Musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes et des Hautes-Pyrénées

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©Ville de Tarbes

Agenda du musée   Offre pédagogique  Expositions empruntables   Ressources pour le CNRD 
 

Grâce à ses objets, affiches, photographies et maquettes, le musée de la Déportation et de la Résistance des Hautes-Pyrénées aborde le plus largement possible le second conflit mondial. C’est aussi toute l’Histoire locale des années 1930 et 1940 que le musée expose : celle des prisonniers de guerre, évadés, déportés, internés, mais également celle des diverses organisations résistantes à l'image des réseaux de passage, du Régiment de Bigorre ou du Corps Franc Pommiès, très actif dans le Sud-Ouest. 

Au sein d’une ancienne école du 19e siècle, le musée de la Déportation et de la Résistance des Hautes-Pyrénées est un lieu-clé pour la compréhension des événements du second conflit mondial, tant sur le plan international que local. 

Plusieurs décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les survivants haut-pyrénéens et leurs proches se lancent dans la création d’une exposition temporaire destinée à circuler dans les établissements scolaires du département. 

En 1985, plusieurs associations haut-pyrénéennes veulent pérenniser ce travail de mémoire en créant un musée : leur exposition itinérante pose ses valises dans une partie du bâtiment de l’école Victor-Hugo (construite un siècle plus tôt par Gustave-Joseph Labat). En plus de l’apport des objets provenant d’ancien(e)s déporté(e)s et résistant(e)s, les fondateurs conçoivent tout le mobilier de cette nouvelle exposition et réunissent un nombre considérable de textes et de reproductions photographiques. 

Le musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes et des Hautes-Pyrénées finit par ouvrir ses portes en 1989. En 1992, les associations fondatrices cèdent le musée à la Ville de Tarbes. Depuis, le suivi et l’enrichissement des collections, la conception d’actions de médiation culturelle et la mise en œuvre de la programmation relèvent du service des Musées de la Ville

Sur 100 m², l’exposition permanente du musée présente une multitude de photographies, de coupures de presse, d’affiches, de timbres, etc. ayant trait à la Seconde Guerre mondiale. Les objets exposés sous vitrine (tenues de déportés, objets fabriqués dans les camps, armes, objets de la Résistance) sont tous des originaux, rapportés par les anciens déportés et résistants.

C’est en s’appuyant sur quatre grands axes que les fondateurs du musée ont pu proposer une exposition la plus complète possible : 

•            L’embrasement de l’Europe (1919-1939) & mainmise sur la France (1940-1942) ;

•            Résistances et répressions (1943-1944)

•            La Déportation (1933-1945)

•            L’écrasement de l’Axe (1943-1945).

 

Afin de compléter les thèmes développés dans son exposition permanente, le musée propose également chaque année une programmation de plusieurs expositions temporaires (des créations du musée ou bien des emprunts auprès d’autres structures), conférences et autres rendez-vous, plus insolites.

Des visites commentées gratuites sont proposées aux scolaires et aux groupes, sur réservation.

Pour les communes du département et les établissements scolaires, le musée peut également prêter trois expositions et des valises à lire.

Pour les étudiants, les chercheurs ou les élèves préparant le Concours National de la Résistance et de la Déportation, le musée ouvre sa bibliothèque et dévoile ses archives, sur réservation uniquement.


 

 

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Infos pratiques

Adresse

63 rue Georges-Lassalle 65000
Tarbes
05 62 51 11 60

Tarifs

Entrée gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au vendredi : 9H – 12H ; 14H – 17H

Site Web : Site officiel

Rendez-vous de mémoire : Jean Moulin et le conseil national de la Résistance

Acteur majeur de l'unification de la Résistance française durant la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin repose aujourd'hui au Panthéon. Chaque année, un hommage national lui est rendu le 17 juin, en souvenir de son premier acte de résistance en 1940.

 

Le film

 

Hommage_Jean_Moulin_CNR_MAV

Musée Mémoire 39-45 de Calais

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© Musée mémoire 39-45

Le Musée Mémoire de Calais est situé au cœur de la ville, dans un authentique bunker datant de la Seconde Guerre Mondiale. Le bâtiment construit en 1941 a servi de poste de commandement à la marine de guerre allemande durant le conflit. Epargné par les nombreux bombardements qui ont touché la ville, le site est resté extrêmement bien conservé. C’est en 1962 que le bâtiment a été converti en musée d’histoire locale.

La visite du site s’effectue au niveau du couloir central du bâtiment, construit en béton armé, qui représente une imposante longueur totale de 94 mètres. Cette particularité fait du bâtiment le plus long bunker construit par les Allemands en Europe. Cette partie du site extrêmement bien conservée pour l’époque, servait de salles de travail et de chambres pour les occupants du bunker à l’origine. On estime à une quarantaine, le nombre de marins qui vécurent dans ce lieu entre juillet 1941 et septembre 1944, date de libération de la ville par les troupes canadiennes.

Composé de 22 salles d’exposition, le Musée Mémoire de Calais, relate la vie de la Cité des Six Bourgeois et de ses habitants durant cette douloureuse période de l’histoire. Plusieurs thèmes sont abordés au cours de la visite : la Résistance, les prisonniers de guerre, l’aviation, les batteries côtières… De nombreux documents d’époques illustres les sujets mis à l’honneur. Le musée dispose aussi de plus de 60 uniformes de différentes armées, de nombreuses armes, d’objets de la vie quotidienne, et d’une impressionnante collection d’affiches et de photographies sur Calais. En effet, depuis son ouverture en 1962, le Musée a pu recueillir de nombreux objets de cette époque et enrichir ses collections.

Véritable témoin de la vie sous l’Occupation, la visite du Musée vous permettra de comprendre la vie de la population locale durant le conflit et aussi de comprendre la position stratégique de Calais dans la stratégie allemande. Au regard de la richesse des collections exposées, la visite du site nécessite 1h15 à 1h30 pour permettre au visiteur d’avoir une vue d’ensemble des faits relatés.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

Parc Saint-Pierre 62100
Calais
03 21 34 21 57

Tarifs

Adulte : 8€ / Famille : 16€ / Etudiants-enfants : 6€ / Groupes : 6€ par personne

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 01/02 au 30/04 et du 01/10 au 11/11, ouverture de 11h à 17h (dernière admission 16h15) - Fermeture mardi et dimanche / Du 01/05 au 30/09, ouverture tous les jours de 10h à 18h (dernière admission 17h15)

Un insigne pour le ralliement de Madagascar à la France Libre

Mémorial de la gare de Penne d’Agenais

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© ANACR Penne d'Agenais / Association Eysses

C’est de cette gare où le 30 mai 1944, 1200 patriotes détenus à la centrale d’Eysses en raison de leurs activités dans la Résistance et livrés aux nazis par le gouvernement de Vichy, furent déportés via Compiègne au camp de concentration de Dachau.

Le site mémorial comprend :

  • Un wagon du souvenir, inauguré en juin 2014, identique à ceux qui emmenèrent les résistants d’Eysses en déportation.
     
  • Un mémorial érigé à proximité du wagon rappelant les noms des 1200 déportés
     
  • Un pôle mémoire, « Les Résistants d’Eysses de Penne à Dachau », inauguré en juin 2018, aménagé dans un local de la gare de Penne en partenariat avec l’Association Nationale pour la Mémoire des résistants emprisonnés à Eysses.
     
  • Une frise illustrée par de nombreux documents rappelle l’histoire d’Eysses et de ses résistants, de leur arrivée dans cet établissement pénitentiaire, à l’automne 1943 jusqu’à leur départ en déportation.


L’ANACR (Association nationale des anciens combattants de la Résistance) a ramené de Dachau des cendres provenant des fours crématoires et les a déposées dans le pôle.

Il a été réalisé l’installation de deux vidéoprojecteurs diffusant un film avec des témoignages de résistants déportés.

 


 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Gare 47140
Penne-d'Agenais
06 70 70 74 21 / 06 87 56 57 75

Tarifs

Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Sur rendez-vous

Courriel : guytou47@orange.fr

La rafle du Vélodrome d’Hiver

Collection « De la mémoire à l’histoire » | Accès à la vidéo en ligne

Les 16 et 17 juillet 1942, 13 152 juifs sont arrêtés par la police française. 1 129 hommes, 2 916 femmes et 4 115 enfants sont enfermés dans l'enceinte sportive du Vélodrome d'Hiver. Les couples sans enfants et les célibataires (1 989 hommes et 3 003 femmes) sont internés au camp de Drancy. Du 19 au 22 juillet, les familles du Vélodrome d'Hiver sont transportées dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Adultes et adolescents sont déportés en premier. Brutalement séparés de leurs parents, environ 3 000 enfants en bas-âge sont laissés sur place dans une affreuse détresse. Ils sont transférés à Drancy puis déportés entre le 17 et 31 août 1942. Aucun d'entre eux n'est revenu. La direction de la mémoire, de la culture et des archives (SGA/DMCA) du ministère des Armées revient sur cet épisode tragique de la Seconde Guerre mondiale, qui a notamment abouti à la création d'une Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux « Justes » de France.

De la mémoire à l’histoire : la rafle du Vélodrome d’Hiver

Un film présentant les Compagnons de la Libération et contextualisant l'engagement d'Hubert Germain

Le général de Gaulle crée l'Ordre de la Libération en novembre 1940, à Brazzaville. Cette décision, qui intervient quelques mois après l'appel du 18 juin, peut sembler étonnante compte-tenu des préoccupations du moment. Mais le chef des Français libres, qui a compris que la guerre serait longue, souhaite trouver un symbole fort permettant d'encourager et de récompenser ceux qui se montreraient particulièrement méritants dans les combats contre l'occupant nazi. Ce n'est d'ailleurs pas une simple décoration - la croix de la Libération - qui est alors créée mais un ordre sans hiérarchie dont les membres portent le titre de compagnons de la Libération.

Un peu plus de mille croix de la Libération sont attribuées, selon des critères très stricts. En janvier 1946, l'ordre est forclos et les compagnons de la Libération forment dès lors un groupe immuable représentant à jamais la Résistance 1940-1945.
 

Le film
 

Video-Compagnons-de-la-Liberation

© DMCA / ECPAD

La nécropole nationale de Signes

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Cérémonie du 18 juillet 2012. Collection ONACVG

 

Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette Signes

 

Acquis pour un franc symbolique, le terrain situé sur le territoire de la commune de Signes au lieu-dit du "Vallon des Martyrs" devient, en 1996, nécropole nationale. Inaugurée le 25 juin de la même année en présence du Ministre délégué aux anciens combattants et victimes de guerre, elle rend hommage aux 38 résistants exécutés sur ce site en juillet-août 1944. D’une superficie de 54 ares, cette nécropole ne comporte pas à proprement parler des corps, mais un ossuaire ainsi que 38 dalles commémoratives individuelles.

 

La Résistance en zone Sud

Dès l’été 1940, des individus et des petits groupes protestent contre l’Occupation et critiquent les orientations politiques de l'État français, récemment au pouvoir. Mouvements et réseaux de Résistance se développent progressivement en Provence non-occupée, comme dans tout le pays.

En novembre 1942, les Allemands franchissent la ligne de démarcation et envahissent la zone libre. La Résistance se renforcent de nouveaux individus et les actions armées contre l’Occupant se développent.

Le 26 janvier 1943, sous l’impulsion de Jean Moulin, les trois grands mouvements de zone Sud (Combat, Libération Sud et Franc Tireur) se regroupent pour devenir les Mouvements Unis de la Résistance (MUR). Ils mettent en place une organisation clandestine très structurée comportant différents secteurs d’actions : l'Armée Secrète (AS), le Noyautage des Administrations Publiques (NAP), la Section Atterrissage Parachutage (SAP), le Recrutement Organisation Propagande (ROP), une Organisation Universitaire (OU)… Des maquis, émanant des MUR, des Francs-tireurs et partisans (FTP) ou de l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA), se constituent dans les régions montagneuses où se sont réfugiés de nombreux réfractaires au STO. Entre décembre 1943 et février 1944, les différentes forces armées de la Résistance se regroupent pour former les Forces Françaises de l’Intérieur (FFI).

En 1944, les résistants de la zone Sud préparent la Libération du territoire. Des Comités Départementaux de Libération (CDL) sont constitués. Après le débarquement des troupes alliées en Normandie du 6 juin 1944, la répression menée par l’armée allemande, la Gestapo et la Milice s’intensifie, en particulier contre les maquis créés en juin dans la région provençale.

Les exécutions de juillet et août 1944

Pendant l’été 1944, une trahison permet à la Gestapo d’arrêter de nombreux résistants de R2 (actuelle région Provence-Alpes-Côte-d’Azur). C’est le cas, le 16 juillet 1944, pour la quasi totalité des membres du Comité Départemental de Libération des Basses-Alpes, réunis à Oraison. D’autres sont interpellés à leur domicile ou lors de rendez-vous. Soumis à des interrogatoires et à la torture au siège de la Gestapo de Marseille, au 425 de la rue Paradis, ils sont ensuite transférés à la prison des Baumettes.

Le 18 juillet, après un simulacre de jugement, vingt-neuf de ces hommes sont fusillés dans un vallon isolé des bois de Signes. Le 12 août, neuf autres résistants sont exécutés sur le même site. Les corps sont enfouis sur place.

La découverte de ce charnier en septembre 1944 révèle la brutalité de ces exécutions : certains ont été enterrés vivants et de la chaux vive a été jetée sur les corps les rendant parfois méconnaissables. Parmi les victimes, il est possible d’identifier des résistants provenant de différents mouvements et organisations : le président du Comité Départemental de Libération (CDL) des Basses-Alpes, plusieurs membres des Mouvements Unis de Résistance (MUR), de l’Organisation Universitaire (OU) et du Noyautage des Administrations Publiques (NAP), le chef des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI) de la Région 2, le délégué militaire régional (DMR), des jeunes officiers des Forces Françaises Libres (FFL), un Britannique du Special Operations Executive, un officier américain, …

Dans les bois de Signes, les nazis ont infligé de lourdes pertes à la Résistance provençale, la privant, à la veille du débarquement de Provence, de plusieurs de ses responsables.

Le 21 septembre 1944, des obsèques nationales ont lieu au cimetière Saint-Pierre de Marseille, présidées par Raymond Aubrac, alors commissaire régional de la République, en présence des autorités civiles, militaires et religieuses. Depuis, dans ce "vallon des martyrs" devenu nécropole nationale, chaque année, le 18 juillet, une cérémonie rend hommage aux 38 résistants.

 

Cérémonie du 18 juillet 1945

Cérémonie du 18 juillet 1945. Collection Chiny

 

Les fusillés de Signes

  • Marcel ANDRÉ

44 ans - directeur d’école - CDL des Basses-Alpes

  • André AUNE

45 ans - courtier - Chef départemental de l’AS des Bouches-du-Rhône

  • Georges BARTHÉLEMY

37 ans – Lieutenant FFI

  • Lucien BARTHÉLEMY

40 ans - agent commercial - Réseau La France au Combat

  • Charles BOYER

59 ans - avocat - Réseau La France au Combat

  • Albert CHABANON

29 ans – professeur – responsable régional de l’OU

  • Henri CHANAY

30 ans – officier français – Chef de la Mission interalliée (DMR par intérim)

  • Roger CHAUDON

36 ans – directeur de coopérative agricole – SAP Basses-Alpes

  • Georges CISSON

34 ans - ingénieur des ponts et chaussées - Chef régional du NAP

  • Paul CODACCIONI

55 ans - contrôleur principal des PTT - Chef régional du NAP-PTT

  • François CUZIN

29 ans - professeur de philosophie - CDL des Basses-Alpes

  • André DAUMAS

44 ans - médecin - Médecin FFI Basses-Alpes

  • Jean-Pierre DUBOIS

49 ans – décorateur - MLN

  • Léon DULCY

32 ans - médecin - SOE britannique

  • Guy FABRE

19 ans - étudiant - OU

  • Maurice FAVIER

27 ans - secrétaire de Mairie - CDL des Basses-Alpes

  • Paul KOHLER

44 ans, chef mécanicien - NAP SNCF

  • Pierre-Jean LAFFORGUE

29 ans – officier français - ORA

  • Émile LATIL

41 ans – peintre – CDL des Basses-Alpes

  • Jean-Louis LESTRADE

20 ans - étudiant - OU

  • Maurice LEVY

32 ans – publiciste - Agent de renseignement OSS

  • Jean LIBERT

20 ans – Chef du service de liaison du MLN

  • René MARIANI

22 ans - étudiant - OU

  • Louis MARTIN-BRET

46 ans - directeur de coopérative - Responsable MLN et président du CDL des Basses-Alpes

  • Jules MOULET

45 ans - entrepreneur - Chef NAP des Bouches-du-Rhône

  • Jean M. MUTHULAR

34 ans - officier américain - Mission interalliée OSS

  • Francis NINCK

30 ans - officier français – Commandant du secteur AS de Marseille

  • Léon PACAUD

31 ans - officier français – FFL

  • François PELLETIER

23 ans - officier français - BCRA – FFL

  • Jean PIQUEMAL

39 ans - infirmier - CDL des Basses-Alpes

  • Terce ROSSI

28 ans - mécanicien – Agent FTP Basses-Alpes

  • Robert ROSSI

31 ans - officier français - Chef régional des FFI

  • Georges SAINT-MARTIN

20 ans - étudiant – FFI (secrétaire de Robert Rossi)

  • Robert SALOM

18 ans - étudiant – Agent FTP Basses-Alpes

  • André WOLFF

44 ans - notaire - AS

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Infos pratiques

Adresse


83870 Signes

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites libres toute l’année

Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

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© Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

Le Centre de la Résistance, de la déportation et de la mémoire retrace l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et vous donne rendez-vous pour une dernière bataille, celle contre l’oubli.

>> Agenda

Avec 225 m², le Centre propose une exposition permanente à travers diverses archives et objets d’époque, en partie légués par d’anciennes personnes déportées et résistantes (armes, uniformes, photographies, etc.), qui rappelle l’engagement, le courage et l’espoir des habitantes et habitants du Loir-et-Cher. Plusieurs expositions temporaires sont proposées au fil de l’année, sur diverses thématiques. Elles mettent davantage en lumière certains aspects de la Seconde Guerre mondiale, ou éclairent d’autres sujets comme le génocide du Rwanda, l’indépendance Irlandaise ou les tirailleurs. En plus des expositions permanente et temporaire, le Centre propose régulièrement des rencontres, conférences, projections, pièces de théâtre, etc. Ces moments d’échange et de partage permettent de découvrir l’histoire sous d’autres formes.  Le Centre est évidemment ouvert aux groupes scolaires, sur réservation. L’entrée est gratuite pour les élèves et les personnes qui les accompagnent (y compris la personne conduisant le bus le cas échéant). (3000 signes environ, espaces compris).

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

6 square Victor Hugo - 41000
Blois
02 54 44 67 40

Tarifs

5€ plein tarif / 3€ tarif réduit / Gratuit moins de 18 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mardi au samedi : 10h-12h et 14h-18h / Dimanche et jour férié : 14h-18h

Fermetures annuelles

Fermé pendant les vacances de décembre

Site Web : www.blois.fr
Courriel : crdm@blois.fr

1940 Répondre à l’Appel

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