La ligne de démarcation

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La ligne de démarcation à Moulins. À partir du 1er mars 1943, le laissez-passer n'est plus nécessaire au franchissement de la ligne. Source : LAPI/Musée de la Résistance Nationale – Champigny
La ligne de démarcation à Moulins. À partir du 1er mars 1943, le laissez-passer n'est plus nécessaire au franchissement de la ligne. Source : LAPI/Musée de la Résistance Nationale – Champigny

Après l'effondrement de l'armée française en juin 1940, le nouveau gouvernement, dirigé par le maréchal Pétain, se résigne à la défaite et demande l'armistice, le 17 juin 1940, tandis que le général de Gaulle rejoint l'Angleterre et lance de Londres, le 18 juin, un appel pour continuer la lutte contre l'occupant nazi.

 

27 mai - 9 juin 1941. La grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais

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Fosse du Dahomey, concession de Dourges. © DR
Fosse du Dahomey, concession de Dourges. © DR

En mai 1940, l'Allemagne lance son offensive à l'Ouest. Après avoir envahi la Hollande et la Belgique, elle jette ses troupes sur le Nord de la France où celles-ci commettent de terribles exactions sur les populations, à Aubigny-en-Artois, à Courrières, à Oignies, à Ostricourt...

Le réseau du musée de l'Homme. Une épopée tragique

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Musée de l'Homme, palais de Chaillot. © Licence Creative Commons
Musée de l'Homme, palais de Chaillot. © Licence Creative Commons

1940 - 1942. Un mouvement de résistance contre l'Allemagne nazie.

L'offensive éclair des troupes allemandes en France, lancée le 10 mai, se termine par une victoire complète du IIIe Reich et un désastre pour les Alliés.

Pourtant, après l'appel du général de Gaulle, le 18 juin 1940, et la signature de l'armistice, le 22 juin, des hommes et des femmes refusent de se résigner et choisissent de combattre l'Allemagne nazie.

22 octobre 1941. Les fusillés de Châteaubriant

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Avis du général von Stülpnagel, Paris, 21 octobre 1941. © DR.
Avis du général von Stülpnagel, Paris, 21 octobre 1941. © DR.

1941. Koufra, la première victoire de la France libre

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Leclerc vers Koufra. Montage. © MINDEF/SGA/DMPA
Leclerc vers Koufra. Montage. © MINDEF/SGA/DMPA

 

Alors qu'en Europe les armistices signés par la France avec l'Allemagne et l'Italie ont provisoirement mis un terme aux combats, tout au moins sur le continent, les Italiens prennent l'initiative d'ouvrir un nouveau front en Afrique. 

Mai 1940. La bataille de la Dyle

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10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD
10 mai 1940. Entrée des régiments français en Belgique. © ECPAD

Le 10 mai 1940, à 10 h du matin, précédés par les véhicules de leurs groupes de reconnaissance et du corps de cavalerie mécanique, les 7e et 1re armées françaises ainsi que le corps expéditionnaire britannique pénètrent en Belgique, exécutant la manœuvre Dyle, prévue depuis novembre 1939, afin de tenir sur la ligne Anvers-Namur face à l'offensive allemande, des unités de la 7e armée allant même jusqu'en Hollande.

L'année 1918 : la rupture de l'équilibre

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L'Hôtel de ville à Béthune (Pas-de-Calais), mai 1918
Attaque et prise de Cantigny par les troupes américaines ? 28 mai 1918. © ECPAD

L'année 1918 : la rupture de l'équilibre militaire

1918 voit se rompre l'équilibre stratégique et tactique qui, sur le front occidental, avait transformé le conflit en une interminable guerre de position. L'Allemagne initie le retour à la guerre de mouvement, espérant exploiter la fenêtre d'opportunités ouverte par l'effondrement du front russe. Le formidable effort engagé lors des offensives du printemps 1918 expose l'Entente à un risque maximal. Mais, à l'été, l'équilibre des forces bascule de nouveau, et définitivement : brisée par un engagement qui n'apporte pas la décision espérée, l'armée allemande est acculée à la défaite.

Départ en ballon de Gambetta

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Portrait de Gambetta.
Monument consacré à Gambetta (Sèvre 92) détail. Source : Tcherome. Libre de droit.

Départ en ballon de Gambetta

Les autres camps dans le Tarn-et-Garonne (82)

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Place Nationale à Montauban.
Place Nationale à Montauban. Source : Carte postale. D.R

 

Le dispositif d'internement et les structures d'encadrement prévues par le général Ménard, chargé à partir de février 1939 d'organiser l'arrivée des réfugiés, comprend aussi pour le Tarn-et-Garonne, des installations secondaires.

Lettres du Marquis de Lespinay

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Soldats français photographiés dans leur tranchée. © Library of Congress
Soldats français photographiés dans leur tranchée. © Library of Congress