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Loos en Gohelle

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Mémorial de Loos et cimetière du Dud Corner. Source :Office du tourisme et du patrimoine de Lens-Liévin

Envahie en octobre 1914, Loos en Gohelle ne fut libérée qu'en août 1917 au prix de milliers de pertes.

La ville de Loos en Gohelle a beaucoup souffert de la guerre 14-18. Envahie dès le 10 octobre 1914, elle ne fut libérée qu'en août 1917 au prix de milliers de pertes. Français, Anglais, Ecossais, Gallois et Canadiens ont péri sur le sol loossois d'où la présence de nombreuses empreintes et traces sur le territoire.

L'association "Sur les Traces de la grande Guerre", dont le rôle est de conserver, sauvegarder et raconter ce patrimoine, accueille des personnes pour visiter le musée Alexandre Villedieu où tous les objets exposés proviennent des champs de bataille loossois. Il y a eu trois grandes batailles à Loos en Gohelle, dans le triangle territorial des collines de l'Artois (Vimy et Lorette) et de la plaine de Douai.

La ville de Loos en Gohelle a beaucoup souffert de la guerre 14-18. Envahie dès le 10 octobre 1914, elle ne fut libérée qu'en août 1917 au prix de milliers de pertes. Français, Anglais, Ecossais, Gallois et Canadiens ont péri sur le sol loossois d'où la présence de nombreuses empreintes et traces sur le territoire.

L'association "Sur les Traces de la grande Guerre", dont le rôle est de conserver, sauvegarder et raconter ce patrimoine, accueille des personnes pour visiter le musée Alexandre Villedieu où tous les objets exposés proviennent des champs de bataille loossois. Il y a eu trois grandes batailles à Loos en Gohelle, dans le triangle territorial des collines de l'Artois (Vimy et Lorette) et de la plaine de Douai.

La première bataille se déroula le 9 mai 1915. Diversion pour la bataille de la colline de Lorette, elle fut un vrai massacre pour les deux régiments français.

La deuxième bataille commença le 25 septembre 1915, plus connue comme "La Bataille de Loos" chez les Britanniques. Cette bataille fit de nombreuses victimes (15 800 morts et 34 580 blessés du côté britannique et 20 000 tués ou blessés du côté allemand.) Cette bataille est très importante dans le coeur des Britanniques qui viennent très nombreux se recueillir dans les 3 cimetières britanniques de Loos en Gohelle. Cette bataille libéra les 2/3 de Loos jusqu'à la cote 70 qui resta allemande pendant 2 ans.

La troisième bataille eu lieu le 15 août 1917. Après la libération de la cote 145 à Vimy, les soldats Canadiens arrivent à Loos mi-juillet pour s'emparer de la dernière partie de Loos occupée par les Allemands. Jusqu'au 15 août 1917, 12 000 canadiens circuleront sous terre dans un réseau de souterrains, préparant la libération de la cote 70.

Les sentiers loossois sont des sentiers pédestres qui permettront à l'avenir de faire découvrir à d'autres personnes que les passionnés de la Grande Guerre le passé de Loos à travers les anciens champs de bataille 14-18. - le sentier des "Sépultures" - le sentier du "Lone Tree".

 


Musée 14/18 Alexandre Villedieu

Association "Sur les Traces de la Grande Foyer Omer Caron"

1er étage Place de la République 62750 Loos en Gohelle

Tél. 03 21 70 59 75 ou 03 21 28 99 82

E-mail : a.villedieu@wanadoo.fr

 

Mairie de Loos en Gohelle

Place de la République 62750 Loos en Gohelle

Tél. 03 21 69 88 77

Fax : 03 21 69 88 79

E-mail : contact@loos-en-gohelle.fr

 

Horaires d'ouverture : de 9h00 à 11h00 et de 14h00 à 17h00

A noter : l'aprés-midi sur réservation

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Infos pratiques

Adresse

Place de la République 62750
Loos en Gohelle
Tél. 03 21 69 88 77 Fax : 03 21 69 88 79 Musée 14/18 Alexandre Villedieu Association Tél. 03 21 70 59 75 ou 03 21 28 99 82

Horaires d'ouverture hebdomadaires

d'ouverture : de 9h00 à 11h00 et de 14h00 à 17h00 ('après-midi sur réservation)

CERCIL - Musée Mémorial des enfants du Vel d’Hiv

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©CERCIL - Musée Mémorial des enfants du Vel d’Hiv

Située dans le centre-ville d’Orléans, le CERCIL - Musée-Mémorial des enfants du Vel d’Hiv et des camps d’internement de Beaune-la-Rolande, Pithiviers et Jargeau abrite un musée qui permet aux visiteurs d’être informés et sensibilisés à l’histoire de ces trois camps et en particulier sur l’internement puis l’assassinat de 16 000 internés juifs.

Le CERCIL, Musée-Mémorial des enfants du Vel d’Hiv est un centre d’histoire et de mémoire à Orléans, ouvert à tous les publics. Son exposition permanente retrace l’histoire des camps d’internement dans le Loiret pendant la Seconde Guerre mondiale : Beaune-la-Rolande, Pithiviers et Jargeau. Un Mémorial est dédié aux milliers d’enfants qui y furent détenus. Le CERCIL propose des expositions temporaires, des visites guidées ainsi qu'une riche programmation culturelle (rencontres, conférences, ateliers pour les enfants...).

  • Beaune-la-Rolande et Pithiviers

Entre 1941 et 1943, 16 000 juifs dont 4 700 enfants sont internés dans les camps de Beaune-la-Rolande et de Pithiviers. D’abord des hommes, arrêtés lors de la première grande rafle de juifs étrangers, la rafle du « billet vert », le 14 mai 1941. Puis des femmes et des enfants, à partir de l’été 1942. Placés sous l’autorité de la préfecture du Loiret à Orléans, les camps sont surveillés par des gendarmes et douaniers français. Après la rafle du Vel d’Hiv, les 16 et 17 juillet 1942 à Paris, 8000 juifs, principalement des femmes et des enfants, y ont été internés. Les mères sont déportées les premières, puis les enfants. 4 400 enfants sont assassinés à Auschwitz après avoir été internés dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Huit convois sont partis directement du Loiret vers Auschwitz-Birkenau.

  • Jargeau

Dans ce camp ont été enfermées, de mars 1941 au 31 décembre 1945, 1 700 personnes dont 1 200 nomades. Par le nombre de personnes internées et sa durée de fonctionnement, Jargeau est l’un des plus importants camps d’internement de nomades en France.

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

45, rue du Bourdon Blanc 45000
Orléans
02 38 42 02 91

Tarifs

Visite du musée-mémorial : 4€ – Tarif réduit : 2€ / Gratuité pour les moins de 18 ans / Pour les groupes à partir de 10 personnes : visite guidée : 30€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et de 14h à 17h (en juillet et en août de 11h à 18h) / Mardi nocturne jusqu’à 20h / Dimanche de 14h à 18h / Fermé le samedi

Fermetures annuelles

1er janvier, lundi de Pâques, 1er mai, 8 mai, Ascension, lundi de Pentecôte, 14 juillet, 15 août, 11 novembre, 25 décembre / Fermetures certains jours de fêtes juives

Site Web : www.cercil.fr

Musée Mémoires 39-45

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La partie du blockhaus  que vous voyez ne représente que 10%  de sa surface. Presque entièrement enterré, le poste de commandement de la batterie Graf Spee figure parmi les plus importants bunkers de la région. 

Sur 5 étages et 500m² d'expositions, la visite en sens unique débute sous l'accueil, dans le casernement des 25 soldats défendant la position. Dans des lieux restaurés à l'identique, vous découvrez la vie quotidienne sur le mur de l'Atlantique, au travers de mises en scène saisissantes de réalisme.

Les étages suivants vous plongent dans l'atmosphère des années de guerre en Bretagne : guerre éclair, stalags, occupation, France Libre, Collaboration, Résistance, combats pour Brest, Libération, ... Au fil des nombreuses anecdotes, c'est une rencontre pleine d'émotions avec celles et ceux qui ont vécu, ici, cette guerre.

Retour à la lumière au niveau des kiosques d'observation et du point de vue panoramique, offrant une vue unique sur l'entrée de la rade de Brest de la Presqu'île de Crozon à Ouessant.

La visite se termine par une promenade sur le site, ou l'on peut découvrir les autres blockhaus de défense rapprochée, ainsi que divers  matériels plus imposants.

 

Sources : ©Musée Mémoires 39-45
Office de tourisme : Plougonvelin - Boulevard de la mer - Tel : 02 98 48 25 94
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Infos pratiques

Adresse

Le Prédic – Route de la pointe Saint Mathieu 29217
Plougonvelin
02 29 02 84 56

Tarifs

Plein tarif : 7,5€ Jeunes de 6 à 16 ans : 5,5 € Groupes (à partir de 12 personnes) : 6,5€ Gratuité : enfants de moins de 6 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert 7 jours sur 7, de 10h00 à 18h30 sans interruption, du 1er avril au 11 novembre ainsi que durant les vacances scolaires de Noël (hors jours fériés), et les vacances de février (zones B & C)

Fermetures annuelles

Du 12 novembre au 31 mars. Ouvert durant les vacances scolaires hors jours fériés (zones B & C).

Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Ain

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© CD01, Nathalie Le Baut

Installé au cœur du Haut-Bugey, à Nantua, haut lieu d’histoire et de mémoire résistante, le musée de la Résistance et de la Déportation de l’Ain propose, grâce à une scénographie accessible au plus grand nombre, une (re)lecture actualisée des événements de la Seconde Guerre mondiale à travers le vécu des habitants de l’Ain. Le parcours de visite présente les enjeux stratégiques de l’Ain dans la Seconde Guerre mondiale avec une mise en perspective à l’échelle régionale, nationale et européenne.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Nantua


Entre 1943 et 1944, les montagnes du Bugey abritent les Maquis de l’Ain tandis que les plaines de Bresse ou de la Dombes réceptionnent de nombreux parachutages alliés.

Le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Ain est installé au cœur de la ville de Nantua dans l’ancienne prison.

Ouvert depuis 1985 et rénové en 2017, le musée dispose d’une exposition permanente renouvelée intégrant les actualités de la recherche historiographique. Accessible au plus grand nombre, son parcours propose de nombreuses animations audiovisuelles.

Centré sur le vécu des habitants de l’Ain, le discours insiste également sur les enjeux stratégiques de ce territoire pendant la guerre. Il met par ailleurs en lumière le destin souvent exceptionnel d’Aindinois engagés.

Les différentes thématiques sont illustrées par une exceptionnelle collection rassemblée par des protagonistes de l'époque. Affiches de propagande, objets du quotidien, uniformes, témoignages... perpétuent le travail de mémoire.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

3 montée de l’Abbaye 01130
Nantua
04 74 75 07 50

Tarifs

Entrée du musée (collections + expositions temporaires) : 7€ / 4€ / Gratuit pour les moins de 18 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du 15/03 au 15/11 de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h / Fermé le mardi / Groupes & scolaires : du 03/01 au 15/11 sur réservation

Fermetures annuelles

Du 16 novembre au 14 mars / Fermeture exceptionnelle le 1er mai

Site Web : patrimoines.ain.fr

Musée de la Résistance et de la Déportation en Ardèche (07)

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©Musée de la Résistance et de la Déportation - MRDA

Un musée créé par d’anciens résistants de l’Ardèche : il s’agit de l’unique musée du département consacré à l’histoire méconnue de la résistance ardéchoise, et plus largement de la Seconde Guerre mondiale à l’échelle locale.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Ardèche


Fondé en 1992 par d’anciens résistants, avec la volonté de transmettre la mémoire de tous ceux qui ont combattu pour la libération et pour la victoire contre la barbarie nazie, le Musée présente un parcours à travers l’histoire de la Seconde Guerre mondiale dans le département. Riche de nombreuses archives, l’exposition invite à découvrir la spécificité de la résistance en Ardèche: imprimeries clandestines, distri­bution de tracts, parachutages, sabotages. L’association fondatrice du musée définit son objectif comme suit : « Notre Musée n’est dédié à aucune unité, à aucun mouvement en particulier, à aucun chef, mais à la Résistance, qui fut œuvre collective. »

Installé au Teil, le musée propose dans son parcours une histoire à l’échelle départementale. Si la résistance teilloise est évoquée, il ne s’agit donc pas d’un musée d’histoire communale. De même, si les liens intra-départementaux sont précisés, le musée est avant tout consacré à la spécificité de la Résistance ardéchoise, et à son rôle dans la libération du département.

Le fonds d’archives réuni par l’association fondatrice du musée a été déposé puis donné en 1996 au Département via les Archives départementales. Réuni sous la cote 70J, il est ainsi consultable par tous, et permet de faire des recherches sur l’histoire du second conflit mondial en Ardèche. Il continue de s’enrichir grâce à des collectes et des dons réguliers.   

Le Musée est géré depuis 2010 par la Communauté de Communes Rhône-Helvie, devenue en 2017 Communauté de Communes Ardèche Rhône Coiron. Il est soutenu par le Département de l’Ardèche et la Mairie du Teil. Il propose depuis une programmation culturelle variée et un programme pédagogique à destination des scolaires.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation ©MRDA
Office de tourisme - Place Pierre Semard, 07400 Le Teil - Tél.: 04 75 49 10 46
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Infos pratiques

Adresse

15 rue du travail, espace Aden 07400
Le Teil
04 75 92 25 61

Tarifs

- Visite gratuite : pour les scolaires et les moins de 12 ans. - Plein tarif : 3 € - Jeunes : 3 € - Groupes : 2 € (à partir de 10 personnes) - Gratuité : pour les scolaires et les moins de 12 ans - Pass/tarifs groupés éventuels : Pass Ardèche / offre groupe de l’Office de tourisme sud Ardèche Rhône et Village

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouverture exceptionnelles certains dimanches. Du mercredi au vendredi, 10h-12 et 14h-17h Pendant les vacances scolaires et du 1er juillet au second week-end de septembre : du lundi au vendredi. Période estivale : ouverture jusqu’à 18h. Fermé les jours fériés.

Fermetures annuelles

Du dernier week-end de novembre au début des vacances scolaires de février

Lens’ 14-18

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Ouvert gratuitement, Lens' 14 - 18 est un centre d’interprétation présentant les batailles et les événements de la Grande Guerre sur les 90 kilomètres de front 1914 - 1918 du Nord — Pas-de-Calais.

Il a pour ambition d'aider à la compréhension de tous les publics ce que fut le quotidien des soldats de toutes les nationalités durant la Première Guerre mondiale.

Situé au pied de la colline de Notre-Dame-de-Lorette, Lens’ 14-18 – Centre d’Histoire Guerre et Paix présente la Grande Guerre sur le sol du Nord-Pas-de-Calais.

Le bâtiment contemporain, dessiné par l’architecte Pierre-Louis Faloci, se structure autour de cubes de béton noir appelés « chapelles ».

A l’aide de techniques muséographiques innovantes, le centre d’interprétation international met en scène une collection exceptionnelle de documents iconographiques (cartes, photographies d’archives, films d’époque) et d’objets emblématiques. En provenance du monde entier, ces documents reflètent le point de vue de tous les protagonistes (Français, Allemands, Britanniques…). Près de 400 photos sont exposées en grand format. Des cartographies dynamiques illustrent les différentes offensives et une vingtaine de films d’archives immergent le visiteur dans le premier conflit mondial.

L'exposition permanente, conçue par un comité scientifique international et dirigé par l'historien français Yves Le Maner, donne les clés de lecture et d'appropriation des thèmes et de la chronologie du premier conflit mondial. Elle établit un récit cohérent des événements qui ont frappé la région Nord - Pas-de-Calais entre 1914 et 1918. Les grandes étapes du conflit présentées sont : la guerre de mouvement et le système des tranchées, les offensives meurtrières et l’occupation du Nord, les offensives de 1918 et la mort au front, les ruines et la grande reconstruction.

L'exposition du Lens 14-18 rend accessible au grand public l'histoire de la Première Guerre mondiale dans le Nord et le Pas de Calais. Les événements sont présentés de manière synthétique, la visite dure environ deux heures. Les photos de haute qualité, les objets de collection et les cartes dynamiques sont disponibles uniquement sur place et ils aident à cette compréhension rapide

La ligne de front d’une centaine de kilomètres sur les Flandres françaises et l’Artois a vu tomber près de 580 000 soldats d’une quarantaine de nationalités. Leurs noms sont commémorés sur l’Anneau de la Mémoire : Mémorial International de Notre-Dame-de-Lorette localisé à 1500 mètres et leurs fiches militaires sont consultables gratuitement sur des tablettes numériques dans l’espace mémoriel du musée Lens’ 14 - 18.

Situé au pied de la colline de Notre-Dame-de-Lorette, Lens’ 14-18 – Centre d’Histoire Guerre et Paix présente la Grande Guerre sur le sol du Nord-Pas-de-Calais.

Le bâtiment contemporain, dessiné par l’architecte Pierre-Louis Faloci, se structure autour de cubes de béton noir appelés « chapelles ».

A l’aide de techniques muséographiques innovantes, le centre d’interprétation international met en scène une collection exceptionnelle de documents iconographiques (cartes, photographies d’archives, films d’époque) et d’objets emblématiques. En provenance du monde entier, ces documents reflètent le point de vue de tous les protagonistes (Français, Allemands, Britanniques…). Près de 400 photos sont exposées en grand format. Des cartographies dynamiques illustrent les différentes offensives et une vingtaine de films d’archives immergent le visiteur dans le premier conflit mondial.

L'exposition permanente, conçue par un comité scientifique international et dirigé par l'historien français Yves Le Maner, donne les clés de lecture et d'appropriation des thèmes et de la chronologie du premier conflit mondial. Elle établit un récit cohérent des événements qui ont frappé la région Nord - Pas-de-Calais entre 1914 et 1918. Les grandes étapes du conflit présentées sont : la guerre de mouvement et le système des tranchées, les offensives meurtrières et l’occupation du Nord, les offensives de 1918 et la mort au front, les ruines et la grande reconstruction.

L'exposition du Lens 14-18 rend accessible au grand public l'histoire de la Première Guerre mondiale dans le Nord et le Pas de Calais. Les événements sont présentés de manière synthétique, la visite dure environ deux heures. Les photos de haute qualité, les objets de collection et les cartes dynamiques sont disponibles uniquement sur place et ils aident à cette compréhension rapide

La ligne de front d’une centaine de kilomètres sur les Flandres françaises et l’Artois a vu tomber près de 580 000 soldats d’une quarantaine de nationalités. Leurs noms sont commémorés sur l’Anneau de la Mémoire : Mémorial International de Notre-Dame-de-Lorette localisé à 1500 mètres et leurs fiches militaires sont consultables gratuitement sur des tablettes numériques dans l’espace mémoriel du musée Lens’ 14 - 18.

 

Sources : ©Lens’ 14-18 - Centre d’Histoire Guerre et Paix
 
Office de Tourisme et du Patrimoine de Lens-Liévin - 58 rue de la gare - 62300 LENS
Tél : 03 21 67 66 66
 info@tourisme-lenslievin.fr
www.tourisme-lenslievin.fr
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Infos pratiques

Adresse

102 rue Pasteur 62153
SOUCHEZ
03 21 74 83 15

Tarifs

Site en accès libre - Prestations de visites guidées à consulter sur le site www.lens14-18.com Visite gratuite : Oui Audioguide 3€ visite guidée tous les dimanches à 15h00 au prix de 6€ TP et de 0 à 3€ TR

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du Mardi au Dimanche de 10h à 18h d’Avril à mi-Novembre Ouvert du Mardi au Dimanche de 10h à 17h de mi-Novembre à Mars

Fermetures annuelles

Fermé en Janvier

Site Web : www.lens14-18.com

Service historique de la Défense

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Le Service historique de la Défense

Le SHD est rattaché à la direction des patrimoines, de la mémoire et des archives (DPMA), l'une des directions du secrétariat général pour l'administration (SGA) du ministère des Armées. Brochure

Agenda culturel des musées Défense

Lieu de conservation des archives des ministères chargés des affaires militaires depuis l'origine, le service historique de la défense (SHD) dispose en outre d’une bibliothèque spécialisée parmi les plus riches de France. Il est également chargé d’homologuer, de répertorier et de rassembler les éléments de la symbolique militaire (emblèmes et insignes) et de contribuer aux travaux relatifs à l’histoire de la défense.

Ressources documentaires de premier ordre, ses collections (450 km d’archives remontant au XVIIe siècle, près d’un million d’ouvrages), représentent une part de la mémoire de la nation que les archivistes, les bibliothécaires, les historiens, les personnels scientifiques et techniques du SHD s’emploient à conserver, transmettre et partager. Elles appartiennent à tous les Français.

Créé le 1er janvier 2005 par regroupement des anciens services historiques d'armées, le service historique de la défense est rattaché à la direction des patrimoines, de la mémoire et des archives (DPMA), l'une des directions du secrétariat général pour l'administration (SGA) du ministère des Armées.

Il se compose de trois centres : le centre historique des archives (implanté à Vincennes, Cherbourg, Brest, Lorient, Rochefort, Toulon, Caen, Le Blanc), le centre des archives de l’armement et du personnel civil (implanté à Châtellerault), et le centre des archives du personnel militaire (implanté à Pau).

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Infos pratiques

Adresse

Château de Vincennes - Avenue de Paris 94306
Vincennes

Mémorial de Dun-les-Places, 26, 27 et 28 juin 1944

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Du 26 au 28 juin 1944, le village de Dun-les-Places connaît 3 journées d’horreur.

27 personnes sont fusillées et massacrées par l’armée allemande.

Le Mémorial porte le souvenir de ces 3 jours et de ces Hommes.

Il inscrit dans l’espace public la mémoire des faits, des victimes de la barbarie nazie.
Il transmet cette mémoire, au présent, pour ne pas oublier et sensibiliser les générations futures.


- Actualité - juillet 2022 -
> Jeudi 28 juillet à 14h, Ouroux-en-Morvan | Sortie commentée au maquis Bernard | Ouroux-en-Morvan - Affiche
Documentaire sur l'histoire du massacre de Dun-les-Places

Consulter l'offre pédagogique du mémorial >>>  Dun les places


Le mémorial, inauguré le 26 juin 2016, est un centre d’interprétation dédié à la mémoire des évènements.

Le visiteur est invité à réfléchir sur ce qu’il voit et vit.

Le mémorial s’articule autour de deux parcours, intérieur et extérieur :

Il donne à entendre la parole des survivants, interrogeant les conditions de reconstruction physique et morale du village et de ses habitants, et apportant une réflexion sur la barbarie. La médiation, sensible, s'appuie notamment sur des créations audiovisuelles « Galerie numérique ».

Le parcours extérieur est consacré aux faits. Le recueillement, la déambulation. Le visiteur ressent les lieux, la médiation est sobre.

La visite amène une proximité entre le public et les événements. Le mémorial est pensé comme une introduction au cheminement extérieur.

 

Expositions, conférences, projections, événements nationaux (JEP, nuit des musées, etc.), cérémonies…

cliquez pour accéder à cet espace

 

Offre pédagogique (ateliers, visites adaptées, dossiers pédagogiques…)

cliquez pour accéder à cet espace

 

Sources : ©Mémorial de Dun-les-Places, 26, 27 et 28 juin 1944.
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Infos pratiques

Adresse

Rue du 11 novembre 1918 58230
Dun-les-Places
03 86 78 72 99

Tarifs

- Plein tarif : 5 € - Tarif réduit (groupes de + 10 pers., enfant de 8 à 15 ans, étudiants, chômeurs, famille de + 4 pers. ) : 3,50 € - Groupes : 3,50 € - Gratuité : enfants – de 8 ans et ambassadeurs (adhérents à l’association « Morvan, terre de Résistances – ARORM ») - Pass/tarifs groupés éventuels (enfants de 8 à 15 ans, chômeurs, famille de 4 personnes et +, Pass « Clé des Musées » et étudiants) : 3,50 € - Pass Résistance (accès au Musée de la Résistance et au Mémorial de Dun-les-Places) : 8,50 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mai-Septembre: du mercredi au vendredi de 10h-13h et de 14h-18h / du mardi, samedi et dimanche de 15h00-18h00 Avril-Octobre-Novembre : du mercredi au vendredi de 10h-13h et 14h-17h / du samedi et dimanche de 14h-17h

Fermetures annuelles

Du 11 Novembre au 1er avril. Office de tourisme : rue du 11 novembre 1918 – 58230 Dun-les-Places

Musée d’Histoire et d’Archéologie

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Façade du « Château Deprez »

L’association «Les Amis du Vieil Harnes»  gère des collections historiques à caractères militaire et patriotique rassemblées par les anciens combattants.

Exposées depuis 1927 à l’étage de la salle des fêtes., elles ont permis la création, à partir de 1972, de quatre salles au Musée d’Histoire et d’Archéologie, avec une présentation modernisée à caractère didactique.

En 1925, les anciens combattants harnésiens de la première guerre mondiale créent la salle du souvenir. Ces vétérans, soucieux du devoir de mémoire, décident de rassembler dans une salle municipale des objets à caractère militaire (casques, médailles, armes, photographies...), qu'ils présentent uniquement le jour du 11 novembre.

Au fil des années, de véritables collections sur la Première et la Seconde Guerre mondiale, se constituent. Au début des années 1970, le maire de Harnes met à la disposition des anciens combattants une demeure bourgeoise du XIXe siècle, afin que ces derniers y présentent les objets militaires de la salle du souvenir. D’autre part, l'association des Amis Du Vieil Harnes est créée pour gérer les collections et animer le musée, qui ouvre ses portes en 1972.

Devenu « Musée de France » en 2003, le Musée d’Histoire et d’Archéologie de Harnes bénéficie depuis 2013 de nouvelles salles d’exposition.

Le musée présente les objets trouvés lors de fouilles sur le territoire de la commune de Harnes (époques gallo-romaines et Moyen-Age). Puis, à partir de l'exemple d'une commune de la Gohelle, il met en scène les deux conflits mondiaux. Un accent particulier mis sur la résistance et la déportation. Enfin, il présente l'évolution d'une ville (de 1900 à 1930) par le biais d'une exposition de cartes postales.           

À travers la vie des Harnésiens, le Musée d’Histoire et d’Archéologie permet notamment aux visiteurs de revivre les deux conflits mondiaux :

  • La Grande Guerre – 1914.1918.

Durant 4 ans, Harnes est à 12 km du front d’Artois (section Wotan-Stellung de la « ligne Hidenbourg »). Harnes est une base arrière pour les troupes allemandes.

  • La Seconde Guerre mondiale.

Durant le deuxième conflit mondial, Harnes est en zone rattachée au commandement allemand de Bruxelles. Elle est sous l’autorité de l’Ober Feld Kommandantur 670 de Lille.

Un accent particulier est mis sur la Résistance et la Déportation.

Harnes est un foyer de Résistance illustré par Charles Debarge, enfant de Harnes, sans doute la figure  emblématique de la Résistance communiste dans le département du Pas-de-Calais.                            

Harnes est  notamment concerné par trois convois de déportation :

  • le « convoi des mineurs » du 22 juin 1941, premier convoi de répression parti du sol français,
  • le convoi X, suite à la rafle des juifs de Lens, du 11 septembre 1942,
  • le « train de Loos », du 1er septembre 1944, dernier convoi de la déportation.

Le musée présente une importante collection d’affiches (plus de 200)  placardées sur les murs de la zone rattachée durant ces années.

 

Sources : ©Musée d’Histoire et d’Archéologie - Association « Les Amis du Vieil Harnes »
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Infos pratiques

Adresse

50 rue André Deprez 62440
Harnes
03 21 49 02 29

Tarifs

Gratuité totale

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Chaque mercredi de 10 à 12 h et de 15 à 18 h – Chaque samedi de 15 à 18 h Pour les groupes, des visites sont possibles tous les jours, sur rendez-vous (Courrier 15 jours à l’avance)

Fermetures annuelles

Fermeture annuelle en août. Office de Tourisme et du Patrimoine de Lens-Liévin - 50 rue de la gare – 62300 LENS - Tel : +33 (0)2 21 67 66 66

Musée N° 4 Commando

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Vue extérieure

Le musée, créé par des vétérans, conserve la mémoire du Premier Bataillon de Fusiliers Marins Commandos créé par le Commandant Kieffer et qui, intégré au N°4 Commando britannique, a été la seule unité française ayant débarqué sur les plages bas-normandes (zone « Sword ») le 6 juin 1944.

Le musée retrace l’histoire des combattants volontaires français qui, grâce à la ténacité du commandant Philippe Kieffer, ont pu rejoindre les commandos formés par les Britanniques et participer à diverses actions à leurs côtés. Il présente en particulier leur entraînement au camp d’Achnacarry en Ecosse et, le 6 juin 1944, leur action dans le N°4 Commando lors du Débarquement sur la plage de Colleville sur Orne (aujourd’hui Colleville Montgomery), la prise du casino et la libération de Ouistreham, leur jonction avec les parachutistes britanniques au pont « Pégasus Bridge » à Bénouville, puis leur installation à Amfreville, toutes ces opérations ayant été réalisées dans la journée. Ils combattront ensuite dans la Bataille de Normandie jusqu’à la fin août  1944, puis  en Belgique et en Hollande.

Tous les objets présentés dans le musée sont authentiques et les équipements et uniformes proviennent  pour la plupart de dons faits par les familles des commandos britanniques et français.

Une grande maquette de 3,60m x 1,10m aide à la compréhension du Débarquement à  Colleville sur Orne  et à la prise du casino de Ouistreham.

Une vidéo de 26 minutes (sous-titrée en anglais), composée de documents et  de films d’époque,  présente  en particulier l’entrainement au camp d’Achnacarry.

De nombreux  uniformes et  armements, dont certains très rares, utilisés par les belligérants sont exposés dans de grandes vitrines.

Les légendes associées à la majorité des  objets et photographies  présentés sont rédigées en français, en anglais et en allemand.

Ce musée a été créé :

  • Pour expliquer ce qu’étaient les commandos, ce qu’ils ont accompli.
  • Pour que vivent leur mémoire et leur exemple.

En lisant ce poème, visiteur tu comprendras, car tout  y est dit :

Hommage au Commando Kieffer
(Aux 177 commandos et à leurs frères d'armes)

Commandos, emblème d'espèrance
qui claque au vent, vers le ciel de France,
Vous amorcez un chant de délivrance
Qui fait écho dans les villages de France.
.../

Claude Blin

L'intégralité de ce poème de Claude Blin est disponible au musée du N°4 Commando

 

Sources : ©Musée N° 4 Commando
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Infos pratiques

Adresse

Place Alfred Thomas (face au casino) 14150
Ouistreham Riva-Bella
02 31 96 63 10

Tarifs

- Plein tarif (Adultes): 5€- Jeunes (plus de 10 ans), étudiants: 3 €- Groupes (plus de 10 personnes): 4 € /pers - Gratuité : enfants accompagnés de moins de 10 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours . 10h30-13h00 et 13h30-18h30

Fermetures annuelles

De la mi-octobre à la fin mars.Office de tourisme de référence : Place Alexandre Lofi . 14150 Ouistreham Riva- Bella - Tel : 02 31 97 18 63 - info@tourisme-ouistreham.fr

Musée d’Histoire Jean Garcin 1939-1945 : L’appel de la liberté

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© Conservation départementale de Vaucluse

Ouvert en 1990, le Musée d’Histoire Jean Garcin : 39-45 L’Appel de la liberté recrée par le biais d'une approche pluridisciplinaire - historique, littéraire et artistique - toute une époque de l'avant-guerre à la Libération.

Une collection de plus de 10 000 pièces, objets et documents, évoque, dans des décors cinématographiques inspirés du réalisme poétique des années 30 et conçus par Willy Holt, la vie quotidienne des Français sous l'Occupation. Puis une présentation de la Résistance en Vaucluse, en contrepoint de la grande Histoire nationale et mondiale, appréhende, à travers le récit et les témoignages des acteurs de l'événement, les motivations profondes des comportements. Enfin une troisième section : La liberté de l'Esprit propose une réflexion en profondeur sur les idéaux de la Résistance, leur enseignement et leur signification. Elle rassemble nombre d'éditions clandestines, soumises à la censure ou provenant de l'étranger, de revues militantes, de manuscrits de René Char, Georges Rouault, André Breton… et d'œuvres originales de Henri Matisse, Joan Miró…

L'originalité des collections réside essentiellement dans la richesse des objets consacrés à la vie quotidienne. De 1939 à 1949, les Français furent soumis à un système organisé de restrictions alimentaires qui devait profondément marquer les mémoires et les comportements. La faim, le manque, la privation dominaient. À partir de cette collection exceptionnelle, ont été reconstitués les décors d'une école, d'une mairie, d'un logement, d'une épicerie, d'une librairie.

Le musée dispose aussi d’un centre de documentation et de recherche (ouvert à tous sur rendez-vous) qui propose la consultation d’informations et d’archives sur tous supports, l’emprunt et la reproduction de documents.

Un auditorium est disponible sur réservation pour les colloques, séminaires, spectacles, réunions de travail, projections de films et expositions.

Vous pouvez visiter le musée librement, sur rendez-vous toute l'année pour les groupes (10 personnes minimum).

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

271, chemin de la Fontaine 84800
Fontaine-de-Vaucluse
04 90 20 24 00

Tarifs

Adulte : 7€ / Tarif réduit : 4€ (+ de 65 ans, étudiants, adulte accompagné d'un jeune de moins de 18 ans) / Gratuit : Vauclusiens (sur présentation d’un justificatif de moins de 3 mois), moins de 18 ans, demandeurs d'emploi et bénéficiaires des minima sociaux / Gratuité pour tous les premiers dimanches du mois d'avril à septembre, à l'occasion des manifestations nationales (Journées Européennes du Patrimoine, Nuit Européenne des musées,...) et événements ponctuels / Tarifs groupes : Scolaires : visite libre gratuite, atelier ou visite guidée 25€ par classe ; Adultes (à partir de 10 pers) : visites libres 4€ par personne ; Visite guidée : 6€ par personne (2€ pour les moins de 18 ans)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er avril au 30 septembre : de 11h à 13h et de 14h à 18h tous les jours sauf mardi et mercredi / Ouvert toute l’année pour les groupes sur réservation (à partir de 10 personnes)

Fermetures annuelles

Fermeture les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre

Site Web : www.vaucluse.fr

Le fort Wagner

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© ADFM Le Fort WAGNER

Metz est rattachée à l'empire allemand après la défaite française de 1870. Les Allemands renforcent les fortifications déjà existantes entre 1871 et 1885. Pour répondre aux progrès de l’armement, une deuxième ceinture fortifiée est construite à partir de 1899. Metz devient la plus grande place forte d’Europe.

Le fort le plus au sud sera bâti à 13 km au sud de Metz, sur une colline dominant la rive droite de la Seille. Commencé en 1904, il sera baptisé Feste Wagner lors de son achèvement en 1910.

La position qui abritait environ1250 hommes, se compose des éléments suivants, dispersés sur une superficie de 47 hectares et reliés par deux kilomètres de galeries souterraines :

- une batterie sur affût protégé pour deux canons de 15 cm à longue portée,

- deux batteries cuirassées, l’une pour 4 obusiers de 15 cm, l’autre pour 4 canons de 10 cm,

- quatre ouvrages d'infanterie nommés Verny, Avigy, Seille et Lamencé,

- une station centrale électrique avec 7 groupes électrogènes,

- quatre observatoires cuirassés fixes d'artillerie et onze d'infanterie.

L’ensemble représente plus de 28.000 mètres carrés de surface bâtie et s’étend sur plus de 47 hectares.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

Fort Wagner 57420
Verny
06 85 25 47 68

Tarifs

Adulte : 8€ / Enfant de 6 à 12 ans : 4€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er mai au 30 octobre - Tous les dimanche à 14h30 / En juillet et aout - Tous les dimanches et jeudis

Fermetures annuelles

Du 1er novembre au 30 avril

Petit Ouvrage de Rohrbach-lès-Bitche

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Découvrez la ligne Maginot

Situé en Moselle à mi-chemin entre Sarreguemines et Bitche, à moins de 10km de la frontière allemande découvrez le Fort Casso, l’un des maillons de la célèbre Ligne Maginot, ensemble fortifié s’étalant des rives de la Mer du Nord aux plages de la Mer Méditerranée.  

Gardien du plateau de Rohrbach-lès-Bitche, l'ouvrage a résisté victorieusement aux attaques ennemies lors de la campagne militaire de 1940. Au cours d'une visite commentée, découvrez le quotidien des troupes de forteresse du 166e régiment d'infanterie. A 25 m sous terre, vous pourrez vous rendre compte de la technique mise en œuvre pour la défense des frontières, en visitant la cuisine, l'usine électrique, le casernement, avant de participer à la mise en mouvement d'une tourelle à éclipse. Une véritable plongée dans l'Histoire...

Le Fort Casso, ou « Petit Ouvrage de Rohrbach » est un ouvrage de seconde génération. Sa construction débuta en 1934, dura 4 ans et nécessita 6000M³ de béton et 500 tonnes d’acier.  L’ouvrage est doté d’une cuisine, d’une centrale électrique, d’un vaste casernement et de moyens de communication modernes. Pour sa défense, l’ouvrage dispose de plusieurs créneaux de tir dans les blocs de combat ainsi que 6 coches blindées et 2 tourelles à éclipse, le tout équipé de 32 armes automatiques et 8 canons antichar.

 

IMPORTANT : Prévoir des vêtements chauds (température intérieure 13° toute l'année) et des chaussures de marche pour la visite de l'ouvrage.

Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur la Ligne Maginot voici un lien vers le site internet d'un membre de l’association . vous trouverez ici de nombreuses informations et photographies concernant les équipements et ouvrages de la Ligne Maginot : www.fortiff.be/casso/

 

 

Sources : ©Ligne Maginot
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Infos pratiques

Adresse

Route départementale 84 57410
Rohrbach-lès-Bitche
03 87 02 70 41

Tarifs

- Plein tarif 6 €- Jeunes moins de 14 ans 3 €- Groupes à partir de 20 personnes : 5 €- Groupes scolaires : 3 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Les week-ends et jours fériés, du 15 mars au 30 novembre : visite à 15h(visite supplémentaire à 16h, les dimanches et jours fériés, du 16 juin au 15 septembre)Tous les 1ers week-ends du mois, du 1er décembre au 15 mars : visite à 15hTous les dimanches, du 1er décembre au 15 mars : visite à 15hEn semaine, du 15 mars au 15 juin et du 1er septembre au 15 novembre : visite à 15hEn semaine, du 16 juin au 31 août : visite à 10h, 14h et 16h

Fermetures annuelles

25 décembre et 1er janvierOffice de tourisme de référence - 2 Avenue du Général de Gaulle - 57230 BITCHE - Tel: 03 87 06 16 16

Musée Jean & Denise Letaille - Bullecourt 1917

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Le musée Jean et Denise LETAILLE à Bullecourt, situé sur la ligne de front pendant la Grande Guerre, abrite l’histoire de milliers de soldats venus défendre le secteur d’Arras en 1917.

Tout au long de leur vie, Jean et Denise Letaille, un couple d’agriculteurs de Bullecourt, ont rassemblé une impressionnante collection d’objets trouvés dans leurs champs et dans la campagne alentour. Des armes, mais aussi des rasoirs, des peignes, des étuis de cigarettes et d’autres effets personnels venus d’Australie, d’Allemagne et du Royaume-Uni, ont été retrouvés sur l’ancienne ligne de front au côté des hommes à qui ils appartenaient, tombés au cours des deux batailles de Bullecourt, lors de l’offensive d’Arras en avril et en mai 1917. 10 771 soldats australiens et 7 000 soldats britanniques furent tués ou blessés lors de ces combats destinés à percer la ligne de front allemande. Rassemblés dans le musée Letaille, ces vestiges de tranchées mettent en lumière un épisode souvent méconnu de la Grande Guerre, pourtant des plus meurtriers. Ils racontent surtout l’histoire des « Diggers », ces valeureux soldats du bout du monde.

Cet espace de 210 m² flambant neuf est prêt à accueillir les milliers d'Australiens qui viennent chaque année, les passionnés d'histoire ou encore de simples curieux qui, sans nul doute, se laisseront surprendre par ce musée.

La construction de ce musée s'inscrit dans un programme conduit par le Ministère australien pour la revalorisation de 7 sites le long de l'ancien Front occidental témoignant de l'intervention des forces australiennes au cours de la Grande Guerre. Sont ainsi concernés les sites d'Ypres et Passchendaele en Belgique, Fromelles, Bullecourt, Mont-Saint-Quentin, Pozières et Villers-Bretonneux.

Bullecourt est désormais reconnu comme "Village Patrimoine".

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

1 bis rue d’Arras 62128
Bullecourt
+33 (0)3 21 55 33 20

Tarifs

Tarifs individuel incluant l’audio-guide Plein tarif : 5 € Tarif réduit (12-17 ans, étudiant, demandeur d’emploi) : 3 € Moins de 12 ans, personne en situation de handicap : gratuit Tarifs groupe incluant l’audioguide ou visite guidée Groupe adultes (plus de 10 personnes, max 50) : 4 €/pers Groupe scolaires (primaire, collège, lycée)- accueil de loisirs (maximum 35) : 2 €/enfant La réservation est obligatoire, au plus tard trois semaines avant la visite Moyen de paiement : espèce et chèques.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Horaires d’avril à septembre : Individuel : Mardi - mercredi, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h Vendredi, samedi, dimanche de 13h30 à 18h Groupe : Du mardi au dimanche, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h sur réservation Horaires de mi-février à mars et d’octobre à mi-décembre : Individuel : Mercredi, vendredi et samedi de 13h30 à 17h30 1er et 3ème dimanche du mois Groupe : Du mardi au dimanche (1er et 3ème dimanche) du mois, de 13h30 à 18h sur réservation

Fermetures annuelles

Fermé tous les lundis / Fermeture annuelle de mi-décembre à mi-février et jours fériés sauf le 8 mai et 11 novembre