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Airborne Museum

Aktie :

Vivez l’expérience des paras du Jour-J

Exposition : « La France combattante - Les Forces Françaises Libres de 1940 à 1945 » > Avril à Novembre 2019
        ►Depuis l'entrée en Guerre de la France en 1939 jusqu'à la signature de l'armistice de mai 1945, suivez le parcours héroïque des soldats français pendant la Seconde Guerre Mondiale. Après la défaite de la Bataille de France en juin 1940, l'Armée Française devient l'Armée d'Armistice. Sous la gouverne du Maréchal Pétain, elle n'en est pas moins sous le contrôle et à la botte du IIIe Reich d'Adolf Hitler.  En réponse à cette humiliation ultime, une autre France, qui ne veut et ne peut se soumettre au joug nazi, se dessine dès lors : il s'agit de la France Libre impulsée depuis Londres par le Général  De Gaulle. De 1940 à 1945, du désert de Lybie jusqu'aux monts escarpés d'Autriche, vous accompagnerez l'extraordinaire destinée de ses Français combattants qu'ils fussent marins, aviateurs, ou bien soldats des forces Françaises libres.

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Consulter l'offre pédagogique en ligne >>>  Airborne museum


 

https://prod-cheminsdememoire.cnmosis.dirisi.defense.gouv.fr/sites/default/files/inline-images/airborne-museum-DP-2019_1.jpg

 

L’Airborne Museum est situé au cœur de Sainte-Mère-Eglise, face au clocher sur lequel le parachutiste John Steele est resté suspendu. A travers une muséographie spectaculaire et réaliste, l’Airborne Museum vous fera vivre le Débarquement aux côtés des parachutistes Américains des 82ème et 101ème Airborne. De la préparation du Jour-J en Angleterre, jusqu’aux combats qui menèrent à la Liberté, vous accompagnerez les troupes aéroportées dans leur chemin vers la Victoire. Découvrez une exceptionnelle collection d’objets historiques, un authentique planeur et un avion C-47 ayant participé aux opérations du Jour-J.

Une extension majeure : Opération Neptune et le Centre de conférence Ronald Reagan.

Dans le bâtiment "Opération Neptune" préparez-vous à vivre les parachutages du 6 juin 1944 ! Embarquez de nuit dans un véritable avion C-47 en Angleterre, puis atterrissez sur la place de Sainte-Mère-Eglise au milieu des combats et prenez part aux opérations qui suivirent !

A  partir de Mai, au sein du centre de conférence Ronald Reagan, découvrez une exposition inédite : « La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944 » ainsi que dans le cinéma un film de 20 minutes qui retrace avec émotion la vie sous l’occupation allemande puis la libération de Sainte-Mère-Église et du Cotentin.

 

 

 

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Exposition : 01>09 Juin 2019

Les + :

  • Airborne Reality (depuis avril 2016): Munis de votre Smartphone ou votre tablette, téléchargez gratuitement l’application du musée et créez votre propre visite guidée en fonction de vos centres d’intérêt et de votre temps de visite !

Grâce à la réalité augmentée, soyez les témoins privilégiés du Débarquement et des parachutages sur Sainte-Mère-Eglise!

Téléchargement gratuit au musée, depuis le site web www.airborne-museum.org ou via Google Play et l’App Store. Application en français et anglais, puis, dans les mois à venir, en néerlandais.

  • Exposition (à partir de juillet 2016): La bataille des Ardennes, Bastogne, hiver 1944. A travers cette exposition, revivez les évènements de cette bataille.

Le 16 Décembre 1944, Hitler lance une offensive de grande envergure à travers les Ardennes belges pour reconquérir le port d’Anvers et repousser les forces alliées.  Ces dernières sont prises par surprise du fait de la soudaineté et de la rapidité de l’attaque. En urgence, le Général Eisenhower décide d’envoyer en renfort des unités qu’il tient en réserve en France. La bataille des Ardennes a été plus qu’éprouvante et meurtrière pour les forces alliées qui devaient faire face à un hiver très rigoureux et un manque criant de ravitaillement en nourriture et en armes. L’armée allemande ne sera mise en échec qu’après l’apparition d’une accalmie salutaire permettant le ravitaillement des troupes au sol et facilitant l’arrivée de l’armée du Général Patton. La bataille des Ardennes ne prendra fin que fin janvier 1945.

Cette exposition inédite mettra également en lumière la voie de la liberté partant de Sainte-Mère-Eglise et arrivant à Bastogne ainsi que le rôle de l’armée Patton au sein de la bataille des Ardennes.

 

Guides de visite sous forme de livrets-jeux disponibles de 6 à 15 ans, téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place +1€/enfant

 

 

Sources : ©Airborne Museum
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Informationen

Anschrift

14 rue Eisenhower 50480
Sainte-Mère-Église
02 33 41 41 35

Gebühr

IndividuelsADULTE : 8.00 €ENFANT (6 à 16 ans) : 5.00 €Famille :2 adultes et 2 enfants payants minimumADULTE : 7.50 €ENFANT : 4.00 €Groupes AdultesVisite Libre : 6.00€ / adulteVisite guidée (1h15) à partir de 20 personnes :7.30€ / adulte- Une gratuité pour 20 payants- Guide et chauffeur gratuits- Groupes enfantsVisite Libre : 4.00€ / enfantVisite guidée (1h15) à partir de 20 enfants : 5.30€ / enfant- Une gratuité pour 10 payants- Guide et chauffeur gratuitsGuide de visite enfants et adolescents :• CP à CE2 (6 à 9 ans)• CM1 à 6ème (9 à 12 ans)• 5ème à 3ème (13 à 15 ans)Téléchargement gratuit sur www.airborne-museum.org ou achat sur place : +1€/ enfant

Wöchentliche Öffnungszeiten

Horaires du MuséeDe mai à Août : 9h-19hAvril et septembre : 9h30-18h30Octobre à mars : 10h-18h

Fermetures annuelles

Fermé en décembre et janvier sauf vacances de Noël

Musée de l'Artillerie

Aktie :

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Informationen

Anschrift

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Gebühr

entrée gratuite

Wöchentliche Öffnungszeiten

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Henri Mathias Berthelot

1861-1931

Aktie :

Henri Berthelot wurde am 7. Dezember 1861 als Sohn eines Hauptmanns der Gendarmerie in Feurs im Departement Loire geboren. Nach seinem Abschluss in Saint-Cyr entschied er sich als Viertbester seines Jahrgangs für die Kolonialtruppe. Als Unterleutnant im 1. Zuavenregiment von Koléas in Algerien ging er anschließend nach Indochina, wo er seine Feuertaufe ablegte. Er wurde 1886 zum Leutnant ernannt und im Juli 1887 zum Ritter des Drachenordens von Annam geschlagen. Eine Fieberkrankheit führte ihn zurück nach Frankreich, wo er sich dem 96. Infanterieregiment in Gap anschloss.

Nach seiner Aufnahme in die École supérieure de guerre (Kriegshochschule) erhielt er sein Stabspatent und wurde 1891 zum Hauptmann befördert. Anschließend ging er nach Österreich, um sein Deutsch zu verbessern. Er wurde Ordonnanzoffizier unter General Joseph Brugère im 132. Infanterieregiment in Reims und anschließend im 8. Armeekorps in Bourges. Nachdem er in das zweite Armeekorps in Amiens eingetreten war, wurde er im Dezember 1897 zum 132. Infanterieregiment nach Reims zurückversetzt und im Juli 1899 zum 115. Infanterieregiment versetzt.
Nachdem er sich General Brugère, dem damaligen Militärgouverneur von Paris, angeschlossen hatte, beaufsichtigte er die Organisation des Armeepavillons während der Weltausstellung 1900. Im November desselben Jahres wurde er zum Bataillonschef ernannt und begleitete 1901 als Ordonnanzoffizier von Brugère Zar Nikolaus II. nach Reims.

1903 wurde er Kommandeur des 20. Bataillons der Fußjäger in Baccarat. Von Brugère im Januar 1906 zurückgerufen, wurde er im Dezember in das 2. Büro der Infanteriedirektion berufen. Im März 1907 wurde er Oberstleutnant und im Oktober Sekretär des Technischen Komitees des Generalstabs. Im Jahr 1910 zum Oberst befördert, übernahm er im folgenden Jahr die Leitung des 94. Infanterieregiments in Bar-le-Duc. 1913 wurde er in den Stab von Joffre, dem Generalstabschef der Streitkräfte, aufgenommen. Er war an der Ausarbeitung von Plan XVII beteiligt, dem Plan zur Mobilisierung und Konzentration der französischen Armee im Falle eines Kriegseintritts, und glaubte nicht an eine deutsche Bewegung durch Belgien.

Im Jahr 1914 war er als erster Generalstabsassistent von General Joffre für Operationen zuständig. Nach den Fehlschlägen im August in Ungnade gefallen, erhielt Berthelot am 21. November seinen Versetzungsbescheid an die Spitze der 5. Gruppe der Reservedivisionen. Im Januar 1915 leitete er eine Offensive bei Crouy in der Nähe von Soissons. Nach harten Kämpfen war er gezwungen, sich hinter die Ausgangspositionen zurückzuziehen.
Vom 3. August 1915 bis zum 19. September 1916 befehligte er das 32. Armeekorps (32. CA) oder „Groupement Berthelot", das im September/Oktober an der Champagne-Offensive teilnahm. Im März 1916 befand sich das 32. CA in Verdun, wo es die Anhöhe des Mort-Homme und die Höhe 304 zurückerobern sollte. Im Juni verließ das 32. CA Verdun, um in den Vogesen und später in der Somme zu dienen.

Am 14. Oktober 1916 leitete er die französische Militärmission in Rumänien, die fast 2.000 Offiziere und Unteroffiziere umfasste. Er strukturierte die rumänische Armee neu, die eine schwere Niederlage gegen Deutschland erlitten hatte und in Moldawien nur mühsam Widerstand leistete.. Nach dem Rückzug Russlands aus dem Konflikt von den Alliierten abgeschnitten, unterzeichnete Rumänien am 9. Dezember 1917 den Waffenstillstand von Focșani.

Nach seiner Rückkehr nach Frankreich übertrug General Foch General Berthelot vom 5. Juli bis zum 7. Oktober 1918 das Kommando über die 5. Armee, die an den Schlachten vor Reims und Epernay teilnahm.

Am 7. Oktober wurde er als Leiter für eine rumänische Mission abberufen. Seine Funktion war sowohl diplomatisch als auch militärisch. Nachdem die rumänische Armee modernisiert und umstrukturiert worden war, griff Rumänien am 10. November wieder zu den Waffen, während gleichzeitig die Zentralreiche zusammenbrachen. Diese erneute Militärintervention diente sowohl der Eindämmung des russischen revolutionären Drucks auf dem Balkan als auch der Erfüllung einiger rumänischer Gebietsansprüche, insbesondere im Hinblick auf Siebenbürgen und das nördliche Banat.

Nach der deutschen Niederlage wurde er damit beauftragt, während des Ungarisch-Rumänischen Krieges 1919 gegen die russischen Bolschewiki in Bessarabien und später gegen die ungarischen Bolschewiki in Siebenbürgen zu kämpfen. Anschließend war er bis 1922 Militärgouverneur in Metz und von 1923 bis 1926 in Straßburg.

Er starb im Januar 1931 in Paris und wurde in Nervieux, seiner Heimatregion im Forez beigesetzt.

Er war u. a. Träger des Großkreuzes der Ehrenlegion, des Kriegskreuzes 1914-1918 mit drei Palmen, der Militärmedaille, der interalliierten Medaille 1914-1918 sowie zahlreicher ausländischer Auszeichnungen.

Verteidigungsministerium/SGA/DMPA

Benjamin Fondane

1898-1944

Aktie :

Benjamin Fondane im Jahr 1938. Quelle: www.fondane.org

(Jassy, Rumänien, 14. November 1898 - Auschwitz, 2. oder 3. Oktober 1944)

Benjamin Wechsler (oder auch Vecsler) nimmt für seine Literaturkarriere den Namen B. Fundoianu an. In seinen frühen Jahren als Schriftsteller verfasst er ein beachtliches Werk in rumänischer Sprache. Fondane zählt zu den rumänischen Schriftstellern, die von der Ausstrahlung der französischen Literatur begeistert sind und sich von ihr verzaubern lassen. 1923 führt ihn sein Weg unter dem Namen Fundoianu nach Paris, wo er sich dann Benjamin Fondane nennt. Trotz der in ihn gesetzten Hoffnung konnte Fondane dem Surrealismus nichts abgewinnen. 1928 schließt er sich der Gruppe „Discontinuité“ an und entdeckt seine Liebe für das „Große Spiel“ von René Daumal.

Allerdings ist es dann das Zusammentreffen mit Léon Ghestov, das das Leben und die Werke von Fondane maßgeblich bestimmen wird. Ab diesem Zeitpunkt verfasst er seine Werke in französischer Sprache. Im Jahr 1933 erscheinen gleichzeitig sein Gedicht Ulysse und sein Essay Rimbaud le voyou, die sehr beachtlich sind: Die existentielle Lesung von Rimbaud richtet sich eindeutig gegen die Interpretation von Breton und den Surrealisten. Mit Faux traité d'esthétique (1938) hingegen verfasst er ein kritisches Werk über den Surrealismus in existentieller Dichtkunst.

Die Gedichte von Fondane, wie z. B. Ulysse (1933) und Titanic (1938) sind herb, prophetisch und fast schon weinerisch. Seine gesammelten Gedichte sind erschienen unter dem Titel Le mal des fantômes. Sie bilden eine Art existentielle Odyssee, in der die Figur des umherirrenden Dichters dominiert, leibhaftiger Mensch, Dichter und Jude. Im Jahr 1936 erscheint sein erstes philosophisches Buch La conscience malheureuse, und es enthält Essays, die Ghestov, Kierkegaard, Husserl, Heidegger und weiteren Künstlern gewidmet sind. Fondane ist zeitlebens fasziniert vom Theater und er schreibt mehrere Bühnenstücke: Dramatische Gedichte, metaphysische Dramen (Le festin de Balthazar, Philoctète). Er kooperiert mit Cahiers du Sud, wo er die Rubrik „Philosophie vivante“ schreibt.

Nachdem er 1938 die französische Staatsbürgerschaft erhalten hat, wird Fondane 1940 zum Militärdienst einberufen. Er wird gefangen genommen, es gelingt ihm aber die Flucht. Als er wieder aufgegriffen wird, wird er aus gesundheitlichen Gründen wieder freigelassen. Im Winter 1942 verfasst er Baudelaire und die Erfahrungen am Abgrund. Gleichzeitig arbeitet er an dem Werk L'Être et la connaissance, Essays über Lévy-Bruhl, Ghestov und Lupasco. Sein letzter Essay Le lundi existentiel et le dimanche de l'histoire gleicht einem philosophischen Testament. Er beschreibt seine Philosophie von Freiheit, des Möglichen, dem bahnbrechenden Sieg über die Geschichte als Notwendigkeit.

Im März 1944 wird er gefangen genommen. Er wird zunächst in Drancy interniert, bevor er dann nach Auschwitz deportiert wird und am 2. (oder 3.) Oktober 1944 in einer Gaskammer stirbt.

In der 6 rue Rollin in Paris, seinem Wohnort vom 15. April 1932 bis 7. März 1944, wird zu seinem Gedächtnis eine Tafel angebracht.

Im Mémorial de la Shoah ist er unter dem Namen Benjamin Vecsler eingraviert.

 

Bibliografie:
Rimbaud le voyou (1933) , Le lundi existentiel, Baudelaire et l'expérience du gouffre, Le Mal des fantômes, Le Voyageur n'a pas fini de voyager, Faux-traité d'esthétique, Essai sur Lupasco.

François-Joseph Ier de Habsbourg

1830-1916

Aktie :

Portrait von Franz-Joseph. Quelle: www.elysee.fr

 

Franz-Joseph gelangt nach dem revolutionären Aufstand von 1848 an die Macht und folgt somit seinem Onkel Ferdinand I (am 2. Dezember 1848) in Olmütz.Er ist der älteste Sohn des Erzherzogs Franz-Karl und der Prinzessin Sophie von Bayern. 1854 heiratet er Elisabeth von Bayern. Die Siege seines Kanzlers, dem Prinz von Schwarzenberg und des Generals Radetzki erneuern die Vorherrschaft Österreichs über die Ungarn und die Italiener (1849). Von Russland unterstützt, richtet er eine autoritäre Politik ein, die nationalen Minderheiten feindselig gegenübersteht. 1855 verliert er den Schutz Russlands durch sein Zögern während des Krimkrieges. Der Kaiser wird 1859 durch die Truppen von Victor-Emmanuel und Napolean geschlagen (Schlachten von Solferino und Magenta). Er muss die Lombardie durch das Abkommen von Zürich (10. November 1859) abgeben. Die Rivalität mit Preussen bezüglich der Vorherrschaft über die Herzogschaften Schleswig und Holstein, welche 1864 von Dänemark erstanden wurden, bietet Preussen 1866 die Gelegenheit, den Krieg zu erklären. Am 3. Juli 1866 wird er in Sadowa geschlagen und schliesst Frieden mit Preussen (Abkommen von Prag am 23. August 1866). Er gibt damit seine Rechte in Norddeutschland sowie jedes Eingreifen in den Zusammenschluss von Deutschland zugunsten des Siegers auf - die Regierung von Wien ist 1851 an der von Preussen angeführte Bewegung des "Kleinen Deutschlands" gescheitert. Außerdem muss er Venetien über Frankreich (Abkommen von Wien, 3. Oktober 1866), welches sich nach einer geheimen Zusammenkunft von Napoleon III und Bismarck in Biarritz mit Preussen verbündete, an Italien abgeben.

Um die nationalistischen Bewegungen seines Reiches zu beruhigen, bewilligt er Österreich 1867 einen Status, welcher das Land in eine doppelte Monarchie verwandelt (österreichisch-ungarisch), die föderalistisch geführt wird. Die Gebiete des früheren Reiches von Österreich werden in zwei Teile beiderseits der Leitha werden aufgeteilt und bilden die Gebiete Cisleithanien um Österreich und Transleithanien um Ungarn. Cisleithanien besteht aus Österreich, Böhmen, Mähren, Gabissien, Slowenien, Istrien und der Gebiete entlang der dalmatischen Küste. Transleithanien besteht aus Ungarn, Kroatien, der Begiete um Temesvar und Transsylvanien. Es gibt kein allgemeines männliches Wahlrecht, welches die Rolle der anderen Völker unter der Vorherrschaft von Budapest hervorgehoben hätte. Der Kaiser schwankte immer zwischen dem autoritären Weg (von Deutschland inspiriert) und dem Föderalismus der Ministerien Taaffe und Badeni. Franz-Joseph versucht, diese Blockade durch die Innenpolitik auszugleichen.

Die von Andrassy geleitete Annäherungspolitik an Preußen führt zu einer Aussöhnung mit der Politik Bismarcks: 1873 Bündnis der drei Kaiser (Deutschland, Russland, Österreich), was 1879 zum Doppelbündnis von Deutschland und Österreich und 1883 durch das Dazukommen von Italien zum Dreierbündnis wurde - ab 1892-1893 spricht man sogar von einer "diplomatischen Unterordnung gegenüber Deutschland". Österreich besetzt (1878) Bosnien-Herzegowina und annektiert dies 1908, um den russischen Einfluss in den Balkanländern zu vermindern. Seit dem Austritt aus dem Bündnis führten die Russen eine panslawistische Politik und griffen in die Angelegenheiten der Doppelten Monarchie ein. Der Anschluss von Bosnien-Herzegowina bringt eine internationale Krise mit sich. Das Problem Bosniens scheint mit dem Serbiens und der Lage der Südslawen unter der Vorherrschaft von Budapest verbunden zu sein, die sich in Richtung Belgrad orientieren. Zwischen dem erobernden Panslawismus und Pangermanismus scheitert Franz-Joseph mit seinem Willen, einen Weg der Mitte in Zentral-Ost-Europa zu verkörpern. In seiner lange Herrschaft von 68 Jahren musste er die Hinrichtung seines Bruders Maximilian im Jahre 1867 in Mexiko, den Selbstmord seines Sohnes Rudolph 1889 in Mayerling, das Attentat auf seine Gattin durch einen Anarchisten 1889 in Genf und das auf seinen Neffen und mutmaßlichen Erben Franz-Joseph am 28. Juni 1914 in Sarajevo, ein Ereignis, welches den 1. Weltkrieg auslöste, ertragen. Die doppelte Monarchie tritt somit politisch relativ stabil in den Krieg ein. Ihr Herrscher konnte bei den meisten Untertanen, jedoch auch in der Armee und anderen Einrichtungen eine gewisse Untergebenheit erreichen. Als sein Gründer verstirbt, muss Österreich-Ungarn mehr unter den Härten des Krieges und seiner Million Toten leiden als unter antimonarchistischen Bewegungen.

Aktion „1.000 Bäume für die Kriegsgräberstätten“

Aktie :

Nationale Kriegsgräberstätte in Vignemont (Oise) - Quelle : MINDEF/SGA/DMPA-ONACVG