La répression de la Résistance

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Résistants français fusillés par les Allemands, sans date. © SHD

La répression de la Résistance a été particulièrement efficace. Son bilan peut être mesuré à travers le nombre d’arrestations, de déportations ou d’exécutions. Les archives du Service historique de la défense aident à en comprendre la logique et à identifier les différents acteurs. Elles apportent un éclairage nouveau sur cette question en faisant la part belle aux organismes et aux hommes chargés de cette mission répressive. Ainsi, transparaissent dans les dossiers de l’Abwehr et de la SIPO-SD saisis à la fin de la guerre des techniques de pénétration d’organisations de résistance : on apprend beaucoup sur l’emploi des agents doubles et le rôle qu’ils ont pu jouer. Les archives allemandes conservées par le SHD font également état des jugements rendus par les tribunaux militaires allemands sur le territoire national, complétant ainsi la connaissance du système judiciaire de l’occupant.

Entreprise Marius Berliet et Fils

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CBA,  camion 3,5 tonnes Berliet,1913. Source : conservatoire du Montellier
CBA, camion 3,5 tonnes Berliet,1913. Source : conservatoire du Montellier

Les Polonais en France 1939-1945

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Le bataillon polonais lors de la célébration de la libération de la ville par la 1re DMI, hospices de Beaune, septembre 1944. © ECPAD/Auclaire

La Sipo-SD

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Mai 1944, des maisons en feu lors d'une opération militaro-policière allemande contre la Résistance. Copyright Archives allemandes

Les milices des mouvements collaborationnistes

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Palais de Chaillot, 26 septembre 1943. Rassemblement de miliciens, de miliciennes et de membres du RNP et des JNP.

La Wehrmacht, instrument de la répression de la Résistance en France

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Chasseur parachutiste allemand au combat en Normandie, juin 1944. Copyright Archives allemandes

1939

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Foule parisienne prenant connaissance de l'ordre de mobilisation générale, septembre 1939.
Foule parisienne prenant connaissance de l'ordre de mobilisation générale, septembre 1939. © ECPAD

En 1938, la guerre paraît imminente quand l'Allemagne annexe l'Autriche et revendique une partie de la Tchécoslovaquie. La signature, par le Président du Conseil français Édouard Daladier et le Premier ministre britannique Neville Chamberlain, des accords de Munich qui donnent satisfaction à Hitler, en recule l'échéance. La crainte ressurgit lorsque les troupes allemandes entrent à Prague le 15 mars 1939 et que le Führer manifeste des visées expansionnistes sur la Pologne.

Les institutions de la France combattante

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Le général de Gaulle et d'autres membres du Comité national français (CNF) à Londres. Photographie prise lors du garde à vous national ordonné par de Gaulle en l'honneur des soldats français fusillés, en octobre 1941. Autour du général de Gaulle : M. Schu

Les enjeux institutionnels de la France libre

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Séance inaugurale de l’Assemblée consultative provisoire (3 novembre 1943). Copyright Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne)

Les batailles d'Artois 1914-1918

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Soldats britanniques et canadiens à Arras, printemps 1918. © ECPAD

Septembre 1914 : après la bataille de la Marne, gigantesques combats menés victorieusement de l'Ourcq à la Meuse par les Alliés, les belligérants, en tentant des opérations de débordements réciproques, entament vers le nord, à travers les départements de l'Oise, de la Somme, du Pas-de-Calais et par la Belgique, une "course à la mer". Seule l'arrivée de leurs forces sur l'Yser et le littoral belge met un terme aux enveloppements par les ailes où chacun redoutait d'être attaqué à revers.