Vareuse d'uniforme de Gustavo Camerini

Toulon, 27 novembre 1942, le sabordage de la flotte [1]

Partager :

La Flotte française sabordée. De gauche à droite : le Strasbourg, le Colbert, l'Algérie et la Marseillaise. © Library of Congress/Royal Air Force
 
Par Tristan Lecoq - Capitaine de vaisseau (CR) - Inspecteur général (histoire-géographie)
Membre de l’académie de Marine - Membre associé de l’Inspection générale des Affaires maritimes

 

Toulon, le 27 novembre 1942[2]. Les bâtiments de la Flotte de haute mer et l’ensemble des navires de guerre présents dans le port ont mis bas les feux[3]. Les permissions ont été rétablies sur les bords. Les officiers peuvent passer la nuit chez eux. Depuis quelques jours, Toulon est comme enveloppée dans le brouillard d’une curieuse atmosphère, dans un entre - deux insaisissable, dans une impression de fin qui s’annonce, qui a saisi la ville et le port. Isolée, parquée, cloîtrée dans le « camp retranché » de Toulon dans l’attente improbable d’y être réparée et reconstituée, sans beaucoup de moyens pour prendre la mer, la Flotte attend.

Le musée de la Résistance de l’Aube

Après 4 ans de travaux, le musée de la Résistance de l’Aube ouvre à nouveau ses portes depuis cet été ! Il propose une scénographie immersive et innovante, ainsi qu’une programmation culturelle renouvelée à destination de tous les publics !


© OT Côte des bar - A. Girou

© OT Côte des bar - A. Girou

Les causes du conflit et les débuts de la lutte armée

Partager :

18 octobre 1999 : Reconnaître la guerre d’Algérie

Accès à la vidéo en ligne

De 1954 à 1962, plusieurs centaines de milliers de soldats français combattent en Algérie. Près de 23 000 y trouveront la mort, plus de 60 000 y seront blessés et davantage encore en reviendront marqués à vie. Retour sur la date du 18 octobre 1999 marquant la reconnaissance officielle de la guerre d’Algérie part l’État français.

18 octobre 1999 : Reconnaître la guerre d’Algérie

Centre Sir John Monash - Mémorial National australien

Centre Sir John Monash - Mémorial National australien

 

Inauguré en avril 2018, le Centre Sir John Monash raconte l'expérience des Australiens sur le front occidental pendant la Première Guerre mondiale. Nommé en hommage au général australien de la Première Guerre mondiale, il est érigé sur le site d’une importante action australienne en 1918 : la bataille de Villers-Bretonneux. Situé à l’arrière du Mémorial National australien et attenant au cimetière militaire de Villers-Bretonneux où reposent plus de 2 000 soldats du Commonwealth, il commémore près de 11 000 soldats australiens tués sur le front occidental en France et qui n’ont pas de sépulture connue.

 

Source : Centre Sir John Monash - Mémorial National australien

Centre Sir John Monash - Mémorial National australien

Centre Sir John Monash - Mémorial National australien

 

Inauguré en avril 2018, le Centre Sir John Monash raconte l'expérience des Australiens sur le front occidental pendant la Première Guerre mondiale. Nommé en hommage au général australien de la Première Guerre mondiale, il est érigé sur le site d’une importante action australienne en 1918 : la bataille de Villers-Bretonneux. Situé à l’arrière du Mémorial National australien et attenant au cimetière militaire de Villers-Bretonneux où reposent plus de 2 000 soldats du Commonwealth, il commémore près de 11 000 soldats australiens tués sur le front occidental en France et qui n’ont pas de sépulture connue.

 

Source : Centre Sir John Monash - Mémorial National australien
Offre pédagogique

Visite scolaire

Pour compléter la visite au Centre Sir John Monash, les professeurs sont encouragés à réserver un atelier pédagogique pour leurs élèves. Le Centre propose une variété d’activités adaptées à tous les âges ainsi que des ateliers pédagogiques sur-mesure pour répondre au programme scolaire.

Ressources pédagogiques

Prix Sadlier Stokes

 

Centre d’interprétation Vignacourt 14-18

Centre d’interprétation Vignacourt 14-18

 

Le Centre d’interprétation Vignacourt 14-18 est un lieu de mémoire qui met en lumière une collection de photographies unique réalisée durant la Grande Guerre par le couple de fermiers Thuillier au cœur même de leur grange transformée à l’époque en studio photo.

Ces clichés permettent de découvrir la vie et le quotidien des soldats de 14 à l’arrière front à travers une scénographie orchestrée pour raconter cette histoire. Une immersion totale au cœur de la ferme clôt la visite grâce aux trois clips vidéos réalisés en 360° proposant une promenade dans la ferme restaurée, un retour 100 ans en arrière dans la folle histoire des Thuillier et des soldats.

 

Source : Centre d’interprétation Vignacourt 14-18
Offre pédagogique

Brochure

Visite

Espace pédagogique

  • Ateliers
  • Accueil des groupes
Informations pratiques

Informations pratiques

Réservation

Un timbre en hommage aux combattants français en Afrique du Nord (1952-1962)

Le carnet d’étranger de Mata Hari

Centre d'interprétation Vignacourt 14-18

Partager :

© collection Thuillier / Kerry Stokes Fondation

Le Centre d’interprétation Vignacourt 14-18 est un lieu de mémoire qui met en lumière une collection de photographies unique réalisée durant la Grande Guerre par le couple de fermiers Thuillier au cœur même de leur grange transformée à l’époque en studio photo.

Vignacourt était durant la Première Guerre mondiale une importante base arrière pour les soldats alliés.
Le couple Thuillier, Louis et Antoinette étaient des agriculteurs, passionnés de nouveautés, qui possédaient un appareil photo à plaques, rare au début du 20ème siècle. Louis a donc appris à Antoinette à se servir de cet appareil et ensemble ils créèrent un studio photo dans la cour et la grange de leur ferme. Les Thuillier ne signaient pas leurs photos mais un élément nous permet de les reconnaitre : la toile de fond qui a été peinte en guise de décor et que nous retrouvons sur une large partie de la collection. Civils et soldats du monde entier sont alors venus se faire tirer le portrait par le couple photographe.

À la fin de la guerre, après le départ des soldats, Louis décida de ranger tout le matériel au grenier et mit fin à sa passion. Les photos tombèrent alors dans l’oubli pendant près d’un siècle avant d’être redécouvertes en 2010 par le journaliste Ross Coulthart et l’historien Peter Burness, tous deux australiens, pour devenir une collection unique au monde. Lors de ce moment historique, ce sont 4000 plaques photographiques qui ont revu le jour pour nous dévoiler des clichés touchants, poignants et émouvants.

Aujourd’hui, grâce au trésor des Thuillier, vous pouvez découvrir la vie et le quotidien de nos soldats de 1914 à l’arrière front à travers une scénographie orchestrée pour vous raconter cette incroyable histoire. Vous pouvez même finir la visite en étant en immersion totale au cœur de la ferme grâce aux trois clips vidéos réalisés en 360°, vous promener dans la ferme restaurée et vous retrouver 100 ans en arrière dans la folle histoire des Thuillier et des soldats pour une expérience unique à vivre.

Nous proposons à chacun de nos visiteurs une visite guidée suivie d’une projection d’un documentaire relatant la découverte de la collection.

 


 

 

Logo_MMCC


 

> Retourner aux résultats

Infos pratiques

Adresse

196 Rue d’Amour 80650
Vignacourt
09 70 20 08 02 ou 06 73 69 55 49

Tarifs

Tarif plein : 5€ / Tarif réduit : 3€ (sur justificatif : demandeur d’emploi, étudiant, ancien combattant, habitant communauté de communes Nièvre et Somme, groupe à partir de 15 personnes) / Scolaire : 2€ (accompagnateur gratuit) / Enfant de -12 ans : 2€ / Pass annuel : 20€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Haute saison (avril à octobre) : du mardi au vendredi : 10h-18h, samedi et dimanche : 14h-18h / Basse saison (novembre à mars) : du mardi au samedi de 13h30 à 17h

Madagascar

Mission d'observation du chef de bataillon Albert d'Amade pendant la guerre du Transvaal (1899-1900)

L'activité du génie au Congo-Brazzaville (Congo français) entre 1880 et 1908

Fonds photographique René Denis. Escale à Djibouti

Archives photographiques du lieutenant Pierre Citerne en Côte d'Ivoire (1903-1904)

Archives photographiques du lieutenant Emile Coquibus : Haute-Guinée

Tonkin

Album photographique de M. Joseph Deltour constitué durant ses deux années de service militaire