Les autres camps dans le Tarn-et-Garonne (82)

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Place Nationale à Montauban.
Place Nationale à Montauban. Source : Carte postale. D.R

 

Le dispositif d'internement et les structures d'encadrement prévues par le général Ménard, chargé à partir de février 1939 d'organiser l'arrivée des réfugiés, comprend aussi pour le Tarn-et-Garonne, des installations secondaires.

Lettres Marquis de Lespinay

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Soldats français photographiés dans leur tranchée.
Soldats français photographiés dans leur tranchée. Source : Library of Congress

Verdun dans les Hommes de bonne volonté de Jules Romains

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La guerre de 1914-1918 se trouve au centre des Hommes de bonne volonté. (27 volumes couvrant 25 années du 6 Octobre 1908 au 7 Octobre 1933).

Historique de la Bataille de Vauquois

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Vue du monument français vu depuis les lignes allemandes sur le sommet de la butte de Vauquois dans la Meuse.
Vue du monument français vu depuis les lignes allemandes sur le sommet de la butte de Vauquois dans la Meuse. Licence Creative Commons

Dominant toute la région à l'Est de l'Argonne, Vauquois est considéré par les états-majors des deux camps comme un observatoire exceptionnel et un verrou stratégique.

Procurant des vues éloignées dans toutes les directions, la colline de Vauquois permet à son possesseur de suivre et donc de commander l'axe de circulation (route et voie ferrée) débouchant du défilé de "Les Islettes", conduisant à Verdun.

Des peintres au service de la Marine

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Auguste Louis de Rossel de Cercy,
Auguste Louis de Rossel de Cercy, "Combat de la Dominique, 1780", 1789. Source : musée nationale de la Marine - P. Dantec

 

D'abord assimilée à la peinture d'histoire et à celle de paysage, la peinture à sujet maritime devient progressivement un genre à part entière parallèlement avec la reconnaissance officielle parmi les peintres de marine, ou marinistes, d'artistes au service de la Marine, d'où leur nom de " peintres de la Marine ".

La Poche de Royan

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Colonne de prisonniers allemands encadrée par les troupes de la 2e DB (Division Blindée), témoignant de la reddition imminente de la garnison allemande de la poche de Royan. Avril 1945.
Colonne de prisonniers allemands encadrée par les troupes de la 2e DB (Division Blindée), témoignant de la reddition imminente de la garnison allemande de la poche de Royan. Avril 1945. Source : SCA - ECPAD. Photo : Malin Henri

 

Royan, parmi les dernières villes de France encore occupées au début de 1945, est bombardée par l'aviation alliée le 5 janvier 1945 avant d'être libérée suite aux combats des 13 au 17 avril 1945 par ces mêmes troupes renforcées auxquelles se joignent des formations de l'armée d'Afrique, des unités de la 2e DB, des bataillons coloniaux et des maquisards.

La libération des camps

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Entrée de camp allemand nazi Birkenau (Auschwitz II), vue depuis l'intérieur du camp. Source : Libre de droit
Entrée de camp allemand nazi Birkenau (Auschwitz II), vue depuis l'intérieur du camp. Source : Libre de droit

Après l'effondrement de la dictature nationale-socialiste et la fin du système concentrationnaire nazi, des questions restent toujours sans réponse en dépit des nombreuses connaissances réunies depuis lors sur ce sujet. En fin de compte, nul ne saura exactement combien de victimes furent à déplorer au cours de cette période, ni combien de détenus vivaient encore à la libération des camps par les troupes alliées.

 

Les exploits de la 36ème division d'Ulster

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Croix au pied de la tour d'Ulster
Croix au pied de la tour d'Ulster. Source : irlandedunord.blogs

Les exploits de la 36ème division d'Ulster à la bataille de la Somme sont rapidement devenus légendaires.

Les soldats d'Outre-Mer pendant la Seconde Guerre mondiale

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Le capitaine N'Tchoréré, commandant la 7e compagnie du 53e RICMS
Campagne d'Alsace. Front des Vosges, automne 1944. 1re armée française. Patrouille de Sénégalais dans la neige. Source : SHD

La Flamme sous l'Arc de Triomphe

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La flamme sur la tombe du Soldat Inconnu.
La flamme sous l'Arc. Source : Licence Creative Commons.

 

L'Union d'associations "la Flamme sous l'Arc de Triomphe" ou comité de "la Flamme" a été fondée le 2 novembre 1923 et a été reconnue d'utilité publique le 10 novembre 1949.

Elle regroupe 760 associations d'anciens combattants et a pour but de faire raviver quotidiennement, au crépuscule, la Flamme sur la tombe du Soldat Inconnu et plus généralement d'entretenir sa mémoire, c'est-à-dire la mémoire de tous les combattants français et alliés tombés au champ d'honneur.