Ordre de mission de l’aspirant Daniel Cordier, 24 juin 1942. © SHD
Pour un Français libre, rejoindre les rangs du Bureau central de renseignements et d’action, c’est donner la priorité à l’action clandestine en France. Les ordres de missions témoignent de la diversité des formes que cette action a revêtue. Les archives des services spéciaux conservées par le Service historique de la défense réservent encore des surprises, même pour Daniel Cordier, qui s’est pourtant acquis, dès les années 1980, une réputation méritée de découvreur d’archives.