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Musée de la Libération de Cherbourg-Octeville

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Le Fort du Roule, musée de la Libération, au sommet de la montagne du Roule. Photo © D. Sohier

Le musée de la Libération se dresse au sommet de la montagne du Roule à Cherbourg. Il est aménagé dans un fort du Second Empire, occupé par l’armée allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Le musée retrace le rôle joué par Cherbourg – premier port libéré – au cours du second conflit mondial, en mettant l’accent sur le quotidien des civils et des militaires.

Le musée de la Libération s’est installé au fort du Roule construit au sommet de la montagne du même nom qui domine la ville. Le fort, culminant à 117 mètres, a été reconstruit sous Napoléon III entre 1853 et 1857. Sa position stratégique, dominant la rade et formant un éperon central entre les deux seules voies de pénétration de l’intérieur des terres vers la ville (les vallées de la Divette et du Trottebecq), en faisait la clé de la défense de Cherbourg, d’où l’expression «qui tient le Roule, tient Cherbourg».

En juin 1940, il fut l’un des lieux phares de la Résistance française devant l’invasion allemande. Pris par les Allemands, le fort est transformé en véritable camp retranché et des souterrains sont creusés dans le roc. Cherbourg devient une forteresse. Le 26 juin 1944, après d’âpres combats, le fort est repris par les Américains, faisant de Cherbourg le premier port libéré de France. Pendant quelques mois, Cherbourg sera le plus important port du monde, avec 25 000 tonnes de matériel débarquées chaque jour !

En 1949, un historien local, M. Lemaresquier, lance l’idée de perpétuer sur ce  lieu les souvenirs du Débarquement et de la Libération de l’Europe. En 1954, avec l’appui de l’Ambassade des Etats-Unis, le musée de la Libération voit le jour avec un parcours retraçant l’histoire du port de Cherbourg depuis le Moyen-Âge et comprenant les salles militaires, plus spécifiquement dédiées à la commémoration de la Seconde Guerre mondiale.

En 1994, à l’occasion du 50e anniversaire du Débarquement, le musée est entièrement rénové et sa muséographie revue. Aujourd’hui, les collections, riches d’environ 500 objets et documents, s’étendent sur 780 m² répartis sur deux niveaux.
Baigné dans la pénombre, le sous-sol évoque l’Occupation, entre 1940 et 1944. Six salles racontent l’exode et la Résistance, la propagande, le quotidien des civils et les préparatifs du Débarquement. L’étage retrace, en pleine lumière, le Débarquement et la Libération. Il permet de découvrir le rôle joué par Cherbourg, premier port libéré, dans l’avancée des troupes alliées. En effet, la prise de Cherbourg, seul port en eau profonde de la région, constitue un objectif stratégique vital pour les troupes américaines débarquées à Utah Beach. La ville est libérée le 26 juin 1944. Elle devient alors le centre d’un impressionnant effort logistique : le port permet le ravitaillement du front par la route, le rail et le Pipe Line Under the Ocean (PLUTO) qui alimente les troupes en pétrole. Cartes, photographies, enregistrements sonores, maquettes, objets et multimédia évoquent l’histoire de la ville.

 

  • Service éducatif : Visites en classe

Vous êtes enseignant et souhaitez venir visiter les musées avec votre classe ? Le service éducatif se tient à votre disposition pour préparer votre visite (maternelle, primaire, collège, lycée). Un nouveau parcours pédagogique pour le musée de la Libération est disponible en couleur.

Contact : Yann Lautridou

02 33 23 39 54

yann.lautridou@ville-cherbourg.fr

 

 

Sources : ©Musée de la Libération de Cherbourg - Fort du Roule
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Informationen

Anschrift

Musée de la Libération – Fort du Roule 50100
Cherbourg-en-Cotentin
02 33 20 14 12

Gebühr

- Plein tarif : 4 euros- Jeunes : gratuit pour les moins de 26 ans- Groupes : 10 personnes et plus : 2.50 euros- Gratuité : le mercredi pour tous, les 8 mai, 11 novembre, 25 et 26 juin pour tous, tous les jours sur justificatif : moins de 26 ans, bénéficiaires des minimas sociaux, titulaires d’un avis de non-imposition, bénéficiaires de l’allocation adultes handicapés et un accompagnateur, enseignants, personnels de la Culture, titulaires des cartes Icom / Icomos, titulaires d’une carte de presse, membres des Amis des musées de Cherbourg et du Cotentin.- Pass/tarifs groupés éventuels : Pass trois musées cherbourgeois : Musée de la Libération, Musée Thomas Henry, Muséum Emmanuel Liais, 10 euros, valable un an.

Wöchentliche Öffnungszeiten

Du mardi au vendredi : 10h-12h30 et 14h-18hSamedi et dimanche : 13h-18h

Fermetures annuelles

Fermé les lundis et jours fériés sauf les 8 mai et 11 novembre.Office de tourisme de référence - Adresse Quai Alexandre III - 50100 - Cherbourg-en-Cotentin - Tel 02 33 93 52 02 - http://www.cherbourgtourisme.com - contact@cherbourgtourisme.com

Der französische Soldatenfriedhof Zeitenlick in Thessaloniki

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Quelle: Generalkonsulat Frankreichs in Saloniki

Der französische Soldatenfriedhof Zeitenlick in Thessaloniki, Griechenland, beherbergt die sterblichen Überreste von 8.309 Soldaten, die während des Ersten Weltkriegs für Frankreich an der Orientfront ihr Leben gelassen haben.
 
Im Herbst 1915 schlägt die französisch-britische Expedition an die Dardanellen fehl. Ihr Ziel war es, die Türken vom zentralen Empire abzuschneiden. Der Kriegsbeitritt Bulgariens im Oktober führt zum Sturz von Serbien. Während Griechenland ursprünglich eine neutrale Rolle einnimmt, landen die Bündnistruppen in Thessaloniki. Die Truppen waren unterteilt in die Partisanen des Bündnisses um Premierminister Vénizélos und die Sympathisanten des zentralen Empires, das hauptsächlich durch den Hof repräsentiert wurde.
Bis zum Angriff auf Mazedonien am 15. September 1918 bleibt diese Front statisch. General Franchet d’Espèrey zwingt jedoch am 29. September Bulgarien in den Waffenstillstand einzuwilligen. Am 1. November gelingt nach der Niederschlagung der österreichisch-deutschen Truppen die Befreiung von Belgrad.
 
Gemäß den 1923 in Lausanne vereinbarten Verträgen gestehen die griechischen Behörden den Alliierten ein Gebiet nahe Thessaloniki zu, auf dem eine internationale Gräberstadt entstehen sollte. Im französischen Bereich befinden sich die sterblichen Überreste der französischen Soldaten. Die Gräber befanden sich zuvor auf verschiedenen Friedhöfen Mazedoniens, bevor sie dann an diesem Ort zusammengelegt wurden. Dieser Ort beherbergt auch provisorische Grabstätten von Italienern, Serben und Mitgliedern des Commonwealth. Der Friedhof der Alliierten wird in Saloniki errichtet.
 
Der französische Bereich erstreckt sich auf 3.500 m2 und beherbergt 8.309 Einzelgräber, darunter 208 Grabstätten von nicht identifizierten Personen.
In der Mitte des Platzes befindet sich eine Kapelle im ottomanischen Stil.
Die Instandhaltung des Soldatenfriedhofs in Zeitenlick untersteht dem Generalkonsulat Frankreichs. Im Jahr 2012 fanden aufwändige Renovierungsarbeiten statt.
 
Zwei Mal im Jahr findet eine Gedenkfeier zu Ehren der Gefallenen statt: Eine Zeremonie Ende September unter Beteiligung der französischen Vereinigung „Mémorial du Front d’Orient“ sowie eine zweite Feier, die von den offiziellen Vertretern der alliierten Streitkräfte und zu Ehren des Waffenstillstands vom 11. November 1918 abgehalten wird.

 

Auskünfte

Generalkonsulat Frankreichs in Thessaloniki

8, Mackenzie King

54622 Thessalonique

Tel.: (+30) 2310 244 030/031

Fax: (+30) 2310 282839

www.consulfrance-salonique.org

E-Mail: consul@consulfrance-salonique.org

 

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Informationen

Anschrift

54622
Thessalonique

La Teste de Buch

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Nationalfriedhof von La Teste de Buch. © Guillaume Pichard

 

Um die Infotafel des Friedhofs aufzurufen, klicken Sie hier vignette Teste

 

Der im Juli 1916 geschaffene Nationalfriedhof von La Teste de Buch im kleinen Ort Natus beherbergt die sterblichen Überreste der im Krankenhaus des Ausbildungscamps Le Courneau verstorbenen Soldaten. Dort befanden sich ursprünglich Kolonialtruppen, später ab 1917 ausländische (russische und amerikanische) Truppen. Dieser 1928 umgestaltete Friedhof, der in einem Kiefernwald liegt, beherbergt 956 Senegalschützen, 9 Russen und 2 Franzosen. Da dieser Ort immer mehr verfiel, wurden umfangreiche Arbeiten durchgeführt. 1967 wurden die sterblichen Überreste exhumiert und in einer Gedenkstätte mit Beinhaus in ihrer heutigen Form untergebracht. Dieses Denkmal bleibt damit das einzige Relikt des Lagers.

 

Das militärische Ausbildungscamp Le Courneau

Das französische Militärkommando wählt 1916 die Heidelandschaft von Le Courneau als Unterbringung für die afrikanischen Soldaten aus. Diese Männer stammen aus den Gebieten des ehemaligen Französisch-Westafrika (Senegal, Obersenegal und Niger - dem heutigen Mail, Mauretanien, Guinea, Elfenbeinküste und Dahomey - dem heutigen Benin). Sie bilden Bataillone von Senegalschützen, die von Bordeaux aus nach La Teste aufbrechen, wo sie eine militärische und sprachliche Ausbildung erhalten.

Mehr als 27.000 sollten zwischen 1916 und 1917 nachfolgen.

Nach Trockenlegungsarbeiten, bei denen zahlreiche Soldaten starben, wurde ein Lager mit 400 Baracken errichtet, um bis zu 18.000 Mann aufzunehmen. Aufgrund des Sumpfgebiets rund um das Lager erkrankten die Schützen an manchmal tödlichen Atemwegserkrankungen. Das Lager Le Courneau wurde bald schon als „Elendslager“ bezeichnet. Die Verstorbenen werden gleich vor Ort begraben.

Im Herbst 1917 werden die russischen Truppen aufgrund der Revolution in Russland von der Front abgezogen und treten die Nachfolge der Schützen an. 8.000 werden hier einquartiert. Da die Disziplin kaum eingehalten wird, gibt es viele Probleme mit der ortsansässigen Bevölkerung. In den ersten Monaten des Jahres 1918 machen sich die Bewohner des Lagers davon. Viele von ihnen treten den Schützeneinheiten bei. Andere dagegen melden sich zur Fremdenlegion.

Das Lager wird 1918 umgestaltet, um die amerikanischen Kontingente aufzunehmen. Letztere, vor allem Artillerieeinheiten, brechen von Bordeaux aus auf und halten sich provisorisch in Le Corneau auf. Zwischen Juli 1918 und Mai 1919 folgen Soldaten nach, bevor sie an die Front kommen. In dieser Zeit sterben 87 amerikanische Soldaten an der „Spanischen Grippe“. Sie werden provisorisch auf einem Friedhof beigesetzt, der am 15. Februar 1918 eigens im Wald von Natus-de-Bas angelegt wird. Nach dem Krieg werden die sterblichen Überreste dieser Soldaten in die Vereinigten Staaten oder auf den amerikanischen Militärfriedhof von Suresnes (Hauts-de-Seine) gebracht.

Das Denkmal von „Natus“

Am 1. November 1967 wird ein Denkmal eingeweiht, das der Erinnerung an die für Frankreich im Lager von Le Courneau gefallenen afrikanischen Soldaten gewidmet ist. Diese Gedenkstätte, die das Werk des Architekten Phihl ist, wird dank der Subventionen der Gesellschaft Souvenir Français, des Veteranenministeriums, des Präsidenten der Republik Elfenbeinküste, der Veteranenverbände und der Gemeinden im Becken von Arcachon eröffnet.

Nach mehrjährigen Forschungen gelang es den örtlichen Gedenkverbänden, der Stadtverwaltung von La Teste de Buch und dem Verteidigungsministerium, die Identität und Herkunft der Senegalschützen festzustellen. Im Rahmen der Gedenkfeiern zum 100. Jahrestag des Ersten Weltkriegs ließ das Verteidigungsministerium 2018 fünf Stelen errichten, die am 11. November eingeweiht wurden und die Namen der 956 afrikanischen Soldaten tragen, die auf diesem Friedhof beigesetzt wurden. Eine Stele trägt die Namen der russischen Soldaten und der beiden französischen Soldaten, die hier ruhen.

Das Verteidigungsministerium plant zur Aufwertung dieser Stätte die Schaffung eines Gedenkweges im Zentrum dieses Friedhofs, um den Weg der Soldaten hervorzuheben, die im Lager von Le Courneau gelebt haben.

Eine weiter Stele zu Gedenken an die Amerikaner wurde außerhalb des Lagers errichtet.

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Informationen

Anschrift


La Teste

Zusammenfassung

Accès :

Südlich von Arcachon. D 112

Superficie : 10 000 m²

Eléments remarquables

Denkmal für die 1914-1918 für Frankreich gefallenen Senegalesen.

Der Staatliche Soldatenfriedhof von Boulouris

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Der Staatliche Soldatenfriedhof von Saint-Raphaël-Boulouris. © Guillaume Pichard

 

Um die Infotafel des Friedhofs aufzurufen, klicken hier vignette Boulouris

 

In dem auf dem Gebiet der Gemeinde Saint-Raphaël gelegenen Staatlichen Soldatenfriedhof von Boulouris sind 464 bei den Kämpfen im August 1944 für Frankreich gefallene französische Soldaten begraben. Diese Soldaten aller möglicher Herkunft und Religionen gehörten zu der von General De Lattre de Tassigny befehligten, in der Provence eingesetzten Armee B.

Im März 1960 nimmt der Minister der Kriegsveteranen Raymond Triboulet das Angebot der Gemeinde Saint-Raphaël an, ein am Wald von Estérel gelegenes Grundstück in Boulouris zur Verfügung zu stellen, um dort einen Soldatenfriedhof zur Erinnerung an die Landung in der Provence einzurichten. Die Arbeiten dauern von 1962 bis 1963. Ab März 1964 werden aus den Gemeindefriedhöfen des Var (Draguignan, Toulon, Hyères, Cogolin, Saint-Tropez…) exhumierte sterbliche Überreste überführt. Der Soldatenfriedhof wird am 15. August 1964 von General De Gaulle, dem Präsidenten der Republik Frankreich, in Anwesenheit zahlreicher Kriegsveteranen aus Frankreich und Afrika eingeweiht, die sich zur Feier des 20. Jahrestages der Landung in der Provence zusammenfinden.

 

Die Operation Anvil-Dragoon

Zwei Monate nach der Landung in der Normandie am 6. Juni 1944 landen die Alliierten in der Provence.

Im November 1943 wird trotz großer strategischer Meinungsverschiedenheiten zwischen den Alliierten das Prinzip einer zweiten Landung in Südfrankreich zur Vervollständigung der Operation Overlord beschlossen. Winston Churchill hätte es vorgezogen, in Norditalien und dem Balkan aktiv zu werden. Stalin war dagegen und entschied sich für eine Landung in der Provence, die die Ostfront entlasten sollte. Für General De Gaulle bedeutete diese Operation eine Beschleunigung der Befreiung der Gebiete. Der amerikanische Präsident Roosevelt entschied sich schließlich für eine Operation in Südfrankreich.

Die wilde und felsige Küste der Provence ist mit ihren kleinen Stränden nicht besonders gut für eine umfangreiche Landung geeignet. Der an den Ufern relativ tiefe Meeresgrund jedoch ermöglicht einen Beschuss aus nächster Nähe und da Korsika nicht weit ist, können massiv Flugzeuge zum Einsatz gebracht werden. Und durch die Befreiung der Provence können vor Allem die für den Nachschub der alliierten Armeen in Frankreich überlebenswichtigen tiefen Häfen von Marseille und Toulon erneut genutzt werden.

Die 250 000 Mann starke 19. deutsche Armee unter General Wiese verteidigt Südfrankreich. Die deutschen Truppen vernachlässigen das Hinterland und die Sekundärachsen, um sich auf die wichtigsten Kommunikationsachsen wie das Rhône-Tal und das Küstengebiet zu konzentrieren. Die Marine und die Luftwaffe verfügen über sehr begrenzte Mittel und die Verteidigungsanlagen an den Küsten sind wesentlich weniger beeindruckend als die des Atlantikwalls, die zu befestigten Lagern ausgebauten Häfen von Toulon und Marseille dagegen werden erbittert verteidigt. Die beiden Häfen werden erst nach der Landung, die sie nicht direkt betrifft, eingenommen. Die Landung erfolgt auf einem 70 km langen Küstenstreifen zwischen den Orten Lavandou und Agay.

15. August 1944: die Alliierten landen in der Provence

Die Sturmtruppen werden dem amerikanischen General Alexander Patch, dem Sieger von Guadalcanal im Pazifik, unterstellt. Er befehligt die aus dem 6. amerikanischen Korps von General Truscott und der französischen Armee B von General De Lattre de Tassigny (der zukünftigen 1. Armee) gebildete 7. amerikanische Armee. Frankreich setzt mit dem Kriegsschiff Lorraine und zehn Kreuzern, darunter der Montcalm und der Georges Leygues, wesentlich mehr Seestreitkräfte ein als in der Normandie. Die in Südfrankreich und besonders in den Bergmassiven der Alpen sehr gut organisierten Französischen Freischützen und Partisanen (Forces françaises de l’Intérieur/FFI) betreiben den deutschen Truppen gegenüber im Hinterland eine Zermürbungstaktik, um die Landung zu unterstützen.

Die aus 1 370 Seefahrzeugen und 800 Kriegsschiffen zusammengesetzte alliierte Armada, die 500 000 Soldaten an Bord hat, legt in Korsika, Italien und Nordafrika ab. Sie wird von 1 500 Flugzeugen unterstützt. In der Nacht vom 14. zum 15. August springen mehr als 5 000 Fallschirmspringer hinter dem Gebirgszug Massif des Maures in der Region von Le Muy ab, während die feindlichen Batterien an der Küste von Kommandotruppen gestürmt werden. Im Morgengrauen geht ein schrecklicher, aus der Luft und von den Schiffen ausgehender Granathagel auf die Küste nieder und um 8 Uhr morgens landen die ersten amerikanischen Sturmtruppen an den zwischen Cavalaire und Saint-Raphaël gelegenen Stränden Alpha, Delta und Camel. Die Landung ist trotz des erbitterten feindlichen Widerstands im Sektor Saint-Raphaël ein voller Erfolg: am Abend des 15. Augusts besteht ein etwa 75 Mal 30 Kilometer großer Brückenkopf.

Die Befreiung von Toulon und Marseille

Am 17. August erhält die 19. deutsche Armee den Befehl zum Generalrückzug, mit Ausnahme der Garnisonen in Toulon und Marseille. Die Amerikaner nutzen ihre ersten Erfolge und rücken sofort in Richtung des Rhône-Tals und der Route Napoléon vor, wobei sie den Franzosen die schwierige Aufgabe überlassen, die zu befestigten Lagern ausgebauten Städte Toulon und Marseille einzunehmen.

Die Schlacht von Toulon dauert vom 18. bis zum 24. August an. Die 1. französische Division nimmt Hyères ein und rückt über die Küste weiter vor. Die 9. Kolonial-Infanteriedivision rückt über das Gebirge vor, während die 3. algerische Infanteriedivision Toulon von der Rückseite her einnimmt und dann in Richtung Marseille weiterzieht. Die französischen Truppen nähern sich mit der Unterstützung der Luftstreitkräfte und der Schiffsartillerie Toulon. Es werden erbitterte Kämpfe um die Forts der Stadt geführt. Letztere erinnern General De Lattre an die Kämpfe um Douaumont und Thiaumont, wo er 1916 Krieg führte. Die letzten, auf der Batterie von Cap Cépet auf der Halbinsel Saint-Mandrier verschanzten deutschen Soldaten kapitulieren am 28. August. Im Laufe der Schlachten um Toulon sind die Truppen des 3. DIA weiter in Richtung Marseille vorgerückt. Die französischen Soldaten dringen unter der Leitung von Widerstandskämpfern, die einen Aufstand anzettelten, bis ins Stadtzentrum vor. Sie heben nach heftigen Kämpfen in der Stadt die Widerstandsnester aus und befreien die Stadt am 28. August.

Der Vormarsch der Alliierten in Richtung Norden durch das Rhône-Tal und die Route Napoléon ist unaufhaltsam: Grenoble wird am 22. August und Lyon am 3. September befreit. Am 12. September treffen die aus der Normandie kommenden französischen Truppen der 2. DB in Montbard (Côte-d’Or) mit den aus der Provence Richtung Norden marschierenden Truppen zusammen.

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Boulouris

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ungeführte Besichtigungen das ganze Jahr über

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Accès :

Boulouris

Superficie : 5 920 m²
Nombre de corps : Einzelgräber: 464
Nombre de morts : 464
1939-45 : 464 Franzosen

Eléments remarquables

Gedenktafel zur Erinnerung an die Einweihung am 15. August 1964 durch General De Gaulle, den Präsidenten der Republik Frankreich.

Der Nationalfriedhof Luynes

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Nationalfriedhof Luynes. © Guillaume Pichard

Um die Infotafel des Friedhofs aufzurufen, klicken Sie hier vignette Luynes

Ende der 1950er-Jahre wurde beschlossen, in Luynes zu Ehren der französischen Soldaten des Kolonialreichs einen Friedhof für die in Südostfrankreich in den beiden Weltkriegen für Frankreich gefallenen Soldaten zu errichten.

Der Nationalfriedhof Luynes, mit dessen Errichtung 1966 begonnen wurde, umfasst die Leichen von über 11.000 französischen Soldaten, die in beiden Weltkriegen für Frankreich gefallen sind: 8.347 gefallene Soldaten im Krieg von 1914-1918 und 3.077 Soldaten von 1939-1945.

Die in Luynes beigesetzten Toten wurden von provisorischen Friedhöfen in den Departements Aude, Alpes de Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Gard, Hérault, Var, Vaucluse und Pyrénées-Orientales exhumiert. Gemäß dem Gesetz wurden die von den Familien geforderten Leichen zurückgegeben, damit sie in privaten Grabstätten beigesetzt werden konnten, während die anderen in Luynes begraben wurden: 8.402 Tote wurden einzeln beigesetzt und 3.022 Gefallene in Ermangelung ihrer Identität in drei Beinhäusern zusammengefasst. Dieser Vorgang dauerte bis 1968. Am 27. September 1969 fand die feierliche Einweihung dieses Friedhofs durch den ehemaligen Widerstandskämpfer sowie Leiter der Freischaren des nördlichen Loiret und Minister der Kriegsveteranen Henri Duvillard statt.

1914-1918, das Kolonialreich eilt Frankreich zu Hilfe

Zur Unterstützung seiner Kriegsanstrengungen greift Frankreich ab 1914 auf sein Kolonialreich zurück, das ihm Soldaten, Arbeiter (fast 200.000 Mann) und Rohstoffe liefert. Diese Truppen mit 600.000 Kämpfern kommen aus dem gesamten Kolonialreich: Schützen, Spahi und Zuaven aus Nordafrika, Schützen aus Schwarzafrika und Madagaskar, Soldaten aus Indochina, von den Antillen und aus dem pazifischen Raum. Diese Männer kämpften an den wichtigsten Fronten, von der Marne bis Verdun, von der Champagne bis Aisne, einschließlich der Ostfront.

Die Soldaten aus dem Kolonialreich erreichten Frankreich über Marseille, während andere dort durchkamen, um an die Ostfront zu gelangen. 1915 wurde das Lager Sainte-Marthe für die Kolonialtruppen eingerichtet.

Diese wenig an strenge Winter gewohnten Soldaten sind empfänglich für Lungenkrankheiten und Erfrierungen. Die heftigen Kämpfe, die schlechten klimatischen Bedingungen und die verheerende Hygiene in den Schützengräben führen zum Tod von 78.000 Menschen.

Im Winter werden die Kolonialsoldaten von der Front abgezogen und hauptsächlich in den Süden versetzt, wo sie einquartiert werden. Die vielen Verletzten und Kranken der französischen Armee, die von verschiedenen Fronten evakuiert wurden, insbesondere jene der Kolonialtruppen, wurden ebenfalls im Süden gepflegt. Trotz der Behandlungen starben mehrere Tausend von ihnen in den Krankenhäusern der Region und wurden vorerst auf örtlichen Friedhöfen beigesetzt. 8.347 Tote (davon 2.626 in Beinhäusern) wurden in Luynes erneut bestattet.

1939-1945, das französische Kolonialreich im Krieg

Wie schon 1914-1918 greift Frankreich im September 1939 auf die Truppen seines Kolonialreichs zurück. Zu diesem Zeitpunkt mobilisiert Frankreich und erklärt Nazi-Deutschland den Krieg. Die Kolonialsoldaten zeichnen sich an der Seite ihrer französischen Waffenbrüder in zahlreichen Gefechten aus. Unter ihnen auch die Senegalschützen (die trotz ihres Namens aus ganz Schwarzafrika stammen), die verbissen kämpfen. Neben den schweren Verlusten, die sie erleiden, werden sie manchmal auch Opfer von Repressalien durch die deutschen Truppen, die aus Wut über ihren Widerstand erbittert gegen sie vorgehen. So werden Massenhinrichtungen wie in Chasselay (Rhône) oder in Chartres begangen, bei denen die Überlebenden des 26. Regiments der Senegalschützen hingemordet werden. Dieses Verbrechen wurde damals vom Präfekten Jean Moulin angeprangert.

Ab Juli 1940 verpflichten sich mit der Anbindung bestimmter Gebiete des Kolonialreichs (insbesondere Französisch-Äquatorialafrikas) an das Freie Frankreich viele Freiwillige aus allen Ecken bei den Freien Französischen Streitkräften von General de Gaulle. Sie zeichneten sich besonders in der Schlacht von Bir Hakeim (Libyen) im Juni 1942 gegenüber den italienischen und deutschen Truppen von Rommel aus.

Nach der englisch-amerikanischen Landung in Nordafrika (November 1942) kehrt die afrikanisch-französische Armee in den Krieg gegen Deutschland und Italien zurück. Sie beteiligt sich am Angriff auf Tunesien, der mit der feindlichen Kapitulation im Mai 1943 endet, befreit Korsika im September und nimmt ab November aktiv als Teil des von General Juin befehligten französischen Expeditionskorps am Italienfeldzug teil. Die Schützen, Spahi und Goumiers aus Nordafrika zeichnen sich auf den Hängen des Belvedere (Februar 1944) aus und öffnen den Weg nach Rom in der siegreichen Schlacht am Garigliano im Mai 1944.

Zwei Monate nach der Operation Overlord in der Normandie landen die Alliierten am 15. August 1944 in der Provence. Die französische B-Armee (künftige 1. Armee) von General de Lattre de Tassigny setzt sich vorwiegend aus afrikanischen Soldaten zusammen. Nach heftigen Kämpfen befreien diese Truppen am 28. August 1944 die Häfen von Toulon und Marseille. Diese Tiefseehäfen sind für die Versorgung der alliierten Armeen in Frankreich besonders wichtig. Die 1. französische Armee rückt über den Rhone-Korridor vor und nimmt an der Vogesenschlacht sowie an der Offensive gegen Belfort (Herbst 1944) teil, wo marokkanische Streitkräfte und Schützen aufgrund des feindlichen Widerstands und schlechter Wetterbedingungen schwere Verluste erlitten. Dennoch befreiten diese Männer im Winter 1944-1945 das Elsass. Die 1. Armee überschreitet am 31. März 1945 den Rhein, dringt in das Zentrum Nazi-Deutschlands ein und besetzt Karlsruhe und Stuttgart.

Die in Luynes beigesetzten Kämpfer (3.077 Mann) von 1939-1945 sind vorwiegend in den Gefechten zur Befreiung der Provence gefallen, die auf die Landung vom 15. August 1944 folgten.

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Luynes

La nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors

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Nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors. © ECPAD


En 360°, partez à la découverte des nécropoles du Vercors (Drôme/Isère)


Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette necropole_Vassieux

 

La nécropole nationale de Vassieux-en-Vercors regroupe les tombes de 187 maquisards et civils morts pour la France lors des combats qui se déroulèrent sur le plateau du Vercors en juillet 1944. Créée en 1948 à l'initiative de l'Amicale nationale des Pionniers et Combattants volontaires du Vercors, cette nécropole rassemble les dépouilles des victimes des combats de 1944 dont les corps avaient été inhumés dans un cimetière provisoire situé aux Pouyettes, au nord du village de Vassieux. Ce cimetière, est devenu propriété de l'État.

À l'extérieur de l’enceinte, sont conservées les structures métalliques d’un DFS 230 et d’un Gotha 242, planeurs utilisés par la Luftwaffe, au cours d’opérations aéroportées notamment à Vassieux. Attenante à la nécropole, une salle du Souvenir conserve la mémoire de toutes les victimes du Vercors ; une plaque y rappelle que le corps du sergent Raymond Anne, maquisard de Vassieux, repose dans la crypte du Mont-Valérien, symbole du sacrifice de tous les morts des maquis de France. Une autre inscription affirme : "Ils ne veulent pas de nos regrets. Ils veulent survivre par notre courage et notre foi".

Le plateau du Vercors

Le Vercors, qui culmine à plus de 2 300 m d’altitude, représente une véritable forteresse naturelle de soixante kilomètres de long sur trente de large. Ce site devint un lieu de refuge pour toutes les victimes des mesures de discriminations politiques ou raciales de l’occupant et du régime de Vichy. Avec l’occupation de la zone sud, en novembre 1942, le Vercors devint aussi un lieu de résistance pour ceux qui refusaient l’idée d’une France soumise. Les réfractaires au Service de travail obligatoire vinrent grossir les rangs des maquis. Après la dissolution de l'armée d'armistice, des éléments du 11e régiment de cuirassiers, conduits par le lieutenant Geyer, s'installèrent dans la forêt de Chambarand. De son côté, le 6e bataillon de chasseurs alpins gagna les maquis de l'Isère. Ces deux unités participeront aux combats du Vercors.

En 1942, Pierre Dalloz et Jean Prévost eurent l’idée de transformer le massif en "Cheval de Troie pour commandos aéroportés", afin que le Vercors, situé sur les arrières de l’ennemi, appuie un débarquement allié attendu en Provence. Accepté par Jean Moulin et le général Delestraint, commandant de l’Armée Secrète, ce projet fut approuvé par la France Libre et devint le "plan Montagnards". Sa mise en œuvre fut confiée à Alain Le Ray puis, après Narcisse Geyer,  à François Huet, chefs militaires successifs du Vercors en liaison avec Eugène Chavant, chef civil du maquis. Au début 1944, le Vercors rassemblait près de 500 personnes, souvent très jeunes, ravitaillées par une population généralement favorable, approvisionnés en armes et en médicaments par de rares parachutages alliés.

Le 8 juin 1944, le Vercors répondit à l’ordre de mobilisation générale. Au fil des jours, plus de 3000 volontaires rejoignirent le Vercors. Le 3 juillet, Yves Farge et Eugène Chavant, rétablirent la République sur le massif. Les parachutages permirent progressivement d’équiper le maquis mais seulement en armes légères peu adaptées au combat en montagne. Les principales voies d’accès furent verrouillées et le massif devint pour l’ennemi un enjeu militaire symbolique.

Les combats du 21 au 27 juillet 1944

Le 21 juillet 1944, au travers de l’opération "Bettina", le général Karl Pfaum, commandant la 157ème division d’infanterie de réserve, engage plus de 10 000 hommes avec un appui aérien. Le massif montagneux est encerclé de toutes parts. Pendant que l’ennemi s’élance à l’assaut sur trois axes, la Luftwaffe largue une vingtaine de planeurs au-dessus de Vassieux et des hameaux environnants. La Résistance est prise au dépourvu d’autant que les maquisards, s’affairent à terminer l'aménagement d’un terrain d'atterrissage pour des avions de transport lourd, comme le Douglas DC3/C47/Dakota. Certains croient voir arriver les renforts alliés tant espérés. Les maquisards réagissent au mieux. Cependant, Vassieux tombe aux mains des commandos aéroportés. Ils abattent sans distinction résistants et civils. Au soir de cette intervention, 11 villageois ont été fusillés et 101 résistants tués. Face cette offensive générale, les groupes de résistants voisins alertés par les évènements à Vassieux, notamment des éléments du 11ème régiment de cuirassiers, contre attaquent et contraignent les Allemands à se retrancher dans les ruines du  village.

Dès l'après midi du 22 juillet, les conditions météorologiques sont mauvaises, interdisant tout renfort aérien en hommes et en matériel. Le 23, un nouveau raid aérien permet aux Allemands de recevoir des renforts. Les combats s’intensifient. Durant trois jours dans le village et aux alentours, les Allemands exécutent l’ordre reçu de "tout détruire". Sans distinction, combattants ou civils, hommes, femmes, enfants ou vieillards sont assassinés. Sur les 150 maisons du village, 140 sont complètement démolies. L'église, la mairie et l'école connaissent le même sort. Ce même 23 juillet, le verrou de Valchevrière au nord cède après d’âpres combats où tombe le lieutenant Chabal. Dans l’après-midi le commandement militaire donne l’ordre de dispersion et le retour au maquis. Cet ordre a sauvé un grand nombre de maquisards. Cependant, ceux qui tentèrent de franchir les lignes allemandes ont subit de lourdes pertes.

Le 24, les Pas de l’Est sont franchis par l’ennemi (Pré-Grandu) qui atteint d’autre part le col du Rousset. Les maquisards blessés mais valides évacuent la Grotte de la Luire, transformée en hôpital. Le 25, les différents détachements allemands font leur jonction. La Chapelle-en-Vercors est pillée, 16 otages exécutés. Le 27, les Alliés bombardent le terrain d'aviation de Chabeuil au sud du plateau, mais il est trop tard. Ce même jour, à la Grotte de la Luire, les grands blessés sont achevés par des éléments de la 157e DI qui conduit, partout, des actions répressives.

Après 56 heures de combats acharnés et inégaux, le Vercors est à genoux. Plus de 600 résistants et une centaine d’Allemands sont tués. La population civile paie un lourd tribut : 201 personnes sont tuées, 41 autres sont déportées, 573 maisons sont détruites. Cependant, le Vercors se relèvera : plus de 1500 maquisards reprirent le combat au sein des 6ème BCA et 11ème cuirassiers, unités du Vercors, tandis que la reconstruction du plateau sera engagée.

Pour le prix de son martyre, Vassieux-en-Vercors devient par décret du 4 août 1945, "ville compagnon de la Libération". Un honneur rare qui n'a échu qu'à quatre autres villes : Paris, Nantes, Grenoble et l'île de Sein.

 


 

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Informationen

Anschrift

Vassieux-en-vercors
Au nord de Die D 178

Wöchentliche Öffnungszeiten

Visites libres toute l’année

Gedenkstätte Viel-Armand, Hartmannswillerkopf, Friedhof von Silberloch

Aktie :

Quelle: MINDEF/SGA/DMPA-ONACVG

1921: Errichtung (Grabenkämpfe im Oberelsass: Vieil-Armand, Hirtztein, Rehfelsen, Steinbach)

 

1921 bis 1926: Zusammenführung der exhumierten sterblichen Überreste aus den Schlachtfeldern oder den Soldatenfriedhöfen von Wattwiller, Steinbach, Uffholtz, Willer, südlich von Thann, Doller usw.

 

1982: Gesamtsanierung.

 

Der Hartmannswillerkopf ist ein Felsvorsprung, der hoch über die Ebene des Elsass, südlich der Vogesen, ragt. Er zählt zu den vier nationalen Gedenkstätten des Ersten Weltkrieges.

 

Während dem Ersten Weltkrieg nimmt der Hartmannswillerkopf, der Felsvorsprung, der hoch über die Ebene des Elsass, südlich der Vogesen, ragt, eine strategische Rolle ein. 

Mehr als 150.000 Soldaten aus Regimenten von ganz Frankreich, insbesondere das Jägerbataillon und die Roten Teufel des Regiments von Colmar, verlieren in den vier Jahre anhaltenden Kämpfen zur Rückeroberung des Elsass ihr Leben.

Über 25.000 Offiziere, Unteroffiziere und Soldaten fallen als „Vieil Armand“, wie die Frontsoldaten damals bezeichnet wurden.

 

Der 956 m hohe Hartmannswillerkopf liegt in den Vogesen und ist eine der vier nationalen Gedenkstätten des Ersten Weltkrieges, wo er eine wichtige strategische Rolle einnahm. An den Hängen des „Vieil Armand“ sterben nahezu 25.000 französische Soldaten. Der Ort wurde 1921 unter Denkmalschutz gestellt und wird dank einer staatlichen Geldzuwendung und unter der Schirmherrschaft des Präsidenten der Republik und fünf Marschalls von Frankreich umgebaut. Zwischen 1924 und 1929 werden an diesem Ort des Gedenkens weitere Gebäude erbaut.

 

Im Oktober 1932 wird die Stätte vom Präsidenten der Republik, Albert Lebrun, eröffnet.

 

Heute zählt der ehemalige Kampfplatz zu den am besten erhaltenen Gedenkstätten Frankreichs.

45 km Wege und Pfade ermöglichen den Zugang zu verschiedenen französischen Bauwerken, wie den Roche Sermet oder den Roche Mégard sowie zu Bauwerken, die von den Deutschen errichtet wurden (Aussichtsfelsen usw.). Auf diesen Wegen gelangt der Besucher auch zu einem Friedhof, einer Gedenkstätte für das 152. Infanterieregiment, verschiedenen Säulen (zum Gedächtnis der Opfer von Serret, Chambaud und Leutnant Pierre Scheurer, gestorben am 28. April 1915) sowie zu den deutschen Gedenkstätten, unter ihnen die für die Gebirgsjäger sowie eine Treppe mit 560 Stufen, die symbolisch in den Himmel führen.

 

Der am Hang gelegene Friedhof von Silberloch beherbergt 1.264 Gräber von identifizierten Soldaten sowie sechs Beinhäuser. Der Friedhof wird dominiert von einem Altar des Vaterlands, der gen Osten in Richtung des Gipfels des Hartmannswillerkopfes ausgerichtet ist. Er wurde errichtet auf einem Vorplatz aus Stein, oberhalb der Krypta.

 

Identisch mit dem Bauwerk von 1790 steht er symbolisch für die Massen an Freiwilligen, die an die Front zogen, um die Republik zu verteidigen. Auf den vier Seiten finden sich die Namen der Städte, die zur Finanzierung dieser Gedenkstätte beigetragen haben: Paris, Straßburg, Colmar, Mühlhausen, Besançon, Metz, Lille, Rouen, Lyon, Marseille,

 

Bordeaux, Nantes...

Ein 24 m langer Pfad führt zur Mitte der Krypta, wo sich ein Beinhaus befindet. Hinter einem Schild aus Bronze mit sechs Metern Durchmesser befinden sich die sterblichen Überreste von 12.000 unbekannten Soldaten. In goldenen Buchstaben ist das Wort „Patrie“ (Vaterland) in das Schild eingraviert. Der Eingang zur Krypta ist durch ein Eisengitter verschlossen, das die Inschrift Ad lucem perpetuat trägt. Es wird geschützt durch zwei Erzengel, die vom Bildhauer Antoine Bourdelle angefertigt wurden.

 

Im Innenbereich findet der Besucher Waffen und sonstige Fundstücke von den Schlachtfeldern sowie Fotos und Skulpturen. An den Wänden des Ganges, der zur Krypta führt, wurden Bronzetafeln angebracht. Sie sind verziert mit den Nummern der 101 Einheiten, Regimente und Bataillons, die 52 Monate lang auf den Schlachtfeldern gekämpft haben. Eine katholische Kapelle mit einer Statue der Jungfrau, die ebenfalls von Antoine Bourdelle angefertigt wurde, enthält Inschriften von Mgr Ruch, dem ersten Bischof von Straßburg nach 1918.

Es finden sich auch protestantische und jüdische Orte. Ein Kreuz aus Beton, 20 m hoch und 5,25 breit, ragt über die Gedenkstätte in die Höhen der Vogesen. In der Nacht vom 10. auf den 11. November 1936 wird es erstmals angestrahlt.

 

 

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Informationen

Anschrift

Route des crêtes Wattwiller 68700
Wattwiller
Tél.: 03 89 75 50 35

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ganzjährig geöffnet von 14 Uhr bis 18 Uhr

Fermetures annuelles

Vom 1. Mai bis Ende Oktober, ausschließlich an Sonn- und Feiertagen

Neufchâteau

Aktie :

Quelle: Seite 14-18.mesdiscussions.net

Umzug: 1924, 1934, 1935, Zusammenführung der sterblichen Überreste, die von den Friedhöfen in Neufchâteau und der Umgebung, vom Südwesten der Departements Vosges (Contrexéville...), Maxey-sur-Meuse und Colombey-les-Belles, in Meurthe-et-Moselle übersiedelt wurden.

1955 bis 1962, Zusammenführung der Gefallenen der Jahre 39-45.

 

1961, umfassende Instandsetzung.

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Informationen

Anschrift

88300
Neufchâteau

Zusammenfassung

Superficie : 6 206 m²
Nombre de corps : Einzelgräber: 1008
1914-18 : 833 Franzosen 120 Deutsche 1 Russe 2 Polen
1939-45 : 47 Franzosen 5 Briten

Eléments remarquables

Monument zu Ehren der Toten von 1914-1918, 1939-1945.

Riche

Aktie :

Nationalfriedhof Riche. Quelle: MINDEF/SGA/DMPA-ONACVG

 

Um die Infotafel des Friedhofs aufzurufen, klicken Sie hier vignette Riche

 

Der Nationalfriedhof Riche, der drei Kilometer südlich von Morhange auf den ehemaligen Stellungen der Soldaten des 37. RI und des 4. BCP liegt, umfasst die sterblichen Überreste der im August 1914 bei der Grenzschlacht für Frankreich gefallenen Soldaten. Der nach den Gefechten angelegte Friedhof beherbergt die vereinzelt in den umliegenden Gemeinden gefundenen Leichen, insbesondere in Morhange und Achain. Er wird 1924 eingeweiht, um den 10. Jahrestag dieser Kämpfe zu feiern. Der Friedhof versammelt auf einer Fläche von 12.990 m2 die sterblichen Überreste von fast 2.500 französischen Soldaten, von denen über 1.000 auf zwei Beinhäuser aufgeteilt sind, sowie 158 Leichname russischer Soldaten.

 

Schlacht von Morhange, Grenzschlachten, 19. - 20. August 1914

Zu Ende des deutsch-französischen Krieges von 1870-1871 wird die Grenzziehung geändert. Morhange wird daher von den Deutschen besetzt.

Am 2. August 1914 starten die deutschen Truppen über das „neutrale“ Belgien eine große Angriffsbewegung über die Flanke, um die französische Armee einzukesseln. General Joffre beschließt unter Anwendung von Plan XVII, die feindlichen Linien in Elsass-Lothringen zu durchbrechen, um die nach der Niederlage von 1871 verloren gegangenen Departements zurückzuerobern.

Die 2. französische Armee überschreitet am 14. August 1914 die Grenze in Lothringen und stößt Richtung Morhange vor. Die schnell vorrückenden Franzosen erreichen am 18. August die Stadt Dieuze. Am 19. treten sie mit der VI. Armee von Prinz Rupprecht von Bayern in Kontakt. 

Der Feind, der Herr über das Gebiet ist und über eine große schwere Feldartillerie verfügt, die im Hinterhalt platziert ist, bedrängt die Franzosen der 11. Division, die Eiserne Division genannt wird. Als bevorzugtes Ziel werden sie vor Ort festgenagelt und schnell überlaufen. Um die Stellung zu halten sind die französischen Soldaten im Nahkampf unter Zeitdruck gezwungen, sich Hals über Kopf zurückzuziehen und auf dem Schlachtfeld fast 7.000 Tote und 10.000 Verwundete zurückzulassen. Am Abend des 20. August ist die französische Offensive zusammengebrochen. Erschöpft ziehen sich die Franzosen in Richtung der Grand-Couronné von Nancy zurück, wo sich im September 1914 das Schicksal des französischen Lothringen entschied.

Der Erfolg der deutscher Armee ist eindeutig. Die französische Seite ist erstaunt und desillusioniert. Die am Vorabend des Krieges geplante und gepriesene Doktrin der Offensive bis zum Äußersten hat sich für die Realitäten des Feldzugs im Sommer 14 als ungeeignet erwiesen.

Der deutsche Sieg ist jedoch kein totaler. Die französische Offensive hat nicht nur feindliche Truppen in Lothringen zurückgehalten, die im Westen für den Marsch auf Paris eingesetzt werden hätten sollen, sondern die Franzosen haben sich auch geordnet zurückgezogen. Sie haben nur wenige Gebiete verloren und Nancy behalten. Die Front gerät ins Stocken. Joffre befiehlt den Truppen, sich an die Marne zurückzuziehen, wo sie die moralischen und körperlichen Mittel für eine neuerliche Offensive finden sollten. Die Schlacht an der Marne sollte der erste französische Sieg im Ersten Weltkrieg werden. Ende 1914 stabilisiert sich die Front entlang der Mosel und im Departement Meurthe-et-Moselle.

Der Friedhof von Riche

Vier Tage nach diesen heftigen Kämpfen werden Zivilisten von den Deutschen herangezogen, um die Korps zu verstärken, mit denen es aufgrund der Hitze schnell abwärts geht. Die Aufgabe ist besonders hart und die Zivilisten begraben in der Eile diese sterblichen Überreste in riesigen Massengräbern, auf denen sie für die Deutschen eine Pickelhaube und für die Franzosen ein Képi aufstellen. Heute veranstaltet die lokale Bevölkerung, die der Erinnerung an diese tragische Episode sehr treu geblieben ist, jedes Jahr eine Gedenkfeier.

Das 1924 von der Veteranenvereinigung des 37. RI errichtete Regimentsdenkmal ehrt das Gedenken an die in Lothringen gefallenen französischen Soldaten, insbesondere jene des 37. RI, die in Riche ihre Feuertaufe erlebten. Dieses Beinhaus-Denkmal enthält die sterblichen Überreste von fünfzehn Soldaten, die vor allem aus dem 37. RI stammten. Dieses Werk des Architekten Marchal wurde von der Familie Gardeur gespendet, deren Sohn in diesem Beinhaus-Denkmal ruht.

Unter den bestatteten Soldaten ruht Leutnant de Castelnau (Grab 969), dessen Vater General de Castelnau die Operationen von Morhange anführte.

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Informationen

Anschrift


Riche

Zusammenfassung

Accès :

Südlich von Morhange

Superficie : 14 990 m²
Nombre de corps : Einzelgräber : 1 486
Beinhäuser (3) :1 088 + eine unbestimmte Anzahl Russen
Nombre de morts : 2574
1914-18 : 2 416 Franzosen
158 Russen

Eléments remarquables

Kriegsdenkmal für die Kämpfe vom 19.-20. August 1914. Gedenkkapelle. Grab von Joseph de Curières de Castelnau, Leutnant des 4. B.C.P., Sohn des Generals, am 20. August 1914 für Frankreich gefallen.

Der Staatliche Soldatenfriedhof von Dieue

Aktie :

Der Staatliche Soldatenfriedhof von Dieue. © Guillaume Pichard

 

Um die Infotafel des Friedhofs aufzurufen, klicken Sie hier vignette Dieue

 

Auf dem Staatlichen Soldatenfriedhof von Dieue sind bei den Schlachten an den Hauts-de-Meuse zwischen 1941 und 1918 für Frankreich gefallene Soldaten begraben. Auf diesem 1914 angelegten Friedhof sind in den in dem Dorf untergebrachten medizinischen Einrichtungen verstorbene Soldaten begraben. 1922 wurde der Friedhof umgebaut und bot bis 1927 den aus den Friedhöfen der Nachbargemeinden (Ailly-sur-Meuse, Dugny-sur-Meuse, Les Eparges, Haudainville, Maizey, Mouilly, Ranzières, Vacherauville und Vaux-lès-Palameix) exhumierten sterblichen Überresten eine letzte Ruhestätte. Dieser 2 025 m² große Soldatenfriedhof umfasst mehr als 300 Einzelgräber, in denen französische Soldaten begraben sind.

Die Schlachten der Hauts-de-Meuse

Aufgrund der Initiative der Franzosen an der Marne und des Widerstands des Forts von Troyon tritt die 5. deutsche Armee am 13. September 1914 den Rückzug an. Sie zieht sich in die sumpfige Ebene des Waberlands zurück, wo sie über bereits installierte Stellungen verfügt. Am 20. September greifen die Deutschen Etain in Pont-à-Mousson an und dringen in Saint-Mihiel bis zur Maas vor. Innerhalb von wenigen Tagen schaffen sie so eine Ausbuchtung in der französischen Front, werden jedoch vom 16. Armeekorps aufgehalten. Die Deutschen halten ihre Stellungen. Dieser zwischen Verdun und Saint-Mihiel gelegene Sektor wird im Jahr 1915 zum Schauplatz mörderischer Kämpfe. Die Infanterie wird an der Tranchée de Calonne, im Chevaliers-Wald, im Wald von Ailly und im Bois-Brûlé-Wald schwer bedrängt. Diese im Süden von Saint-Mihiel gelegenen Sektoren sind den ganzen Krieg über stets sehr aktiv.

Auf dem hoch über dieser Ebene liegenden Eparges-Kamm finden schwere Kämpfe statt, bei denen Tausende von Soldaten ihr Leben lassen. Der Gipfel der Anhöhe wird durch die Explosion von den Sapeurs der beiden Gegner angelegter unterirdischer Minen zerstört. Vom 5. bis 14. April 1915 greift die 1. französische Armee im Waberland und in den Hauts-de-Meuse an. Der Feind wehrt sich erbittert und es gilingt ihr nicht, den Kamm einzunehmen.

Vom 22. bis 26. Februar 1916 ziehen sich die Franzosen aufgrund des deutschen Drucks auf Verdun aus dem Waberland zurück und verschanzen sich im Fort von Moulainville, das wochenlang von den Deutschen bombardiert wird. 1917 erstarrt die Front aufgrund mangelnder personeller Ausstattung bis zur französisch-amerikanischen Offensive gegen die Ausbuchtung der Front bei Saint-Mihiel. Dieser Angriff wird am 12. September 1918 gestartet; 9 amerikanische und 4 französische Divisionen, unterstützt von 3 000 Kanonen, 1 500 Flugzeugen und 200 Panzern drängen den Feind an die Grenze zurück und machen 16 000 Gefangene. Die Front stabilisiert sich bis zum Waffenstillstand im November 1918.

Dieue, ein Dorf in der Nähe der medizinischen Einrichtungen

Während der Operationen im Jahr 1915 werden in Dieue zahlreiche Truppenunterkünfte und zwei Hauptquartiere eingerichtet. Es werden zahlreiche Verwundete in das zum Militärkrankenhaus umfunktionierte Dorf gebracht, im Besonderen die Soldaten der 68. und der 28. Division. Die Ambulanz 2/14 ist auf einige Häuser im Dorf verteilt, von denen eines (am Place du Jeu-de-Quilles) heute noch eine Fassade mit einem Roten Kreuz zeigt. Die Schwerverletzten werden von den Ambulanzen der Divisionen in La Calonne hierher geschickt, um operiert und versorgt zu werden. Danach werden sie in das Orientierungs- und Evakuierungs-Krankenhaus von Petit-Monthairon überführt und dann ins Krankenhaus von Queue-de-Mala gebracht. Von dort aus werden sie per Bahn oder mit Sanitärfahrzeugen in die Krankenhäuser von Bar-le-Duc evakuiert.

Die 1915 gefallenen Soldaten gehörten dem 8., 11., 51., 67., 106., 110., 128., 132. IR und dem 25. BCP an, deren Divisionen in Les Éparges und an der Tranchée de Calonne in den Kampf zogen. Sie wurden in anderen Sektoren beigesetzt; in Petit-Monthairon steht zum Beispiel noch eine Stele mit der Nummer der Einheiten, die hier begraben waren und in den Friedhof von Dieue überführt wurden. Direkt nach dem Krieg wurde ein Denkmal an die damals 284 an diesem Ort begrabenen Soldaten gebaut. Auf ihm sind die Namen der Einheiten zu lesen, aus denen die auf diesem Friedhof bestatteten, aus allen Regionen Frankreichs und seiner Kolonien stammenden Soldaten kamen.

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Anschrift


Dieue

Wöchentliche Öffnungszeiten

Ungeführte Besichtigungen das ganze Jahr über