Les Normands dans la guerre

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L’escadrille La Fayette

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La Waffen-SS

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Deux soldats de la Waffen SS, été 1944, en France. Copyright Archives allemandes

L'année 1991 ou l'entrée dans un "entre-deux" stratégique

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Quatre Mirage 2000 de l'armée de l'air s'apprêtent à décoller sur la base aérienne d'Al Ahsa, Arabie saoudite, 25-31 déc. 1990. ECPAD/Yann Le Jamtel

Il y a 20 ans, le 16 janvier 1991 commençaient les opérations militaires aériennes relatives à la guerre du Golfe. L'offensive terrestre se déroula ensuite en quatre jours du 24 au 27 février 1991.

Les fichiers de la LVF et de la Légion tricolore

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En juin 1941, après le déclenchement de l’opération Barbarossa (22 juin 1941), les partis collaborationnistes réclament d’être associés à la "croisade contre le bolchevisme" en URSS. Dans ce but, la Légion des volontaires français est créée le 6 juillet 1941. Environ 6 000 Français combattront sous uniforme allemand après s’être engagés dans cette organisation. Les archives des services spéciaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de cette structure.

Selbstschutzpolizei : des collabos dans la police

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Début janvier 1944, les Allemands portent au pouvoir, à Vichy, Joseph Darnand, le chef de la Milice, qui devient secrétaire général au maintien de l’ordre. Alors que le débarquement allié n’est plus qu’une question de temps, que Pétain n’a plus la confiance de l’occupant, l’heure est à la radicalisation avec cette nomination d’un "ultra" de la collaboration.

Jean-Louis Crémieux-Brilhac Itinéraire d’un engagement

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Dans une série d’entretiens accordés au Service historique de l’armée en 1998 et 1999, Jean-Louis Crémieux-Brilhac retraçait son parcours, depuis sa mobilisation jusqu’à son engagement dans les Forces françaises libres, à Londres, puis son action au sein du Commissariat national à l’Intérieur. Son témoignage éclaire la genèse de l’engagement d’un jeune homme, étudiant en histoire, que la déclaration de guerre de septembre 1939 ne surprit pas.

Daniel Cordier : "Le chapeau vert est toujours vert"

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Ordre de mission de l’aspirant Daniel Cordier, 24 juin 1942. © SHD

Pour un Français libre, rejoindre les rangs du Bureau central de renseignements et d’action, c’est donner la priorité à l’action clandestine en France. Les ordres de missions témoignent de la diversité des formes que cette action a revêtue. Les archives des services spéciaux conservées par le Service historique de la défense réservent encore des surprises, même pour Daniel Cordier, qui s’est pourtant acquis, dès les années 1980, une réputation méritée de découvreur d’archives.

Des archives du BCRA au Livre blanc

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Daniel Cordier. © Musée de l’Ordre de la Libération

Avant même la libération du territoire national, le besoin d’expliquer et de justifier l’action du BCRA se fait sentir. Fin 1944, cette tâche est confiée à Daniel Cordier, qui s’en acquitte dans des conditions parfois rocambolesques. Aidé par Vitia et Stéphane Hessel, il réalise bientôt l’importance de son travail : rédiger le Livre blanc du Bureau central de renseignements et d’action.

La Résistance en France en 1944

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Armé d'une STEN, pistolet mitrailleur britannique, un maquisard dans le Finistère. Copyright Collection particulière