16 juillet

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1957 Commémoration. ©Mémorial de la Shoah
1957 Commémoration. ©Mémorial de la Shoah

Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes » de France

Drôle de guerre

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©Photographe inconnu / SCA / ECPAD / 1940

Saluons les JO de Pyeong Chang et ses sports d’hiver avec cette photographie de course de ski de randonnée dans le Jura, datée de l’extrême fin de l’hiver 1939-1940, hiver aux températures très rudes.

La bataille de Penang, octobre 1914

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L’Emden à TsingTao, 1914 - © Archives Fédérales Allemandes
L’Emden à TsingTao, 1914 - © Archives Fédérales Allemandes

Le maquis du Mont-Mouchet

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Sur le plateau du Mont-Mouchet, le monument commémoratif érigé près d'une ferme détruite par les combats de juin 1944. Copyright collection particulière.

La bataille de la Somme

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Soldats britanniques franchissant une tranchée. © SHD

L'offensive alliée sur la Somme avait pour objectif de rompre le front allemand en Picardie. Entre juillet et novembre 1916, les combats opposèrent des soldats d'une vingtaine de nations. Tous belligérants confondus, cette bataille fit 1 200 000 morts, blessés et disparus. La Somme est ainsi un lieu de mémoire pour de nombreux peuples.

La croix de la Valeur Militaire ; depuis 60 ans, la marque du courage

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Coussin de cérémonie portant des médailles. © P. Hilaire/Armée de Terre
Coussin de cérémonie portant des médailles. © P. Hilaire/Armée de Terre

En 1915, devant l’ampleur des actes de bravoure ne pouvant tous être récompensés par la Légion d’Honneur ou la Médaille Militaire, il est décidé d’instituer une décoration spécifique, qui recevra le nom de Croix de Guerre, même s’il a été alors envisagé de la nommer « médaille de la valeur militaire »...

Cette Croix sera ensuite attribuée aux combattants pour les théâtres d’opérations extérieurs (TOE) puis pour la seconde guerre mondiale.

L’internement des Tsiganes en France pendant la Seconde Guerre mondiale

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Camp d'internement de Poitiers dit camp de la route de Limoges.
Camp d'internement de Montreuil-Bellay, 1944. Collection Jacques Sigot

Les médailles commémoratives françaises

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Le second Empire : Crimée, Sainte Hélène, Baltique, Italie, Chine, Mexique et guerre 1870/1871.

Il semble naturel aujourd’hui que la participation à un conflit ou à une campagne soit marquée par le port d’une médaille commémorative. Pourtant, il s’agit d’une habitude relativement récente.

De la Médaille Coloniale à la Médaille d’Outre-Mer, 186 ans d’opérations !

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La médaille d'Outre-mer. © Collection particulière
La médaille d'Outre-mer. © Collection particulière

La France au Liban

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Tireur d’élite à son poste de surveillance au poste Drakkar. © FX. Roch & P. Bideault/ECPAD
Tireur d’élite à son poste de surveillance au poste Drakkar. © FX. Roch & P. Bideault/ECPAD

Structure civile et militaire mise en place par les Nations unies pour restaurer la paix et la stabilité au Liban, la force intérimaire des Nations unies pour le Liban (FINUL) est créée en 1978 et voit ses missions redéfinies en 2006.

 

1963 › 2011 : 50 ans d’opérations extérieures (OPEX)

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De gauche à droite : Opération
De gauche à droite : Opération "Oryx" en Somalie. © D. Viola/ECPAD. Opération "Atalante". © DR/ECPAD. Opération "Harmattan". © JF. D’Arcangues/ECPAD

De 1963 à nos jours, des dizaines d’opérations extérieures ont été conduites, auxquelles des militaires de toutes les armées, directions et services, ont participé : armée de Terre, armée de l’Air, Marine nationale, directions et services interarmées, et gendarmerie nationale. À travers le récit de certaines opérations militaires de ces dernières décennies et des raisons qui ont conduit la France à s’engager sur ces théâtres extérieurs, il est possible aujourd’hui d’écrire une véritable histoire des Opex.

 

La France dans les Balkans

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Un casque bleu assure la protection des piétons sur un pont, Sarajevo, 1995. © V. Begon/ECPAD
Un casque bleu assure la protection des piétons sur un pont, Sarajevo, 1995. © V. Begon/ECPAD

En 1992, les armées françaises s’engagent sur un théâtre d’opération se situant à une heure et demie d’avion de la métropole. La poudrière des Balkans de 1914 revient sur le devant de la scène et la communauté internationale décide alors d’agir. Les opérations successives vont donner naissance à une "génération Balkans", tout particulièrement dans les rangs de l’armée de Terre.

 

La France dans la guerre du Golfe

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Division "Daguet", Irak, février 1991. © Y. Le Jamtel & M. Riehl/ECPAD

En novembre 1989, la chute du mur de Berlin met fin à près de 40 ans de guerre froide. Pour autant, la situation internationale n’est pas stabilisée et des conflits interétatiques persistent, déclenchant la mobilisation de la communauté internationale. Les armées françaises connaissent alors une multitude d’engagements opérationnels qu’inaugure la « première guerre du Golfe » en 1991.

 

La France en Afghanistan

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Afghanistan, 2009. © S. Dupont/ECPAD
Afghanistan, 2009. © S. Dupont/ECPAD

L’attaque des tours jumelles du World Trade Center le 11 septembre 2001 porte les regards de la communauté internationale sur l’Afghanistan, pays marqué par une succession de guerres violentes. En effet, c’est là que les États-Unis ont localisé le chef d’Al-Qaïda, Ben Laden, à qui le régime des talibans offre la protection.

 

L’escadrille La Fayette

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L'année 1991 ou l'entrée dans un « entre-deux » stratégique

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Quatre Mirage 2000 de l'armée de l'air s'apprêtent à décoller sur la base aérienne d'Al Ahsa, Arabie saoudite, 25-31 déc. 1990. © ECPAD/Yann Le Jamtel
Quatre Mirage 2000 de l'armée de l'air s'apprêtent à décoller sur la base aérienne d'Al Ahsa, Arabie saoudite, 25-31 déc. 1990. © Yann Le Jamtel/ECPAD

Il y a 20 ans, le 16 janvier 1991 commençaient les opérations militaires aériennes relatives à la guerre du Golfe. L'offensive terrestre se déroula ensuite en quatre jours du 24 au 27 février 1991.

Selbstschutzpolizei : des collabos dans la police

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Ausweis d'un membre de la Selbstschutzpolizei, 1944. © SHD
Ausweis d'un membre de la Selbstschutzpolizei, 1944. © SHD

Début janvier 1944, les Allemands portent au pouvoir, à Vichy, Joseph Darnand, le chef de la Milice, qui devient secrétaire général au maintien de l’ordre. Alors que le débarquement allié n’est plus qu’une question de temps, que Pétain n’a plus la confiance de l’occupant, l’heure est à la radicalisation avec cette nomination d’un "ultra" de la collaboration.

Les fichiers de la Légion des volontaires français et de la Légion tricolore

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En juin 1941, après le déclenchement de l’opération Barbarossa (22 juin 1941), les partis collaborationnistes réclament d’être associés à la « croisade contre le bolchevisme » en URSS. Dans ce but, la Légion des volontaires français (LVF) est créée le 6 juillet 1941. Environ 6 000 Français combattront sous uniforme allemand après s’être engagés dans cette organisation. Les archives des services spéciaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de cette structure.

Jean-Louis Crémieux-Brilhac, itinéraire d’un engagement

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Portrait de Jean-Louis Crémieux-Brilhac. © SHD
Extrait de l'attestation d'appartenance aux forces françaises combattantes (FFC) mentionnant l'identité et le lieu de naissance de Jean-Louis Crémieux-Brilhac.

Dans une série d’entretiens accordés au Service historique de l’armée en 1998 et 1999, Jean-Louis Crémieux-Brilhac retraçait son parcours, depuis sa mobilisation jusqu’à son engagement dans les Forces françaises libres, à Londres, puis son action au sein du Commissariat national à l’Intérieur. Son témoignage éclaire la genèse de l’engagement d’un jeune homme, étudiant en histoire, que la déclaration de guerre de septembre 1939 ne surprit pas.

Daniel Cordier : « le chapeau vert est toujours vert »

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Ordre de mission de l’aspirant Daniel Cordier, 24 juin 1942. © SHD

Pour un Français libre, rejoindre les rangs du Bureau central de renseignements et d’action, c’est donner la priorité à l’action clandestine en France. Les ordres de missions témoignent de la diversité des formes que cette action a revêtue. Les archives des services spéciaux conservées par le Service historique de la défense réservent encore des surprises, même pour Daniel Cordier, qui s’est pourtant acquis, dès les années 1980, une réputation méritée de découvreur d’archives.