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Les victimes civiles françaises de la bataille de Normandie

Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA
Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

Contrairement à la Première Guerre mondiale, la guerre de 1939-1945 a la particularité d’avoir été très meurtrière pour les populations civiles. Ainsi, en France, près de 400 000 civils ont été tués entre 1939 et 1945. 

28 mai - 4 juin 1940. La bataille de Dunkerque

Le port de Dunkerque en mai 1940. © ECPAD
Le port de Dunkerque en mai 1940. © ECPAD

Après l'interminable "drôle de guerre" qui suit la déclaration de guerre faite par la Grande-Bretagne et la France à l'Allemagne provoquée par l'invasion de la Pologne, la situation évolue soudainement à l'Ouest lorsque l'Allemagne, le 10 mai 1940, déclenche une offensive sur la Hollande, la Belgique et le Luxembourg.

Mai 1940. La bataille de la Dyle

10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD
10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD

Le 10 mai 1940, à 10 h du matin, précédés par les véhicules de leurs groupes de reconnaissance et du corps de cavalerie mécanique, les 7e et 1re armées françaises ainsi que le corps expéditionnaire britannique pénètrent en Belgique, exécutant la manœuvre Dyle, prévue depuis novembre 1939, afin de tenir sur la ligne Anvers-Namur face à l'offensive allemande, des unités de la 7e armée allant même jusqu'en Hollande.

1918. La deuxième bataille de la Marne (27 mai - 6 août)

Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans. © GNU Free Documentation License
Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans. © GNU Free Documentation License

Après la paix de Brest-Litovsk, le 3 mars 1918, l'Allemagne s'empresse de transférer ses troupes de la Russie vers la France. Disposant alors d'une supériorité numérique sur ses adversaires britanniques, français et belges, elle doit, si elle veut remporter la Victoire, lancer une série d'offensives avant l'arrivée en force des Américains sur le front.

La résistance en Corrèze et en Creuse

Photographie de résistants armés du maquis de Neuvic, hiver 1943-1944 © Musée départemental de la Résistance à Neuvic
Photographie de résistants armés du maquis de Neuvic, hiver 1943-1944 © Musée départemental de la Résistance à Neuvic

 

Le mouvement Combat est implanté en Haute-Corrèze.

L'invasion

Parade des troupes allemandes à Paris, en juin 1940. © Heinz Fremke, Deutsches Bundesarchiv
Parade des troupes allemandes à Paris, en juin 1940. © Heinz Fremke, Deutsches Bundesarchiv

Le 10 mai l'armée allemande lance son offensive générale sur le front Ouest. Elle semble reprendre son plan de 1914, modernisé, en un mouvement plus ample qui inclut l'invasion des Pays-Bas.

21 mars 1918. La bataille de Picardie sonne l'heure de Foch

17 mai 1918, Sarcus, le général Foch chargé depuis le 26 mars de coordonner les troupes franco-britannique.<BR>© Albert Moreau/ECPAD
Sarcus, Oise, quartier général du général Foch. Le général Foch et son état-major en mai 1918. Source : ECPAD

1918. Les temps forts d'une année de combat

Emprunt libération. © Cliché Noël Mazières/Archives départementales de l'Aube.
Emprunt libération. © Cliché Noël Mazières/Archives départementales de l'Aube.

Octobre - novembre 1942. La bataille d'El Alamein

Le général Sir Bernard Montgomery. © Imperial War Museum
Le général Sir Bernard Montgomery. © Imperial War Museum

La bataille d'El Alamein demeure la plus célèbre victoire des Alliés en Afrique du Nord face aux troupes germano-italiennes du maréchal Rommel.

L'année 1944 en France. Les opérations militaires et la restauration de la vie politique

Axes principaux de l'avance des Alliés entre juin et septembre 1944. © DMPA
Axes principaux de l'avance des Alliés entre juin et septembre 1944. © DMPA