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Kolwezi 17 mai-16 juin 1978. Opération Léopard. Une intervention humanitaire.

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Défilé du 2e REP à Lubumbashi. © ECPAD
Défilé du 2e REP à Lubumbashi © ECPAD

Dans le cadre du respect des accords de défense, de coopération ou d’assistance signés avec des pays étrangers, la France s’engage à intervenir hors de ses frontières. En 1978, elle dispose ainsi d’une force d’intervention de 20 000 hommes composée de la 11e division parachutiste (11e DP), de la 9e division d’infanterie de marine (9e DIMa.) et de forces navales et aériennes. Les régiments professionnels de la 11e DP sont alternativement mis en alerte, alerte baptisée "Guépard", afin d’être projetés sans préavis suivant les besoins.

 

Septembre 1990 – mai 1991. La division Daguet

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Prise de vue aérienne du camp du roi Khaled, CRK, Arabie Saoudite, novembre 1990. © Yann Le Jamtel/ECPAD.

À partir du mois d’août 1990, dans le cadre de la mission reçue de l’ONU, la Marine nationale française fait intervenir plus de trente bâtiments – porte-avions, croiseur, porte-hélicoptères, près de 7 000 marins et trois commandos marine, avec pour missions l’application de l’embargo et le transport des hommes et du matériel.

 

L’Europe face à la crise yougoslave

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Près du check-point bosniaque de Malo Polje, des soldats bosniaques dépannent leur véhicule tandis qu'un VBL (véhicule blindé léger), un VAB (véhicule de l'avant blindé) et un camion de la Forpronu se sont arrêtés, Mostar, août-novembre 1995. © Janick Marcès/ECPAD.
Près du check-point bosniaque de Malo Polje, des soldats bosniaques dépannent leur véhicule, Mostar, août-novembre 1995. © ECPAD/Janick Marcès

Le spécialiste des relations internationales, Pierre Hassner, comparait la guerre froide à un « effet frigidaire ». Si pendant près d’un demi-siècle, la confrontation est-ouest avait « gelé » les complexités régionales, la disparition de ce cadre durant les années 1990 fit reparaître des animosités anciennes et marqua le retour du « désarroi stratégique » durant la guerre en ex- Yougoslavie.

 

S’engager à l’armée et chanter La Marseillaise : un symbole de son engagement pour la France

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Adeline Poussin - S’engager à l’armée et chanter La Marseillaise : un symbole de son engagement pour la France.
Adeline Poussin - S’engager à l’armée et chanter La Marseillaise : un symbole de son engagement pour la France.

Les haut-reliefs du Mont-Valérien

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Le monument du Mont Valérien. © Jacques Robert/MINDEF/SGA/DMPA
Le monument du Mont Valérien. © Jacques Robert/MINDEF/SGA/DMPA

Le monument du Mont-Valérien est édifié contre le glacis sud-est du fort. Il développe sur plus de 100m un contre-mur en grès rose des Vosges de plus de 4 m.

16 buttons, répondant aux 16 tombeaux de la crypte, jaillissent à intervalles réguliers en surplomb. Chacun s'orne d'un haut-relief de bronze aux motifs allégoriques.

Une croix de Lorraine de 12m de haut occupe le centre du monument. Devant elle, une flamme permanente brûle sur un pavois d'airain.

Approches de la Marseillaise sous l’Occupation allemande, un hymne et un drapeau pour deux France

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Bernard RICHARD - Approches de la Marseillaise sous l’Occupation allemande : Un hymne et un drapeau pour deux France.
Bernard RICHARD - Approches de la Marseillaise sous l’Occupation allemande : Un hymne et un drapeau pour deux France.

Sous l’Occupation, l’hymne national s’épanouit dans tout le spectre de la vie politique. France Libre, État français de Vichy, au moins dans la zone dite libre ou « nono », non occupée.

À la Libération, reconstruire un pays en ruines

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Canevas de photographies du Havre.  ©ECPAD, © Site imagesduhavre, ©Site officiel de la Ville

Les destructions de la guerre touchaient l’ensemble du territoire national. Leur évaluation fut confiée à une Commission du coût de l’Occupation, créée le 21 octobre 1944, devenue un an plus tard la Commission consultative des dommages et des réparations.

 

Les victimes civiles françaises de la bataille de Normandie

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Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA
Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

Contrairement à la Première Guerre mondiale, la guerre de 1939-1945 a la particularité d’avoir été très meurtrière pour les populations civiles. Ainsi, en France, près de 400 000 civils ont été tués entre 1939 et 1945. 

La présence française en Indochine

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Le capitaine Borbal-Combret (au centre), des officiers de la 2e compagnie du 3e régiment de tirailleurs tonkinois et des soldats tonkinois à Lang-Nac près de Bac-Ninh. Ce cliché fait partie des plus anciens se rapportant à l’Indochine française dans les fonds de l’ECPAD. Décembre 1885. © collection colonel Laroche/ECPAD.
Le capitaine Borbal-Combret (au centre), des officiers de la 2e compagnie du 3e régiment de tirailleurs tonkinois et des soldats tonkinois à Lang-Nac près de Bac-Ninh. Décembre 1885. © collection colonel Laroche/ECPAD.

L’histoire des liens entre la France et ce que l’on a appelé l’Indochine commence au XVIIe siècle, lorsque des missionnaires jésuites atteignent l’Extrême-Orient et prend une importance capitale lorsque ces Jésuites, sous la direction de Mgr Pigeau de Béhaine, viennent soutenir les efforts d’unification de l’empereur d’Annam Gia Long. Celui-ci, appuyé par des conseillers militaires français, fut le premier unificateur du Vietnam à la fin du XVIIe siècle et sa dynastie devait régner jusqu’en 1955.

26 mai - 11 juin 1942. La bataille de Bir Hakeim

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Légionnaires français attaquant une position ennemie à Bir Hakeim, le 12 juin 1942. © Imperial War Museum
Légionnaires français attaquant une position ennemie à Bir Hakeim, le 12 juin 1942. © Imperial War Museum

 

Du 26 mai au 11 juin 1942, la 1re Brigade française libre tient tête à l'Afrika Korps et à ses alliés italiens sur le front de Libye. Elle ne décroche de sa position de Bir Hakeim qu'après avoir permis le repli des troupes britanniques.