Une photographie signée par les plénipotentiaires de l’Armistice

"Après la bataille de Belfort", un tableau de Théodore Levigne

Les soldats d'Algérie blessés

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Un blessé est brancardé par ses camarades.

La guerre de 1870

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Infos pratiques
Les villes
Loigny-la-Bataille Chennevières-sur-Marne Champigny-sur-Marne Novion-Porcien Bazeilles Gravelotte À Metz, rue des deux cimetières Bitche Wœrth Belfort La Cluse-et-Mijoux

Capacité d'adaptation de l'armée française : l'exemple de la guerre d'Algérie

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Un convoi d'AM M8 de la compagnie saharienne portée de l'oued R'Hir en 1956. © Raymond Varoqui/ECPAD/Défense

À peine sortie du conflit indochinois, l’armée française doit faire face en Algérie à sa deuxième grande guerre de décolonisation tout en entretenant des forces modernes dans le cadre de l’OTAN. Ce conflit voit l’armée et ses techniques de combat évoluer considérablement.

Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

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© Centre de la Résistance de la Déportation et de la Mémoire

Le Centre de la Résistance, de la déportation et de la mémoire retrace l’histoire de la Seconde Guerre mondiale et vous donne rendez-vous pour une dernière bataille, celle contre l’oubli.

Avec 225 m², le Centre propose une exposition permanente à travers diverses archives et objets d’époque, en partie légués par d’anciennes personnes déportées et résistantes (armes, uniformes, photographies, etc.), qui rappelle l’engagement, le courage et l’espoir des habitantes et habitants du Loir-et-Cher. Plusieurs expositions temporaires sont proposées au fil de l’année, sur diverses thématiques. Elles mettent davantage en lumière certains aspects de la Seconde Guerre mondiale, ou éclairent d’autres sujets comme le génocide du Rwanda, l’indépendance Irlandaise ou les tirailleurs. En plus des expositions permanente et temporaire, le Centre propose régulièrement des rencontres, conférences, projections, pièces de théâtre, etc. Ces moments d’échange et de partage permettent de découvrir l’histoire sous d’autres formes.  Le Centre est évidemment ouvert aux groupes scolaires, sur réservation. L’entrée est gratuite pour les élèves et les personnes qui les accompagnent (y compris la personne conduisant le bus le cas échéant). (3000 signes environ, espaces compris).


 

 
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Infos pratiques

Adresse

6 square Victor Hugo - 41000
Blois
02 54 44 67 40

Site Web : www.blois.fr
Courriel : crdm@blois.fr

La bataille de Saint-Privat

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Bataillon Nr. 9, les chasseurs de Lauenburg, à Gravelotte, Ernst Zimmer (1864-1924), 1910. Source : Kreismuseum Ratzeburg

La guerre franco-prussienne de 1870

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"Défense de la porte de Longboyau, château de Buzenval, 21 octobre 1870", Alphonse de Neuville, 1879

La guerre de 1870/1871 oppose la Confédération allemande à la France durant six mois. Les conséquences immédiates qui en résultent sont considérables chez les belligérants : d’un côté, chute du second empire français, guerre civile de la Commune, avènement de la République ; de l’autre, création de l’empire allemand sous l’égide de la Prusse.

 

Musée du 34ème Régiment d'Infanterie

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© Musée du 34e RI

Créé par les bénévoles de l'Amicale du 34ème RI, le musée conserve la mémoire du régiment le plus populaire des Landes et en perpétue le souvenir à travers de nombreux documents ( affiches, drapeaux, matériel de guerre...). Il s'adresse à toute personne désireuse de connaître la vie des hommes au sein des régiments de Mont de Marsan (34e RI, 234e RI et 141e RIT) en particulier durant les deux guerres mondiales.

Le musée conserve la mémoire et perpétue le souvenir des Landais et des Aquitains passés au 34ème RI, 234ème RI, et 141ème RIT (de 1876 à 1997 et plus particulièrement durant les deux guerres mondiales) et de ceux qui sont morts sous les plis de ces drapeaux. Des documents d'époque montrent ainsi le quotidien du régiment avec de jeunes soldats apprenant à nager sur des tabourets, s'entraînant au maniement de l'épée, patrouillant sur les bords de la Midouze ou remportant le championnat de France militaire en 1912 et 1913. On retrouve les soldats souriant en 1914, au moment de partir sur le front, puis couverts de boue et de plaies dans les tranchées dévastées. On croise l’abbé Bordes, aumônier volontaire durant la Grande Guerre, dont il sort avec la Croix de guerre et la Légion d'honneur. On retrouve également le souvenir de l'artiste Marcel Canguilhem, dit Cel le Gaucher, en raison de son bras droit perdu au combat. Parmi d'autres témoignages du passé, on retrouve le brassard de FFI de Charles Lamarque-Cando, l'uniforme du caporal Marc Bareyt ou le casque troué par un éclat d'obus de Jean-Henri Brocas. Ce musée des hommes plus que des institutions ou des batailles participe au devoir de mémoire et contribue aujourd'hui, tout particulièrement auprès de la jeunesse, à la réflexion sur le prix et la valeur de la paix et de l'union des peuples.
Ce musée fait connaître aussi des tranches de vie locale avec un régiment véritable miroir de la société landaise et de la vie montoise à travers les différentes époques. Ainsi, on y apprend que le 34ème a expérimenté des manœuvres militaires sur échasses ou bien que sa musique participait activement aux animations locales comme la remise des prix au lycée Victor Duruy et même lors des fêtes de la Madeleine ou celles des principales villes landaises.

 


 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

495, avenue du Maréchal Foch 40000
Mont de Marsan
05 58 75 80 07

Les troupes polonaises en France

Pendant la Première Guerre mondiale

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Distance
988 km
Les villes
Paris Aubagne Neuville-Saint-Vaast