La Wehrmacht, instrument de la répression de la Résistance en France

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Chasseur parachutiste allemand au combat en Normandie, juin 1944. Copyright Archives allemandes

1939

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Foule parisienne prenant connaissance de l'ordre de mobilisation générale, septembre 1939.
Foule parisienne prenant connaissance de l'ordre de mobilisation générale, septembre 1939. © ECPAD

En 1938, la guerre paraît imminente quand l'Allemagne annexe l'Autriche et revendique une partie de la Tchécoslovaquie. La signature, par le Président du Conseil français Édouard Daladier et le Premier ministre britannique Neville Chamberlain, des accords de Munich qui donnent satisfaction à Hitler, en recule l'échéance. La crainte ressurgit lorsque les troupes allemandes entrent à Prague le 15 mars 1939 et que le Führer manifeste des visées expansionnistes sur la Pologne.

Les batailles d'Artois 1914-1918

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Soldats britanniques et canadiens à Arras, printemps 1918. © ECPAD

Septembre 1914 : après la bataille de la Marne, gigantesques combats menés victorieusement de l'Ourcq à la Meuse par les Alliés, les belligérants, en tentant des opérations de débordements réciproques, entament vers le nord, à travers les départements de l'Oise, de la Somme, du Pas-de-Calais et par la Belgique, une "course à la mer". Seule l'arrivée de leurs forces sur l'Yser et le littoral belge met un terme aux enveloppements par les ailes où chacun redoutait d'être attaqué à revers.

Les Italiens en France 1914-1918

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Les unités italiennes du général Albricci traversent le village de Lhuître, dans l’Aube, pour monter au front, 23 avril 1918.
Les unités italiennes du général Albricci traversent le village de Lhuître, dans l’Aube, pour monter au front, 23 avril 1918.

Les Tchécoslovaques en France 1914-1918

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Remise du drapeau aux combattants tchécoslovaques du front français, France, 1917. Source IMS

Les Belges en France 1914-1918

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Les premières lignes belges sur l'Yser. Un abri de mitrailleurs devant Kaaskerke, Belgique, septembre 1916. © ECPAD

Vers le Rhin

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Foule devant l'hôtel de ville d'Autun tout juste libéré par les troupes de la 1re division de marche d'infanterie et les forces françaises de l'intérieur.
Foule devant l'hôtel de ville d'Autun tout juste libéré par les troupes de la 1re division de marche d'infanterie et les forces françaises de l'intérieur. © ECPAD/Auclaire

Fin août 1944 : débarquée à partir du 15 août en Provence, au sein de la 7e armée américaine que commande le général Patch, l'armée B du général de Lattre de Tassigny a libéré cette région et remonté la vallée du Rhône aux côtés des Américains, à la poursuite de la XIXe armée allemande en retraite, qui subit un désastre près de Montélimar.

 

Autour de l’abbé Blanc : l’infiltration d’un réseau

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L’abbé Blanc, né le 21 juin 1903 à Maillane (Bouches-du-Rhône), ancien vicaire de Sorgues en Vaucluse et de la Capelette à Marseille, a réussi à rassembler, au début de l’année 1943, une petite équipe composite de résistants. Les documents des services spéciaux relatifs à l'affaire Blanc illustrent d'une manière très précise les méthodes d'infiltration, d'enquête, puis le processus répressif en œuvre contre la Résistance.

Alias Bäumchen : les informateurs de l’Abwehr

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Fiche d’identification à l’Abwehr de Jean-Paul Dubois alias Bäumchen, sans date. © SHD

Dans les archives des services spéciaux figurent des documents découverts par les troupes d’occupation en Allemagne, après la fin de la guerre. Parmi ceux-ci se trouvent plusieurs centaines de dossiers individuels au nom de Français, hommes et femmes, civils et militaires, établis par la section III F de l’Abwehr de Paris. Ces agents l’aidaient à surveiller et à pénétrer les organisations de résistance et les services spéciaux adverses. Ils sont communément appelés V-Mann (Vertrauensmann) ou "hommes de confiance".

Hans Sommer, du SD à la Stasi

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Photo anthropométrique d’Hans Sommer. © SHD

Le parcours d’Hans Sommer, de la SS à la Stasi, en passant par l’armée allemande et le SD, rappelle une évidence : les agents allemands étaient très bien formés. Authentiques professionnels du renseignement, certains ont recyclé leur savoir-faire après-guerre auprès d’agences de renseignement, toujours à la recherche de "talents" à exploiter.