Historial Charles de Gaulle

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La salle multi-écrans. Source : Historial Charles de Gaulle

Ni mémorial, ni musée, l'Historial est un lieu de savoir d'avant-garde privilégiant l'image, sous toutes ses formes, à travers des dispositifs interactifs.


Consulter l'offre pédagogique de l'historial >>>  historial de Gaulle


Le 22 février 2008, le président de la République a inauguré l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides.

Ce "monument audiovisuel" est un lieu de savoir d'avant-garde avec un parti pris muséographique fort : privilégier l'image et le son pour retracer l'itinéraire d'un homme qui a mêlé son destin à celui de la France.

Sur près de 2 500 m2, l'Historial, véritable "architecture audiovisuelle", a pour objectif de transmettre une histoire et une mémoire, celles du général de Gaulle. Réalisé par les architectes Alain Moatti et Henri Rivière, l'Historial est installé dans un écrin de béton invisible en surface sous la cour de la Valeur de l'Hôtel national des Invalides.

Ici, l'objet est totalement absent, tout est image, fixe et animée. L'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD) a d'ailleurs fourni plus de trente minutes de films d'archives, mettant exceptionnellement les éléments originaux à la disposition de la société de production pour qu'elle puisse faire des copies haute-définition.

Conduite par le musée de l'armée, maître d'ouvrage, en liaison étroite avec la Fondation Charles de Gaulle, cette réalisation s'inscrit dans le vaste programme de modernisation du musée.

Accueilli par une mosaïque de quatre-vingts portraits de Charles de Gaulle, le visiteur pénètre ensuite au cœur du monument, ancré dans le sol par une coupole inversée en bois. Cette structure autoportante abrite une vaste salle sphérique de 200 places, où cinq écrans diffusent un film d'archives biographique, en huit langues, d'une durée de vingt-cinq minutes. Réalisé par Olivier Brunet avec un commentaire écrit par Maurice Druon lu par le comédien Francis Huster, ce film invite à la découverte du personnage et de son action, replacés dans le contexte historique.

Tout autour de cette salle multimédia, s'organise l'exposition permanente partagée en deux espaces : l'anneau de l'histoire et les alcôves. L'anneau est un lieu de déambulation réalisé en verre courbe strié . le visiteur progresse dans un espace d'images et de sons qui évoque les grandes heures du XXe siècle, depuis la Belle Époque jusqu'au premier homme sur la lune.

Les trois alcôves équipées d'outils interactifs ont pour vocation de permettre à ceux qui le souhaitent d'approfondir leurs connaissances de l'Histoire, d'en saisir la complexité et la contingence. La première est consacrée à l'homme du 18 juin . la deuxième au libérateur . la troisième au fondateur de la Ve République, de la Constitution de 1958 aux événements de mai 1968.

En outre, tout au long du parcours, l'audioguide bilingue français-anglais remis au visiteur lui permet de décrypter le contenu et le sens des images. Une salle d'exposition temporaire de 350 m² et un atelier pédagogique complètent l'ensemble. L'originalité de l'Historial est de privilégier les archives audiovisuelles et sonores, témoins d'un siècle que Charles de Gaulle a marqué de son empreinte. Le public peut progresser à l'intérieur de cet espace novateur suivant une démarche individuelle centrée sur l'interactivité. Un parcours spectacle à la fois scientifique et artistique pour découvrir l'itinéraire gaullien.

 

Historial Charles de Gaulle

Musée de l'Armée Hôtel national des Invalides - 129 rue de Grenelle - 75007 Paris

 

Musée de l'Armée

Accès
L’Historial est accessible par la Cour d’honneur-aile Orient.

Le site des Invalides est accessible
par la place Vauban (accueil sud pour les individuels),
par l’esplanade des Invalides (accueil nord pour les groupes),
accès pour le public handicapé par le 6 boulevard des Invalides

Métros : ligne 8, Latour-Maubourg,
Invalides ou ligne 13, Invalides, Varenne
RER : ligne C, Invalides
Bus : 28, 63, 69, 80, 82, 83, 87,
92, 93, Balabus
Parking : esplanade des Invalides
Taxis : boulevard de Latour-Maubourg

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Infos pratiques

Adresse

129 rue de Grenelle - 75007
Paris

Tarifs

Plein tarif 8 €Tarif réduit 6 € pour les étudiants de moins de 26 ans, les anciens combattants, les groupes du 3è âge (minimum 15 personnes de plus de 60 ans)Gratuité pour les -18 ans étudiants en histoire et histoire de l’art, militaires, handicapés et leurs accompagnateurs, chômeurs et bénéficiaires du RMI.Un billet unique donne accès à l’Historial, aux collections permanentes du musée de l’Armée, à l’Eglise du Dôme et au tombeau de Napoléon Ier, au musée des Plans-reliefs et au musée de l’Ordre de la Libération.Renseignements :N° Azur : 0810 11 33 99Librairie-Boutique RMN : 01 44 42 54 43Visiter en groupe :ATTENTION : L'architecture et les dispositifs interactifs de l'Historial de Gaulle ne permettent pas une visite en groupe. La visite s'effectue de manière autonome et individuelle à l'aide d'un audioguide multilingue. Seul le film biographique sur le général de Gaulle diffusé dans la salle mutli-écrans peut s'adresser à un groupe constitué ou une classe complète (réservation obligatoire). Informations : 0810 11 33 99 (N° Azur)Groupes scolaires :Tél. : 01 44 42 51 73jeunes-ma@invalides.org (service d'action pédagogique)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

L’Historial est ouvert du mardi au dimanche.du 1er octobre au 31 mars, de 10h à 17h,du 1er avril au 30 septembre de 10h à 18h.

Fermetures annuelles

1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.Le reste des espaces du musée de l’Armée est fermé le 1er lundi du chaque mois.

Le Grand Bunker - Musée du mur de l'Atlantique

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©Le Grand Bunker - Musée du mur de l'Atlantique

Situé à Ouistréham, le musée se trouve à l'intérieur de l'ancien quartier général allemand qui commandait les défenses de l'embouchure de l'Orne et du canal de Caen.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  grand bunker


L'architecture préservée de ce bunker, avec ses cinq étages, est unique.

C'est afin de pallier au manque de relief de la côte de Nacre que les Allemands édifièrent en 1943-1944.

cette tour de 17 mètres de hauteur, pour accroître la portée du télémètre.

De la salle de télémétrie (le télémètre mesurait à l'époque 4 m de long et avait une portée de plus de 30km), étaient déterminés les positionnements des navires ennemis.

Les informations étaient ensuite transmises à l'étage inférieur (niveau 3), où les solutions de tir étaient calculées, puis transmises aux batteries qui relevaient de ce poste de direction de tir.

Il fut rendu inopérationnel le 6 juin au matin par un coup d'une pièce de 380mm du croiseur britannique H.M.S. "Frobisher".

Mais il ne sera investi que le 9 juin par le Lieutenant Bob Orrell, faisant 53 prisonniers.

 

Le Grand Bunker - Musée du mur de l'Atlantique

Avenue du 6 juin - 14150 Ouistreham

Tél. : 02 31 97 28 69 - Fax : 02 31 96 66 05

E-mail : museegrandbunker@sfr.fr

 

Site du musée

Site du comité régional du tourisme de Normandie

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Infos pratiques

Adresse

Avenue du 6 juin - 14150
Ouistreham
02 31 97 28 69

Tarifs

Entrée : 7€Enfant de 6 à 12 ans : 5€Le Musée participe à l'opération PASS (réduction sur l'entrée de 1€)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours sans interruptionDe 10 h a 18 h du 1er février au 31 décembreDe 9 h a 19 h du 1er avril au 30 septembre

Centre de la mémoire d'Oradour

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© CMO

Le village d’Oradour-sur-Glane, à 20 kilomètres de Limoges, est connu pour porter les traces du massacre de sa population par une unité de la Waffen SS le 10 juin 1944. Le Centre de la mémoire constitue l’accès aux ruines du village martyr. Il propose aux visiteurs un parcours documenté replaçant le massacre d’Oradour dans son contexte histo­rique, avec notamment un film de 12 minutes réalisé dans les ruines, à partir des témoignages des survivants.


Consulter l'offre pédagogique du centre >>>  Oradour


Le 10 juin 1944, la population du bourg limousin d’Oradour-sur-Glane est massacrée par une troupe d’environ deux cents Waffen SS. Hommes, femmes et enfants sont passés par les armes et le feu ; le village est incendié et réduit en quelques heures à un champ de ruines. Conservé en l’état et classé monument historique, ce site témoigne des atrocités nazies et de la nécessité du souvenir, en hommage aux 643 victimes de ce crime abject.

Depuis 1999, le Centre de la mémoire d’Oradour, nouvel et unique accès aux ruines du village martyr, propose aux visiteurs du site une exposition permanente. Celle-ci, constituée de documents écrits ou audiovisuels, permet de replacer dans son contexte le drame d’Oradour, de présenter le village d’Oradour avant et pendant la guerre, d’expliquer le déroulement du massacre, d’informer le visiteur et de le faire réfléchir sur les questions de la justice et de la mémoire. Des expositions temporaires complètent ce parcours : elles permettent de varier les approches et de faire le lien avec l’histoire et la mémoire d’autres conflits contemporains, d’autres violences faites aux civils.

Une galerie composée des visages des victimes, imprimés sur des plaques de porcelaine, accompagne le visiteur dans le couloir menant aux ruines. Elle lui permet de découvrir que derrière le nombre très important de victimes, 643, il y a autant de visages, de personnes, de vies, de destins.

Espace de citoyenneté au message universel, le centre développe de nombreuses actions pédagogiques, scientifiques et culturelles. Une programmation saisonnière de conférences, représentations théâtrales ou musicales inscrit le Centre de la mémoire d’Oradour parmi les acteurs culturels locaux et nationaux.

Doté d’un centre de documentation très riche en publications et conservant également des archives privées, le Centre de la mémoire est un outil pédagogique. Il dispose de salles d’accueil pour les scolaires et d’un service éducatif leur proposant de nombreuses activités.

Le Centre de la mémoire est le lien nécessaire entre l’histoire d’Oradour, les victimes du drame du 10 juin 1944, leurs familles et les citoyens de demain.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

L'auze 87520
Oradour-sur-Glane
05 55 43 04 30

Tarifs

Tarifs exposition permanente : tarif individuel : 7,80€ - Forfait famille (2 adultes + 2 enfants ou plus) : 22€ - Tarif réduit : 5,20€ / Accès au village martyr libre et gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Le Centre de la mémoire est ouvert 7 jours sur 7, du 15 janvier au 15 décembre inclus / Ouverture à 9h, fermeture entre 17h et 19h selon la saison : https://www.oradour.org/horaires

Fermetures annuelles

Du 16 décembre au 14 janvier

Site Web : www.oradour.org

Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation

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Une des salles du Musée. ©Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation

Haut lieu de mémoire régionale ouvert depuis le 18 avril 1994.

Sur une superficie de 134 m2, les membres de l'AMRID (Amis du Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation), travaillent à informer, documenter et "passer le flambeau de la mémoire aux plus jeunes".

Le fonds muséographique est constitué de 3000 pièces présentées dans un parcours thématique et chronologique au cours duquel 1500 photographies ou reproductions relatent les faits de la montée du nazisme à la Libération, le pétainisme, la collaboration, la Résistance, la Déportation etc.

Armes, objets réalisés dans les camps, tenues de déportés et maquisards, portraits des chefs régionaux de la Résistance, ajoutent au réalisme de la présentation.

Le musée compte également une bibliothèque de près de 600 ouvrages et une vidéothèque de plus de 100 cassettes.

Depuis 1996 un concours réservé aux enfants scolarisés dans les écoles de Clermont-Communauté permet d'entretenir le lien des jeunes générations avec leur histoire.
 

 

Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation de Clermont Communauté

7 place de Beaulieu - 63400 Chamalières

Tél/Fax : 04 73 31 28 42

Courriel : muse.resist63@wanadoo.fr

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Infos pratiques

Adresse

7 place de Beaulieu - 63400
Chamalières
04 73 31 28 42

Tarifs

Adultes 3€, enfants de plusde 8 ans et étudiants 2€.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au samedi de 9h à 12het de 14h à 17h30.

Fort Rapp-Moltke

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Le Fort Rapp-Moltke. Source : http://julienviel.hautetfort.com/culture/

Le fort Rapp-Moltke inauguré le 26 septembre 1874, fait partie de la ceinture fortifiée de Strasbourg.

La rapidité de la chute de Strasbourg, le 28 septembre 1870, après un siège de 46 jours, incita le Grand Etat-Major allemand, sous la direction des généraux von Moltke et von Kameke, à élaborer un plan de défense des frontières ouest de l'Empire qui devait transformer les villes de Cologne, Metz, Thionville et Strasbourg en camp retranché, protégeant leur périphérie par une ceinture de forts avancés.

La ceinture fortifiée de Strasbourg

Strasbourg est ainsi dotée d'une ceinture d'ouvrages détachés, semi-enterrés, puissamment fortifiés et armés, ceci même avant la construction de la nouvelle ligne de fortification urbaine qui débutera en 1876 après la mise en service des premiers forts. Les travaux commencent en 1872, sous la direction des officiers du génie Hauptmann Stephan (Fort de Rapp) et Volkmann (côté du Rhin au Nord-Est pour passer sur la rive de Kehl par le Sud-Est).

Le fort de Reichstett (Moltke) est inauguré le 26 septembre 1874. Onze ouvrages sont ainsi réalisés en Alsace sur près de 35 km de pourtour et 3 ouvrages autour de Kehl (Allemagne) sur 18 km de pourtour. La ligne comprend des forts à fossés secs et humides. La maçonnerie, en pierre de taille de grès des Vosges et de briques fabriquées à Rust (Allemagne) et Achenheim (Alsace), inscrit ce patrimoine dans le style néo-prussien. Deux à trois mille ouvriers sont employés, dont des maçons italiens.

Le Fort Rapp-Moltke

La position est située sur 4,5 hectares et se compose de quelque 220 salles et locaux divers.

L'ouvrage se compose de :

  • une entrée avec place d'armes, corps de garde et grande poudrière ainsi que d'un logement du gardien en temps de paix .
  • un fossé sec faisant le pourtour et muni d'un chemin couvert, complété d'un réseau de fils barbelés .
  • une caserne de gorge de deux étages, abritant les logements de la troupe et services ( P.C., cuisine, boulangerie, infirmerie, chambrées, sanitaires, etc. ), et équipée d'un système de défense du fossé par flanquement .
  • une entrée dans l'ouvrage avec grille, pont-levis et porte blindée .
  • un couloir central appelé "grande traverse", conduisant aux casemates .
  • des casemates composées de salles d'alerte, poudrières, laboratoires d'assemblage des munitions, monte-charge pour l'approvisionnement en munitions des positions d'artillerie sur le dessus de l'ouvrage .
  • des parapets de tête et de flancs, sur le dessus, réservés aux pièces d'artilleries.

Les positions étaient protégées par :

  • des abris dénommés "traverses abris" .
  • une tourelle d'observation blindée facilitait la surveillance du front .
  • une caponnière double, au-delà du fossé de tête, transformée après 1885 en coffre de tête, est implantée dans la contre-escarpe avec un système de contre-mines et d'écoute complétant la défense frontale .
  • des batteries annexes à droite et à gauche.

Chaque fort est défendu par 18 canons de 90 à 150 mm (voire 210) en position de tir . 18 pièces en réserve dans les cours intérieures (canons et mortiers). La défense rapprochée du fort était assurée par des canons de 90 à 120 mm remplacés plus tard par des canons revolver Hotchkiss de 37 mm et des mitrailleuses à tir rapide de 53 mm.

Le fort peut accueillir 800 hommes (fantassins, pionniers, artilleurs et hommes de garde) commandés par 15 officiers.

Evolution du système

En 1885, la découverte de la mélinite et la fabrication de l'obus torpille déclenche une profonde crise en matière de constructions militaires. L'état-major décide de sortir l'artillerie à l'extérieur pour former les batteries annexes, de renforcer le dessus des ouvrages par l'application de "béton" dit "spécial" et de blocs de granit, d'équiper certaines fenêtres de la caserne en poste de tir, de modifier la double caponnière de tête en coffre frontal, mieux protégé et équipé de canons revolver, d'équiper les murs des contrescarpes de grilles métalliques et aménager l'entrée par le fossé, d'installer des portes anti-souffle à certains accès, de renforcer la défense du fort par la mise en place de 2 pièces de marine défense de côte de 150 mm sur rails.

Dès 1890, des ouvrages intermédiaires sont construits entre les forts pour boucher les intervalles et, parmi ces constructions, des ouvrages d'infanterie, d'artillerie et de munitions vinrent compléter le dispositif. A cette date, la Place de Strasbourg perdit son importance stratégique, en raison de la réalisation de la citadelle de Mutzig (1893 à 1914) pouvant abriter 6 500 hommes avec artillerie sous tourelles ou boucliers blindés.

Entre 1914 et 1918, le fort est utilisé comme dépôt de munitions et de matériels puis de camp de prisonniers russes et italiens. L'Alsace-Lorraine redevenue française à l'issu du Traité de Versailles, le site est intégré dans Ligne Maginot, en tant que base arrière pour le 226e Régiment d'Infanterie de Strasbourg et de centre de repos pour les troupes de forteresses basées dans les ouvrages de la ligne Maginot, le long du Rhin. Des pièces de marine sont ajoutées sur le dessus de l'ouvrage vers 1937.

L'ouvrage intermédiaire Ney-Rapp, occupé par le 155e Régiment d'Artillerie de Forteresse, est endommagé par une explosion en juin 1940. De 1940 à 1944, l'armée allemande utilise la place comme dépôt. Elle est occupée par les FFI et la 1ère Armée française et américaine à la Libération. De 1946 à 1968, le fort sert de dépôt de munitions.

Alors déclassé, le site est attribué au Ministère de l'Intérieur - Service de la Protection Civile. En 1993, l'Association des Amis du Fort Rapp est chargée de sauver, préserver et mettre en valeur cet ouvrage. Après trois années de travail, elle peut ouvrir le fort au public.

 

Renseignements pratiques :


Fort Rapp-Moltke

Rue de Lorraine 67116 Reichstett

Contact : mjg.schuler@evc.net

 

Tourisme 67

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Rue de Lorraine 67116
Reichstett

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites guidées d'avril à septembre. Tous les jeudis à 15h ainsi que les 2e et 4e dimanches du mois à 14h,15h et 16h30

Musée franco-américain du Château de Blérancourt

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Château de Blérancourt. Copyright Marc Poirier

Le musée franco-américain de Blérancourt est un musée d’art et d’histoire. Ses collections rendent compte de la richesse et de l'ancienneté des relations entre la France et les États-Unis du point de vue historique, culturel et artistique, du XVIIème siècle à nos jours.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Morgan


Le musée franco-américain du château de Blérancourt, unique musée consacré à des relations entre deux pays, et plus spécifiquement à la France et aux Etats-Unis d’Amérique, est situé à 120 km au nord de Paris et à 15 km de la gare de Noyon.

Construit en 1612 sur les plans du célèbre architecte Salomon de Brosse, le Château de Blérancourt fut la demeure de la riche famille des Potiers de Gesvres, avant démantelement pendant la Révolution. En ruines à la fin du19ème siècle, il est confié en 1917 par l’Armée française à Anne Morgan, fille du fameux banquier et collectionneur américain John-Pierpont Morgan. A la tête d’une association d’aide aux populations des régions sinistrées par la guerre, le Comité pour les Régions Dévastées, elle poursuit jusqu’en 1924 son action humanitaire et participe à la reconstruction de la région Picardie grâce aux missions suivantes : service d’infirmières-visiteuses, ravitaillement, aide à la lecture publique, foyers et jardins d’enfants, scoutisme, sports et fêtes. Grâce à,un parc automobile de Ford-T, les volontaires peuvent ainsi desservir 130 villages à partir de 5 centres établis à Blérancourt, Coucy-le-château, Anizy, Vic-sur-Aisne et Soissons. Au plus près des populations sinistrées, elles participent activement à une reconstruction morale et sociale et apportent la joie de vivre dans une région détruite à 90 % lors du conflit mondial.

Au lendemain de la guerre, Anne Morgan rachète le château (1919), fait restaurer en 1924 les deux pavillons d'angle pour y installer le musée de la coopération franco-américaine, puis en 1930 l'aile nord du Château, suivie par l'aile sud en 1938.

A l’origine dédié à la participation française à la guerre d’Indépendance et surtout à l’aide américaine durant la Première Guerre mondiale, le projet culturel du musée s’est ensuite étendu aux relations artistiques franco-américaines, présentées dans le pavillon Gould construit en 1989 par les architectes Yves Lion et Alan Lewitt.

Le musée fait actuellement l’objet d’un chantier de complète rénovation afin d’augmenter la surface d’exposition et de valoriser les vestiges archéologiques majeurs (maison-forte médiévale) découverts pendant les fouilles réalisées avant travaux.

Réouverture du musée franco-américain de Blérancourt après complète rénovation, automne 2017.

 

Visites et ateliers pédagogiques :

https://museefrancoamericain.fr/activites-pedagogiques

 

  • Centre de documentation et contact(s)

Bibliothèque franco-américaine : La bibliothèque franco-américaine est consacrée aux relations entre la France et les États-Unis. Située dans le cadre exceptionnel d'un pavillon du XVIIe siècle, elle comprend plus de 6 000 ouvrages.

  • Ouverte aux lecteurs sur simple demande écrite.
  • Service pédagogique et contact(s)

Catherine Assous Tél : 03 23 39 14 72 mail : catherine.assous@culture.gouv.fr

  • Visite gratuite : Uniquement lors des événements nationaux

https://www.coordonnees-gps.fr/communes/blerancourt/2093

 

Sources : ©Musée franco-américain du Château de Blérancourt
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Infos pratiques

Adresse

Place du Général Leclerc 02300
Blérancourt
03 23 39 14 71

Tarifs

Tarifs d’entréeMusée partiellement fermé, réouverture complète prévue en 2016, tarifs susceptibles d’être modifiés après complète réouverture.Musée actuellement partiellement ouvert :Pavillon Anne Morgan : 2,50 € (tarif unique)Jardins du nouveau monde: accès gratuit des jardins toute l’année de 8h00 à 19h00.Groupes uniquement sur réservations : Contacter Catherine Assous Tél : 03 23 39 14 72 mail : catherine.assous@culture.gouv.fr

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Musée fermé/ partiellement ouvert pendant la rénovation. La réouverture complète est prévue en octobre 2016.Boutique et accueil ouverts tous les jours sauf le mardi de 10h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 Pavillon Anne Morgan : ouverture tous les jours sauf le mardi de 14h00 à 18h00 - Groupes sur réservation, renseignements au 03 23 39 14 72Bibliothèque franco-américaine : ouverte aux lecteurs sur simple demande écrite.Parc - domaine du château : Les jardins du nouveau monde sont ouverts tous les jours de 8h00 à 19h00

Fermetures annuelles

fermé les 1er janvier, 1er mai, 25 décembre

Centre Jean Moulin

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Centre national Jean Moulin. © F. Encuentra /CNJM Bordeaux

Centre de documentation et Musée de la Deuxième Guerre Mondiale, le Centre National Jean Moulin présente sur trois niveaux des collections consacrées à la Résistance, la Déportation et les Forces Françaises Libres.

Créé en 1967, à l'instigation de Monsieur Jacques Chaban-Delmas, Compagnon de la Libération, Délégué Militaire National du Général de Gaulle en France occupée, le Centre National Jean Moulin est installé dans les locaux de l'ancienne Caisse d'Epargne de Bordeaux, immeuble édifié au milieu du XIXème siècle.

Jean Moulin

Né à Béziers en 1899, Jean Moulin fut, après des études de Droit, le plus jeune sous-Préfet, puis le plus jeune Préfet de France. La débâcle de juin 1940 le trouve Préfet de Chartres où, dès le 17 juin, il accomplit son premier acte de résistance. Destitué par le gouvernement de Vichy, il part pour Londres. Parachuté en Provence dans la nuit du 1er janvier 1942, il est porteur de deux ordres de mission, un civil et un militaire, chargé de coordonner l'action des mouvements de Résistance et d'organiser une armée secrète. Premier président du C.N.R. il est arrêté à Caluire le 21 juin 1943. Torturé, il meurt durant son transfert en Allemagne. Depuis le 19 décembre 1964 ses cendres reposent au Panthéon.

Mais Jean Moulin, c'est aussi l'amateur d'art, l'artiste qui sous le pseudonyme de Romanin publie des caricatures, grave des eaux-fortes, peint des aquarelles.

La Résistance

18 juin 1940 : le général de Gaulle, arrivé la veille à Londres, lance son appel. 2 juillet 1940 : la France est coupée en deux par la ligne de démarcation . la zone Nord est occupée par les Allemands, la zone Sud, contrôlée par le gouvernement de Pétain installé à Vichy, sera occupée elle aussi à partir du 11 novembre 1942. Ceux qui n'acceptent pas de vivre sous la botte allemande, vont devenir des résistants. Ce ne sont pas des combattants comme les autres. Ils sont tous volontaires, sans uniforme, anonymes, clandestins. Face à eux, le dispositif repressif allemand est écrasant avec sa police spéciale, la Gestapo, aidée parfois par des Français égarés par la propagande collaborationniste et notamment la Milice. Le combat est inégal et l'élan patriotique a le plus souvent compensé l'inexpérience, malheureusement au prix de lourds sacrifices.

Les Forces Françaises Libres

A Londres, dès le mois de juillet 1940, le général de Gaulle constitue son état-major avec notamment Dewavrin (Passy), Roulier (Rémy), Duclos (Saint-Jacques), Fourcaud, d'Estienne d'Orves... " Ces premiers hommes de Londres " formeront le Bureau Central du Renseignement et de l'Action ( B.C.R.A. ). Simultanément, le général de Gaulle regroupe et organise sous son commandement les restes de l'armée française échapée aux Allemands. Avec les volontaires qui le rejoignent, il constitue les forces de Terre, de Mer et de l'Air de la France Libre, qui vont combattre aux cotés des alliés.

La déportation

Les camps nazis de concentration sont l'une des premières institutions mises en place dès l'arrivée d'Hitler au pouvoir en 1933. La terreur, développée auparavant par des groupes paramilitaires nazis (S.A. et S.S.) devient légale. Les opposants les plus hostiles au régime sont arrêtés et internés. Dès le début de l'occupation, les autorités allemandes ont utilisé en France le système de la déportation. Les premières victimes sont des détenus rassemblés dans les camps du Sud de la France (Autrichiens et Allemands, réfugiés politiques, combattants des Brigades internationales et républicains espagnols, juifs étrangers) puis des Alsaciens et des Lorrains qui refusent la germanisation. Bientôt, l'ensemble des Juifs, tous les opposants (gaullistes, communistes, résistants de tous bords) connaîtront le même sort.

Les collections permanentes

Centre de documentation et Musée de la Deuxième Guerre mondiale, le Centre National Jean Moulin présente sur trois niveaux des collections consacrées à la Résistance, la Déportation et les Forces Françaises Libres.

Témoignage historique, le Centre National Jean Moulin, n'en est pas moins tourné vers l'avenir apportant sa contribution à l'enseignement et à la recherche. Centre de documentation intégré à un Musée, il offre au public des documents d'époque (affiches, correspondances clandestines, armement...) et des objets qui permettent à tous de se souvenir de cette période récente de notre Histoire, de situer les différents réseaux et d'apprécier le combat de chacun pour la liberté. Il organise aussi des expositions, réalise des études et des animations spéciales.

Le Centre National Jean Moulin accueille également les artistes et tout particulièrement l'exposition " Nuit et Brouillard " de Jean-Jacques Morvan, les oeuvres de guerre du peintre bordelais Edmond Boissonnet, les émaux de Raymond Mirande.

Tout au long de l'année, visites commentées générales (sur rendez-vous, à partir de 5 personnes). Dans le cadre scolaire, le service éducatif, placé sous la responsabilité d'un professeur agrégé d'Histoire-Géographie propose des visites commentées thématiques et/ou générales (sur rendez-vous). Une bibliothèque de consultation est ouverte aux publics adultes et scolaires, réunissant livres et albums documentaires, en relation avec les collections du musée.

 

Le Centre National Jean Moulin

48, rue Vital-Carles 33000 Bordeaux

E-mail : cnjm@mairie-bordeaux.fr

Tel : 05.56.10.19.90 ou 05.56.10.19.92

Fax : 05.56.10.19.91

 

Ouvert du mardi au dimanche de 14h00 à 18h00 Fermé les lundis et jours fériés

 

Entrée libre et gratuite

 

 

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Infos pratiques

Adresse

48 rue Vital-Carles 33000
Bordeaux
Tel : 05.56.10.19.90 ou 05.56.10.19.92 Fax : 05.56.10.19.91

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé lundi et jours fériés

Citadelle d'Ajaccio

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La citadelle d'Ajaccio. Source : http://domy66000.canalblog.com

Construite en 1492, la citadelle constitue un point d'appui complémentaire à Calvi et Bonifacio.

Installé au fond d'un golfe, le site d'Ajaccio est occupé depuis l'Antiquité. Ce sont les Génois qui, à partir XIIème siècle, désireux de développer un point d'appui complémentaire à Calvi et Bonifacio dans la protection de leurs affaires de "barbaresques", transforment le lieu en point fortifié, le Castel Lombardo.

La position est délaissée trois siècles plus tard, en raison de son insalubrité, au profit du capo di Bollo, sur la pointe de la Leccia, en 1492-1493. Cristoforo Gandino, architecte militaire de Francesco Sforza, sera appointé par l'Office de Saint-Georges pour réaliser les travaux, de même que pour Calvi. Des familles génoises et ligures, dont les Bonaparte, constituent alors une colonie de peuplement.

La ville est structurée autour de trois rues disposées en éventail : la strada del Domo, la strada San Carlo et la strada dritta, selon les plans de l'architecte Pietro da Mortara. La citadelle, édifiée simultanément, se compose primitivement d'un donjon ou citadelle (castello) et d'une enceinte basse. En 1502-1503, le dispositif de protection est complété par un fossé taillé dans le roc autour de la citadelle, accessible par un pont-levis, et de puissantes murailles autour de la cité.

La ville, passée sous domination française entre 1553 et 1559, est modifiée et agrandie, pour prendre la forme hexagonale actuelle, dont les angles sont renforcés par des bastions. Le traité de Cateau-Cambrésis restitue la ville à la République de Gênes qui mandate l'ingénieur Jacopo Frattini afin de fortifier le front de mer. Il y fait construire un bastion qu'il sépare de la cité par un fossé. Au XVIIIème siècle, les Corses tentent vainement de se soustraire à la domination étrangère . Ajaccio, au coeur de leurs actions en 1729, 1739 et 1763, passe directement sous administration française en 1768 lors de la cession de la Corse à la France par les Génois.

Ville natale de Napoléon Bonaparte, ses remparts et sa citadelle alimenteront ses jeux et ses rêves, selon les chroniqueurs, avant de s'inscrire dans son parcours militaire et politique.

Lieu de détention pendant la Seconde Guerre mondiale, la citadelle d'Ajaccio sera le dernier lieu de séjour de l'héroïque résistant Fred Scamaroni. Ce dernier, créateur du réseau gaulliste Action R2 corse en 1941, mandaté par le Général en janvier 1943 pour tenter l'unification de la Résistance, est arrêté, trahi par son radio, par l'OVRA (contre-espionnage italien) dans la nuit du 18 au 19 mars 1943. Il choisit alors de se trancher la gorge avec un fil de fer, laissant un ultime message écrit avec son sang : "Vive la France, vive de Gaulle".

La citadelle est encore actuellement occupée par le ministère des armées. L’Etat et la Ville d’Ajaccio travaillent ensemble pour ouvrir le site au public, le reconvertir et lui trouver de nouveaux usages.

 

Office municipal du Tourisme d'Ajaccio

3, Bd du Roi Jérôme BP 21 20000 Ajaccio

Tél. : +33 (0)4 95 51 53 03

Fax : +33 (0)4 95 51 53 01

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

Boulevard Danielle Casanova 20000
Ajaccio
Tél. : +33 (0)4 95 51 53 03Fax : +33 (0)4 95 51 53 01

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessibilité toute l'année

Mémorial de la Résistance et de la Déportation de la Loire

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© http://memorial-loire42.fr/

Le Mémorial porte et diffuse les valeurs de ses fondateurs, Résistants et Déportés de la Loire : Valorisation de l’engagement, Promotion du vivre-ensemble, Lutte contre les discriminations et toute forme d’extrémisme.

Il mène une politique patrimoniale, culturelle et scientifique ayant un triple objectif :

  • Présenter et comprendre la période de 1939-1945 à travers des documents d’époque et départementaux
  • Collecter, conserver (en collaboration avec les Archives municipales de Saint-Etienne), contribuer à l’enrichissement des fonds publics d’archives et valoriser la mémoire immatérielle de la période.
  • Transmettre la mémoire par un « devoir » de mémoire et un « droit » de savoir.

La dimension départementale du Mémorial permet de rappeler ce que fut la spécificité de la Résistance dans le département de la Loire, bassin industriel au service de l’économie de guerre allemande. La Résistance s’organise dans les entreprises et commet de nombreux sabotages. Elle mène aussi la lutte contre le Service du Travail Obligatoire, organise des évasions collectives de prisons… Enfin le combat qu’elle livre aux troupes allemandes en août 1944 à Estivareilles assure la Libération du département. En ce qui concerne la Déportation, les habitants de la Loire n’ont pas été épargnés : 1400 personnes furent les victimes des mesures de répression et de persécution organisées par les nazis, et mises en œuvre avec la collaboration de l’Etat français.

Le Lieu de mémoire propose de façon permanente aux visiteurs trois axes de réflexion :

  • Dans la salle d’accueil, un rappel de grandes figures ligériennes, membres fondateurs du Mémorial.
  • Dans la salle dédiée à la Résistance sont présentés les femmes, les hommes, les événements et les faits d’armes qui ont marqué cette période dans la Loire.
  • Dans la salle consacrée à la Déportation, les témoignages des Déportés ligériens sont enrichis par des documents et des objets particulièrement émouvants.

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

9 rue du Théâtre 42000
Saint-Etienne
04 77 34 03 69

Tarifs

Entrée pour une visite libre : 3€ / Gratuité sur présentation de justificatifs: carte lycéen, carte étudiante, saintépass, Pass’Région, pass senior, City card / Entrée pour une visite guidée (à partir de 8 personnes sur réservation) : 5€ par personne / Entrée pour une visite-atelier ou une visite-accompagnée: 30€ par groupe-classe

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au jeudi: 9h-12h / 13h30-17h / Le vendredi: 9h-12h / 13h30-16h30

Fermetures annuelles

Fermetures annuelles : Vacances de Noël / Mi-juillet à mi-août

Site Web : memorial-loire42.fr

Musée de la Percée du Bocage

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Reconstitution de combat. © Musée de la Percée du Bocage


Ce musée retrace les combats livrés dans le bocage normand, l'été 1944.

D'une présentation originale, ce musée est né de la reconnaissance que son fondateur témoigne à ceux qui ont participé aux combats du bocage normand, à l'été 1944.

À travers huit espaces muséographiques et un son et lumière sur diorama, la visite guidée fait découvrir l'étonnante aventure des combattants dans le Bocage.

Des recherches passionnées ont permis de retrouver et d'accueillir ces hommes qui témoignent de leur combat, et de leur destin parfois exceptionnel, souvent émouvant.

Leurs visites enrichissent le musée d'attachants souvenirs dont l'histoire complète cette évocation.

 

Musée de la Percée du Bocage

5 rue du 19 Mars 1962 - 14350 Saint-Martin-des-Besaces

Tél/Fax : 02 31 67 52 78
Seulement pendant la saison du musée.

Mail : bluecoat@wanadoo.fr

Web : www.laperceedubocage.com

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Infos pratiques

Adresse

5 rue du 19 mars 1962 - 14350
Saint-Martin-des-Besaces
02 31 67 52 78

Tarifs

Plein Tarif : 5 €Tarif Pass : 4,50 €Tarif Groupes : 3 €Tarif Scolaires : 2 €Enfants: 3 € Gratuit : enfant de - de 12 ans, Vétérans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Entre 3 avril et fin septembre, de 10h à 18h, tous les jours sauf le mardi. Ouvert toute l'année pour les groupes (+ de 20 personnes) sur réservation