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Airborne Museum

Aktie :

Vivez l’expérience des paras du Jour-J

Exposition : « La France combattante - Les Forces Françaises Libres de 1940 à 1945 » > Avril à Novembre 2019
        ►Depuis l'entrée en Guerre de la France en 1939 jusqu'à la signature de l'armistice de mai 1945, suivez le parcours héroïque des soldats français pendant la Seconde Guerre Mondiale. Après la défaite de la Bataille de France en juin 1940, l'Armée Française devient l'Armée d'Armistice. Sous la gouverne du Maréchal Pétain, elle n'en est pas moins sous le contrôle et à la botte du IIIe Reich d'Adolf Hitler.  En réponse à cette humiliation ultime, une autre France, qui ne veut et ne peut se soumettre au joug nazi, se dessine dès lors : il s'agit de la France Libre impulsée depuis Londres par le Général  De Gaulle. De 1940 à 1945, du désert de Lybie jusqu'aux monts escarpés d'Autriche, vous accompagnerez l'extraordinaire destinée de ses Français combattants qu'ils fussent marins, aviateurs, ou bien soldats des forces Françaises libres.

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Consulter l'offre pédagogique en ligne >>>  Airborne museum


 

https://prod-cheminsdememoire.cnmosis.dirisi.defense.gouv.fr/sites/default/files/inline-images/airborne-museum-DP-2019_1.jpg

 

L’Airborne Museum est situé au cœur de Sainte-Mère-Eglise, face au clocher sur lequel le parachutiste John Steele est resté suspendu. A travers une muséographie spectaculaire et réaliste, l’Airborne Museum vous fera vivre le Débarquement aux côtés des parachutistes Américains des 82ème et 101ème Airborne. De la préparation du Jour-J en Angleterre, jusqu’aux combats qui menèrent à la Liberté, vous accompagnerez les troupes aéroportées dans leur chemin vers la Victoire. Découvrez une exceptionnelle collection d’objets historiques, un authentique planeur et un avion C-47 ayant participé aux opérations du Jour-J.

Une extension majeure : Opération Neptune et le Centre de conférence Ronald Reagan.

Dans le bâtiment "Opération Neptune" préparez-vous à vivre les parachutages du 6 juin 1944 ! Embarquez de nuit dans un véritable avion C-47 en Angleterre, puis atterrissez sur la place de Sainte-Mère-Eglise au milieu des combats et prenez part aux opérations qui suivirent !

A  partir de Mai, au sein du centre de conférence Ronald Reagan, découvrez une exposition inédite : « La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944 » ainsi que dans le cinéma un film de 20 minutes qui retrace avec émotion la vie sous l’occupation allemande puis la libération de Sainte-Mère-Église et du Cotentin.

 

 

 

Opération-neptune-airborne-museum

Exposition : 01>09 Juin 2019

Les + :

  • Airborne Reality (depuis avril 2016): Munis de votre Smartphone ou votre tablette, téléchargez gratuitement l’application du musée et créez votre propre visite guidée en fonction de vos centres d’intérêt et de votre temps de visite !

Grâce à la réalité augmentée, soyez les témoins privilégiés du Débarquement et des parachutages sur Sainte-Mère-Eglise!

Téléchargement gratuit au musée, depuis le site web www.airborne-museum.org ou via Google Play et l’App Store. Application en français et anglais, puis, dans les mois à venir, en néerlandais.

  • Exposition (à partir de juillet 2016): La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944. A travers cette exposition, revivez les évènements de cette bataille.

Le 16 Décembre 1944, Hitler lance une offensive de grande envergure à travers les Ardennes belges pour reconquérir le port d’Anvers et repousser les forces alliées.  Ces dernières sont prises par surprise du fait de la soudaineté et de la rapidité de l’attaque. En urgence, le Général Eisenhower décide d’envoyer en renfort des unités qu’il tient en réserve en France. La bataille des Ardennes a été plus qu’éprouvante et meurtrière pour les forces alliées qui devaient faire face à un hiver très rigoureux et un manque criant de ravitaillement en nourriture et en armes. L’armée allemande ne sera mise en échec qu’après l’apparition d’une accalmie salutaire permettant le ravitaillement des troupes au sol et facilitant l’arrivée de l’armée du Général Patton. La bataille des Ardennes ne prendra fin que fin janvier 1945.

Cette exposition inédite mettra également en lumière la voie de la liberté partant de Sainte-Mère-Eglise et arrivant à Bastogne ainsi que le rôle de l’armée Patton au sein de la bataille des Ardennes.

 

Guides de visite sous forme de livrets-jeux disponibles de 6 à 15 ans, téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place +1€/enfant

 

 

Sources : ©Airborne Museum
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Informationen

Anschrift

14 rue Eisenhower 50480
Sainte-Mère-Église
02 33 41 41 35

Gebühr

IndividuelsADULTE : 8.00 €ENFANT (6 à 16 ans) : 5.00 €Famille :2 adultes et 2 enfants payants minimumADULTE : 7.50 €ENFANT : 4.00 €Groupes AdultesVisite Libre : 6.00€ / adulteVisite guidée (1h15) à partir de 20 personnes :7.30€ / adulte- Une gratuité pour 20 payants- Guide et chauffeur gratuits- Groupes enfantsVisite Libre : 4.00€ / enfantVisite guidée (1h15) à partir de 20 enfants : 5.30€ / enfant- Une gratuité pour 10 payants- Guide et chauffeur gratuitsGuide de visite enfants et adolescents :• CP à CE2 (6 à 9 ans)• CM1 à 6ème (9 à 12 ans)• 5ème à 3ème (13 à 15 ans)Téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place : +1€/ enfant

Wöchentliche Öffnungszeiten

Horaires du MuséeDe mai à Août : 9h-19hAvril et septembre : 9h30-18h30Octobre à mars : 10h-18h

Fermetures annuelles

Fermé en décembre et janvier sauf vacances de Noël

Musée de l'Artillerie

Aktie :

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Informationen

Anschrift

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Gebühr

entrée gratuite

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Das Museum der Fremdenlegion

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Ansicht des Museums. Quelle: Museum der Fremdenlegion

Dieses Museum gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt...
Das Legionsmuseum, ein besonderes Museum für eine besondere Einrichtung Das Museum der Fremdenlegion gehört zu den Museen der Landheere, früher unter "Museen der Traditionen" bekannt... Da diese in den Fachschulen vertretenen Museen Initiatoren zur Erkennung der verschiedenen Waffen waren, dienen sie der Darstellung dieses besonderen Bereichs, der Legion. Das Dasein dieser Einrichtung beruht auf den Kompetenzen des Befehlsgenerals der Fremdenlegion und dies sowohl hinsichtlich der Moral, dem Kulturgut und der Tradition. Das Museum der Fremdenlegion ist eine öffentliche Einrichtung und soll allen Bereichen der Öffentlichkeit das Kulturgut der Legion vorstellen, wobei der Schwerpunkt auf dem Legionär liegt, sowohl dem jungen Aktiven als auch den höhergestellten Männern in Führungsposition, um die nötigen Anhaltspunkte bezüglich der Tradition, Schulung und Ausbildung darzustellen. Seit mehr als einem Jahrhundert wird hier eine starke Idee verfolgt, die besonders heute wieder aktuell ist: der Einsatz des Berufssoldaten, meistens Ausländern, sollte von einigen Orientierungspunkten geleitet werden, um diesen den nötigen Mut einzuhauchen, mitten in das Geschehen einzuschreiten, besonders wenn er mit neuen Situationen konfrontiert wird, bei denen Initiative gefragt ist. 36 000 Legionäre sind für Frankreich gestorben, dazu kommen ca. 100 000 Verletzte, die Zeitzeugen in diesem Museum sind und zeigen, falls nötig, dass der Legionär mehr opfert als er gewinnt, ganz im Gegensatz zum schlechten Image der Söldner. Aus diesem Grunde hat sich das Museum die Aufgabe gestellt, den früheren, gegenwärtigen und zukünftigen Legionär an sein Vorbild und die Traditionen zu erinnern, und die Fremdenlegion einem außenstehenden Publikum mit Hilfe der historische Realität und Legende zu vergegenwärtigen. Dazu wurde es wie einerseits wie ein innerer Spiegel für die Legionäre und eine Vitrine für die Öffentlichkeit gestaltet, es ist ein Mittel des Zusammenhalts, der Erinnerung und der Öffnung zu einer bürgerlichen Gesellschaft.
Der Ursprung des Museums der Fremdenlegion beruht auf den Entscheidungen des Ministers Boulanger, der damit der Stimmungskrise der Armee entgegenwirken wollte. Mit dreifarbigen Schilderhäuschen und der Annahme eines Taufnamens für die militärischen Viertel ist die Errichtung von Ehrensälen seit Ende des 19. Jahrhunderts gebräuchlich. Unter der Einwirkung von Oberst Wattringue beginnt das 1. Fremdenregiment seinen Aufbau 1888; zu diesem Zeitpunkt wird der erste Stein gelegt. In dem Nebengebäude des Gardekorps im Viertel Viénot in Sidi-bel-Abbès wird ein Raum für das, was Wattringue "glorreicher Trödelmarkt" nannte, eingerichtet. Nach vierjährigen Arbeiten darf Oberst Zéni, der sehr viel Energie und einen Teil seines persönlichen Vermögens in dieses Projekt investiert hatte, die Einrichtung eröffnen! Unter dem nunmehr dichten Dach sind in einem weitläufigen Raum die wichtigsten Erinnerungsstücke gesammelt: die bewegliche Prothese des Majors Jean Danjou, der in Mexiko an der Spitze der 3. Kompanie des 1. Bataillons des Fremdenregiments gestorben ist, der Adler der Flagge des Fremdenregiments im Zweiten Reich, die provisorische Flagge, die mit persönlichen Mitteln der Abteilung im September 1870 bei Ausruf der vorübergehenden Exekutive hergestellt wurde, die vom letzten Feldzug in Tonkin mitgebrachten Tropheen. Die afrikanischen Feldzüge vom Dahomey (Benin) und dem Sudan (Mali), die Expedition von Madagaskar, der lange Feldzug gegen Bou Amama im Süd-Oran und der Einzug in Marokka bringen viele Tropheen und Kriegsbeute. Die Räumlichkeiten werden zu klein, die Zimmer werden nach und nach überfüllt. Ein gewisser Leutnant Rollet spendet eine Sammlung von fast dreißig madegassischen Speeren.
1931 wurde bei Herannahmen der großen Feste zum hundertjährigen Bestehen der Fremdenlegion ein zweiter Saal gebaut. Er wurde "Heldentempel" genannt und den beförderten oder nicht beförderten, auf dem Ehrenfeld gefallenen oder lebendig in die Geschichte eingegangenen Legionären gewidmet, die General Rollet besonders ehren und als Beispiel nennen möchte. Aber sehr schnell wird auch dieser Raum unzureichend, da unter Einwirkung des Oberst Azan mehrere Künstler in den Rängen der Legion arbeiten. Unteroffizier Sméou malte mehr als sechzi Ölgemälde auf Leinwand oder auf Holz, darunter die berühmte Ansicht des Oberst Danjou, die auch heute noch besichtigt werden kann. Gleichzeitig wird in der Legion über die Nützlichkeit und die Funktion des Ehrensaales nachgedacht. 1936 entstand aus diesen Überlegungen ein Museum der Erinnerung, das von den früheren Sälen getrennt war und wo die historische Bedeutung sehr viel deutlicher wurde. Leutnant Andolenko, zukünftiger General, gibt in seinem ersten Büchlein eine genaue Beschreibung des Museums, eine Besichtigung der Ehrensäle und des Museums (Sidi bel Abbès, 1938, 281 S.). Eine chronologische Führung wird erstellt, die den militärischen oder zivilrechtlichen Besucher auf einen Rundgang durch die Kampfgebiete führt. Somit wird die Feierlichkeit der früheren Säle im Rahmen ihrer Funktion als Ehrensäle für verschiedene Zeremonien und militärische Aktionen gewahrt.
Zu Ende des Zweiten Weltkriegs und des Kriegs von Indochina zeigt sich, dass das Museum viel zu klein ist, 1958 wird über eine Erweiterung des Ehrensaals nachgedacht, der um einen Raum für Fahnen und Reliquien und einem großen Raum für Feldzüge vergrößert werden soll. Diese Erweiterung findet 1961 statt und dient nur weniger als ein Jahr, bevor die Räumlichkeiten verlassen werden. Dieses zwiespaltige Konzept wurde damals angewandt, als in Aubagne, dem neuen Haupthaus der Legion, ein neues Museum der Fremdenlegion gebaut wurde. Die Pläne von 1958 wurden als Bezugsdokumente verwendet und an die Besonderheiten des Gebietes im Nordwesten des großen Waffenplatzes des im Bau befindlichen Viertels angepasst. Das Gebäude besteht aus zwei Etagen, das Titelbild der ersten Etage zeigt eine weiße Leinwand, von der sich, in der Perspektive des "heiligen Wegs" das Monument der Toten der Fremdenlegion abzeichnet. Herr Pierre Messmer, Armeeminister, legt am 30. April 1963 den ersten Stein und eröffnet drei Jahre später zusammen mit General König, genau wie er ein früherer Offizier der Legion, das Bauwerk. Das Museum der Fremdenlegion, Besuch im Lande der Fremden, die Frankreich dienten In diesen Mauern der 60er Jahre besitzt jede Etage ihr eigenes Thema. Die ebenerdige Etage ist für interne Zwecke vorgesehen, kann jedoch außerhalb der Tage, an denen Zeremonien durchgeführt werden, besichtigt werden. Sie besteht aus einem Ehrensaal,der durch eine Krypte verlängert wird. In diesem riesigen Saal empfängt der junge Berufskandidat der Legion seinen Verpflichtungsvertrag aus den Händen seines ersten Abteilungschefs, ein Leutnant mit Fremdentitel, also von Rang, der ihm das Dokument vor dem Bildnis des Jean Adolphe Beaucé, Schüler von Ch. Bazin, für die Schlacht in Kamerun überreicht.
Ab dem Beginn seines Militärlebens wird der Mann also mit dem Bild der Treue zum gegebenen Wort und dem darunter verstandenen Opfer konfrontiert. Nach viermonatiger Erstausbildung kehrt der junge Mann, der nun Legionär ist, in diesen Saal zurück, wo ein früherer Obergefreiter ihm einige einfache Anhaltspunkte mit auf den Weg gibt: Kamerun, der Eid, der Tornister des 19. Jahrhunderts und seine berühmte "Blutwurst". Mit den entsprechenden Worten für die nicht französisch Sprechenden unter ihnen richtet der Oberbefehlshaber der Fremdenlegion oder der von ihm beauftragte Offizier einen Glückwunsch zum Erfolg der Ausbildung an ihn und begleitet ihn zur Krypte. Beim Strammstehen vor den Namen der auf dem Ehrenfeld gefallenen Toten, die die Hand des Oberst Danjou umgeben, ein physisches Symbol des Treueeids und des Opfers, schreitet der Legionär zu den Fahnen der früheren Ehrenregimente. Hier spricht der General von den Opfern der Ehemaligen, die der Legion in Erinnerung bleiben. Viel später, am Tage seines Rentenempfangs oder am Ende eines Zeitvertrages, kehrt der Legionär, egal welchen Grades, in den Ehrensaal zurück, wo wiederum eine ähnliche Feier begangen wird. Zum letzten Mal sammelt er sich vor dem Symbol der früheren, für Frankreich gefallenen Legionäre.
Er legt gewissermaßen eine Bilanz seiner Dienste vor den Mannen der Ehemaligen ab, die er auch später noch besuchen wird, oft bei den Feiern für Kamerun oder bei der Gelegenheit einer Reise. So gibt es jährlich fast 3000 Ehemalige, die an diesen Ort des Gedächtnisses, quasi das Familiengrab, zurückkehren. Der Saal der Feldzüge auf der 1. Etage wurde besonders gestaltet, um die Militärgeschichte der Fremdenlegion durch ihre Schlachten darzustellen. Der Besucher befindet sich in einem weniger engen und mit weniger Zeichen beladenen Raum. Auch hier sind sicherlich Gegenstände, aber auch die pädagogische Ausstattung eines Museums: Strophenblatt, Übereinkommen, verschiedenes Unterrichtsmaterial. Der Ehrensaal kann nicht ohne einen Führer, der den Gruppen immer zur Verfügung steht, oder einen Audio-Führer für einzelne Besucher, verständlich sein, wogegen man sich im Saal der Feldzüge in einem chronologischen Rundgang, der sowohl für die weniger geschichtlich bewanderten Besucher als auch für den schlechter französisch Sprechenden unter ihnen zugänglich ist, frei bewegen kann. Nach der Erinnerung an die Tradition der Fremdenlegion Frankreichs, den genuesischen Armbrustschützen von 1346 im Regiment von Hohenlohe, das 1830 aufgelöst wurde, wird der Besucher von der Gründung der Fremdenlegion, die nach dem Gesetz vom 9. März 1931 erfolgte, bis zu den aktuellen Einsätzen der Legion geführt. Bei jedem geschichtlichen Abschnitt kann er die besonderen Objekte dieser Zeit sehen, Waffen, Uniformen, Kriegsbeute, ethnische Funde. Zusätzlich zu diesen dreidimensionalen Elementen besitzt das Museum eine bemerkenswerte Sammlung graphischer Dokumente, die sich seit einem Jahrhundert angesammelt haben. Benigni, Rousselot, Toussaint, Marin-Gillet alias Marino, Rosenberg haben sich als fast offizielle Maler des Museums der Fremdenlegion abgewechselt und fast 400 ihrer Werke, meistenteils Aquarellzeichnungen, begleiten diese Besichtigung. Die in der Öffentlichkeit weniger bekannten Werke der Legionäre Jondvedt, Toussaint Yvon, Burda, Kauffmann, Perez y cid und Kwon stellen die restliche Sammlung dar. Weiterhin gehört der Anhang Puyloubier, das Museum der Legionsuniform, unbedingt zu dieser Ausstellung. Dieser Teil ist bis zur Fertigstellung des "großen Museums" in Aubagne, einer weltweit einzigartigen Sammlung, die von Raymond Guyader seit fast 40 Jahren zusammengestellt wird und die Trachten und Zubehör der Legionäre von 1831 bis zum heutigen Tag enthält, in der Invalideneinrichtung der Fremdenlegion untergebracht. Der der Öffentlichkeit präsentierte Bereich besteht u.a. aus 94 von Puppen getragenen Uniformen, ab der ersten Uniform im Jahr 1931 bis zum Ende der Gegenwart in Algerien im Jahre 1968.
Aktualität: ein Zentrum der Geschichtsforschung über die Fremdenlegion Das Museum der Fremdenlegion, welches heute von einem hohen Offizier, falls möglich ein Diplomkonservator, geleitet wird, der für die Geschichte und die Traditionen innerhalb des Generalstabs des Kommandos der Fremdenlegion verantwortlich ist, erfüllt mit Sicherheit die drei klassischen Aufgaben eines jeden Museums: erhalten, aufwerten und übermitteln, aber seit September 2004 verfügt es auch über ein unterstützendes Forschungsmittel. Gemeinsam mit der Revue Weißes Kepi wurde im September 2004 ein Zentrum der historischen Dokumentation innerhalb des Museums gegründet. Dies beruht auf der Dokumentarsammlung des Museums, welche früher fälschlicherweise "Archiv der Fremdenlegion" genannt wurde, auf der historischen Bibliothek der Legion und auf der Sammlung der alten Fotos der Revue Weißes Kepi und soll diese der Öffentlichkeit zugänglich machen, wobei Universitäten und Verlägen der Vorrang gegeben wird. Mit dem Ziel, die Forschung und Unterrichtung der Militärgeschichte der Fremdenlegion zu fördern, werden dem Forscher verschiedenen Quellen und fast 5000 Werke zur Verfügung gestellt, unter Achtung der vom Gesetz festgelegten Kommunikationsgrenzen. Der gesamte Bereich steht und fällt auch mit einem erfahrenen Team, welches mittelfristig über ein Inventarprogramm und Forschungen nach Thema verfügt.
Museum der Fremdenlegion von Aubagne Quartier Viénot Route de la Thuillère 13600 Aubagne Tél : 00 33(0)4 42 18 82 41 Briefkontakt Monsieur le général commandant la Légion étrangère (Generalbefehlshaber der Fremdenlegion) D.H.P.L.E. Quartier Viénot BP38 13998 Marseille Armées Tél : 00 33(0)4 42 18 12 41 e-mail : museelegionetrangere@hotmail.com e-mail : centre-documentaire@comle.terre.defense.gouv.fr Öffnungszeiten Winter (1. Oktober bis 31. März): Mittwoch, Samstag, Sonntag, 10 Uhr, 12 Uhr, 14 Uhr Sommer (1. Juni bis 30. September): Täglich außer montags und donnerstags:10 Uhr-12 Uhr und 15 Uhr-19 Uhr. Zufahrt Westviertel von Aubagne Strecke nach Thuilière (RD 44), Richtung Eoures Parkplatz mit freiem Zugang vorhandent Gruppen auf Vereinbarung
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Informationen

Anschrift

Route de la Thuillère Quartier Viénot 13600
Aubagne
04 42 18 12 41

Wöchentliche Öffnungszeiten

Mardi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Mercredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Vendredi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Samedi: de 10h à 12h et de 15h à 18h Dimanche: de 10h à 12h et de 15h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé du 12/03/2012 au mois de mars 2013 pour cause de rénovation.

Richebourg

Aktie :

Portugiesischer Soldatenfriedhof in Richebourg. Quelle: Photo MPMP

Portugiesischer Soldatenfriedhof von Richebourg, Gedenkstätte von Le Touret, Friedhof von Saint Vaast, indisches Denkmal von Neuve-Chapelle.

Die meisten portugiesischen Soldaten liegen auf dem Soldatenfriedhof von Richebourg (Pas de Calais). Nachdem das Gelände im August 1924 erworben wurde, übernahm die portugiesische Kommission für Kriegsgräber die Suche und das Zusammenlegen der Gefallenen in Zusammenarbeit mit der französischen Verwaltung (Ministerium für Frontsoldaten und 1. Militärische Region).

Auf dem Friedhof von Richebourg wurden zwischen 1924 und 1938 1 831 Gefallene von verschiedenen Friedhöfen in Frankreich zusammen gelegt (Le Touret, Ambleteuse, Brest,...). Aus Belgien (Tournai) und Deutschland wurden die Kriegsgefangenen umgebettet. 1939 wurde er auf eine Fläche von 43 Ar erweitert. Auf diesem Friedhof befinden sich 500 Stelen mit dem portugiesischen Wappen. Wenn Sie durch das Portal aus Gusseisen mit Herzmotiven eingetreten sind, folgen Sie der Tannenallee, die zur Gedenkstätte und zum Museum der Erinnerung führt. Hier ist die Vegetation mediterran. Gegenüber erhebt sich die Kapelle Notre Dame de Fatima, die 1976 zur Erinnerung an die portugiesischen Soldaten errichtet wurde, die hier während der deutschen Offensive von 1918 gekämpft haben. In La Couture, wo sie dem deutschen Vormarsch tapfer widerstanden hatten, ließ die französisch-portugiesische Vereinigung ein Denkmal errichten, das den Soldaten des portugiesischen Expeditionskorps gewidmet ist. Der berühmte Christus der Schützengräben, ein von Granaten verletzter Gekreuzigter, den portugiesische Soldaten mitgenommen hatten, wurde in Neuve-Chapelle nach dem Krieg wieder aufgestellt. Am 10. November 1928 weihten Frankreich und Portugal feierlich das Denkmal ein, das Portugal seinen gefallenen Soldaten gewidmet hatte. Die Zeremonie verlief in Gegenwart des Bürgermeisters, der Einwohner des Ortes und der Vertretungen von Frontsoldaten, u.a. der Delegation der "Liga der Kämpfer des Ersten Weltkriegs" unter Führung von Craveiro Lopes und dem Minister A. de Gama Ochôa, der bei dieser Gelegenheit eine Rede hielt, in der er an das Heldentum der portugiesischen Soldaten in diesem Krieg erinnerte. Das Denkmal in La Couture aus Stein und Bronze ist ein Werk des Bildhauers A. Teixeira Lopez und wurde von portugiesischen Arbeitern errichtet. An der Mauer einer im Krieg zerstörten gotischen Kirche schwingt eine Allegorie des Vaterlandes das Schwert von Nun'Alvares, dem Konnetabel, dessen Sieg über die Spanier in Aljubarrota im Jahr 1385 Portugals Unabhängigkeit wieder herstellte. Sie kommt einem portugiesischen Infanteristen zu Hilfe, der versucht, den Tod mit dem Gewehrkolben zu erschlagen.
Das Memorial von le Touret gleicht einem Kreuzgang mit Gewölben aus Portland - Stein. Der quadratische Hof ist von drei massiven Mauern und einer Kolonnade in Form einer langen Galerie umgeben. Die Namen der 13 479 vor dem 25. September 1915 gefallenen Soldaten sind in die Mauern des Hofes und in die Kolonnaden eingraviert. Kleine Pavillons markieren das Ende der Galerie und der westlichen Ecken des Hofes. Auf dem Friedhof selbst wird heute an 900 Tote erinnert.
Der Weiler Saint Vaast liegt zwischen dem Dorf Richebourg und Goix-Barbee. Dort wurde im Mai 1915 während der Schlacht von Festubert eine Ambulanz eröffnet, die in den folgenden Jahren benutzt wurde. Mit einer Eisenbahn, die als "Straßenbahn der Schützengräben" bezeichnet wurde, wurden Männer und Munition transportiert. Im Augenblick beherbergt der Friedhof etwa 800 Gefallene, von denen nur wenige identifiziert werden konnten. Es sind Briten, Inder und Deutsche.
Anfang März 1915 legen alliierte Flieger durch kühne Unternehmungen alle Telefonverbindungen der Deutschen in Menin lahm (Belgien). Als Vergeltungsmaßnahme zerstörte der Feind mit seinen Granaten Neuve-Chapelle vollständig. Die Alliierten mussten Neuve-Chapelle zurück erobern. Am 10. März 1915 greifen britische Truppen in dem Abschnitt an.
Sie werden von indischen Truppen unterstützt. Sechzehntausend indische Soldaten, von denen 5 000 niemals wieder gefunden werden, kämpfen mit ihnen Seite an Seite. Drei aufeinander folgende Angriffe treffen auf stärksten Widerstand. Der vierte ermöglicht die Einnahme von 2 500 Metern Schützengräben, und Neuve-Chapelle wird zurück erobert. Inder, Engländer, Portugiesen und Franzosen stehen symbolisch für die Freundschaft unter Soldaten. Diese Männer taten ihre Pflicht und fielen. Nach ihnen, in Erinnerung an ihren Tod, bleibt das zur Ehre der 10 000 Verschollenen errichtete Denkmal. Die Errichtung dieser Gedenkstätte wurde am 11. August 1926 von dem Präsidenten der französischen Republik angeordnet. (Amtsblatt) Das Gelände, auf dem das Denkmal errichtet wurde, wurde für immer von der Imperial War Graves Commission erworben. Es ist der Erinnerung an die Gefallenen der Hindu - Einheiten gewidmet, vor allem denjenigen, die als "vermisst gemeldet" wurden. Es steht auf einem Gelände der Gemeinde RICHEBOURG. Die Stelle war 1915 unter dem Namen "PORT-ARTHUR" bekannt. Das Memorial wurde von dem Architekten Sir HERBERT-BAKER erbaut, der in Indien als einer der Schöpfer des modernen Delhi bekannt ist. Es ist kreisförmig angelegt, an der Fassade befindet sich eine Säule (in Erinnerung an die Säulen von ASOKA) von ungefähr 16 Metern Höhe, überragt von einer kaiserlichen Lotusblüte, der kaiserlichen Krone und dem "Stern von Indien". Sie ist von zwei Tigern flankiert. Die Säule und die Tiger werden von einem "Podium" getragen, auf dem Indien 1914-1918 eingraviert ist. Von der Basis des "Podests" erstreckt sich in zwei Halbkreisen eine durchbrochene Mauer, an deren Enden sich im Osten und Westen zwei kleine Grabkuppelbauten, "Chattris", erheben. In den gegenüber liegenden voll gemauerten Halbkreis sind die Namen eingraviert. In der Mitte einer Rasenfläche erhebt sich der Stein der Erinnerung. Die Namen an dem Denkmal sind nach Einheiten angeordnet, in einer Einheit nach Dienstgrad und in jedem Dienstgrad in alphabetischer Reihenfolge. Es sind 4 847 Namen. Alle gesellschaftlichen Klassen in England und Indien sind vertreten. Ihnen allen gilt die auf dem Denkmal ausgedrückte Widmung: ZU EHREN DER ARMEE INDIENS, DIE IN Frankreich UND IN Belgien GEKÄMPFT HAT, 1914-1918, UND UM DIE ERINNERUNG AN DIESE GEFALLENEN WACH ZU HALTEN, DEREN GRÄBER UNBEKANNT SIND UND DEREN NAMEN HIER EINGRAVIERT SIND. 1964 wurde entschieden, eine Bronzetafel zu der Gedenkstätte hinzuzufügen, auf der die Namen von 206 Soldaten zu sehen sind, deren Gräber in ZEHRENSDORF (Ostdeutschland)lagen und nicht erhalten werden konnten. Die Arbeit wurde im Juni 1966 beendet. ZUR ERINNERUNG AN DIESE MÄNNER, DIE IN DER GEFANGENSCHAFT STARBEN UND IN ZEHRENSDORF IN DER NÄHE VON BERLIN BEGRABEN WURDEN.

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Informationen

Anschrift

Route d'Estaires 62136
Richebourg
Tél : 03.21.61.90.30 Fax : 03.21.61.90.34

Wöchentliche Öffnungszeiten

Accessible toute l'année

Gedenken an die im Ersten Weltkrieg gefallenen portugiesischen Soldaten

Aktie :

© IWM, Q5565, Portugiesische Soldaten beim Briefeschreiben in den Schützengräben bei Neuve-Chapelle, 25. Juni 1917
© IWM, Q5565, Portugiesische Soldaten beim Briefeschreiben in den Schützengräben bei Neuve-Chapelle, 25. Juni 1917

Im Rahmen der Hundertjahrfeier zum Gedenken an die Schlacht an der Lys nahmen der portugiesische Staatspräsident Marcelo Rebelo de Sousa und der Premierminister António Costa am 8. und 9. April 2018 an mehreren Gedenkfeiern in Frankreich teil.

Aktion „1.000 Bäume für die Kriegsgräberstätten“

Aktie :

Nationale Kriegsgräberstätte in Vignemont (Oise) - Quelle : MINDEF/SGA/DMPA-ONACVG