22 36 45

Triumphbogen

Aktie :

Arc de Triomphe. Photos © Frédéric Prochasson - Fotolia.com

Die Perspektiven des Arc de Triomphe sind mindestens so vielfältig, wie die Zahl der Strassen die von Place Etoile aus starten...

Kurzer Überblick der Erbauung Im Februar 1806, befiehlt Napoleon der I die Erbauung des Arc de Triomphe um den Sieg seiner Armeen zu gedenken. Am Ende entscheidet sich der Kaiser für Place d'Etoile. Der erste Stein dieses Denkmales wird am 15. August 1806 gelegt. Die Pläne wurden vom Architekten CHALGRIN entworfen. Im Jahre 1810, anlässlich der Hochzeit Napoleons I mit der Erzherzogin Marie-Louise aus Österreich, wird der Architekt ein Trompe-oeuil aus Holz und bemaltem Tuch errichten. Die Kulisse wird rechtzeitig für die Zeremonie beendet und verleiht einen ersten Eindruck des zukünftigen Denkmals. CHALGRIN stirbt im Jahre 1810. Er wird von Louis-Robert ersetzt. Am Ende des Jahres 1813 erreicht das Arc de Triomphe eine Höhe von 19 Metern. Die Ereignisse von 1814 setzen alles in Frage. Unter der "Restaurierung" verlangsamen sich die Arbeiten. Louis Philippe, der König von Frankreich im Jahre 1830 geworden ist, beschließt das Projekt weiterzuführen. Die Arbeiten werden erneut in die Wege geleitet und das Arc de Triomphe, das den Armeen der Revolution und dem Imperium gewidmet ist, wird rasch vom Architekten Guillaume - Abel BLOUET beendet. Das Monument wird am 29. Juli 1836 eingeweiht.

Das Monument Die Proportionen sind riesig : Das Arc de Triomphe misst 49 Meter Höhe und überschreitet 45 Meter Breite. Der Bogen der zwei großen Fassaden erreicht 20,50 Meter Höhe für eine Breite von 14,50 Metern. Die Querfassaden sind von einem 19 Meter hohen und 8,50 Meter breiten Bogen durchquert. Der große Fries umgibt die vier Seiten und stellt die großen Persönlichkeiten der Revolution und des Imperiums, aber auch die Rückkehr der Armeen von Italien und Ägypten dar.
Das zweifellos großartigste Ornament ist von den vier kolossalen Gruppen gebildet, die sich auf jeden Pfeiler der zwei großen Fassaden aufrichtet : - Avenue des Champs Elysées : Der Aufbruch der Freiwilligen (rechts), das heute noch Die Marseillaise heißt, von François RUDE und der Triumph des Kaisers (links), von Jean-Pierre CORTOT ausgemeißelt. - Avenue de la Grande Armée, die zwei ausgemeißelten Hochreliefs stellen die Resistance (rechts) und den Frieden (links) dar. Auf den Innenmauern befinden sich große und kleine Bogen, wo die Namen der Generäle, sowie der großen Schlachten der Revolution und des Imperiums gemeißelt sind. Auf den Boden, in der Nähe des Grabes des unbekannten Soldaten, erinnern mehrere Bronzetafeln, an wichtige Ereignisse der zeitgenössischen Geschichte : die Verkündung der Republik am 4. September 1870, die Rückkehr des Elsass-Lothringens am 11. November 1918 und der Appell vom 18. Juni 1940. Sie erwähnen ebenfalls die Soldaten und Wiederstandskämpfer des zweiten Weltkrieges, sowie die, der für Frankreich umgekommenen Soldaten in Algerien, Tunesien und Marokko.
Den Arc de Triomphe hinaufsteigen Den Arc de Triomphe zu ersteigen, heißt 284 Stufen zu steigen (ein Aufzug ermöglicht den Zugang der behinderten Personen), aber auch Zugang zu verschiedenen Sälen des Museums und der Terrasse zu haben. Der große Museumssaal, der sich unter der Terrasse befindet, stellt viele Dokumente aus : Gravierungen, Zeichnungen, Fotos, Modelle und verschiedene Originalstücke bezüglich der Projekte (wie z.B. den Elefanten), die Konstruktion und das Dekor des Arc de Triomphe, sowie Dokumente bezüglich der großen Ereignisse, wie die Rückkehr der Aschen Napoleons I (am 15. Dezember 1840), die Totenwache von Victor HUGO (29. Mai 1885), die Siegesparade (14. Juli 1919), die Ankunft der unbekannten Soldaten (am 28. Januar 1921), die Ehrerweisung des Generals de Gaulle auf dem Grab des unbekannten Soldaten in der befreiten Hauptstadt Paris ( am 26. August 1944). Von der Terrasse aus kann man eine großartige Sicht bewundern, die sich auf ganz Paris erstreckt, auf den Champs Elysées, den Louvre, den Eifelturm, den Dom des Invalides und Richtung Westen den Arche de la Défense.
Der unbekannte Soldat Der Waffenstillstand der dem ersten Weltkrieg ein Ende setzt, wird am 11. November 1918 in Rethondes (in der Nähe von Compiègne dans l'Oise) unterzeichnet. Die Freude des Sieges kann die Trauer der 1 500 000 umgekommenen jungen Männer nicht ersetzen. Bald wird man in den großen , sowie in den kleinen Dörfer, aber auch in den Städten, Denkmäler zum Gedenken an die Todesopfer aufrichten. In den Unternehmen, Schulen und Gymnasien bring man Gedächtnistafeln an. Am 20. November 1916, während jeder die grausame Schlacht von Verdun im Gedächtnis hat, schlägt F. SIMON, Präsident des französischen Gedenkens vor, einen Soldaten, der tapfer für sein Vaterland gekämpft hat und gestorben ist am Panthéon zu ehren. Das Projekt wird schließlich von den Abgeordneten am 12. November 1919 angenommen. Ein Jahr später, Anfang November, beschließt das Parlament, die Reste eines der unidentifizierten Soldaten, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind, unter dem Arc de Triomphe beizusetzen. Acht unidentifizierte Körper französischer Soldaten, die unter den verschiedenen Frontzonen ausgesucht wurden, werden bis zur Zitadelle von Verdun transportiert. Am 10. November 1920 um 15:00 Uhr bestimmt Auguste THIN, er selber Sohn eines umgekommenen Soldaten, indem er einen Blumenstrauß auf einen der Särge legt, welcher nach Paris verschickt werden soll. Am 11. November 1920, nach der Zeremonie im Panthéon, wird der Sarg in einem der Säle des Arc de Triomphe abgelegt und in der Kapelle eingerichtet, wo er von brennenden Kerzen umgeben ist. Am 28. Januar 1921, wird der Sarg des ungekannten Soldaten in der Mitte des Hauptbogens, vor den Champs Elysée beigesetzt.
Das Symbol der Flamme Nach der Anregung, im Frühjahr 1921 von dem Bildhauer Gregor Calvet, dann im Oktober 1923 von dem Schriftsteller Gabriel Boissy, die heilige Flamme unter dem Arc de Triomphe wurde zum ersten Mal angezündet November 11, 1923 bis 18 Stunden von Andre Maginot, Kriegsminister, während die Truppen der 5. RI präsentierte die Band spielte Chopins Trauermarsch." Seit diesem Tage wurde die Flamme niemals ausgemacht. Jeden Abend um 18:30, wird die Flamme von den Vertretern der Assoziation der Veteranen, dessen Bürgersinn anerkannt ist (wie das rote Kreuz) neu belebt. Diese Zeremonie wurde niemals unterbrochen, auch nicht während der Besetzung zwischen 1940 und 1944. Natürlich werden sich die Pariser Gymnasiasten und Studenten dem Sarg des Unbekannten Soldaten und der Flamme richten, als sie durch ihre Demonstrationen den Besetzer herausfordern. Für einige stellt die Flamme auch die Flamme der Resistance dar, von der ein gewisser Charles de Gaulle einst sprach. Heutzutage symbolisiert der Grab des unbekannten Soldaten und die Flamme des Gedenkens für alle Franzosen, aber auch für alle Touristen der Welt, die Aufopferung all jener, die auf dem Schlachtfeld umgekommen sind. Die Flamme des Gedenkens symbolisiert auch die Ehrerweisung all der Menschen die mit dem Leben gezahlt haben, um uns heute zu ermöglichen in einem freien Land zu leben. Nach den grausamen Tagen der Besetzung, repräsentiert die Flamme nun auch die Hoffnung für die Zukunft und den Glauben im Schicksal unseres Landes.
Die Zeremonie der Anfachung Ab dem 11. November 1923, wird die Flamme jeden Abend um 18:30 von den Vertretern der verschiedenen Assoziationen (nach Planung des Komitees der Flamme) angefachten. Das Zeremoniell ist sehr präzis. Jeden Tag werden mindestens zwei Mitglieder des Komitees der Kommissäre ausgewählt, um die verschiedenen Assoziationen willkommen zu heißen und die Zeremonie zu organisieren. Die Assoziationen versammeln sich entweder an der Kreuzung Champs Elysées/Balzac oder oberhalb der Champs Elysées oder auch direkt beim Arc de Triomphe, wenn nicht zu viele Vertreter anwesend sind. Sie werden dann bis zum Arc de Triomphe, geführt. An der Spitze dieses Aufmarsches defilieren die Träger der Blumensträuße, gefolgt von den Fahnenträgern und der Assoziationsmitglieder, sie marschieren über die Hauptallee der Champs-Elysées Achse. Die Teilnehmer nehmen auf beiden Seiten der heiligen Steinplatte Stellung; die Fahnenträger ordnen sich im Kreis auf des Westseite der Steinplatte auf. Vor der Zeremonie, richten der Kommissar und der Dienstwärter die Fahne der "Flamme", das Horn und die Trommel der Republikanischen Wache auf. Schließlich erreichen der Kommissar der Flamme und die Verschiedenen Assoziationspräsidenten die heilige Steinplatte, indem sie vom Signal "Die FLAMME" begleitet werden. Die Delegationen werden dann aufgefordert ihre Blumensträuße abzulegen und sich dann in der Nähe der Flamme zu stellen. Der Kommissar übermittelt dem Präsidenten den Schwert und fordert ihn auf die Anfachungsgeste zu machen. Das Signal "an die Todesopfer" ertönt, die Fahnen werden abgesetzt und eine Schweigeminute wird eingelegt. Wird eine Militärmusik gespielt, (oder anderes), ist das Signal "an die Todesopfer" von der Marseillaise gefolgt. Der Präsident, der von den verschiedenen Behörden begleitet wird, unterzeichnet das Goldene Buch. Indem er die brüderliche Geste ausübt, verabschiedet er sich von den verschiedenen Fahnenträger, den anwesenden Kommissären der Flamme, den Mitgliedern der Assoziationen und der eingeladenen Persönlichkeiten die entlang der Steinplatte aufgereiht sind. Alle finden sich am Fuße des Grabes wieder und die Musiker spielen die Hymne "zu Ehren des unbekannten Soldaten". Anschließend werden sie vom Dienstkommissar begleitet, während die Musik das Signal "der Flamme" spielt. Selbst wenn der General, Präsident der "Flamme unter dem Arc de Triomphe" anwesend ist, bleibt dieses Ritual das selbe. Die Delegationen sind dann aufgefordert das Goldene Buch zu unterzeichnen.
Arc de Triomphe Place de l'Etoile 75008 Paris Anreise U-Bahn-Station Charles de Gaulle-Etoile (1, 2, 6) RER A Charles de Gaulle-Etoile

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Informationen

Anschrift

place de l'étoile 75008
Paris
01 55 37 73 77

Gebühr

Plein tarif : 9,50 € Tarif réduit : 6 € Groupe adultes : 7,50 € (à partir de 20 personnes) Groupes scolaires : 30 € (20 € pour les ZEP) ; 35 élèves maximum. Gratuit : Moins de 18 ans (en famille et hors groupes scolaires) 18-25 ans (ressortissants des 27 pays de l’Union Européenne et résidents réguliers non-européens sur le territoire français) Personne handicapée et son accompagnateur Demandeur d’emploi

Wöchentliche Öffnungszeiten

Du 1er avril au 30 septembre, 10h à 23h Du 1er octobre au 31 mars, 10h à 22h30

Fermetures annuelles

1er janvier, 1er mai, 8 mai (matin), 14 juillet (matin), 11 novembre (matin), 25 décembre

Bullecourt

Aktie :

Digger-Statue. Source : http://www.pourceuxde14.com - Foto eines deutschen Schützengrabens, aufgenommen im Jahr 1917 im Sektor Croisilles-Bullecourt. Quelle: Deutsches Bundesarchiv, lizenzfrei

 

Gedenkstätte Bullecourt: Digger-Statue.

 

 

Im April und Mai 1917 fielen 10.000 australische Soldaten in den Kämpfen von Bullecourt. Von Mai 1917 bis März 1918 nahmen die Kämpfe immer mehr zu und das Dorfbild veränderte sich ständig.


 

Heute bestimmt im Park des Gedenkens die Digger-Statue das Bild. Sie wurde vom australischen Bildhauer Peter Corlett entworfen, dem Sohn eines Soldaten des Zweiten Weltkriegs. Digger symbolisiert den australischen Soldaten und die Inschriften ehren die vier australischen Infanteriedivisionen, die an diesem Schauplatz gekämpft haben: 1., 2., 4. und 5. Divison.

 

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Informationen

Anschrift

Rue de Douai 62128
Bullecourt

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accessible toute l'année

Arras

Aktie :

Eingang zur Zitadelle von Arras. Quelle: http://arras-france.com

Zitadelle, britische Gedenkstätte und die Tunnel der Neuseeländer in Arras

 

Die auch als „Nutzlose Schönheit" bezeichnete Zitadelle wurde von Vauban in den Jahren 1668 bis 1672 erbaut. Das als Fünfeck errichtete Bauwerk wurde an den Ecken um riesige Bastionen ergänzt, die optimalen Schutz bieten und teilweise noch erhalten sind. Das aus weißem Stein gefertigte Königstor ist gen Stadt gerichtet und unterstreicht die Macht des neuen Herrschers. Rings um den großzügig angelegten Vorplatz sind alle wichtigen Gebäude angesiedelt, die für ein Leben in der Zitadelle wichtig waren. Das Waffenlager befindet sich auf einer Achse zum Königstor und die aus Stein gefertigten Verzierungen unterstreichen die Wichtigkeit dieses Platzes in der räumlichen Anordnung dieser Befestigungsanlage. Die Ziegelfassade der im Barockstil errichteten Kapelle ist reichlich geschmückt mit Säulen, Kannelierungen, Auszeichnungen, Feuerschalen usw.

 

 

Auf dem Weg nach Douves trifft man auf die Außenmauern der Zitadelle sowie auf Crinchon, einen idyllisch gelegenen Bach, der von den Streitkräften dazu genutzt wurde, die Gräben zu überschwemmen. Die Zitadelle selbst ist im Besitz der Armee und kann offiziell besichtigt werden. Der Besuch ist nur im Rahmen einer Führung möglich, die vom Fremdenverkehrsamt organisiert wird. Dieses findet man im Rathaus auf dem Petite Place. Trotz der im Laufe der Jahrhunderte durchgeführten Veränderungen ist die Zitadelle von Arras auch heute noch ein Beispiel für die Baukunst von Vauban.


Unweit der Zitadelle trifft man auf den Friedhof von Faubourg d'Amiens. Dort ruhen die sterblichen Überreste von 35.000 Soldaten aus England, Neuseeland und Südafrika, die während dem Frühjahr 1916 und dem 7. August 1918 gefallen sind und die kein Einzelgrab bekommen haben. Die Namen der Toten sind in Steinstelen gemeißelt, die sich neben den Klostermauern und den dorischen Säulen von Sir Edwin Luytens befinden. Auf dem Friedhof in Faubourg d'Amiens, Boulevard du Général de Gaulle, finden sich auch 2.652 Einzelgräber.

Gegenüber dem Denkmal befindet sich die Gedenkstätte „Flying Services“. Auf den Mauern sind die Namen des Royal Naval Air Service, des Royal Flying Corps, der Royal Air Force und der Australian Flying Corps eingraviert.

 

Ein Teil der Gedenkstätte von Arras, errichtet in Faubourg d'Amiens, wird üblicherweise als Gedenkstätte für die ersten Flieger gesehen, die während der Kämpfe ums Leben gekommen sind. Bereits beim Betreten des Friedhofs fällt die Gedenkstätte zu Ehren der Flieger ins Auge, die auf einem Sockel steht und die Erdkugel zeigt.
Auf allen Seiten sind die Namen aller Flieger eingraviert, die an der Westfront gestorben sind und deren Grabstätten nie gefunden wurden. Außerdem sind auch 46 Kanadier namentlich vermerkt. Die Kanadier hatten sich insbesondere im Luftkrieg ausgezeichnet. 25.000 dienten zu dieser Zeit als Piloten, Beobachter und Mechaniker in der britischer Armee. Die kanadischen Flieger erhielten für ihre mutigen Einsätze über 800 Auszeichnungen und Nennungen, darunter drei Victoria-Kreuze. Unter den Besten der RAF waren auch fünf Kanadier. Piloten wie z. B. W.A. "Billy" Bishop, W.G. Barker, Raymond Collishaw und A.A. McLeod machten sich insbesondere durch ihre Kühnheit und ihre Heldentaten verdient.


Die von den Neuseeländern erbauten Tunnel bilden ein komplexes, unterirdisches Gang- und Höhlensystem, das sich von Arras bis Bapaume und Cambrai erstreckte. Zwischen 1916 und 1917 trifft die Kompanie der neuseeländischen Tunnelexperten auf ein bereits bestehendes altes Höhlensystem und erweitert dieses unterhalb der deutschen Gräben in Richtung Niemandsland. Der Standort wurde erst 1996 wieder entdeckt.

 

Website des regionalen Tourismusverbands Nordfrankreichs

 

Quizz : Forts und Zitadellen

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Informationen

Anschrift

Boulevard du général de Gaulle 62000
Arras
Tél : 03 21 21 87 00 Fax : 03 21 21 87 87

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accessible toute l'année

William Birdwood

1865-1951

Aktie :

William Birdwood.
Source : Wikimedia Commons - lizenzfrei

William Ridell Birdwood wird am 13. September 1865 in Kirkee, Indien, geboren.

 

Nach dem Besuch des Clifton College in Bristol und der Königlichen Militärakademie Sandhurst beginnt er seine Karriere 1883 bei den Royal Scots Fusiliers. 1885 geht er zur Kavallerie und dient bei den 12. und 11. Lancers und der Viceroy's Bodyguard in Indien, wo er an den Operationen an der Grenze im Nordwesten teilnimmt. 1899 geht er nach Südafrika zum Stab von General Kitchener, als der Burenkrieg der Siedler gegen die britische Herrschaft im Gang ist. 1911 wird er zum Generalmajor ernannt und geht zurück nach Indien, wo er im folgenden Jahr Sekretär in der Abteilung der indischen Streitkräfte wird. Im November 1914 beauftragt ihn Kitchener, der damals britischer Kriegsminister ist, ein Armeekorps mit den australischen und neuseeländischen Truppen zu bilden, die in Ägypten ausgebildet werden, bevor sie an die Westfront geschickt werden. Dieses Korps, das Anzac (Australian and New-Zealand Army Corps) hat seinen ersten Einsatz bei der Landung auf der Halbinsel Gallipoli am 25. April 1915, mit deren Hilfe die Kontrolle über die Meerenge der Dardanellen übernommen werden soll, die das Ägäische Meer über den Bosporus mit dem Schwarzen Meer verbindet. Während des Feldzuges ersetzt er kurz Ian Hamilton an der Spitze der Expeditionstruppen im Mittelmeer und übernimmt dann, nachdem er zum Generalleutnant ernannt wurde, Mitte November 1915 das Kommando über die britische Dardanellenarmee, die jetzt von dem Anzac und dem 8. und 9. britischen Korps gebildet wird.

Im März 1916, nach der Umbildung des Anzac, übernimmt er das Kommando des 1. Korps des Anzac, bestehend aus der 1. und 2. australischen Division und der neuseeländischen Division, die an die französische Front geschickt wird. Am 23. Oktober 1917 wird er General und kommandiert das australische Korps, als die fünf Divisionen des Anzac zur Jahreswende 1917-1918 zu einem einzigen Korps zusammengefasst werden. Er erhält das Kommando der 5. britischen Armee am 31. Mai 1918, die er während der letzten siegreichen Offensiven der Alliierten führt. Am Ende des Konflikts kommandiert er die Nordarmee in Indien, bis 1925, und übernimmt dann, nachdem er zum Marschall ernannt wurde, das Oberkommando der britischen Armee in Indien. Nach seiner Pensionierung von der Armee im Jahr 1930 möchte er Generalgouverneur von Australien werden, erhält den Posten aber nicht. Er stirbt am 17. Mai 1951 im Schloss Hampton Court. 1916 wird er geadelt, und 1919 wird der Baron Birdwood of Anzac and of Totnes in Devon Peer. Für seine Dienste während des Ersten Weltkriegs wird er in Frankreich mit dem Orden der Ehrenlegion und dem Kriegskreuz, in Belgien mit dem Kriegskreuz und dem Kronenorden und in Ägypten mit dem Nilorden ausgezeichnet.