Musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes et des Hautes-Pyrénées

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©Ville de Tarbes

Agenda du musée   Offre pédagogique  Expositions empruntables   Ressources pour le CNRD 
 

Grâce à ses objets, affiches, photographies et maquettes, le musée de la Déportation et de la Résistance des Hautes-Pyrénées aborde le plus largement possible le second conflit mondial. C’est aussi toute l’Histoire locale des années 1930 et 1940 que le musée expose : celle des prisonniers de guerre, évadés, déportés, internés, mais également celle des diverses organisations résistantes à l'image des réseaux de passage, du Régiment de Bigorre ou du Corps Franc Pommiès, très actif dans le Sud-Ouest. 

Au sein d’une ancienne école du 19e siècle, le musée de la Déportation et de la Résistance des Hautes-Pyrénées est un lieu-clé pour la compréhension des événements du second conflit mondial, tant sur le plan international que local. 

Plusieurs décennies après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les survivants haut-pyrénéens et leurs proches se lancent dans la création d’une exposition temporaire destinée à circuler dans les établissements scolaires du département. 

En 1985, plusieurs associations haut-pyrénéennes veulent pérenniser ce travail de mémoire en créant un musée : leur exposition itinérante pose ses valises dans une partie du bâtiment de l’école Victor-Hugo (construite un siècle plus tôt par Gustave-Joseph Labat). En plus de l’apport des objets provenant d’ancien(e)s déporté(e)s et résistant(e)s, les fondateurs conçoivent tout le mobilier de cette nouvelle exposition et réunissent un nombre considérable de textes et de reproductions photographiques. 

Le musée de la Déportation et de la Résistance de Tarbes et des Hautes-Pyrénées finit par ouvrir ses portes en 1989. En 1992, les associations fondatrices cèdent le musée à la Ville de Tarbes. Depuis, le suivi et l’enrichissement des collections, la conception d’actions de médiation culturelle et la mise en œuvre de la programmation relèvent du service des Musées de la Ville

Sur 100 m², l’exposition permanente du musée présente une multitude de photographies, de coupures de presse, d’affiches, de timbres, etc. ayant trait à la Seconde Guerre mondiale. Les objets exposés sous vitrine (tenues de déportés, objets fabriqués dans les camps, armes, objets de la Résistance) sont tous des originaux, rapportés par les anciens déportés et résistants.

C’est en s’appuyant sur quatre grands axes que les fondateurs du musée ont pu proposer une exposition la plus complète possible : 

•            L’embrasement de l’Europe (1919-1939) & mainmise sur la France (1940-1942) ;

•            Résistances et répressions (1943-1944)

•            La Déportation (1933-1945)

•            L’écrasement de l’Axe (1943-1945).

 

Afin de compléter les thèmes développés dans son exposition permanente, le musée propose également chaque année une programmation de plusieurs expositions temporaires (des créations du musée ou bien des emprunts auprès d’autres structures), conférences et autres rendez-vous, plus insolites.

Des visites commentées gratuites sont proposées aux scolaires et aux groupes, sur réservation.

Pour les communes du département et les établissements scolaires, le musée peut également prêter trois expositions et des valises à lire.

Pour les étudiants, les chercheurs ou les élèves préparant le Concours National de la Résistance et de la Déportation, le musée ouvre sa bibliothèque et dévoile ses archives, sur réservation uniquement.


 

 

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Infos pratiques

Adresse

63 rue Georges-Lassalle 65000
Tarbes
05 62 51 11 60

Tarifs

Entrée gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au vendredi : 9H – 12H ; 14H – 17H

Site Web : Site officiel

Musée Mémoire 39-45 de Calais

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© Musée mémoire 39-45

Le Musée Mémoire de Calais est situé au cœur de la ville, dans un authentique bunker datant de la Seconde Guerre Mondiale. Le bâtiment construit en 1941 a servi de poste de commandement à la marine de guerre allemande durant le conflit. Epargné par les nombreux bombardements qui ont touché la ville, le site est resté extrêmement bien conservé. C’est en 1962 que le bâtiment a été converti en musée d’histoire locale.

La visite du site s’effectue au niveau du couloir central du bâtiment, construit en béton armé, qui représente une imposante longueur totale de 94 mètres. Cette particularité fait du bâtiment le plus long bunker construit par les Allemands en Europe. Cette partie du site extrêmement bien conservée pour l’époque, servait de salles de travail et de chambres pour les occupants du bunker à l’origine. On estime à une quarantaine, le nombre de marins qui vécurent dans ce lieu entre juillet 1941 et septembre 1944, date de libération de la ville par les troupes canadiennes.

Composé de 22 salles d’exposition, le Musée Mémoire de Calais, relate la vie de la Cité des Six Bourgeois et de ses habitants durant cette douloureuse période de l’histoire. Plusieurs thèmes sont abordés au cours de la visite : la Résistance, les prisonniers de guerre, l’aviation, les batteries côtières… De nombreux documents d’époques illustres les sujets mis à l’honneur. Le musée dispose aussi de plus de 60 uniformes de différentes armées, de nombreuses armes, d’objets de la vie quotidienne, et d’une impressionnante collection d’affiches et de photographies sur Calais. En effet, depuis son ouverture en 1962, le Musée a pu recueillir de nombreux objets de cette époque et enrichir ses collections.

Véritable témoin de la vie sous l’Occupation, la visite du Musée vous permettra de comprendre la vie de la population locale durant le conflit et aussi de comprendre la position stratégique de Calais dans la stratégie allemande. Au regard de la richesse des collections exposées, la visite du site nécessite 1h15 à 1h30 pour permettre au visiteur d’avoir une vue d’ensemble des faits relatés.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

Parc Saint-Pierre 62100
Calais
03 21 34 21 57

Tarifs

Adulte : 8€ / Famille : 16€ / Etudiants-enfants : 6€ / Groupes : 6€ par personne

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 01/02 au 30/04 et du 01/10 au 11/11, ouverture de 11h à 17h (dernière admission 16h15) - Fermeture mardi et dimanche / Du 01/05 au 30/09, ouverture tous les jours de 10h à 18h (dernière admission 17h15)

Mémorial de la gare de Penne d’Agenais

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© ANACR Penne d'Agenais / Association Eysses

C’est de cette gare où le 30 mai 1944, 1200 patriotes détenus à la centrale d’Eysses en raison de leurs activités dans la Résistance et livrés aux nazis par le gouvernement de Vichy, furent déportés via Compiègne au camp de concentration de Dachau.

Le site mémorial comprend :

  • Un wagon du souvenir, inauguré en juin 2014, identique à ceux qui emmenèrent les résistants d’Eysses en déportation.
     
  • Un mémorial érigé à proximité du wagon rappelant les noms des 1200 déportés
     
  • Un pôle mémoire, « Les Résistants d’Eysses de Penne à Dachau », inauguré en juin 2018, aménagé dans un local de la gare de Penne en partenariat avec l’Association Nationale pour la Mémoire des résistants emprisonnés à Eysses.
     
  • Une frise illustrée par de nombreux documents rappelle l’histoire d’Eysses et de ses résistants, de leur arrivée dans cet établissement pénitentiaire, à l’automne 1943 jusqu’à leur départ en déportation.


L’ANACR (Association nationale des anciens combattants de la Résistance) a ramené de Dachau des cendres provenant des fours crématoires et les a déposées dans le pôle.

Il a été réalisé l’installation de deux vidéoprojecteurs diffusant un film avec des témoignages de résistants déportés.

 


 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Gare 47140
Penne-d'Agenais
06 70 70 74 21 / 06 87 56 57 75

Tarifs

Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Sur rendez-vous

Courriel : guytou47@orange.fr

Nécropole nationale polonaise de Grainville - Langannerie

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Nécropole nationale polonaise d’Urville - Langannerie. © Guillaume Pichard

 

Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette_Urville_Langannerie

 

Inauguré en octobre 1946, ce cimetière regroupe 615 tombes de militaires polonais, tués dans les combats de la libération de la France en 1944. La plupart de ces hommes appartenait à la 1re Division Blindée Polonaise du général Maczek mais quelques-uns ont également été tués lors de la bataille de France en 1940 ou lors de l’Occupation.

 

La 1re division blindée polonaise

Avec l’accord du Gouvernement britannique, la 1re division blindée polonaise (DBP) est créée le 26 février 1942, sur ordre du Général Sikorski, chef du gouvernement polonais en exil à Londres. Elle est alors composée de contingents ayant combattu en Pologne et en France au sein de l’armée polonaise mais aussi de volontaires polonais venus du monde entier.

Cette division est intégrée aux forces militaires alliées qui vont servir sur le front de l’Ouest. Commandée par le général Maczek, elle débarque en Normandie fin juillet 1944 et est rattachée au 2e corps de la 1re armée canadienne.

Le 8 août 1944, la 1re DBP est engagée dans la bataille en se déployant au sud de Caen pour participer à la 2e phase de l’opération Totalise dont le but est de prendre Falaise. Les pertes étant sévères et les attaques frontales inefficaces, cette opération est arrêtée au profit d’une nouvelle dénommée Tractable. Celle-ci a pour but de tenter un encerclement de la 7e armée allemande par l’ensemble des forces alliées en Normandie. Du 15 au 18 août, la 1re DBP libère ainsi plusieurs communes calvadosiennes et ornaises au prix de combats acharnés.

Du 19 au 22 août, les divisions SS vont essayer d’anéantir les éléments polonais situés sur la butte du Mont Ormel, afin de sortir de la nasse dans laquelle elles sont enfermées. La 1re DBP doit également faire face aux attaques du 2e corps blindé allemand qui, ayant réussi à se retirer avant l’encerclement, tente de venir en aide aux autres unités allemandes coincées dans la "poche". Les Polonais doivent tenir coûte que coûte jusqu’à l’arrivée des renforts. Le 21 août, ils sont enfin rejoints par la 4e division blindée canadienne. La "poche de Falaise-Chambois" est définitivement fermée. La victoire est ainsi obtenue au prix de combats sanglants et d’une résistance héroïque.

Pendant la bataille de Normandie, la 1re DBP a perdu plus de 2 000 hommes, tués ou blessés. Elle participe ensuite à la libération du Nord de la Belgique, du sud des Pays-Bas et de l’Allemagne.

Les particularités de ce cimetière militaire polonais

Par un arrêté du 19 mai 1945, le préfet du Calvados permet aux autorités canadiennes de créer un cimetière militaire polonais sur le territoire de la commune de Grainville-Langannerie. Jusqu’en mai 1949, la commission impériale des sépultures militaires britanniques en assure l’entretien avant de le céder à l’État français. Les statuts de cette commission ne lui permettent pas d’entretenir à titre permanent des cimetières étrangers situés en dehors des frontières de la Grande-Bretagne.

Le cimetière est composé de huit carrés de sépultures. Ces carrés n’ont pas tous le même nombre de rangs. En revanche, chaque rang est constitué de douze sépultures. A l’exception de deux emplacements où trois croix symbolisent les sépultures de douze pilotes morts dans le crash de leur avion. Leurs corps n’ayant pu être dissociés.

À l’origine, les croix étaient en métal. En mai 1954, à l’approche du 10e anniversaire de la bataille de Normandie, l’État décide leur remplacement par des croix en béton ornées de plaquettes portant l’identité du défunt à l’instar des cimetières nationaux français. Le monument central a, quant à lui, été inauguré en août 1954 en présence des généraux Maczek et Anders.

Ce cimetière militaire polonais est l’un des sept cimetières militaires étrangers en France à être entretenu par l’État français.

 

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Infos pratiques

Adresse


Urville

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites libres toute l’année

La nécropole nationale de Zuydcoote

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Nécropole nationale de Zuydcoote. © ECPAD

 

Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette_Zuydcoote

 

Créée en 1921 à proximité d'anciennes antennes médicales de campagne, la nécropole nationale de Zuydcoote regroupe initialement les soldats ayant succombé à leurs blessures dans différents hôpitaux de Dunkerque en 1914-1918, puis à partir de 1953 y sont réunis les corps des combattants morts pour la France en 1940 lors de l’opération Dynamo.

Aujourd’hui, ce cimetière national rassemble 2 053 corps de combattants français dont 2 037 en tombes individuelles. Une tombe collective rassemble les restes mortels de seize soldats. A leurs côtés reposent un Russe mais aussi 201 Allemands dont 31 reposent en ossuaire.

Cette nécropole est composée de trois carrés, le carré français 1914-1918, le carré français musulman 1914-1918 et le carré français 1939-1945 qui comprend 917 soldats et résistants du Nord, et 14 Espagnols affectés à des compagnies de travailleurs. Un cimetière militaire britannique regroupant 177 corps jouxte la nécropole de Zuydcoote.

En 1914, dès le début des opérations, les hôpitaux civils et militaires de Dunkerque et de la région accueillent de nombreux blessés venus du front de l’Yser. Très vite, ces structures sont saturées. Écoles, collèges, hospices ou bien encore, le sanatorium de Zuydcoote, ou les casinos de Malo et Malo-Terminus sont réquisitionnés pour recevoir un nombre croissant de blessés.

Les batailles de l’Yser, 1914-1918

Après l’abandon d’Anvers et la retraite des Flandres, les armées belges, françaises et britanniques, organisent une nouvelle ligne de front sur l’Yser, entre les rives de la mer du Nord et Dixmude. Long d'une quinzaine de kilomètres, ce secteur est âprement disputé. Pour endiguer les assauts répétés des Allemands, les Belges résistent vaillamment en utilisant tous les moyens possibles. Ainsi, à l'automne, les digues sont rompues, inondant le no man’s land et les tranchées ennemies. Depuis le 16 octobre, les fusiliers marins de la brigade du contre-amiral Ronarc’h défendent pied à pied Dixmude aux côtés du 4e bataillon du Maroc, du 1er bataillon d'Algérie et de l’armée Belge. Après 25 jours de combats ininterrompus, le 10 novembre, l'ennemi s'empare de Dixmude. Plus au sud, à Ypres, du 31 octobre au 2 novembre, l'ennemi lance de furieux assauts qui se brisent sur les lignes franco-britanniques. Aucun des adversaires n’a reculé. La première bataille d’Ypres s'achève sans réels résultats. La ville reste tout au long de la guerre au cœur des enjeux, notamment au printemps 1915 où une nouvelle arme est expérimentée : les gaz de combat.

Tout au long du conflit, de nouvelles opérations toujours plus meurtrières sont conduites dans ce secteur, notamment au printemps 1915 puis au cours de l'été 1917 où disparaissent 240 000 Britanniques.

La bataille de Dunkerque, 26 mai - 4 juin 1940

Le 10 mai 1940, les troupes allemandes se ruent sur les Pays-Bas, la Belgique et les Ardennes. Deux jours plus tard, le front cède à Sedan. Malgré une âpre résistance, les troupes françaises, submergées par les chars et l'aviation ennemie, abandonnent leurs lignes. La force blindée du général Guderian fonce vers la Mer du Nord pour couper les armées alliées dont une partie avait été engagée en Belgique. Le 20, l’estuaire de la Somme est atteint. Situés au nord, le Corps Expéditionnaire Britannique, la 1re armée française et l’armée belge se trouvent pris au piège et se replient dans le plus grand désordre dans un mince corridor entre Lille et Dunkerque. Le 24 mai, 400 000 soldats sont encerclés. Profitant d'un répit dans la progression, les Alliés organisent une impressionnante entreprise de sauvetage. Du 28 mai au 4 juin, se déroule l'opération Dynamo au cours de laquelle tous les navires disponibles, civils et militaires, sont réquisitionnés. Les bombardements de la Kriegsmarine et de la Luftwaffe ne peuvent interrompre les rotations entre Dunkerque et Douvres. Les pertes infligées sont importantes mais les ports et les plages se vident progressivement. Le 31 mai 1940, la garnison de Lille se rend. Quelques éléments français, notamment la 2e division d’infanterie nord africaine se dressent comme un ultime rempart. Les Français luttent à 1 contre 10 pour permettre, encore pour quelques heures, l'évacuation des plages. Ces unités payent un lourd tribut.

Le 4 juin 1940, les derniers défenseurs de Dunkerque cessent le combat. Près de 340 000 hommes dont un tiers de Français ont pu être évacués vers l'Angleterre mais l'opération Dynamo est un succès en demi teinte. Sur le plan humain, près de 20 000 hommes sont morts pendant les combats et l’évacuation, 35 000 sont faits prisonniers. Sur le plan matériel, nombre de véhicules et d'armes a été abandonné, détruit ou tombé aux mains de l'ennemi. Pour de longs mois, le corps expéditionnaire britannique perd ainsi sa capacité offensive.

 

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Infos pratiques

Adresse

59123
Zuydcoote

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites libres toute l’année

Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

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© Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

Le Centre de la Résistance, de la déportation et de la mémoire retrace l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et vous donne rendez-vous pour une dernière bataille, celle contre l’oubli.

>> Agenda

Avec 225 m², le Centre propose une exposition permanente à travers diverses archives et objets d’époque, en partie légués par d’anciennes personnes déportées et résistantes (armes, uniformes, photographies, etc.), qui rappelle l’engagement, le courage et l’espoir des habitantes et habitants du Loir-et-Cher. Plusieurs expositions temporaires sont proposées au fil de l’année, sur diverses thématiques. Elles mettent davantage en lumière certains aspects de la Seconde Guerre mondiale, ou éclairent d’autres sujets comme le génocide du Rwanda, l’indépendance Irlandaise ou les tirailleurs. En plus des expositions permanente et temporaire, le Centre propose régulièrement des rencontres, conférences, projections, pièces de théâtre, etc. Ces moments d’échange et de partage permettent de découvrir l’histoire sous d’autres formes.  Le Centre est évidemment ouvert aux groupes scolaires, sur réservation. L’entrée est gratuite pour les élèves et les personnes qui les accompagnent (y compris la personne conduisant le bus le cas échéant). (3000 signes environ, espaces compris).

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

6 square Victor Hugo - 41000
Blois
02 54 44 67 40

Tarifs

5€ plein tarif / 3€ tarif réduit / Gratuit moins de 18 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mardi au samedi : 10h-12h et 14h-18h / Dimanche et jour férié : 14h-18h

Fermetures annuelles

Fermé pendant les vacances de décembre

Site Web : www.blois.fr
Courriel : crdm@blois.fr

Toulouse - Musée départemental de la Résistance & de la Déportation

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Réouverture ! Venez découvrir, rencontrer, partager...  Carton d'invitation


>> Expositions et parcours permanent permettent au public de découvrir l’Histoire de la Seconde Guerre Mondiale en Haute-Garonne, au travers d’une collection d’objets, archives, photographies et témoignages, et grâce à une scénographie totalement repensée et modernisée... >> facebook


Entrée gratuite sur inscription dans la limite des places disponibles

Sources : © MDR&D
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Infos pratiques

Adresse

52, allée des Demoiselles 31400
Toulouse
05 34 33 17 40

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du mardi au samedi, de 10h à 18h, hors jours fériés. Ouverture exceptionnelle le 8 mai.

The CWGC Experience

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>> Venez découvrir les coulisses du travail de la Commonwealth War Graves Commission (CWGC), qui honore la mémoire des soldats tombés au cours des deux guerres mondiales partout dans le monde.

La Commonwealth War Graves Commission a plus de 100 ans. Aujourd’hui, les visiteurs peuvent découvrir les coulisses du travail nécessaire à la commémoration des 1.7 millions de victimes issues du Commonwealth tombées lors des deux conflits mondiaux.

The CWGC Experience est un nouveau centre de visiteurs unique qui met en lumière le travail d’une organisation remarquable au cœur du souvenir des victimes de guerre.

Notre audioguide gratuit vous accompagnera à travers chaque aspect du travail que nous faisons : de comment nous exhumons et réinhumons toujours des dépouilles de soldats aujourd’hui, au travail des artisans qualifiés qui entretiennent les monuments et mémoriaux parmi les plus impressionnants dans le monde. La visite de The CWGC Experience est indispensable pour compléter toute visite des champs de bataille du front ouest.

Sources : ©The CWGC Experience
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Infos pratiques

Adresse

5-7 rue Angèle Richard - 62217
Beaurains
03 21 21 52 75

Tarifs

- Gratuité - Tarif réservation parking pour véhicules de plus de 12 places : 20€ / plus de 20 places : 50€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

9H – 16H

Fermetures annuelles

Décembre et Janvier

Site Web : www.cwgc.org

Mémorial 39-45

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© Mémorial 39-45

Créé en 1994 par la Ville de Saint-Malo pour le 50e anniversaire de la Libération, le Mémorial est installé dans un ensemble de bunkers bâtis par l’armée allemande, à partir de l’automne 1942, dans la cour de l’ancien fort de la Cité d’Alet (fort du XVIIIe siècle).

Le Mémorial 39-45 propose deux visites différentes, uniquement guidées et complémentaires l’une de l’autre. La visite « Histoire » se déroule dans l’ancien bunker de la défense antiaérienne (3 niveaux), elle retrace la période 1940-1944 dans la région malouine (1h/25 personnes maximum). A certains horaires, elle est accompagnée de la projection du film d’archives : « La bataille de Saint-Malo » (45mn).

La visite « Découverte des fortifications » est un parcours intérieur /extérieur qui permet de comprendre l’implantation et le rôle des fortifications sur la Cité d’Alet ainsi que la vie quotidienne des soldats. Elle permet d’accéder à un rare bunker pour mitrailleuse entièrement rééquipée et au poste directeur de tir de l’artillerie récemment restauré avec l’aide de la Mission Bern, de la Fondation du Patrimoine et la FDJ. (1h15/19 personnes maximum).

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

Allée Gaston Buy 35400
Saint-Malo
02 99 82 41 74

Tarifs

Pour 1 visite au choix = Adulte : 6,20€ - Étudiants, scolaires : 3,10 € - Famille (2 ad. + 2 enf. et plus) : 15,50 € / Pour les 2 visites = Adulte : 9,30€ - Étudiants, scolaires : 4,10 € - Famille (2 ad. + 2 enf. et plus) : 20,70 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert d’avril à octobre (Visite « Histoire » : H - Visite « Fortifications » : F) / Du 1 avril au 30 mai - Fermé le lundi - Visites à 14h30 (H), 15h15 (H), 16h30 (F) / Du 1er juin au 30 juin - Fermé le lundi - Visites à 10h30 (F) du jeudi au samedi et 14h30 (H), 15h15 (H), 16h30 (F) le reste de la semaine / Du 1er juillet au 31 août - Visites 10h15 (H), 11h (F), 14h (F), 15h (H), 16h (H), 17h (F) tous les jours / Du 1er septembre au 30 septembre - Fermé le lundi - Visites à 10h30 (F) du jeudi au samedi et 14h30 (H), 15h15 (H), 16h30 (F) le reste de la semaine / Du 1er octobre au 31 octobre - Fermé le lundi - Visites à 14h30 (H), 15h15 (H), 16h30 (F)

Fermetures annuelles

Fermé de novembre à mars

La Mounière – Maison des Mémoires de la ville de Septfonds

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© Hervé Leclair - Aspheries

Installée au cœur de la bastide de Septfonds, La Mounière propose de vous plonger dans trois histoires qui ont marqué la grande Histoire.

  • Le chapeau de paille : La naissance d’une industrie florissante
  • L’aviation : Le parcours du héros Dieudonné Costes
  • 1939 – 1945 : Le camp de Judes et les politiques d’accueil des étrangers considérés comme indésirables

3 mémoires locales qui mêlent grandes et petites histoires et qui viennent chacune nous raconter un peu de nous, nous questionner sur le monde.

Au-delà de ce que nous pouvons apprendre dans ce lieu, c’est d’abord une rencontre humaine qui nous immerge dans un récit passionnant. Alors, curieux de découvertes ? Venez vivre un moment enrichissant à La Mounière, à combiner avec une randonnée, une balade, un concert, ou une activité.

L’ensemble des panneaux, contenus multimédias et l’application numérique « Septfonds, un camp, des mémoires » sont traduits en espagnol et anglais


Visiter la Mounière

  • Entre amis :

Programmez votre visite personnalisée, en dehors de nos horaires d’ouverture, selon le(s) sujet(s) que vous souhaitez approfondir et vos envies. Nous sommes à votre écoute !

  • La Mounière en roue libre : 

Pendant les horaires d’ouverture, sans réservation, accédez à La Mounière. Un médiateur vous présente les trois sujets vous en donne les clés de compréhension. Vous pouvez ensuite découvrir les lieux à votre rythme. 

  • Nos visites guidées programmées :

En saison estivale, La Mounière vous propose des visites guidées thématiques programmées. Parce que l’Histoire est une source inépuisable, les visites se renouvellent chaque année. Rendez-vous sur notre site internet pour découvrir nos nouveautés.

  • En famille

Chaque année, un programme d’animations et d’ateliers pour des moments de partage entre petits et grands. C’est vous le guide !

Grâce à notre livret d’accompagnement, devenez guide pour votre famille et embarquez dans l’Histoire.  Un petit coup de pouce pour de bons moments à partager ensemble !


La Mounière c’est aussi :

- Des expositions temporaires

- Des parcours dans le village

- Une application gratuite et immersive à découvrir au Mémorial du camp de Judes

- Un centre de ressources

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

15 rue des déportés 82240
Septfonds
06 70 36 86 90

Tarifs

Tarif Normal : 4€ / Tarif Réduit : étudiants, retraités, demandeurs d'emploi, - de 16 ans : 3€ / Gratuit pour les moins de 6 ans / Visite guidée : 5€ par personne

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mai, Juin et Septembre : mercredi et samedi de 14h30 à 18h30 / Juillet et Août : mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30 / Et toute l’année, en dehors des heures d’ouverture, sur réservation