Mémorial de la Shoah à Drancy

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©Mémorial de la Shoah

Le Mémorial de la Shoah de Drancy propose une exposition permanente richement documentée en français et en anglais permettant de connaître l’histoire de la Cité de la Muette, ainsi que le rôle central du camp de Drancy dans la déportation des Juifs de France pendant la guerre. Des expositions temporaires, des visites guidées et une offre culturelle et pédagogique sont également proposées.


Consulter l'offre pédagogique du mémorial >>>  mémorial Drancy


Le Mémorial de la Shoah à Drancy est un lieu d’histoire et d’éducation, situé en face de la Cité de la Muette.

La Cité de la Muette devient en 1941 un camp d’internement, puis en 1942 le camp de regroupement des Juifs de France en vue de leur déportation vers les camps d’extermination. Entre mars 1942 et août 1944, environ 63 000 Juifs ont été déportés du camp de Drancy, parmi les 76 000 juifs déportés de France.

Le Mémorial de la Shoah de Drancy propose une exposition permanente en anglais et en français richement documentée permettant de connaître l’histoire de la Cité de la Muette, ainsi que le rôle central du camp de Drancy dans la déportation des Juifs de France pendant la Seconde Guerre mondiale.

A l'aide de témoignages vidéo, de documents d'archives et de photographies d'époque, l'exposition permanente retrace l'histoire du camp de Drancy, la vie quotidienne des internés, l'organisation des déportations de 1941 à 1944, mais aussi la construction de la mémoire du camp après-guerre. Au milieu de l'exposition, la Maison des enfants permet au visiteur de découvrir le sort des enfants internés via des photographies et l'écoute des lettres qu'ils ont écrites dans le camp. Une dizaine de films documentaires réalisés par Patrick Rotman est diffusée dans cet espace d'exposition.

Le Mémorial propose également un espace dédié aux expositions temporaires au sous-sol, des salles pédagogiques et une salle de conférence pour recevoir les groupes dans les étages. Une programmation culturelle et pédagogique y est proposée tout au long de l’année.

  • Offre culturelle

Une visite guidée gratuite est proposée chaque dimanche à 15h.

Des audioguides en anglais et en français sont disponibles en accès libre pour visiter la collection permanente sur présentation d’une pièce d’identité.

Une offre culturelle gratuite est proposée chaque trimestre (« Les Rendez-vous de Drancy » - sur réservation) : exposition temporaire, visites guidées thématiques, ateliers, rencontres-débats, projections, témoignages…

Plus d’informations à retrouver en suivant ce lien.

 


 

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Infos pratiques

Adresse

110-112, avenue Jean-Jaurès 93700
Drancy
01 42 77 44 72

Tarifs

Entrée libre et gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les jours sauf le vendredi et le samedi, de 10 h à 18 h. Une navette gratuite depuis le Mémorial de la Shoah de Paris est proposée un dimanche par mois. (plus d’informations à retrouver sur le site internet)

Fermetures annuelles

Fermé certains jours fériés nationaux et certains jours de fêtes juives

Ancienne gare de déportation de Bobigny

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©Henri Perrot, ville de Bobigny

De l’été 1943 à l’été 1944, la gare de Bobigny fut le lieu principal de la Déportation des Juifs de France. En 13 mois, 21 convois sont organisés et 22 500 hommes, femmes, enfants, sont déportés essentiellement vers Auschwitz-Birkenau au départ de cette gare. Le site propose un chemin de visite retraçant, à partir de témoignages et du paysage ferroviaire de l’époque, la déportation des internés du camp de Drancy.

En juillet 1943, la gare de Bobigny devient le lieu de la déportation des Juifs de France détenus au camp de Drancy, orchestrée par l’Allemagne nazie aidée du gouvernement de Vichy. Elle prend ainsi le relai de celle du Bourget utilisée depuis mars 1942 pour la même fonction. Elle prend place dans un réseau de lieux du nord-est parisien. Situés à proximité les uns des autres, ils ont été les témoins majeurs de l’internement, puis de la déportation des Juifs de France. C’est le cas du camp de la cité de La Muette à Drancy ou de la gare du Bourget.

Dans l’après-guerre et durant les Trente Glorieuses, le site de Bobigny est exploité à la fois comme lieu de stockage et de revente de métaux avec l’installation d’une entreprise de ferraillage, mais également comme gare de marchandise. L’activité de fret déclinant, la société de ferraillage occupe la totalité de l’emprise du site jusqu’en 2005, et protège le site en évitant destructions et nivellements.

L’ancienne gare de déportation de Bobigny est la dernière vision que près d’un tiers des Déportés Juifs de France ont eu de la France avant d’être déportés vers Auschwitz-Birkenau pour y être assassinés. Elle porte en elle la mémoire de leurs derniers pas sur le sol français. Le site de Bobigny constitue le seul exemple connu de gare ayant servi à la Déportation dont l’état actuel est proche de sa configuration d’origine. Il a été un rouage essentiel à la mise en œuvre de la « Solution finale » en France, il appuie aujourd’hui la compréhension des mécanismes qui ont mené à la Déportation et au génocide, et porte la reconnaissance de ses victimes et de leurs parcours. Après d’importants travaux de restauration menés par la Ville de Bobigny, ainsi que des aménagement paysagers, scénographiques et architecturaux, le lieu a ouvert ses portes au public le 18 janvier 2023. Visites guidées, ateliers pédagogiques, expositions temporaires, évènements culturels et cérémonies commémoratives y seront dorénavant organisés.

L’Ancienne Gare de Déportation s’offre à la découverte à travers un parcours d’exposition et d’interprétation de plein air permanent. Le site propose également, une « esplanade de la mémoire » où se dressent 75 stèles à la mémoire de tous les convois de déportés juifs partis de France entre 1942 et 1944 vers les centres de mise à mort. Cette esplanade a été conçue tout autant comme un espace d’histoire que comme un lieu de recueillement. L’ancienne Halle aux marchandises restaurée peut quant à elle accueillir aussi bien des activités et manifestations commémoratives, que des activités pédagogiques et scientifiques, ou des manifestations culturelles mémorielles.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

151 avenue Henri Barbusse 93000
Bobigny
01 89 57 21 57

Tarifs

Visite libre de la scénographie et audioguides : gratuit / Visites guidées : 6€ par personne

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouverture du mercredi au dimanche de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h

Le fort de Villiers

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Carte postale. Source : Association de Sauvegarde du Fort de Villiers

Le fort de Villiers est l'un des témoins des fortifications de Paris et de l'histoire de la Troisième République.

"Tête de pont de la Marne" (Noisy-le-Grand - 93)

1871.

La première ceinture des forts construits sensée protéger la capitale de l'ennemi prussien n'a pas permis d'éviter la défaite de 1870.

21 mars 1874.

En quelques semaines, les troupes de Bismarck déferlaient sur Paris, les armées de l'Empire avaient capitulé, Napoléon III avait été fait prisonnier, et l'armistice, signé en janvier 1871, aboutissait à l'annexion de l'Alsace-Lorraine à l'Empire allemand. Le 21 mars 1874, le projet de la commission de l'armée est adopté à l'Assemblée nationale par 386 voix contre 191.

La loi du 27 mars 1874 relative aux nouveaux forts à construire autour de Paris autorise le Premier Ministre, Adolphe Thiers, à ériger une "ceinture" fortifiée autour de Paris dans un projet global de fortification dont la mise en oeuvre est confiée au général Séré de Rivières, alors Directeur du Génie : "Pour cela on devra occuper, probablement entre Noisy-le-Grand et Villiers, une position formant tête de pont, et couvrant à la fois les débouchés des ponts de Brie, de Nogent, de Joinville et de Champigny.

L'ouvrage construit sur ce point protégera de la manière la plus efficace les abords du fort de Nogent, et se reliera à la ligne Chelles-Vaujours". 60 000 000 francs de l'époque (un franc germinal = 1,42 euro en 2007) ont été consacrés aux travaux et aux acquisitions de terrains.

De 1874 à 1881, 18 forts, 34 batteries de défense et 5 redoutes ont été édifiés autour de Paris. La partie Est de cette défense était constituée du fort de Villiers aujourd'hui situé sur la commune de Noisy-le-Grand (1878-1880), du fort de Champigny (1878-1880), et du fort de Sucy (1879-1881).

 

Un décret d'application du 31 décembre 1877 mit en oeuvre les dispositions relatives à l'édification du fort de Villiers sur la commune de Noisy-le-Grand (à l'époque en Seine et Oise), désigné à l'origine "Tête de pont de la Marne".

Construit sur les hauteurs des berges de la Marne à 111 mètres d'altitude, l'ouvrage devait empêcher l'ennemi de s'y établir. Les travaux commencèrent en 1878 et furent achevés en 1880. Le plan de délimitation et de bornage de zone de servitudes et de polygone exceptionnel approuvé par le ministre de la guerre en date du 18 octobre 1882, fut arrêté et homologué par décret en date du 10 septembre 1883.

Le budget pour l'édification du fort de Villiers avait été évalué à 11 000 000 francs pour les travaux et 1 000 000 francs pour les acquisitions de terrains.

Le fort de Villiers aujourd'hui

Propriété du Ministère de la Défense puis de l'établissement public EPAMARNE, celui-ci l'a cédé en juillet 2001 à la commune de Noisy-le-Grand. L'espace formé dans ses limites actuelles par le fort de Villiers couvre environ quatre hectares - 7 hectares à l'origine - en bordure de l'autoroute A4 sur la commune de Noisy-le-Grand, dans le quartier du Montfort, et en limite territoriale avec la commune de Villiers-sur-Marne, au sud de la Seine Saint-Denis. Des associations sportives y ont été hébergées jusqu'en décembre 2007.

Depuis, son accès est interdit par arrêté municipal de péril notamment à cause de l'état de la passerelle d'accès et des arbres morts ou instables depuis la tempête de 2000.

Le fort de Villiers est un des témoins des fortifications de Paris et de l'histoire de la Troisième République, de Louis Adolphe Thiers, Président de la République et chef de l'exécutif de 1871 à 1873, à Patrice de Mac-Mahon, Président de la République de 1873-1879. Il est aussi un témoin de l'évolution de l'architecture militaire, la transition entre l'architecture bastionnée et l'architecture enterrée. L'Association de Sauvegarde du Fort De Villiers (ASFV) crée en mars 2008, s'est donné pour but de promouvoir toutes actions de nature à faire mieux connaître le fort, à l'appui des documents d'archives historiques, photographiques et le projet de favoriser sa conservation et sa mise en valeur.

 

Le fort de Villiers

Avenue Paul Belmondo

93160 Noisy-le-Grand

E-mail : contact@asfv.eu

 

Visites Attention ! Le fort de Villiers n'est pas accessible aux visiteurs. Le site est dangereux et n'est pas sécurisé à ce jour (interdiction administrative de franchissement).

 

Contacter la Mairie de Noisy-le-Grand pour toute demande d'accès.

 

Sources bibliographiques Annales de l'Assemblée Nationale. Projets de loi, propositions et rapports. 1874 Bulletin des lois de la République française. 1874

 

Fort de Villiers

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Avenue Paul Belmondo 93160
Noisy-le-Grand

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Le fort n'est pas ouvert au public.

Courriel : contact@asfv.eu

Musée de l'Air et de l'Espace

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Les premières machines volantes. Source : Musée de l'Air et de l'Espace

Pour voler comme l'oiseau et se rapprocher des étoiles, l'homme a rêvé,

imaginé puis construit des machines de toute sorte...

Agenda culturel des musées Défense

Consulter l'offre pédagogique du musée (Première Guerre mondiale) >>>  musée air et espace

Consulter l'offre pédagogique du musée (Première Guerre mondiale) >>>  musée air et espace


...Ballons, avions, hélicoptères, fusées, satellites. C'est l'histoire de ce rêve enfin réalisé que raconte le Musée de l'Air et de l'Espace situé sur le site de l'Aéroport de Paris-Le Bourget.

C'est le plus ancien musée de l'aéronautique au monde. Il retrace la merveilleuse aventure des pionniers du début de notre siècle, départ d'un voyage, qui 50 ans plus tard, conduira les hommes sur la lune.

Créé au lendemain de la première guerre mondiale, il s'installe sur l'aéroport du Bourget en 1975.

Depuis l'ouverture de la grande galerie où sont exposés les appareils les plus anciens et l'inauguration en avril 1995, de deux nouvelles salles, le musée de l'air et de l'espace présente à travers une collection de près de 200 appareils et 300 objets d'art, un panorama complet de l'épopée aérospatiale, allant des premières montgolfières en 1793, à la fusée Ariane 5.

 

Musée de l'Air et de l'Espace
Aéroport de Paris - Le Bourget BP 173
93352 Le Bourget Cedex France

 

Renseignements :

+33 (O)1 49 92 70 00
Accueil du musée :
+33 (O)1 49 92 70 62

 

Accès :

Aéroport de Paris-Le Bourget, à moins de 10 mn de Paris par l'A1. 2e arrêt de bus (ligne 350) après la Porte de la Chapelle. Il est aussi accessible par la N2, le métro (M7) et le RER B (+ bus 152).

 

Coordonnées GPS :

Degrés Décimaux - Latitude 48.9479878 | Longitude 2.4370116
Degrés, Minutes, Secondes - N 48°56'52.756'' | E 2°26'13.241''

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Aéroport de Paris - 93352
Le Bourget
Renseignements 01 49 92 70 00Accueil du musée 01 49 92 70 62

Tarifs

1 animationTarif plein : 8 €Tarif réduit : 6 €2 animationsTarif plein : 13 €Tarif réduit : 10 €3 animationsTarif plein : 16 €Tarif réduit : 12 €• Audioguides (français, anglais, allemand) - Tarif unique 3 €• Mini-visites guidées (1er week-end du mois) - Tarif unique 5 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du mardi au dimanche :de 10h00 à 18h00, du 1er avril au 30 septembre,et de 10h00 à 17h00, du 1er octobre au 31 mars.

Fermetures annuelles

Le 25 décembre et le 1er janvier.Fermeture hebdomadaire le lundi.

Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis

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La queue devant la boucherie. Siège de Paris en 1870. Source : Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis

Une importante collection d'objets, d'affiches, d'armes et oeuvres d'art sur la Commune.

Le musée d'art et d'histoire de Saint-Denis est installé dans l'ancien Carmel de ville. Le monastère est fondé en 1625 et agrandi par les soins de Madame Louise de France, fille de Louis XV à la suite de son séjour entre 1770 et 1787.

Le bâtiment est racheté par la municipalité en 1972 et abrite ainsi les musées depuis 1981. Les collections archéologiques, dans l'ancien réfectoire du Carmel, exposent les résultats des fouilles menées depuis 1973 par l'Unité d'Archéologie de Saint-Denis De 1973 à 1992, trente-trois mille objets ont été recueillis, auxquels il convient d'ajouter des millions de tessons de poteries, des os d'animaux et des matériaux de construction.

Il s'agit d'une masse documentaire considérable qui permet d'illustrer la vie quotidienne au Moyen Âge au travers de multiples aspects : habitat et artisanat, musique et jeu, cuisine et alimentation, vêtements et parure, etc...

Dans l'ancienne sacristie transformée en parloir au XVIIIe siècle, le musée rassemble les collections de l'ancien Hôtel Dieu de la ville : tableaux, sculpture, objets de ferronnerie et nombre de documents relatifs à la vis hospitalière d'Ancien Régime.

Une salle voisine dite salle de l'apothicairerie présente un ensemble remarquable de céramiques pharmaceutiques sortis des manufactures de Rouen, Nevers et Saint-Cloud. Des cellules restaurées, au premier étage, rendent compte du fonctionnement et du quotidien de la vie monacale.

Une reconstitution de la cellule de Louise de France jouxte la présentation d'ornements liturgiques, d'oeuvres d'art provenant de monastères, de toiles de Guillot, de pièces de maîtres telles la Madeleine au pied de la Croix, triptyque de Laurent de la Hyre ou le Saint-Augustin offrant son coeur à l'Enfant-Jésus de François Perrier.

Répartie sur les deux étages du pavillon Louis XV, la collection Paul Eluard présente par le biais de documents originaux (manuscrits, lettres, photographies), d'éditions originales, d'objets personnels et ouvrages de sa bibliothèque, la vie privée et l'engagement politique du poète chantre du surréalisme.

Au second étage encore, sur les 350 m2 d'appartements aménagés pour accueillir les filles de Louis XV en visite au Carmel, a été réunie une importante collection consacrée à la Commune et aux Sièges de Paris.

Le fonds, constitué à partir de 1930, comprend plus de dix mille pièces, dont des armes et une importante iconographie : images d'Epinal, portraits et caricatures de généraux, lettres, affiches, lithographies, photographies, peintures et sculptures d'artistes contemporains des événements : André Gill, André Lançon, Draner, Klenck, Jules Girardet...

Le drapeau rouge de l'église Saint-Leu, boulevard de Sébastopol côtoie le Buste de Gustave Courbet de Georges Salendre, le Combat au Père Lachaise de Philippoteaux, les caricatures de Daumier, Cham et Le Petit, les clichés de Communards d'Appert, les vues militaires de Bertrall, les photomontages anti-communards de Bruno Braquehais.

Affiches politiques et périodiques, comme L'Ile des Pins, journal des Communards déportés en Nouvelle Calédonie, achèvent la présentation politique des faits. Des objets de la vie quotidienne racontent la difficulté de survivre lors du siège.

Un fonds de livres anciens, travaux historiques de pionniers (Camille Pelletan, Louis Veuillot Henri Monin), monographies et mémoires d'anciens Communards, études militaires (Pichon), ouvrages sur les caricatures et écrits sur les communes de provinces (Lyon, Bordeaux, Marseille) sont à la disposition des chercheurs en complément de l'approche muséographique.

Autres services

Le Service d'action culturelle et pédagogique propose aux publics de tous âges de découvrir les collections au moyen de visites commentées, de cycles d'animation et d'ateliers pédagogiques.

Un cabinet des dessins, installé dans l'ancienne imprimerie religieuse, permet aux chercheurs de consulter les oeuvres te documents.

La boutique et la librairie proposent un large choix de reproductions, de cartes postales en relations avec les collections du musée.

 

Musée d'art et d'histoire de Saint-Denis 
22 bis avenue Gabriel Péri 93200 Saint-Denis
Tél. : + 33 (0)1 42 43 05 10 - Réservation au  01 42 43 37 57
e.mail : musee@ville-saint-denis.fr

 

Accès


Métro - ligne 13 station : Saint-Denis Porte de Paris (sortie 4)
Bus : 154, 254, 177, 255, 170
Voiture : A1 et A 86 - sortie Saint-Denis Porte de Paris
Parking : Porte de Paris et Basilique

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Infos pratiques

Adresse

22 bis avenue Gabriel Péri - 93200
Saint-Denis
Tél.: 01.42.43.05.10Fax : 01.48.20.07.60Réservation pour les groupes : 01.42.43.37.57

Tarifs

5 € Tarif réduit : 3 € (+ de 60 ans, étudiants, Amis du Louvre, ...)Gratuit pour les - de 16 ans, les demandeurs d’emplois et les Rmistes, les étudiants de Paris 8, invalides de guerre, handicapés. Gratuit le premier dimanche de chaque mois - Tarif réduit les autres dimanches -Réservation obligatoire par téléphone - Séances gratuites pour les groupes scolaires de Seine-Saint-Denis et leurs accompagnateurs.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Lundi, mercredi, vendredi : 10h à 17h30Le jeudi jusqu'à 20hSamedi et dimanche :14h à 18h30

Fermetures annuelles

Fermé le mardi et les jours fériés