Les opérations extérieures (OPEX)

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Crédits photos : ©Ecpad

Les opérations extérieures

 

Après une période qui a vu coexister deux grands cycles commémoratifs (Centenaire de la Grande Guerre et 70e anniversaire de la Seconde Guerre mondiale), l’année 2017 est une année importante pour poser les bases d’une construction de la mémoire des soldats en opérations extérieures...

La Waffen-SS

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Deux soldats de la Waffen SS, été 1944, en France. Copyright Archives allemandes

Selbstschutzpolizei : des collabos dans la police

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Début janvier 1944, les Allemands portent au pouvoir, à Vichy, Joseph Darnand, le chef de la Milice, qui devient secrétaire général au maintien de l’ordre. Alors que le débarquement allié n’est plus qu’une question de temps, que Pétain n’a plus la confiance de l’occupant, l’heure est à la radicalisation avec cette nomination d’un "ultra" de la collaboration.

Des archives du BCRA au Livre blanc

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Daniel Cordier. © Musée de l’Ordre de la Libération

Avant même la libération du territoire national, le besoin d’expliquer et de justifier l’action du BCRA se fait sentir. Fin 1944, cette tâche est confiée à Daniel Cordier, qui s’en acquitte dans des conditions parfois rocambolesques. Aidé par Vitia et Stéphane Hessel, il réalise bientôt l’importance de son travail : rédiger le Livre blanc du Bureau central de renseignements et d’action.

L’ange gardien des V1

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Fusée A4-V2 et rampe de lancement V1. © La Coupole

Dans l’esprit d’Hitler, les "armes V" devaient inverser le cours de la guerre. La conception et les conditions d’emploi des "bombes miracles" (Wunderwaffen), d’un type révolutionnaire pour l’époque, étaient parmi les secrets les mieux gardés du Reich. Un service exceptionnel est tout entier consacré à protéger ce secret. Les services spéciaux français l’ont surnommé "l’Ange gardien" des V1. L’exploitation des archives a permis de lever le voile sur cette structure, jusqu’alors inconnue.

La Résistance en France en 1944

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Armé d'une STEN, pistolet mitrailleur britannique, un maquisard dans le Finistère. Copyright Collection particulière

La répression de la Résistance

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Résistants français fusillés par les Allemands, sans date. © SHD

La répression de la Résistance a été particulièrement efficace. Son bilan peut être mesuré à travers le nombre d’arrestations, de déportations ou d’exécutions. Les archives du Service historique de la défense aident à en comprendre la logique et à identifier les différents acteurs. Elles apportent un éclairage nouveau sur cette question en faisant la part belle aux organismes et aux hommes chargés de cette mission répressive. Ainsi, transparaissent dans les dossiers de l’Abwehr et de la SIPO-SD saisis à la fin de la guerre des techniques de pénétration d’organisations de résistance : on apprend beaucoup sur l’emploi des agents doubles et le rôle qu’ils ont pu jouer. Les archives allemandes conservées par le SHD font également état des jugements rendus par les tribunaux militaires allemands sur le territoire national, complétant ainsi la connaissance du système judiciaire de l’occupant.

Les Polonais en France 1939-1945

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Le bataillon polonais lors de la célébration de la libération de la ville par la 1re DMI, hospices de Beaune, septembre 1944. © ECPAD/Auclaire

La Sipo-SD

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Mai 1944, des maisons en feu lors d'une opération militaro-policière allemande contre la Résistance. Copyright Archives allemandes

Les milices des mouvements collaborationnistes

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Palais de Chaillot, 26 septembre 1943. Rassemblement de miliciens, de miliciennes et de membres du RNP et des JNP.