Le mur de l'Atlantique

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Batterie Lindemann en France. 1942.
Batterie Lindemann en France. 1942. Source : Deutsches Bundesarchiv (German Federal Archive)

Voulue par Hitler au début de 1942, cette ligne de fortifications côtières discontinue devait protéger le IIIe Reich à l'Ouest tandis qu'il faisait la guerre à l'Union Soviétique à l'Est.

Le Pas-de-Calais, les grands ports de la Manche, de l'Atlantique, sont plus spécialement fortifiés. Ailleurs, le système s'avère plus ténu. Les types de blockhaus en béton armé sont ceux de la ligne Siegfried édifiée en Allemagne.

Les prisonniers de guerre français 1914-1918

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Prisonniers français montant dans un wagon sous la garde de soldats allemands
Prisonniers français à Gmüng (Wurtemberg). Source : Collection privée

 

Internés en zone occupée, en Allemagne mais aussi en Turquie, en Bulgarie..., les soldats français tombés aux mains de l'ennemi sont astreints à de lourds travaux et connaissent des conditions difficiles . des soldats mais également des civils, pris en otages et détenus en France, en Belgique ou envoyés en Allemagne.

Lieux de mémoire autour de la bataille de Vimy

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Carte du parc de Vimy
Mémorial élevé à la gloires des soldats canadiens tombés lors de l'assaut de la crête de Wimy, du 9 au 12 avril 1917. Source : Photo Daniel Villafruela. Libre de droit

La Bataille de la Lys

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Revue des troupes portugaises à Paris, le 14 juillet 1917
Revue des troupes portugaises à Paris, le 14 juillet 1917. Source : BDIC

Neutre jusqu'en 1916, le Portugal vit dans l'entrée en guerre aux côtés des Alliés la possibilité de contrer les visées allemandes sur ses colonies africaines du Mozambique et de l'Angola, et l'espoir d'une reconnaissance par ces mêmes Alliés de son nouveau régime républicain. La saisie au Portugal de navires allemands, qui profitaient de la neutralité du pays pour s'y ravitailler, provoqua un ultimatum, suivi d'une déclaration de guerre de l'Allemagne (8-9-10 mars). L'engagement dans la guerre mondiale constitua, dans l'instabilité de la jeune république, un moment d'unité nationale.

Le 11 novembre 1918 - Quelques témoignages écrits

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Clemenceau à la tribune le 11 novembre 1918
Clairière de l'Armistice, aussi appelée clairière de Rethondes. Source : licence Creative Commons

Le 11 novembre 1918, après cinquante-deux mois de guerre, une convention d'armistice est conclue pour une durée de 36 jours avec faculté de prolongation, entre le maréchal Foch, commandant en chef des armées alliées, assisté de l'amiral Wemyss et le secrétaire d'Etat Erzberger, président de la délégation allemande : c'est la fin de la Grande Guerre.

La nuit au Mort Homme

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Le Mort-Homme et la côte 304 en mai 1916.
Le Mort-Homme et la côte 304 en mai 1916. Source DR

 

Le sergent Robert Perreau, un jeune sous-officier du 203e d'Infanterie, raconte la bataille du Mort-Homme ...

Les autres lieux d'internement en Ariège (09)

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Hôpital du début du XXe siècle à Pamiers
Hôpital du début du XXe siècle à Pamiers. Source : www.notrefamille.com

 

Le dispositif policier du gouvernement de Vichy a utilisé de nombreuses structures déjà en place pour contrôler et répartir les internés. Nombre de ces structures, secondaires, médicales, temporaires, ont été détruites ou ont retrouvé leur affectation d'origine.

La peinture et la Grande Guerre

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Georges Bruyer

A travers les collections de l'Historial de la Grande Guerre

Les écrivains allemands et la Grande Guerre

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Ernst Jünger en uniforme arborant ses médailles et distinctions militaires de la Première Guerre mondiale. 1922.

La politique des otages sous l'Occupation

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Vue du site de la Sablière. Source : MINDEF/SGA/DMPA - JP Le Padellec
Vue du site de la Sablière. Source : MINDEF/SGA/DMPA - JP Le Padellec

L'exécution d'otages a longtemps été l'un des marqueurs de la mémoire nationale de la France des années noires. Parce que la mort était au rendez-vous, bien sûr, mais aussi par qu'elle apparaissait, en ces circonstances, comme un paroxysme de l'occupation révélant la cruauté ultime qui veut qu'on assassine des hommes non pour ce qu'ils ont fait mais pour terroriser en guise de représailles. Enfin, parce qu'elle signait une forme d'aveu d'échec en creusant un fossé de sang entre l'occupant nazi et la population française.