Guillaumat et la défense de Paris

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Le général Guillaumat.
Le général Guillaumat. Source : BNF

Parallèlement à la mise en garde des armées alliées, visant en particulier la défense éloignée de Paris, on avait organisé, en toutes éventualités, la défense rapprochée de la capitale.

Le général Guillaumat, rappelé d' Orient, fut spécialement chargé de cette dernière mission. Le 15 juin, au cours d' une conférence réunie au grand-quartier-général des armées alliées, à Bombon, sous la présidence de M. Clemenceau, les attributions de chacune des autorités militaires intéressées à la question furent définies et délimitées.

1er décembre 1942 - 13 mai 1943. La campagne de Tunisie

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Les derniers défenseurs de Bizerte sont faits prisonniers par une patrouille du Corps franc d’Afrique, mai 1943. © ECPAD
Les derniers défenseurs de Bizerte sont faits prisonniers par une patrouille du Corps franc d’Afrique, mai 1943 © ECPAD

À la suite du débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre 1942, Allemagne et Italie envoient des renforts en Tunisie pour s'assurer de la possession de Tunis et de Bizerte. Leur présence en Afrique est indispensable pour conserver la maîtrise de cette partie du bassin méditerranéen et retarder toute attaque alliée vers l'Europe.

La presse clandestine

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Les titres. © SHD
Les titres. © SHD

Après la défaite de la France et la signature de l'armistice, le 22 juin 1940, la presse est sévèrement censurée et contrôlée sur tout le territoire national. Pourtant, des journaux réussissent à sortir dans la clandestinité pour lutter contre l'occupant nazi et le régime de Vichy. Instruments de combat, ils sont les messagers de la résistance, de l'espoir et de la liberté.

26 mai - 11 juin 1942. La bataille de Bir Hakeim

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Légionnaires français attaquant une position ennemie à Bir Hakeim, le 12 juin 1942. © Imperial War Museum
Légionnaires français attaquant une position ennemie à Bir Hakeim, le 12 juin 1942. © Imperial War Museum

 

Du 26 mai au 11 juin 1942, la 1re Brigade française libre tient tête à l'Afrika Korps et à ses alliés italiens sur le front de Libye. Elle ne décroche de sa position de Bir Hakeim qu'après avoir permis le repli des troupes britanniques.

Normandie-Niémen. Des chasseurs français sur le front de l'Est

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Vignette Normandie-Niemen. © MINDEF/SGA/DMPA
Vignette Normandie-Niemen. © MINDEF/SGA/DMPA

Le général de Gaulle envoie en 1942 un groupe de chasse des Forces aériennes françaises libres (FAFL) combattre auprès des troupes soviétiques.

"Normandie-Niémen" totalisera ainsi plus de 5 000 sorties et 869 combats aériens. On lui attribue 273 victoires.

10-25 juin 1940. Une bataille oubliée : les Alpes

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Infanterie alpine en Dauphiné, installation d'un mortier de 81 mm. © ECPAD
Infanterie alpine en Dauphiné, installation d'un mortier de 81 mm. Source : ECPAD

10 juin 1940 : l'Italie entre en guerre aux côtés de l'Allemagne.

Ralliement de St-Pierre-et-Miquelon à la France Libre

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Carte de la position de Saint-Pierre-et-Miquelon sur une planisphère. © MINDEF/SGA/DMPA
Carte de la position de Saint-Pierre-et-Miquelon sur une planisphère. © MINDEF/SGA/DMPA

Après la signature de l'armistice franco-allemand, le 22 juin 1940, la population de Saint-Pierre-et-Miquelon manifeste très rapidement son hostilité au gouvernement de Vichy. Son ralliement à la France Libre s'effectue autour de Noël 1941.

Alphonse Juin

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Le général Juin en Italie, 1944 – © ECPAD
Le général Juin en Italie, 1944 – © ECPAD

Le maréchal "qui sut saisir la victoire quand elle se présentait" *

Ile de Sein

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Vue aérienne du port de l'île de Sein. © Collection du musée de l'Ordre de la Libération
Vue aérienne du port de l'île de Sein. © Collection du musée de l'Ordre de la Libération

La ligne de démarcation

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La ligne de démarcation à Moulins. À partir du 1er mars 1943, le laissez-passer n'est plus nécessaire au franchissement de la ligne. Source : LAPI/Musée de la Résistance Nationale – Champigny
La ligne de démarcation à Moulins. À partir du 1er mars 1943, le laissez-passer n'est plus nécessaire au franchissement de la ligne. Source : LAPI/Musée de la Résistance Nationale – Champigny

Après l'effondrement de l'armée française en juin 1940, le nouveau gouvernement, dirigé par le maréchal Pétain, se résigne à la défaite et demande l'armistice, le 17 juin 1940, tandis que le général de Gaulle rejoint l'Angleterre et lance de Londres, le 18 juin, un appel pour continuer la lutte contre l'occupant nazi.