1918 : la deuxième bataille de la Marne (27 mai - 6 août)

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Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans.
Le mémorial des batailles de la Marne. Dormans. Source : GNU Free Documentation License

Après la paix de Brest-Litovsk, le 3 mars 1918, l'Allemagne s'empresse de transférer ses troupes de la Russie vers la France. Disposant alors d'une supériorité numérique sur ses adversaires britanniques, français et belges, elle doit, si elle veut remporter la Victoire, lancer une série d'offensives avant l'arrivée en force des Américains sur le front.

La résistance en Corrèze et en Creuse

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Photographie de résistants armés du maquis de Neuvic, hiver 1943-1944
Photographie de résistants armés du maquis de Neuvic, hiver 1943-1944 © Musée départemental de la Résistance à Neuvic

 

Le mouvement Combat est implanté en Haute-Corrèze.

La Résistance et les réseaux

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Saboteur en action.
Saboteur en action.©MINDEF/SGA/DMPA

 

Ils côtoient la mort pour renseigner Londres, pour faire évader des prisonniers, pour rapatrier des pilotes, pour organiser des sabotages... Ils appartiennent à un réseau.

 

La période Vauban

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Vauban
Monument de Vauban, Les Invalides, Paris. Photo Michel Wal. GNU Free Documentation License.

De la plaine des Flandres aux monts du Jura, de la porte de Bourgogne au cap d'Antibes, courrait jadis une frontière, rattachant à la couronne des rois de France les nouvelles provinces conquises à l'Est par les armées de Louis XIV, le Roi Soleil.

Durant les trois siècles qui suivirent ce rattachement, des générations d'ingénieurs militaires rivalisèrent d'imagination pour concevoir et réaliser, le long de cette frontière, une succession de défenses de pierre, de béton et d'acier garantissant l'inviolabilité de ces nouvelles "marches" du territoire de France.

Commissaire général aux fortifications, puis maréchal de France, Vauban est le plus célèbre d'entre eux. Il est incontestablement le maître à penser de tous les architectes militaires qui lui ont succédé et dont les oeuvres architecturales ornent encore beaucoup de nos paysages.

L'invasion

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Parade des troupes allemandes à Paris, en juin 1940.
Parade des troupes allemandes à Paris, en juin 1940. Source : Heinz Fremke, Deutsches Bundesarchiv

Le 10 mai l'armée allemande lance son offensive générale sur le front Ouest. Elle semble reprendre son plan de 1914, modernisé, en un mouvement plus ample qui inclut l'invasion des Pays-Bas.

La Victoire... et ensuite ?

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Le maréchal Foch, Georges Clemenceau, David Lloyd George, Vittorio Emanuele Orlando<br>et le baron Sonnino sont réunis à Londres, le 7 décembre 1918,<br>pour préparer la future Conférence sur la paix.
Le maréchal Foch, Georges Clemenceau, David Lloyd George, Vittorio Emanuele Orlando
et le baron Sonnino sont réunis à Londres, le 7 décembre 1918,
pour préparer la future Conférence sur la paix. Source Droits réservés.

 

La Victoire... et ensuite ?

 

Entre le 17 et le 22 novembre, les troupes françaises font leur entrée à Mulhouse, Metz et Strasbourg. Le 1er décembre, les Alliés entrent en territoire allemand et le 9 les Français occupent Mayence. Cette avance victorieuse, au son de la musique militaire, au rythme des cérémonies, des proclamations des généraux et sous les acclamations des populations libérées ne masque pas le lourd bilan de la guerre.

 

 

La Victoire écrite par les Poilus. Source : carte postale. Collection privée

 

L'Australie et la Nouvelle-Zélande dans la Grande Guerre

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Crédit : www.somme.fr - © Garry

Dès le début des hostilités en août 1914, comme l'ensemble de l'Empire britannique, l'Australie et la Nouvelle-Zélande s'engagent aux côtés de la Grande-Bretagne. Aujourd'hui, dans nombre de communes de la Somme et du Nord, les habitants transmettent le souvenir de ces soldats venus du bout du monde défendre la liberté.

Crédit : www.somme.fr - © Garry

Camp d'internement de Saint Pol

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Les Saint-Polois ne retrouvèrent leurs foyers qu'à la fin d'avril 1945
Les Saint-Polois ne retrouvèrent leurs foyers qu'à la fin d'avril 1945. Photo du "Phare Dunkerquois"

Prisonniers chez eux...

Alors que la France était libérée, le camp d'internement de St-Pol retenait ceux qui ne voulaient pas partir. Septembre 1944 : le Nord se libère, l'étau se resserre autour des Allemands qui s'enferment dans la poche de Dunkerque, emprisonnant pas moins de 12.000 Allemands et 25.000 civils. Une trêve est conclue les 4 et 5 octobre afin d'évacuer presque tous les civils car quelques réfractaires, qualifiés de " bouches inutiles ", refusent de partir. Pour mieux les contrôler (et mettre main basse sur leurs vivres), les occupants créent quatre camps d'internement le 14 février 1945 à Coudekerque-Branche, Malo, Rosendaël et Saint-Pol.

14 juillet 1945

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Défilé du 14 juillet 1945 à Paris. Vue aérienne de la place de la Bastille. ©ecpa>d

De l’Arc de triomphe à la place de la Nation en passant par la place de la Bastille où est installée la tribune officielle, la foule s’est massée sur le parcours du défilé tandis que la capitale s’est parée de drapeaux tricolores. La célébration de la fête nationale, dans une Europe en paix et un territoire libéré, renoue, après six années d'interruption.

Août 1944 - La 2ème DB en Normandie

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M4 Sherman du 12e régiment de chasseurs d'Afrique de la 2e DB débarquant d'un Landing Ship Tank en Normandie en août 1944.

Débarqués sur les côtes normandes le 6 juin 1944, les Alliés luttent avec acharnement jusqu'au 30 juillet, autour de Saint-Lô et de Caen, afin d'élargir leur tête de pont et effectuer une percée victorieuse.