Mission d'observation du chef de bataillon Albert d'Amade pendant la guerre du Transvaal (1899-1900)

L'activité du génie au Congo-Brazzaville (Congo français) entre 1880 et 1908

Fonds photographique René Denis. Escale à Djibouti

Archives photographiques du lieutenant Pierre Citerne en Côte d'Ivoire (1903-1904)

Archives photographiques du lieutenant Emile Coquibus : Haute-Guinée

Tonkin

Album photographique de M. Joseph Deltour constitué durant ses deux années de service militaire

Archives photographiques du lieutenant Emile Coquibus affecté au 6e régiment d'infanterie coloniale : loisirs et formation militaire en France, 1906-1907

Manoeuvres, 1905-1911

Paris et ses environs

Vues du camp de Chalons et du siège de Metz, 1866-1871

La rafle du Vélodrome d’Hiver

Collection « De la mémoire à l’histoire » | Accès à la vidéo en ligne

Les 16 et 17 juillet 1942, 13 152 juifs sont arrêtés par la police française. 1 129 hommes, 2 916 femmes et 4 115 enfants sont enfermés dans l'enceinte sportive du Vélodrome d'Hiver. Les couples sans enfants et les célibataires (1 989 hommes et 3 003 femmes) sont internés au camp de Drancy. Du 19 au 22 juillet, les familles du Vélodrome d'Hiver sont transportées dans les camps de Pithiviers et Beaune-la-Rolande. Adultes et adolescents sont déportés en premier. Brutalement séparés de leurs parents, environ 3 000 enfants en bas-âge sont laissés sur place dans une affreuse détresse. Ils sont transférés à Drancy puis déportés entre le 17 et 31 août 1942. Aucun d'entre eux n'est revenu. La direction de la mémoire, de la culture et des archives (SGA/DMCA) du ministère des Armées revient sur cet épisode tragique de la Seconde Guerre mondiale, qui a notamment abouti à la création d'une Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français et d'hommage aux « Justes » de France.

De la mémoire à l’histoire : la rafle du Vélodrome d’Hiver

18 octobre 1999, reconnaître la guerre d’Algérie

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C'est à cette date que l'Assemblée nationale et le Sénat votent une loi de reconnaissance officielle de la guerre d'Algérie. Une avancée législative qui met fin à un déni historique et ouvre la voie à une meilleure prise en compte des préjudices subis par l'ensemble des victimes du conflit.

 

De la mémoire à l’histoire : la rafle du Vélodrome d’Hiver

Une dérive d’avion Sopwith 1 ½ Strutter, ou 1A2

Une médaille attribuée au général Faidherbe

Musée mémoire 1939-1945

Le 23 mai 1940 débutent les combats sur Calais, auxquels participent héroïquement l'armée française et les Green Jackets du B.E.F (british expeditionnary force). Cette lutte ralentit l'avancée allemande et permet le réembarquement des troupes alliées depuis Dunkerque vers la Grande Bretagne. La bataille dure trois jours, elle prend fin pour les Franco-britanniques lorsque les munitions viennent à manquer.

Sac de paquetage d’un ancien harki

Un taxi Renault

Le pistolet du colonel Rol-Tanguy