La croix de la Valeur Militaire ; depuis 60 ans, la marque du courage

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P.HILAIRE © armée de Terre

En 1915, devant l’ampleur des actes de bravoure ne pouvant tous être récompensés par la Légion d’Honneur ou la Médaille Militaire, il est décidé d’instituer une décoration spécifique, qui recevra le nom de Croix de Guerre, même s’il a été alors envisagé de la nommer "médaille de la valeur militaire"...

Cette Croix sera ensuite attribuée aux combattants pour les théâtres d’opérations extérieurs (TOE) puis pour la seconde guerre mondiale.

L’internement des Tsiganes en France pendant la Seconde Guerre mondiale

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Camp d'internement de Poitiers dit camp de la route de Limoges.
Camp d'internement de Montreuil-Bellay, 1944. Collection Jacques Sigot

Les médailles commémoratives françaises

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Le second Empire : Crimée, Sainte Hélène, Baltique, Italie, Chine, Mexique et guerre 1870/1871.

Il semble naturel aujourd’hui que la participation à un conflit ou à une campagne soit marquée par le port d’une médaille commémorative. Pourtant, il s’agit d’une habitude relativement récente.

De la Médaille Coloniale à la Médaille d’Outre-Mer, 186 ans d’opérations !

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La médaille d'Outre-mer. © Collection particulière

Le cadre juridique des opérations extérieures (OPEX)

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Greffier. © E. Rabot/SGA/COM

Il n’existe pas de cadre juridique unique des opérations extérieures ni même une seule définition juridique. Depuis plus de cinquante ans, la France s’engage militairement sur des théâtres d’opérations qui donnent lieu à des conflits et interventions de nature différente, obligeant le cadre juridique à s’adapter. Par ailleurs, de la prise de décision par le chef de l’État, chef des armées, au déroulé de l’opération extérieure, le droit est présent à chaque étape, qu’il s’agisse de légitimer l’emploi de la force armée, de planifier son action ou de protéger le soldat.

 

Le commandement : dans les coulisses du CPCO

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Forum international de la Cyber sécurité, Lille, 2017. © H. Cortinat

En 2015, dans un contexte opérationnel exceptionnel, le commandement des armées a connu une grande transformation avec le regroupement des états-majors et services du ministère à Balard, Paris 15e. Le chef d’état-major des armées voit désormais son équipe de commandement regroupée en un même lieu autour de lui et le centre de planification et de conduite des opérations situé au cœur de ce nouveau pôle opérationnel.

 

2012-2017 : sur tous les fronts, pour gagner la paix

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Sources : Infographie © EMA

En Irak, en Syrie, au Sahel, dans le golfe de Guinée ou encore en Somalie, sous mandat des Nations unies, avec ses partenaires de l’Alliance atlantique ou de l’Union européenne, pour maintenir la paix, combattre le terrorisme, protéger des ressortissants français ou accomplir une mission humanitaire, la France mobilise des femmes, des hommes, du matériel, des équipements. Inscrites dans l’histoire, les Opex ne cessent pour autant, encore aujourd’hui, de faire l’actualité.

 

1963 › 2011 : 50 ans d’opérations extérieures (OPEX)

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De gauche à droite : Opération "Oryx" en Somalie. © D. Viola/ECPAD. Opération "Atalante". © DR/ECPAD. Opération "Harmattan". © JF. D’Arcangues/ECPAD

De 1963 à nos jours, des dizaines d’opérations extérieures ont été conduites, auxquelles des militaires de toutes les armées, directions et services, ont participé : armée de Terre, armée de l’Air, Marine nationale, directions et services interarmées, et gendarmerie nationale. À travers le récit de certaines opérations militaires de ces dernières décennies et des raisons qui ont conduit la France à s’engager sur ces théâtres extérieurs, il est possible aujourd’hui d’écrire une véritable histoire des Opex.

 

La France au Liban

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Tireur d’élite à son poste de surveillance au poste Drakkar. © FX. Roch & P. Bideault/ECPAD

Structure civile et militaire mise en place par les Nations unies pour restaurer la paix et la stabilité au Liban, la force intérimaire des Nations unies pour le Liban (FINUL) est créée en 1978 et voit ses missions redéfinies en 2006.

 

La France dans la guerre du Golfe

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Division "Daguet", Irak, février 1991. © Y. Le Jamtel & M. Riehl/ECPAD

En novembre 1989, la chute du mur de Berlin met fin à près de 40 ans de guerre froide. Pour autant, la situation internationale n’est pas stabilisée et des conflits interétatiques persistent, déclenchant la mobilisation de la communauté internationale. Les armées françaises connaissent alors une multitude d’engagements opérationnels qu’inaugure la "première guerre du Golfe" en 1991.