Mémorial Canadien

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Vue du parc mémorial canadien de Vimy. Source : Licence Creative Commons. Libre de droit

Le mémorial canadien de Vimy, hommage que le Canada a rendu à ses citoyens, combattants de la Première Guerre...

L'hommage le plus impressionnant que le Canada a rendu à ceux de ses citoyens qui ont combattu et donné leur vie au cours de la Première Guerre mondiale, a trouvé son expression concrète dans le Monument Commémoratif du Canada à Vimy, qui surplombe majestueusement la plaine de Douai et le bassin minier au pied des collines de l'Artois, et qui indique l'emplacement des combats dont les Canadiens tirent plus de fierté que de toute autre opération de la Première Guerre mondiale. Il représente un hommage à tous ceux qui ont combattu pour leur pays durant ces quatre années de guerre et, en particulier, à ceux qui ont donné leur vie.

Programme à consulter en lien

 

Sur le socle du Monument, sont gravés dans la pierre en français et en anglais, les mots suivants :

A LA VAILLANCE DE SES FILS PENDANT LA GRANDE GUERRE, ET EN MEMOIRE DE SES SOIXANTE MILLE MORTS, LE PEUPLE CANADIEN A ELEVE CE MONUMENT.

Sur les parois du Monument, sont inscrits les noms de onze mille deux cent vingt cinq soldats canadiens "manquant à l'appel et présumés morts" en France. Le terrain du parc de ce champ de bataille, d'une superficie de 91, 18 hectares (deux cent cinquante acres), "est un don de la nation française au peuple canadien", comme l'indique une plaque à l'entrée du Monument. Il a fallu onze mille tonnes de béton et de maçonnerie pour ériger la base du monument et cinq mille cinq cents tonnes de pierre, importée de Yougoslavie, pour les pylônes et les sculptures. La construction de cet ouvrage gigantesque commence en 1925. onze ans plus tard, le 26 juillet 1936, le roi Edouard VIII dévoilait le Monument Commémoratif du Canada à Vimy.

Le parc qui entoure le Monument est l'oeuvre d'experts en horticulture. Une multitude d'arbres et d'arbustes du Canada y ont été plantés pour rappeler les bois et les forêts du pays. Autour du Monument, au-delà des coteaux verdoyants qui y mènent, s'étendent des parcs boisés. A la vue des tranchées et des tunnels parfaitement restaurés, le visiteur peut imaginer l'énorme tâche que le corps d'armée canadien dut accomplir ce matin historique, il y a bien des années.

Le 9 novembre 1997, des représentants du gouvernement du Canada procédèrent à l'inauguration du Centre d'interprétation au Monument commémoratif du Canada à Vimy. Ce Monument est devenu l'un des seuls sites nationaux historiques du Canada situé à l'étranger. Le Centre sert de complément aux visites guidées des tunnels et des tranchées. Les visiteurs peuvent mieux comprendre le sens et l'importance du Monument commémoratif, et situer l'histoire de la Bataille de Vimy dans le contexte de la participation du Canada à la Première Guerre Mondiale. La guerre, jour après jour, Vimy, une bataille bien planifiée. Vimy : la crête capturée. et, le Canada se rappelle la guerre.

Grâce à des reproductions photographiques et des affiches de type bannière (tons sépia et ocre), des artefacts, des cartes géographiques, des représentations graphiques, une présentation multimédia audio-visuelle, des textes explicatifs, l'exposition aide les visiteurs à vivre l'expérience de Vimy à l'époque de la grande Guerre. Les visiteurs baignent dans l'atmosphère qui régnait dans le but de susciter une meilleure compréhension des faits. Le Centre d'interprétation de Vimy se trouve à 200 mètres du Monument commémoratif du Canada à Vimy, tout près du terrain de stationnement principal. Le Monument commémoratif du Canada à Vimy est situé à environ 10 kilomètres d'Arras. Tout près, à Thélus, le cimetière canadien et le monument en l'honneur de l'artillerie canadienne, sont installés au Zivy Crater à l'endroit du cratère creusé par l'explosion d'une mine.

 

Monument et Parc commémoratifs du Canada à Vimy

62580 Vimy 

Tel : 03 21 50 68 68

Fax : 03 21 58 58 34

E-mail : Vimy.Memorial@vac-acc.gc.ca

 

Ouvert tous les jours sauf le 25 décembre et le 1er janvier : Du 1er mai au 31 octobre : 10H à 18H

Du 1er novembre au 30 avril : 9H  à 17H - Entrée libre et gratuite

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Infos pratiques

Adresse

Chemin des canadiens 62580
Givenchy-en-Gohelle
03 21 50 68 68

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er mai au 31 octobre: 10h à 18hDu 1er novembre au 30 avril: 9h à 17h

Fermetures annuelles

Le tunnel de la Grange est fermé de la mi-décembre jusqu'au 30 avril

La nécropole nationale d'Assevent

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Cimetière militaire d'Assevent. Source : Ville d'Assevent

 

Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette Assevent

Situé à 5 km de Maubeuge, le cimetière national d’Assevent regroupe les dépouilles de soldats morts pour la France lors du siège de Maubeuge en août 1914. Créé en 1916 par l’armée allemande, ce cimetière est réaménagé en 1923 pour y rassembler d’autres corps de soldats tombés au cours de cette bataille, exhumés des cimetières provisoires du département du Nord ou ceux d’Ypres en Belgique. Le cimetière réunit 1 819 corps, soit 364 en tombes individuelles et 990 répartis en quatre ossuaires recueillant probablement un grand nombre de tirailleurs de la brigade marocaine. De l’autre côté de la voie ferrée, se trouve un cimetière militaire allemand, aménagé en 1924 et regroupant 998 corps de soldats tombés en septembre 1914 dans le secteur de Meaux (Seine et Marne). Etabli par les Allemands durant la guerre, le cimetière national d’Assevent semble réconcilier dans la mort les soldats Allemands, Français, mais aussi Russes et Britanniques.

Les combats de Maubeuge août-septembre 1914

Avant même la mobilisation du 1er août 1914, le général Fournier, gouverneur de Maubeuge, prépare au mieux la place militaire, en réquisitionnant 6 000 ouvriers civils et 25 000 réservistes et territoriaux. Il les emploie, sous la direction d'officiers du génie, aux travaux les plus urgents de rénovation de la forteresse. Il fait construire un important dispositif de défense transformant la place de Maubeuge en camp retranché. En effet, la ville, située à l’intersection des voies ferrées qui, venant de Bruxelles ou de Liège, convergent vers Paris - constitue un objectif stratégique majeur pour les Français comme pour les Allemands.

Conformément au plan Schlieffen, les troupes allemandes pénètrent, le 4 août, en Belgique, Maubeuge est sur leur route. Alors que la cavalerie britannique est stoppée au nord de la ville, Namur tombe le 25 août, la place est investie le 27. Le 29, à 13 heures, les Allemands déclenchent un puissant bombardement : les obus tombent sans interruption sur le fort du Boussois, et sur les ouvrages de Fagnet, de Bersillies et de La Salmagne. Un déluge d’obus surprend la garnison. A la hâte, les territoriaux sont relevés par un bataillon du 145e RI.  Le général Fournier tente une nouvelle offensive le 1er septembre contre l’artillerie allemande en direction de Jeumont. Appuyée par des batteries de 75 mm, l’infanterie s’élance à midi sur un front de huit kilomètres ; l’action manque de réussir mais les mitrailleuses ennemies font échouer l’opération.

Le 2 septembre, les tirs d’artillerie, réglés grâce aux observations aériennes, se font plus précis. Le fort de Boussois et l’ouvrage de la Salmagne pilonnés accusent d’importants dégâts. Le 4 septembre, les Allemands entreprennent l’assaut de la partie la plus faible du camp retranché, mais la Salmagne comme le fort de Bersillies tiennent bon. A l’aide de ces obusiers de 305 mm et de 420 mm, l’artillerie allemande s’acharne comme elle l’a fait sur les forts belges.

Mais, au bout de huit jours de siège, la place de Maubeuge résiste encore, entravant les préludes de la bataille de l’Ourcq. A partir du 6 septembre la situation est des plus critiques. Le 7, Fournier doit capituler. Les Allemands font 450 000 prisonniers et s’emparent de 450 canons et de 80 000 obus.

Pendant la guerre, Maubeuge est contrôlée par l’administration militaire allemande de la Belgique occupée. Elle ne sera libérée que le 9 novembre 1918 par les troupes britanniques.

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Infos pratiques

Adresse


59600 Assevent

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites libres toute l’année

Arras

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Entrée de la citadelle d'Arras. Source : http://arras-france.com

La citadelle

Surnommée la Belle Inutile, la citadelle est une oeuvre de Vauban réalisée entre 1668 et 1672. De forme pentagonale, elle est flanquée à chaque angle d'énormes bastions protégés par des ouvrages avancés en partie conservés. La porte Royale de pierre blanche fait face à la ville et souligne le pouvoir du nouveau souverain. Autour de l'esplanade gravitent les bâtiments nécessaires à la vie de la citadelle.

Placé dans l'axe de la porte Royale, l'arsenal dont le décor de pierre souligne les ouvertures occupe une place privilégiée dans l'organisation spatiale de la place forte.

La chapelle, joyau de l'architecture baroque, conserve une façade de brique richement décorée de colonnes engagées, cannelées, de médaillons, pots à feu...

Le chemin des Douves permet de parcourir les extérieurs de la Citadelle et de découvrir le Crinchon, ruisseau aux allures bucoliques, utilisé à des fins militaires pour mettre en eau les fossés. La citadelle elle-même, propriété de l'Armée, est accessible dans le cadre des visites organisées par l'Office de Tourisme installé à l'Hôtel de Ville - Petite Place. Malgré les modifications subies au cours des siècles, la Citadelle d'Arras reste le témoignage de l'art de Vauban.

Le Mémorial Britannique

Il se situe au cimetière du Faubourg d'Amiens, non loin de la citadelle. Il commémore les morts de 35 000 hommes, Britanniques, Néo-zélandais et Sud-Africains qui tombèrent entre ce printemps 1916 et le 7 août 1918 et qui n'ont pas de tombe identifiée. Les noms des morts sont inscrits sur des stèles de pierre apposées aux murs du cloître à colonnes doriques bâti par Sir Edwin Luytens. Le cimetière du Faubourg d'Amiens, boulevard du Général de Gaulle, abrite aussi 2 652 tombes identifiées.

Face au Mémorial constitué par le cloître se dresse le "Flying Services Mémorial" sur les murs duquel sont gravés les noms du Royal Naval Air Service, du Royal Flying Corps, de la Royal Air Force et de l'Australian Flying Corps.

Une partie du Mémorial d'Arras, érigé dans le faubourg d'Amiens, est généralement considérée comme un hommage aux premiers aviateurs à avoir perdu la vie au cours de combats. On remarque immédiatement à l'entrée du cimetière le Mémorial des aviateurs, formé d'un socle élevé surmonté d'un globe.
De chaque côté y sont gravés les noms de tous les aviateurs tombés sur le front occidental et dont la sépulture est inconnue, incluant les noms de 46 Canadiens. Les Canadiens se distinguèrent particulièrement dans la guerre aérienne. Vingt cinq mille d'entre eux servirent comme pilotes, observateurs et mécaniciens dans les forces britanniques. Les aviateurs canadiens obtinrent pour leur bravoure plus de huit cents décorations et citations, dont trois croix de Victoria. Parmi les "as" de la RAF, cinq d'entre eux étaient canadiens. Des pilotes tels que W.A. "Billy" Bishop, W.G. Barker, Raymond Collishaw et A.A. McLeod se rendirent partout célèbres par leur audace et leurs exploits.

Les tunnels Néo-Zélandais

Les tunnels néo-zélandais forment un système complexe de galeries souterraines et de caves qui s'étendent d'Arras vers Bapaume et Cambrai. En 1916 et 1917, la compagnie néo-zélandaise des tunneliers creusait un réseau déjà existant de caves anciennes et les prolongeait par des galeries pour aboutir en no man's land, sous les tranchées allemandes. Le site a été redécouvert en 1996.

 

Site du comité régional du tourisme de la région Nord

 

Quizz : Forts et citadelles

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Boulevard du général de Gaulle 62000
Arras
Tél : 03 21 21 87 00Fax : 03 21 21 87 87

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Seclin

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Fort de Seclin. Source : https://fortseclin.jux.com

Le fort de Seclin, musée de la cavalerie et de l'artillerie.

Outre les chefs-d'oeuvre architecturaux que sont le vieil hôpital et la collégiale, la ville de Seclin comporte un fort Séré de Rivières qui fit partie des ouvrages destinés à protéger l'agglomération de Lille. Mais il ne fut pas adapté à l'évolution de l'artillerie de la fin du XIXème siècle de sorte qu'il ne pouvait pas résister aux nouveaux projectiles.

Occupant une position dominante en ce Mélantois surplombant les vallées de la Marque et de la Deûle, il eût dû pouvoir s'appuyer à l'Ouest sur le fort d'Englos qui domine la Deûle et à l'Est sur celui de Sainghin en Mélantois qui surplombait la Marque, mais la distance de près de 10 km entre chacun de ces forts n'était pas totalement propice à la mise en oeuvre effective de ce principe. Des ouvrages intermédiaires devaient toutefois relier ces forts entre eux et constituer par endroits des points d'appuis plus avancés à l'extérieur de l'agglomération lilloise : Enchemont, Vendeville, Noyelle, Houplin, Haubourdin (Moulin Neuf).

Pour compléter le système, on avait pensé à installer en sus des batteries d'intervalles protégées par des merlons de terre, des batteries du corps de place et des batteries mobiles. Le dernier ouvrage construit le fut en 1894. La modernisation et les perfectionnements nécessaires ne furent pas effectués. Et ce fut ainsi que le 4 août 1914 Lille fut déclarée ville ouverte.

Après 1918, le fort de Seclin servit à stocker les munitions d'artillerie. Bondues servit de casernement, Englos de dépôt de carburants. En 1939, une batterie de DCA fut implantée à Englos.

Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, ces forts furent le théâtre d'exécutions de résistants à l'occupant. Des stèles perpétuent le souvenir.

Le fort de Seclin est aujourd'hui restauré opiniâtrement et avec compétence par un particulier qui a notamment pour projet d'y installer des collections et attelages d'artillerie.

 

Fort de Seclin

F-59113 Seclin Tel : 03 20 97 14 18

e-mail : museum@fortseclin.com

 

Ouvert : Week-ends sauf jours fériés 14h/18h Autres moments sur RDV (min de 5 pers)

Tarifs : 4 €/enfant - 5 €/adulte

 

La Maison du Tourisme de Seclin tel :03.20.90.12.12

 

Site du comité régional du tourisme de la région Nord

Site de l'office du tourisme de Lille

Fort de Seclin

Site du comité départemental du tourisme du Nord

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Chemin du petit fort 59113
Seclin
Tel : 03 20 97 14 18 La Maison du Tourisme de SeclinTel :03.20.90.12.12

Tarifs

Tarifs : 4 €/enfant - 5 €/adulte

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Week-ends sauf jours fériés 14h/18hAutres moments sur RDV (min de 5 pers)

Fort Lobau

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Fort de Bondues, appelé aussi Fort Lobau. Musée de la résistance de Bondues. Source : GNU Free Documentation License

Le fort et musée de la Résistance de Bondues.

Surplombant le confluent de la Marque et de la Deûle, implanté sur la Nationale 17, reliant Lille à Menin, le Fort Lobau fut érigé dans les années 1880, entrant dans le dispositif de défense élaboré par Séré de Rivières, dans la région lilloise.

Il compte un rempart de 720 mètres de périmètre, protégé par un large fossé. C'était considérable. Il pouvait accueillir 800 hommes et 40 pièces d'artillerie. Mais, bien que doté d'une coupole cuirassée, il ne contenait pas d'abris ou de magasins à l'épreuve des nouveaux explosifs. Une autre faiblesse était liée au fait qu'il pouvait être contre battu depuis les hauteurs de Mouvaux.

La singularité du site est qu'il ne servit pas véritablement aux soldats français mais aux soldats allemands. Il fut, en effet, occupé lors des deux guerres mondiales du XXème Siècle. Militairement lié au terrain d'aviation, lors du deuxième conflit mondial, et cela dès juillet 1940, il servit de dépôt de bombes pour les avions allemands.

Mais il fut bien d'avantage : dès le 17 mars 1943 jusqu'au 1er mai 1944, il fut un lieu d'exécutions pour 68 résistants de la Région. Avant leur départ, le 1er septembre 1944, les Allemands posèrent des bombes sur l'ensemble du site. Ce dernier s'écroula, ne laissant derrière lui qu'un tiers de sa conception originelle, parmi les ruines.

Redécouvertes fortuitement, des casemates du Fort furent réhabilitées, conformément aux plans originaux, et la Cour Sacrée, lieu des exécutions, inaugurée en 1986. Actuellement, le Fort présente un intérêt au niveau historique d'architecture militaire de la fin du XIXème Siècle (casemates restaurées, différentes cours : des batteries, d'honneur et Sacrée).

Le Fort abrite le Musée de la résistance inauguré le 20 septembre 1997. Le musée retrace ce que fut la Résistance dans le Nord - Pas de Calais durant la Seconde Guerre mondiale. On y explique de manière thématique et pédagogique le parcours d'hommes et de femmes ayant appartenu à " l'armée des ombres" à partir de collections du musée comprenant des objets et des documents d'époque.

Le musée est composé de différentes salles thématiques : la salle du Souvenir rappelle le sacrifice des résistants fusillés au Fort. la salle du Refus explique les fondements de la lutte contre l'occupant. la salle de Courage illustre les différentes formes de résistance, de la collecte de renseignements aux actions spectaculaires. la salle de l'Engagement décrit les itinéraires de résistants et les différentes organisations de résistants (réseaux et mouvements) permettant de comprendre la nature et les motivations de l'engagement. enfin, la salle du Sacrifice expose la répression et les conditions de détention auxquelles étaient confrontés les résistants arrêtés.

Le Musée possède également un espace dédié à la Voix du Nord présentant 66 copies des numéros de la Voix du Nord clandestine parues du 1er avril 1941 au 5 septembre 1944 ainsi qu'une bibliothèque accessible aux élèves désirant faire des recherches. Le Musée compte aussi une salle de projection-conférences et un espace de restauration.

 

Musée de la Résistance de Bondues

BP80001 59587 BONDUES Cedex

Tel. : 03 20 28 88 32

Fax : 03 20 28 94 95

E-mail: hpriego@mairie-bondues.fr

 

Heures d'ouverture Période estivale : lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 14h00 à 16h30 Hors période estivale : ouvert tous les jours sur réservation de 9h00 à 12h00 et de 14h00 à 17h00 ouvert le premier dimanche du mois (sauf en août) de 14h30 à 18h00 - visite guidée à 15h30 fermé le mardi, le week-end et les jours fériés Des visites guidées peuvent être organisées sur demande en dehors des heures d'ouverture habituelles.

 

Tarifs Individuels : 5.00 € Moins de 12 ans accompagnés de leurs parents : gratuit Groupes (à partir de 10 personnes) : 4.50 € par personne Scolaires (30 élèves maximum) : 25.00 € par classe

 

Mairie de Bondues

BP 1 59587 BONDUES Cedex

 

Correspondance ASSOCIATION "UNION RESISTANCE VOIX DU NORD"

Espace Résistance Voix du Nord 200, rue de la Coeuillerie 59840 PREMESQUES

Tél. : 03.20.22.20.56

 

Site de l'office du tourisme de Lille

Site du comité départemental du tourisme du Nord

Le site de la Ville de Bondues

Site du comité régional du tourisme de la région Nord

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

chemin Saint Georges 59910
Bondues

Tarifs

Individuels : 5 € audioguide inclus (à partir du 1er février)Moins de 12 ans accompagnés de leurs parents : gratuitGroupes (à partir de 10 personnes) : 4,50 € par personneScolaires (30 élèves maximum) : 25 € par classe avec visite guidée

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De septembre à juin :Pour les visiteurs individuels : les lundis, mercredis, jeudis, vendredis de 14h à 16h30 (visite libre),les premier et troisième dimanches du mois de 14h30 à 18h (visite guidée à 15h30) Pour les groupes :Ouvert sur réservation tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 17hFermé le mardi et les jours fériésJuillet et août : Pour les visiteurs individuels :Les lundis, mercredis, jeudis et vendredis de 14h à 18h (visite libre).Fermeture de la billetterie à 17h30Fermé le week-endPour les groupes :Ouvert sur réservation tous les jours de la semaine de 9h à 12h et de 14h à 17hFermé le mardi, week-end et les jours fériés

Saint-Pol-sur-Mer

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Tableau de Jean-Baptiste Martin immortalisant la cérémonie inaugurale de l’écluse, le 6 février 1715. Cette œuvre préfigurait la future commune de Saint-Pol-sur-Mer (1871). Source : site communaute-urbaine-dunkerque.fr

Les vestiges militaires de Saint-Pol-sur-Mer.

Cette commune de 24 000 habitants détient quelques vestiges militaires.

L'on peut y trouver : Les restes de l'écluse "Jean Bart", visibles au parc d'agglomération Jacobsen.

L'écluse avait été construite en 1715 au débouché du canal de Mardyck (actuelle voie rapide) afin de compenser les destructions imposées par la paix d'Utrecht. On disait alors que c'était la plus belle d'Europe.

En 1717, à la suite de la Paix de la Haye, sa démolition fut décidée et ce fut le tsar de Russie Pierre le Grand qui vint sur place en vérifier l'exécution.

Au titre de la guerre 1914-1918, une plaque rappelant le souvenir de l'aviateur Georges Guynemer qui passa au 192 rue de la république sa dernière nuit avant son envol fatal du 11 septembre 1917 au-dessus de Poelkapelle, alors que son escadrille stationnait sur le terrain de St Pol depuis le mois de juillet.

Pour la Deuxième Guerre mondiale, une cuve blindée avec son bunker anti-aérien, aux Dépôts de Pétrole Côtiers, avenue Maurice Berteaux.

 

Site du comité régional du tourisme de la région Nord

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Infos pratiques

Adresse

59430
Saint-Pol-sur-Mer
Tél. 03 28 29 66 00 / Fax 03 28 60 73 34

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Le Portel Plage

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Le Portel Plage, Fort de Couppes. ©J.Capez - License Creative Commons - Libre de droit

Les trois forts de Le Portel : le fort de l'Heurt, le fort du Mont de Couppes, le fort d'Alprech.

La commune de Le Portel s'attache à valoriser son patrimoine historique en s'appuyant sur ses trois forts susceptibles en outre, de par leur positionnement sur la côte, de développer son attrait touristique.

Le fort de l'Heurt 

Le fort de l'Heurt fut élevé en 1803 par ordre de Bonaparte, alors 1er consul, en prévision d'un débarquement en Angleterre. Heurt vient du nom : "heustrière" qui signifie "île aux huîtres" ce nom est devenu par contraction : heustre puis Heurt. Les plans de l'ouvrage sont du lieutenant colonel Dode. Le fort fut opérationnel en juillet 1804.
Il est abandonné en août 1805 (levée de camp de Boulogne). A l'heure actuelle le fort n'est plus qu'une ruine, mais sa masse imposante brave toujours les flots.

Le fort du Mont de Couppes

Le maréchal Dubiez dans le but de reprendre Boulogne, occupée par les Anglais, décide de construire un fort. La Paix de Capécure en 1550 met fin à la guerre, le fort est abandonné. Napoléon pour mettre au point son projet d'invasion de l'Angleterre, le réarme. Il servira bien souvent de cantonnement à la troupe, particulièrement en temps de guerre. Un sémaphore y sera également installé.

Le fort d'Alprech

Le fort d'Alprech a été édifié sous la IIIème République de 1875 à 1880 par le général du génie Séré de Rivières. On y trouvait des casemates pour le logement du personnel (une centaine d'hommes), des magasins et une poudrière. La batterie d'Alprech était armée de canons et d'obusiers. Elle fut opérationnelle pendant la guerre de 1914/1918 et occupée par l'armée allemande de 1940 à 1944. Le Fort d'Alprech a été restauré en 1999.

 

Le Portel Plage

Hôtel de ville 51 rue Carnot BP 26 62480 Le Portel

Tél. : 03.21.87.73.73

E-mail : mairie@ville-leportel.fr

 

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Infos pratiques

Adresse

62480
Portel Plage
Tél. : 03.21.87.73.73

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Mont-de-Marsan, Saint-Pierre-du-Mont et alentours

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Crédits MAV

Ce guide pliant aidera quiconque est intéressé par les conflits mondiaux,

à découvrir les lieux associés aux évènements marquants de deux époques qui allaient fortement affecter la vie locale.

 

Grâce à sa situation loin du front, l’agglomération « Mont-de-Marsan – Saint-Pierre-du-Mont » n’a pas été particulièrement impactée par les combats de la première et de la seconde guerre mondiale.

Néanmoins, comme beaucoup d’autres villes en France elle a subi les conséquences directes et indirectes de ces conflits, notamment avec le départ de ses régiments d’infanterie dès août 1914 et l’arrivée des premiers prisonniers de guerre allemands puis à partir de 1940 avec la mise en place de la ligne de démarcation.

En 1944, le bombardement de la base aérienne allemande et le combat du pont de Bats allaient ponctuer la marche vers la libération.

Sans avoir la prétention d’être exhaustif, ce document s’efforce de retracer les évènements les plus importants et les lieux qui y sont associés.

 

Adresse et contact :

25 place du 6ème RPIMa 40000 Mont-de-Marsan 

Téléphone : 05 58 44 04 31 - Courriel : aal.aldres@gmail.com

 

Site Internet

 

 

Corps 2

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Infos pratiques

Adresse

25 Place du 6e RPIMA 40000
Mont-de-Marsan
05 58 44 04 31

Enseigner la défense (n° 260)

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