28 mai - 4 juin 1940. La bataille de Dunkerque

Partager :

Le port de Dunkerque en mai 1940. © ECPAD
Le port de Dunkerque en mai 1940. © ECPAD

Après l'interminable "drôle de guerre" qui suit la déclaration de guerre faite par la Grande-Bretagne et la France à l'Allemagne provoquée par l'invasion de la Pologne, la situation évolue soudainement à l'Ouest lorsque l'Allemagne, le 10 mai 1940, déclenche une offensive sur la Hollande, la Belgique et le Luxembourg.

Mai 1940. La bataille de la Dyle

Partager :

10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD
10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD

Le 10 mai 1940, à 10 h du matin, précédés par les véhicules de leurs groupes de reconnaissance et du corps de cavalerie mécanique, les 7e et 1re armées françaises ainsi que le corps expéditionnaire britannique pénètrent en Belgique, exécutant la manœuvre Dyle, prévue depuis novembre 1939, afin de tenir sur la ligne Anvers-Namur face à l'offensive allemande, des unités de la 7e armée allant même jusqu'en Hollande.

L'année 1918 : la rupture de l'équilibre

Partager :

L'Hôtel de ville à Béthune (Pas-de-Calais), mai 1918. © ECPAD
Attaque et prise de Cantigny par les troupes américaines ? 28 mai 1918. © ECPAD

1918 voit se rompre l'équilibre stratégique et tactique qui, sur le front occidental, avait transformé le conflit en une interminable guerre de position. L'Allemagne initie le retour à la guerre de mouvement, espérant exploiter la fenêtre d'opportunités ouverte par l'effondrement du front russe. Le formidable effort engagé lors des offensives du printemps 1918 expose l'Entente à un risque maximal. Mais, à l'été, l'équilibre des forces bascule de nouveau, et définitivement : brisée par un engagement qui n'apporte pas la décision espérée, l'armée allemande est acculée à la défaite.

Départ en ballon de Gambetta

Partager :

Portrait de Gambetta.
Monument consacré à Gambetta (Sèvre 92) détail. Source : Tcherome. Libre de droit.

Départ en ballon de Gambetta

Les autres camps dans le Tarn-et-Garonne (82)

Partager :

Place Nationale à Montauban.
Place Nationale à Montauban. Source : Carte postale. D.R

 

Le dispositif d'internement et les structures d'encadrement prévues par le général Ménard, chargé à partir de février 1939 d'organiser l'arrivée des réfugiés, comprend aussi pour le Tarn-et-Garonne, des installations secondaires.

Lettres du Marquis de Lespinay

Partager :

Soldats français photographiés dans leur tranchée. © Library of Congress
Soldats français photographiés dans leur tranchée. © Library of Congress

Des peintres au service de la Marine

Partager :

Auguste Louis de Rossel de Cercy,
Auguste Louis de Rossel de Cercy, "Combat de la Dominique, 1780", 1789. Source : musée nationale de la Marine - P. Dantec

 

D'abord assimilée à la peinture d'histoire et à celle de paysage, la peinture à sujet maritime devient progressivement un genre à part entière parallèlement avec la reconnaissance officielle parmi les peintres de marine, ou marinistes, d'artistes au service de la Marine, d'où leur nom de " peintres de la Marine ".

Les soldats d'Outre-Mer pendant la Seconde Guerre mondiale

Partager :

Le capitaine N'Tchoréré, commandant la 7e compagnie du 53e RICMS. © Musée des troupes de marine
Tirailleurs sénégalais de la 9e DIC progressant dans la forêt vosgienne enneigée, armé d'un pistolet mitrailleur Thompson M1A1. Novembre 1944. © Lucien Viguier/ECPAD.

Le rôle des Forces navales françaises libres (FNFL) pendant la Deuxième Guerre mondiale

Partager :

Portrait d'Émile Muselier. © Fondation de la France Libre
Portrait d'Émile Muselier. © Fondation de la France Libre

Lorsque le 18 juin 1940, le général de Gaulle lance son appel, la situation de la marine française se prête à ce qu'il soit entendu.

1918. La deuxième bataille de la Marne (27 mai - 6 août)

Partager :

Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans. © GNU Free Documentation License
Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans. © GNU Free Documentation License

Après la paix de Brest-Litovsk, le 3 mars 1918, l'Allemagne s'empresse de transférer ses troupes de la Russie vers la France. Disposant alors d'une supériorité numérique sur ses adversaires britanniques, français et belges, elle doit, si elle veut remporter la Victoire, lancer une série d'offensives avant l'arrivée en force des Américains sur le front.