La Mounière – Maison des Mémoires de la ville de Septfonds

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© Hervé Leclair - Aspheries

Installée au cœur de la bastide de Septfonds, La Mounière propose de vous plonger dans trois histoires qui ont marqué la grande Histoire.

  • Le chapeau de paille : La naissance d’une industrie florissante
  • L’aviation : Le parcours du héros Dieudonné Costes
  • 1939 – 1945 : Le camp de Judes et les politiques d’accueil des étrangers considérés comme indésirables

3 mémoires locales qui mêlent grandes et petites histoires et qui viennent chacune nous raconter un peu de nous, nous questionner sur le monde.

Au-delà de ce que nous pouvons apprendre dans ce lieu, c’est d’abord une rencontre humaine qui nous immerge dans un récit passionnant. Alors, curieux de découvertes ? Venez vivre un moment enrichissant à La Mounière, à combiner avec une randonnée, une balade, un concert, ou une activité.

L’ensemble des panneaux, contenus multimédias et l’application numérique « Septfonds, un camp, des mémoires » sont traduits en espagnol et anglais


Visiter la Mounière

  • Entre amis :

Programmez votre visite personnalisée, en dehors de nos horaires d’ouverture, selon le(s) sujet(s) que vous souhaitez approfondir et vos envies. Nous sommes à votre écoute !

  • La Mounière en roue libre : 

Pendant les horaires d’ouverture, sans réservation, accédez à La Mounière. Un médiateur vous présente les trois sujets vous en donne les clés de compréhension. Vous pouvez ensuite découvrir les lieux à votre rythme. 

  • Nos visites guidées programmées :

En saison estivale, La Mounière vous propose des visites guidées thématiques programmées. Parce que l’Histoire est une source inépuisable, les visites se renouvellent chaque année. Rendez-vous sur notre site internet pour découvrir nos nouveautés.

  • En famille

Chaque année, un programme d’animations et d’ateliers pour des moments de partage entre petits et grands. C’est vous le guide !

Grâce à notre livret d’accompagnement, devenez guide pour votre famille et embarquez dans l’Histoire.  Un petit coup de pouce pour de bons moments à partager ensemble !


La Mounière c’est aussi :

- Des expositions temporaires

- Des parcours dans le village

- Une application gratuite et immersive à découvrir au Mémorial du camp de Judes

- Un centre de ressources

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

15 rue des déportés 82240
Septfonds
06 70 36 86 90

Tarifs

Tarif Normal : 4€ / Tarif Réduit : étudiants, retraités, demandeurs d'emploi, - de 16 ans : 3€ / Gratuit pour les moins de 6 ans / Visite guidée : 5€ par personne

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mai, Juin et Septembre : mercredi et samedi de 14h30 à 18h30 / Juillet et Août : mercredi au dimanche de 14h30 à 18h30 / Et toute l’année, en dehors des heures d’ouverture, sur réservation

Musée de l’Hydraviation

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Situé sur le lieu mythique de l'ancienne base Latécoère à Biscarrosse, le Musée de l’Hydraviation retrace l'histoire de l'hydravion. Des vols transatlantiques vers New-York et Fort-de-France à la lutte contre les incendies, vous découvrez l’univers de ces paquebots des airs d’hier et d’aujourd’hui !

Un véritable voyage dans le temps sur 1250 m², au cœur notamment de bâtiments autrefois occupés par les ouvriers de l’hydrobase landaise au début du XXe siècle.

Notre musée aéronautique présente, dans le cadre de ses expositions temporaires et permanentes, des hydravions restaurés, des uniformes, des souvenirs de pilotes célèbres, des reproductions, des photographies, des moteurs, des hélices, des pièces d’archives, des carnets de vol, des trophées, des combinaisons, des tableaux de peintres de l’Air et de la Marine… Des supports variés qui vous invitent à vivre une expérience unique sur les traces des grands noms : Latécoère, Saint-Exupéry, Mermoz, Guillaumet et bien d’autres.

Pour préparer votre visite individuelle, vous pouvez vous appuyer sur nos fiches d’aide à la visite et livrets jeune public, qui illustrent avec détails l’importance de ces prestigieux paquebots des airs, au XXe siècle comme aujourd’hui encore. Le musée de l'Hydraviation propose aux groupes une visite commentée de l’exposition temporaire et de l’exposition permanente du musée.

Les visites de groupe sont disponibles pour un groupe de 10 personnes mimimum et n'excédant pas 25 personnes, à des tarifs préférentiels. La réservation est obligatoire 1 mois minimum avant la date souhaitée pour toute visite en groupe, avec ou sans guide médiateur. Nous acceptons les groupes de 10 personnes minimum et n'excédant pas 25 personnes. N’hésitez pas à nous solliciter pour vérifier les mesures sanitaires en vigueur.

Vous êtes un individuel et vous souhaitez suivre une visite du Musée de l'Hydraviation, ou un groupe de moins de 10 personnes ? Des visites commentées, d'environ 1h30 et en français uniquement, sont proposées pour les visiteurs individuels du mois de juin au mois de septembre, sous réserve de la disponibilité. 

Nous avons développé une application numérique pour smartphone et tablette. Elle vous permet de faire la visite du Musée directement sur vos appareils ! Que vous soyez chez vous, ou bien dans les différents espaces du musée, cette application vous permet de découvrir l'histoire de l'hydraviation en quelques minutes. Il vous suffit de télécharger l'application Biscarrosse Visite Musée, puis de vous laisser guider par cette expérience interactive unique !

Le site est accessible aux personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap.

 


 

 

Sources : ©Musée de l’Hydraviation
 
Office de tourisme : 55 Place G. Dufau - BP 10001 - 40602 Biscarrosse Cedex - Tel 05.58.78.20.96
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Infos pratiques

Adresse

332, rue Louis Breguet 40600
Biscarrosse
05 58 78 00 65

Tarifs

Tarif plein : 10 euros / Tarif jeune (6-18 ans) : 3.50 euros / Tarif famille : 27 euros / Gratuit pour les moins de 6 ans / Tarifs réduits : de 5 à 7,50 euros selon situation

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Septembre − Juin : du mardi au dimanche de 14:00 - 18:00 | fermé les lundis / Juillet − Août : 7j/7 de 10:00 - 19:00 / Jours fériés : nous contacter

Fermetures annuelles

Janvier : fermé tout le mois

Musée de la Résistance et de la Déportation de la Drôme (26)

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DE LA MONTÉE DU NAZISME À LA LIBÉRATION


Consulter l'offre pédagogique du centre >>>  Romans


En 1972, l'Association Nationale des Anciens Combattants de la Résistance (A.N.A.C.R.), l'Association Nationale des Pionniers et Combattants Volontaires du Vercors et la Fédération Nationale des Déportés et Internés Résistant s et Patriotes (F.N.D.I.R.P.), se réunissent en comité dans le but de créer un musée de la Résistance et de la Déportation.

Installé dans l'ancien couvent de la Visitation de Romans, il sera inauguré le 22 Juin 1974, en présence de Monsieur Jacques Debû-Bridel, membre fondateur du conseil National de la Résistance. Devant l’intérêt croissant du public, des étudiants et des chercheurs, le musée s’agrandit et évolue en 1994 pour devenir Centre historique.

Le Musée s'est donné pour mission d'informer et de transmettre afin que les événements qui ont noirci notre histoire ne se reproduisent pas. Il propose, dans une présentation sobre et claire, une exposition permanente : " De la montée du nazisme à la Libération".

Il dispose de différents outils :

- les salles d'exposition : outil de sensibilisation grand public, vitrine à la fois émotionnelle, informative et éducative.

- Le centre de documentation spécialisé à la disposition des étudiants, chercheurs et historiens (installé aux Archives communales, n°3 rue des Clercs).

- Les actions pédagogiques, destinées plus particulièrement aux jeunes générations qui n'ont pas connu cette période de l'histoire, pour leur montrer ce que peut devenir l'homme pour l'homme, dans certaines circonstances, sous certaines influences, et pour éveiller leur attention et leur vigilance aux répétitions de l'histoire.

- Le site web : https://www.resistance- drome.org

Ce site, bilingue, a pour objectif immédiat de faire découvrir aux jeunes générations le Musée et sa base de documentation.

Il veut également susciter des contacts et des échanges avec toute personne française ou étrangère intéressée par cette page d'histoire de notre région.

A terme, son objectif est de mettre en ligne la documentation bibliographique, au travers d'une base de données à critères de recherche multiples, un formidable outil de recherche de documentation.

 

Info utile :

Le Musée de la Résistance est installé dans une aile du bâtiment abritant le Musée international de la chaussure. L'entrée des deux Musées est commune.

 

Sources : ©MUSEE DE LA RESISTANCE EN DROME ET DE LA DEPORTATION
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Infos pratiques

Adresse

Espace Visitation rue Sainte Marie et Bistour 26100
Romans-sur-Isère
04 75 05 51 81

Tarifs

Plein tarif 6 € (le billet d'entrée donne droit, en visite libre, au Musée de la Résistance en Drôme et de la Déportation, au Musée International de la Chaus sure, aux expositions temporaires) - Jeunes : 3 € (étudiants à partir de 18 ans, personnes en situation de handicap, bénéficiaires des minima sociaux. Sur Justificatif). - Groupes : 4 € (à partir de 15 personnes, une gratuité par tranche de 20 personnes) - Gratuité : jusqu'à 18 ans, groupes scolaires et groupes jeune public, bénéficiaires du pas s éducation, journalistes, 1er dimanche du mois et certaines manifestations...

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Horaires d’ouverture Opening hours D'octobre à avril Du mardi au samedi : d e 10 h 00 à 17 h 00 De mai à septembre Du mardi au samedi : d e 10 h 00 à 18 h 00 Juillet - août Du lu n d i a u sa m e d i d e 10 h 0 0 à 18 h 0 0

Fermetures annuelles

Toute l'année : le s dim a n c h e s et jo u r s féri é s : d e 14 h 3 0 à 18 h 0 0 Fermeture : 1e r janvier, 1er ma i, 1er novembre et 25 décembre, et 15 jours suivants les vacances de Noël. Offices de tourisme de référence - PAVILLON DE ROMANS- SUR- ISÈRE - 62 Avenue Gambetta 26100 Romans-sur-Isère - ma i l : contact@romans- tourisme.com - Tel 04 75 02 28 72 - PAVILLON DE BOURG DE PÉAGE - 30 allée de Provence 26300 Bourg de Péage

Appel à projets 2018-2019 Reporters de guerre

Appel à projets 2018-2019 - Le capitaine Nemo explore la défense

Appel à projets 2018-2019 René Cassin

50 colombogrammes, 50 photographies pour évoquer l’histoire

Cinquième colloque Grande Guerre de l’Académie des sciences d’outre-mer

Exposition itinérante Les graffitis, ultimes témoignages du Mont-Valérien

Le Mémorial National de la prison de Montluc travaille avec ses homologues allemands

Le ciel en guerre 1914-1918

La Nuit aux Invalides, 1918 la naissance d’un monde nouveau

Fort du Libéria

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Le fort Libéria. Source : http://regionfrance.com/villefranche-de-conflent/

Le fort Libéria est construit en 1681 et offre une superbe vue sur la vallée de la Têt.

Une ville fortifiée implantée en fond de vallée

Sur la route conduisant aux sommets pyrénéens, la petite cité fortifiée de Villefranche-de-Conflent est créée à la fin du XIème siècle au confluent des rivières de la Têt et de Corneilla par Guillem-Ramon, Comte de Cerdagne.

Dès le XIIème siècle, huit tours d'angle renforcent les premières fortifications de la ville qui reçoit un nouveau système défensif au XIVème siècle, lors du conflit opposant le royaume de Majorque et l'Aragon.

Villefranche-de-Conflent est définitivement rattachée avec le Roussillon au Royaume de France par le traité des Pyrénées en 1659. La cité implantée en fond de vallée a conservé de son prestigieux passé de capitale du Conflent un ensemble monumental exceptionnel, bâti dans le marbre rose.

Villefranche-de-Conflent cache derrière ses remparts une superbe cité médiévale, offrant au visiteur un chemin de ronde voûté, une église romane du XIème siècle, et pas moins d'une vingtaine de façades d'hôtels particuliers inscrites à l'inventaire des monuments historiques. L'enceinte de la ville est restée intacte : aux courtines et aux tours médiévales sont associés des bastions érigés par Vauban vers 1680, et des portes néoclassiques. La ville perd de son importance à la fin du XVIIIème siècle, notamment du fait du transfert de la viguerie à Prades en 1773.

Un fort édifié à flanc de montagne

Dans le cadre de sa mission de renforcement des défenses du Roussillon, désormais frontière sud du Royaume de France, Vauban séjourne à Villefranche-de-Conflent afin de faire ériger un fort voué à protéger le territoire des assauts provenant du Vallespir ou de la Cerdagne. Pour empêcher le bombardement de la ville depuis la montagne de Belloch, le commissaire général des fortifications de Louis XIV fait construire en 1681 le fort Libéria sur un contrefort dominant la ville de 160 mètres, offrant ainsi une superbe vue sur la vallée de la Têt.

De forme oblongue, érigée à flanc de montagne, la fortification se compose de trois enceintes successives nivelées sur trois étages afin d'épouser la forte pente du terrain. Un donjon forme la partie supérieure de l'ouvrage, précédée d'un fossé défendu par une galerie de contrescarpe à feux de revers communiquant avec le corps de la place par deux caponnières. Le fort possède un chemin de ronde, de nombreuses meurtrières, des échauguettes ( postes de guet muni d'ouvertures ), un pont-levis, et une cour d'honneur sur laquelle donne une chapelle. Sous Louis XIV, deux complices de La Voisin, empoisonneuse de la cour de Versailles, ont été emprisonnées au sein d'un cachot de la forteresse, baptisé " la prison des Dames ". Le fort Libéria connaît l'épreuve de la guerre à la fin du XVIIIème siècle, et se rend le 3 août 1793 aux troupes espagnoles, après la reddition de Villefranche-de-Conflent. Entre 1850 et 1856, Napoléon III décide de renforcer l'ouvrage, et fait aménager le souterrain dit des "mille marches ", qui relie le fort à Villefranche-de-Conflent : ce passage voûté en pierre aux escaliers de marbre rose peut encore être emprunté aujourd'hui, mais ne comporte en réalité que 754 marches !

Aux alentours

Trois grottes préhistoriques sont ouvertes à la visite à proximité du village de Villefranche-de-Conflent : les grandes Canalettes, les anciennes grottes de Canalettes, et la Cova Bastera ( Préhisto-Grotte ). Cette dernière a été aménagée par Vauban en 1707. D'autre part, la gare de Villefranche-de-Conflent est le point de départ du célèbre petit train jaune serpentant en altitude à travers les Pyrénées jusqu'à la ville frontalière de La-Tour-de-Carol.

 

Office du tourisme de Villefranche-de-Conflent

Place de l'Église 66500 Villefranche-de-Conflent

Tél. 04.68.96.22.96

Fax 04.68.96.23.23 & 04.68.96.23.93

E-mail : villefranchedeconflent@voila.fr

 

Accès À cinquante km de Perpignan, par la N 116.

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

66500
Villefranche-de-Conflent
Tél. 04.68.96.22.96Fax 04.68.96.23.23 & 04.68.96.23.93

Tarifs

Plein tarif adultes : 6.00 €, enfants (5 à 11 ans) : 3.50 € Tarifs réduits adultes : 5.00 €, enfants (5 à 11 ans) : 3.00 € Tarifs groupes à partir de 10 personnes : adultes 5.00 €, enfants classe primaire : 3.00 €, enfants classe secondaire : 3.50 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De juillet à août : 9h à 20h De mai à juin : 10h à 19h Autres périodes : 10h à 18h non-stop

Place forte de Villefranche-de-Conflent

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Vue panoramique du village fortifié de Villefranche-de-Conflent. Source : GNU Free Documentation License

Cité médiévale du XIème siècle, fortifiée par Vauban au XVIIème, la place de Villefranche-de-Conflent est située au pied du Canicou, au coeur des Pyrénées Orientales.

Villefranche-de-Conflent est une ville fondée en 1090 par le comte Guillaume-Raymond de Cerdagne. Elle est la capitale de la vicomté du Conflent et est située sur une voie de communication vers le haut pays. En 1117, le Conflent et la Cerdagne deviennent, par héritage, possession des rois d'Aragon.

L'agglomération occupe tout l'espace disponible entre la rive droite de la Têt et le pied des escarpements qui dévalent du Canigou et présente donc un plan allongé, structuré autour de deux voies parallèles. Le périmètre défensif a été élaboré dès le début du XIIIe siècle. Les tours de surveillance semi-circulaires datent du XIVème siècle ; elles témoignent de la lutte entre les souverains de Majorque et d'Aragon pour contrôler le Roussillon.

La ville passe sous le contrôle français, en 1654, lors de la guerre franco-espagnole. La population, hostile aux Français, se révolte : mouvement des Miquelets et Conspiration de Villefranche, en 1674, qui relance la guerre et conduit Vauban à établir un plan de fortification dans la région, à partir de 1679. Il fait renforcer l'ancienne enceinte sur le front de la montagne. Ailleurs, elle est remplacée par une courtine de quatre bastions aux angles. Deux bastions aplatis les complètent : l'un vers le Tech protège le pont, l'autre vers la montagne. Ne pouvant garnir la place d'un glacis, Vauban renforcent les bastions. Ils sont casematés et flanqués sur leurs faces d'embrasures pour les pièces de gros calibre. Afin de dérober la vue du chemin de ronde, il le fait couvrir par un toit d'ardoises. Sur la rive droite, des grottes naturelles sont transformées en casemates.

La cité est reconquise momentanément en 1793 lors des guerres contre-révolutionnaires.

 

Office du tourisme

Place de l'Eglise 66500 Villefranche-de-Conflent

Tél. 04.68.96.22.96

Fax : 04.68.96.07.66

E-mail : otsi-villefranchedeconflent@voila.fr

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

N116 66500
Villefranche-de-Conflent
Tél. 04.68.96.22.96Fax : 04.68.96.07.66

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Appel à projet - La France en 1917, des ressources pour vaincre

Appel à projets d’enseignement de défense - Les opérations extérieures (OPEX)

1918-1920 : Les sorties de guerre

Place forte de Collioure

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Château royal de Collioure. Source : http://www.chateaux-francais.fr

Ce château est construit sur d'anciennes constructions romaines, transformées à l'époque wisigothique ...

En 1808, lors d'une inspection du chantier de fort Boyard, Napoléon décide de compléter le dispositif de protection de la rade de Rochefort en faisant ériger un fort sur le point culminant d'Aix, à l'extrémité est de l'île. De forme carrée, cet ouvrage bastionné de plus de 90 mètres de côté est construit en maçonnerie, et entièrement casematé. Quatre galeries partent des angles de la cour intérieure pour desservir les casemates placées sous les bastions, chaque courtine abritant quatre casemates vouées au logement des troupes. Protégé par un épais remblais de terre et recouvert d'un glacis d'herbe, l'ouvrage est surmonté d'un impressionnant chemin de ronde.

L'action de restauration s'est concentrée, en raison de l'immensité du site, sur la partie la mieux conservée mais aussi et surtout sur l'emprise du "troisième" fort qui sera précisément construit à la manière éclatée et constitue par-là le lieu d'invention de la nouvelle organisation des ouvrages fortifiés. Cette emprise représente une aire de près de 20 ha. Les ouvrages en cours de restauration abritent de nombreux objets et équipements techniques d'origine qui progressivement sont restaurés, remis dans leur contexte et expliqués.

Le château de Collioure est construit sur d'anciennes constructions romaines, transformées à l'époque wisigothique.

Collioure, située sur l'étroite plaine littorale, occupe une position stratégique dans la maîtrise sur Roussillon et des voies de communication frontalières et de son port ouvert sur la Méditerranée. Les rois de Majorque lui confèrent son plan actuel entre 1242 et 1280. Le fort leur sert de résidence d'été.

A la fin du Moyen-Age, le château forme ainsi un quadrilatère irrégulier constitué de 4 fronts.

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Place du 8 mai 1945 66190
Collioure
Tel: 04 68 82 15 47Fax: 04 68 82 46 29

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er juin au 30 septembre : 10h00 à 17h15 Du 1er octobre au 31 mai : 09h00 à 16h15

Place forte de Port-Vendres

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Vue panoramique du Port-Vendres. Source : http://nicolasgiraudphoto.eklablog.com/l

Port important en raison de sa position et de la profondeur de sa rade...

Le site de Port-Vendres est occupé depuis le VIIIème siècle avant JC. Son nom est hérité de Portus Veneris, en relation avec un temple dédié à Vénus, dominant jadis la crique. Les premiers aménagements urbanistiques sont entrepris par le premier souverain de Majorque, Jacques Ier, au XIIIème siècle. Les luttes avec les rois aragonais mettent à bas les édifices, si bien que lorsque le Roussillon passe sous souveraineté espagnole au XVème siècle, la cité est à rebâtir.

Après le Traité des Pyrénées, la province rejoint le royaume de France. Son port et eaux profondes proche de l'Espagne, unique sur le littoral du Roussillon intéresse Louis XIV et Vauban : Port-Vendres est classé port militaire.

Les limites budgétaires contraignent Louvois à demander à Vauban de réaliser un projet de moindre envergure : on effectue quelques aménagements pour permettre à une partie de la flotte du Levant de séjourner sur les côtes catalanes sans trop de danger. Le gouverneur de province, Maréchal de Mailly, fait creuser la vieille darse et aménager la route de Collioure. Monsieur de Wailly, architecte du roi, dresse le plan d'aménagement. Les redoutes de Mailly (située au-dessus de la plage de l'Oasis ; elle est modifiée lors de la Seconde Guerre mondiale pour accueillir des canons Lahitolle 1888 de 9 mm, endommagée en 1944, elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1991), de Béar (achevé en 1880) et du Fanal (construction initiale de Vauban de 1673-1700) défendent l'accès du nouveau site de Port-Vendres, dont les travaux entrepris par le maréchal de Mailly, gouverneur de la province de Louis XIV, durent jusqu'en 1780 - ces monuments seront inscrits à l'inventaire des monuments historique en 1933.

A partir de 1838, la France s'intéresse à l'Afrique du Nord. Des travaux d'extension et d'amélioration sont entrepris à Port-Vendres afin d'en faire un important port de commerce maritime méditerranéen : construction de la jetée, de la Place Castellane, du fort Béar, liaison ferrée en 1867, mise en place d'une ligne maritime de paquebots avec l'Afrique dès 1885.

La marine allemande utilise les installations françaises en novembre 1942, puis en développe de nouvelles dès le début de l'année 1943. L'armée d'occupation en fait un camp retranché pouvant aussi bien faire face à une opération amphibie qu'à une attaque terrestre venant de l'intérieur.

Le Stützpunktgruppe Port-Vendres est donc une pièce maîtresse du dispositif allemand de contrôle du front côtier des Pyrénées-Orientales à côté de Sète et Agde. La ville de Port-Vendres est placée sous l'autorité d'un commandant portuaire dirigé par le Korvettenkapitän Kurt Stratmann, puis le Fregattenkapitän Walter Denys. La batterie de l'Ullastrel est un des vestiges de cette période. Le 19 août 1944 l'armée allemande bat en retraite. Les entrepôts de munitions et d'armes sont détruits, les quais sont dynamités afin de gêner les Alliés dans leur progression.

Le Fort Béar, site militaire, installé sur une colline entre Collioure et Port-Vendres, domine la ville. Conçu initialement par Vauban, il est remanié par Séré-de-Rivières au XIXème siècle. Transformé en station radiogoniométrique en1949, il devient un radôme en 1960.

 

Renseignements pratiques :

Mairie 8 rue Jules Pams 66660 Port-Vendres

Tél : 04 68 82 01 03

Fax : 04 68 82 19 62

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

66660
Port-Vendres
Tél : 04 68 82 01 03Fax : 04 68 82 19 62

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Fort-les-Bains

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Fort-les-Bains. Source : http://lesdanjean.blogspot.fr

Ce fort est construit en 1670 afin de protéger la ville d'Amélie-les-Bains...

Situé au confluent du Tech et du Montdony, sur la route de Prats-de-Mollo. Il a été construit en 1670 sur l'ordre de comte de Chamilly afin de protéger la ville d'Amélie les bains (anciennement Les bains d'Arles). Les plans ont été dressés par l'ingénieur Saint Hilaire (ou Saint Hillaire). Vauban, lors de sa seconde inspection en Roussillon, y apporte quelques améliorations, mais ne fait pas de la place un élément stratégique de premier plan dans son dispositif de défense de la frontière espagnole.

Les principes de la fortification bastionnées sur un plan approximativement carré (un bastion à chaque angle) sont adaptés au terrain et à l'existant.

Lors de la guerre révolutionnaire franco-espagnoles, la garnison du fort composée de 440 hommes du maréchal de camp Michel-Jean-Paul Daudiès (1763-1839) résiste aux troupes catalanes jusqu'à épuisement de leurs vivres.
En 1888 le fort fera l'objet d'une proposition à la défense des Pyrénées, mais le projet restera sans suite.

L'édifice est classé monument historique depuis le 18 décembre 1909.

 

Mairie

5, Rue des Thermes 66110 Amélie-les-Bains

Tél : 04 68 39 00 24

Fax : 04 68 39 06 46

Courriel : mairie.amelie.les.bains@wanadoo.fr

 

Office du tourisme

22 Avenue du Vallespir - BP13 66110 Amélie-les-Bains

Tél : 04 68 39 01 98

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Route de Montalba 66110
Amélie-les-Bains
Tél : 04 68 39 00 24Fax : 04 68 39 06 46 Office du tourisme22 Avenue du Vallespir - BP1366110 Amélie les bainsTél : 04 68 39 01 98

Horaires d'ouverture hebdomadaires

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