Historial Charles de Gaulle

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La salle multi-écrans. Source : Historial Charles de Gaulle

Ni mémorial, ni musée, l'Historial est un lieu de savoir d'avant-garde privilégiant l'image, sous toutes ses formes, à travers des dispositifs interactifs.


Consulter l'offre pédagogique de l'historial >>>  historial de Gaulle


Le 22 février 2008, le président de la République a inauguré l'Historial Charles de Gaulle aux Invalides.

Ce "monument audiovisuel" est un lieu de savoir d'avant-garde avec un parti pris muséographique fort : privilégier l'image et le son pour retracer l'itinéraire d'un homme qui a mêlé son destin à celui de la France.

Sur près de 2 500 m2, l'Historial, véritable "architecture audiovisuelle", a pour objectif de transmettre une histoire et une mémoire, celles du général de Gaulle. Réalisé par les architectes Alain Moatti et Henri Rivière, l'Historial est installé dans un écrin de béton invisible en surface sous la cour de la Valeur de l'Hôtel national des Invalides.

Ici, l'objet est totalement absent, tout est image, fixe et animée. L'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD) a d'ailleurs fourni plus de trente minutes de films d'archives, mettant exceptionnellement les éléments originaux à la disposition de la société de production pour qu'elle puisse faire des copies haute-définition.

Conduite par le musée de l'armée, maître d'ouvrage, en liaison étroite avec la Fondation Charles de Gaulle, cette réalisation s'inscrit dans le vaste programme de modernisation du musée.

Accueilli par une mosaïque de quatre-vingts portraits de Charles de Gaulle, le visiteur pénètre ensuite au cœur du monument, ancré dans le sol par une coupole inversée en bois. Cette structure autoportante abrite une vaste salle sphérique de 200 places, où cinq écrans diffusent un film d'archives biographique, en huit langues, d'une durée de vingt-cinq minutes. Réalisé par Olivier Brunet avec un commentaire écrit par Maurice Druon lu par le comédien Francis Huster, ce film invite à la découverte du personnage et de son action, replacés dans le contexte historique.

Tout autour de cette salle multimédia, s'organise l'exposition permanente partagée en deux espaces : l'anneau de l'histoire et les alcôves. L'anneau est un lieu de déambulation réalisé en verre courbe strié . le visiteur progresse dans un espace d'images et de sons qui évoque les grandes heures du XXe siècle, depuis la Belle Époque jusqu'au premier homme sur la lune.

Les trois alcôves équipées d'outils interactifs ont pour vocation de permettre à ceux qui le souhaitent d'approfondir leurs connaissances de l'Histoire, d'en saisir la complexité et la contingence. La première est consacrée à l'homme du 18 juin . la deuxième au libérateur . la troisième au fondateur de la Ve République, de la Constitution de 1958 aux événements de mai 1968.

En outre, tout au long du parcours, l'audioguide bilingue français-anglais remis au visiteur lui permet de décrypter le contenu et le sens des images. Une salle d'exposition temporaire de 350 m² et un atelier pédagogique complètent l'ensemble. L'originalité de l'Historial est de privilégier les archives audiovisuelles et sonores, témoins d'un siècle que Charles de Gaulle a marqué de son empreinte. Le public peut progresser à l'intérieur de cet espace novateur suivant une démarche individuelle centrée sur l'interactivité. Un parcours spectacle à la fois scientifique et artistique pour découvrir l'itinéraire gaullien.

 

Historial Charles de Gaulle

Musée de l'Armée Hôtel national des Invalides - 129 rue de Grenelle - 75007 Paris

 

Musée de l'Armée

Accès
L’Historial est accessible par la Cour d’honneur-aile Orient.

Le site des Invalides est accessible
par la place Vauban (accueil sud pour les individuels),
par l’esplanade des Invalides (accueil nord pour les groupes),
accès pour le public handicapé par le 6 boulevard des Invalides

Métros : ligne 8, Latour-Maubourg,
Invalides ou ligne 13, Invalides, Varenne
RER : ligne C, Invalides
Bus : 28, 63, 69, 80, 82, 83, 87,
92, 93, Balabus
Parking : esplanade des Invalides
Taxis : boulevard de Latour-Maubourg

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Infos pratiques

Adresse

129 rue de Grenelle - 75007
Paris

Tarifs

Plein tarif 8 €Tarif réduit 6 € pour les étudiants de moins de 26 ans, les anciens combattants, les groupes du 3è âge (minimum 15 personnes de plus de 60 ans)Gratuité pour les -18 ans étudiants en histoire et histoire de l’art, militaires, handicapés et leurs accompagnateurs, chômeurs et bénéficiaires du RMI.Un billet unique donne accès à l’Historial, aux collections permanentes du musée de l’Armée, à l’Eglise du Dôme et au tombeau de Napoléon Ier, au musée des Plans-reliefs et au musée de l’Ordre de la Libération.Renseignements :N° Azur : 0810 11 33 99Librairie-Boutique RMN : 01 44 42 54 43Visiter en groupe :ATTENTION : L'architecture et les dispositifs interactifs de l'Historial de Gaulle ne permettent pas une visite en groupe. La visite s'effectue de manière autonome et individuelle à l'aide d'un audioguide multilingue. Seul le film biographique sur le général de Gaulle diffusé dans la salle mutli-écrans peut s'adresser à un groupe constitué ou une classe complète (réservation obligatoire). Informations : 0810 11 33 99 (N° Azur)Groupes scolaires :Tél. : 01 44 42 51 73jeunes-ma@invalides.org (service d'action pédagogique)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

L’Historial est ouvert du mardi au dimanche.du 1er octobre au 31 mars, de 10h à 17h,du 1er avril au 30 septembre de 10h à 18h.

Fermetures annuelles

1er janvier, 1er mai, 1er novembre et 25 décembre.Le reste des espaces du musée de l’Armée est fermé le 1er lundi du chaque mois.

Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation

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Une des salles du Musée. ©Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation

Haut lieu de mémoire régionale ouvert depuis le 18 avril 1994.

Sur une superficie de 134 m2, les membres de l'AMRID (Amis du Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation), travaillent à informer, documenter et "passer le flambeau de la mémoire aux plus jeunes".

Le fonds muséographique est constitué de 3000 pièces présentées dans un parcours thématique et chronologique au cours duquel 1500 photographies ou reproductions relatent les faits de la montée du nazisme à la Libération, le pétainisme, la collaboration, la Résistance, la Déportation etc.

Armes, objets réalisés dans les camps, tenues de déportés et maquisards, portraits des chefs régionaux de la Résistance, ajoutent au réalisme de la présentation.

Le musée compte également une bibliothèque de près de 600 ouvrages et une vidéothèque de plus de 100 cassettes.

Depuis 1996 un concours réservé aux enfants scolarisés dans les écoles de Clermont-Communauté permet d'entretenir le lien des jeunes générations avec leur histoire.
 

 

Musée de la Résistance, de l'Internement et de la Déportation de Clermont Communauté

7 place de Beaulieu - 63400 Chamalières

Tél/Fax : 04 73 31 28 42

Courriel : muse.resist63@wanadoo.fr

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Infos pratiques

Adresse

7 place de Beaulieu - 63400
Chamalières
04 73 31 28 42

Tarifs

Adultes 3€, enfants de plusde 8 ans et étudiants 2€.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au samedi de 9h à 12het de 14h à 17h30.

Centre Jean Moulin

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Centre national Jean Moulin. © F. Encuentra /CNJM Bordeaux

Centre de documentation et Musée de la Deuxième Guerre Mondiale, le Centre National Jean Moulin présente sur trois niveaux des collections consacrées à la Résistance, la Déportation et les Forces Françaises Libres.

Créé en 1967, à l'instigation de Monsieur Jacques Chaban-Delmas, Compagnon de la Libération, Délégué Militaire National du Général de Gaulle en France occupée, le Centre National Jean Moulin est installé dans les locaux de l'ancienne Caisse d'Epargne de Bordeaux, immeuble édifié au milieu du XIXème siècle.

Jean Moulin

Né à Béziers en 1899, Jean Moulin fut, après des études de Droit, le plus jeune sous-Préfet, puis le plus jeune Préfet de France. La débâcle de juin 1940 le trouve Préfet de Chartres où, dès le 17 juin, il accomplit son premier acte de résistance. Destitué par le gouvernement de Vichy, il part pour Londres. Parachuté en Provence dans la nuit du 1er janvier 1942, il est porteur de deux ordres de mission, un civil et un militaire, chargé de coordonner l'action des mouvements de Résistance et d'organiser une armée secrète. Premier président du C.N.R. il est arrêté à Caluire le 21 juin 1943. Torturé, il meurt durant son transfert en Allemagne. Depuis le 19 décembre 1964 ses cendres reposent au Panthéon.

Mais Jean Moulin, c'est aussi l'amateur d'art, l'artiste qui sous le pseudonyme de Romanin publie des caricatures, grave des eaux-fortes, peint des aquarelles.

La Résistance

18 juin 1940 : le général de Gaulle, arrivé la veille à Londres, lance son appel. 2 juillet 1940 : la France est coupée en deux par la ligne de démarcation . la zone Nord est occupée par les Allemands, la zone Sud, contrôlée par le gouvernement de Pétain installé à Vichy, sera occupée elle aussi à partir du 11 novembre 1942. Ceux qui n'acceptent pas de vivre sous la botte allemande, vont devenir des résistants. Ce ne sont pas des combattants comme les autres. Ils sont tous volontaires, sans uniforme, anonymes, clandestins. Face à eux, le dispositif repressif allemand est écrasant avec sa police spéciale, la Gestapo, aidée parfois par des Français égarés par la propagande collaborationniste et notamment la Milice. Le combat est inégal et l'élan patriotique a le plus souvent compensé l'inexpérience, malheureusement au prix de lourds sacrifices.

Les Forces Françaises Libres

A Londres, dès le mois de juillet 1940, le général de Gaulle constitue son état-major avec notamment Dewavrin (Passy), Roulier (Rémy), Duclos (Saint-Jacques), Fourcaud, d'Estienne d'Orves... " Ces premiers hommes de Londres " formeront le Bureau Central du Renseignement et de l'Action ( B.C.R.A. ). Simultanément, le général de Gaulle regroupe et organise sous son commandement les restes de l'armée française échapée aux Allemands. Avec les volontaires qui le rejoignent, il constitue les forces de Terre, de Mer et de l'Air de la France Libre, qui vont combattre aux cotés des alliés.

La déportation

Les camps nazis de concentration sont l'une des premières institutions mises en place dès l'arrivée d'Hitler au pouvoir en 1933. La terreur, développée auparavant par des groupes paramilitaires nazis (S.A. et S.S.) devient légale. Les opposants les plus hostiles au régime sont arrêtés et internés. Dès le début de l'occupation, les autorités allemandes ont utilisé en France le système de la déportation. Les premières victimes sont des détenus rassemblés dans les camps du Sud de la France (Autrichiens et Allemands, réfugiés politiques, combattants des Brigades internationales et républicains espagnols, juifs étrangers) puis des Alsaciens et des Lorrains qui refusent la germanisation. Bientôt, l'ensemble des Juifs, tous les opposants (gaullistes, communistes, résistants de tous bords) connaîtront le même sort.

Les collections permanentes

Centre de documentation et Musée de la Deuxième Guerre mondiale, le Centre National Jean Moulin présente sur trois niveaux des collections consacrées à la Résistance, la Déportation et les Forces Françaises Libres.

Témoignage historique, le Centre National Jean Moulin, n'en est pas moins tourné vers l'avenir apportant sa contribution à l'enseignement et à la recherche. Centre de documentation intégré à un Musée, il offre au public des documents d'époque (affiches, correspondances clandestines, armement...) et des objets qui permettent à tous de se souvenir de cette période récente de notre Histoire, de situer les différents réseaux et d'apprécier le combat de chacun pour la liberté. Il organise aussi des expositions, réalise des études et des animations spéciales.

Le Centre National Jean Moulin accueille également les artistes et tout particulièrement l'exposition " Nuit et Brouillard " de Jean-Jacques Morvan, les oeuvres de guerre du peintre bordelais Edmond Boissonnet, les émaux de Raymond Mirande.

Tout au long de l'année, visites commentées générales (sur rendez-vous, à partir de 5 personnes). Dans le cadre scolaire, le service éducatif, placé sous la responsabilité d'un professeur agrégé d'Histoire-Géographie propose des visites commentées thématiques et/ou générales (sur rendez-vous). Une bibliothèque de consultation est ouverte aux publics adultes et scolaires, réunissant livres et albums documentaires, en relation avec les collections du musée.

 

Le Centre National Jean Moulin

48, rue Vital-Carles 33000 Bordeaux

E-mail : cnjm@mairie-bordeaux.fr

Tel : 05.56.10.19.90 ou 05.56.10.19.92

Fax : 05.56.10.19.91

 

Ouvert du mardi au dimanche de 14h00 à 18h00 Fermé les lundis et jours fériés

 

Entrée libre et gratuite

 

 

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Infos pratiques

Adresse

48 rue Vital-Carles 33000
Bordeaux
Tel : 05.56.10.19.90 ou 05.56.10.19.92 Fax : 05.56.10.19.91

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé lundi et jours fériés

Mémorial de la Résistance et de la Déportation de la Loire

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© http://memorial-loire42.fr/

Le Mémorial porte et diffuse les valeurs de ses fondateurs, Résistants et Déportés de la Loire : Valorisation de l’engagement, Promotion du vivre-ensemble, Lutte contre les discriminations et toute forme d’extrémisme.

Il mène une politique patrimoniale, culturelle et scientifique ayant un triple objectif :

  • Présenter et comprendre la période de 1939-1945 à travers des documents d’époque et départementaux
  • Collecter, conserver (en collaboration avec les Archives municipales de Saint-Etienne), contribuer à l’enrichissement des fonds publics d’archives et valoriser la mémoire immatérielle de la période.
  • Transmettre la mémoire par un « devoir » de mémoire et un « droit » de savoir.

La dimension départementale du Mémorial permet de rappeler ce que fut la spécificité de la Résistance dans le département de la Loire, bassin industriel au service de l’économie de guerre allemande. La Résistance s’organise dans les entreprises et commet de nombreux sabotages. Elle mène aussi la lutte contre le Service du Travail Obligatoire, organise des évasions collectives de prisons… Enfin le combat qu’elle livre aux troupes allemandes en août 1944 à Estivareilles assure la Libération du département. En ce qui concerne la Déportation, les habitants de la Loire n’ont pas été épargnés : 1400 personnes furent les victimes des mesures de répression et de persécution organisées par les nazis, et mises en œuvre avec la collaboration de l’Etat français.

Le Lieu de mémoire propose de façon permanente aux visiteurs trois axes de réflexion :

  • Dans la salle d’accueil, un rappel de grandes figures ligériennes, membres fondateurs du Mémorial.
  • Dans la salle dédiée à la Résistance sont présentés les femmes, les hommes, les événements et les faits d’armes qui ont marqué cette période dans la Loire.
  • Dans la salle consacrée à la Déportation, les témoignages des Déportés ligériens sont enrichis par des documents et des objets particulièrement émouvants.

 


 

 
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Infos pratiques

Adresse

9 rue du Théâtre 42000
Saint-Etienne
04 77 34 03 69

Tarifs

Entrée pour une visite libre : 3€ / Gratuité sur présentation de justificatifs: carte lycéen, carte étudiante, saintépass, Pass’Région, pass senior, City card / Entrée pour une visite guidée (à partir de 8 personnes sur réservation) : 5€ par personne / Entrée pour une visite-atelier ou une visite-accompagnée: 30€ par groupe-classe

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du lundi au jeudi: 9h-12h / 13h30-17h / Le vendredi: 9h-12h / 13h30-16h30

Fermetures annuelles

Fermetures annuelles : Vacances de Noël / Mi-juillet à mi-août

Site Web : memorial-loire42.fr

Musée de la Résistance à Châteaubriant

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Vue du site de la Sablière. Source : MINDEF/SGA/DMPA - JP Le Padellec

La Sablière fut le témoin d’un évènement de la Seconde Guerre mondiale. Le 22 octobre 1941, 27 otages furent fusillés par les Allemands en représailles de la mort du Feldkommandant de Nantes (Loire-Inférieure) Karl Hotz, tué deux jours plus tôt par de jeunes résistants français. Suite à cette date, La Sablière se fait appeler la « Carrière des fusillés » et des rassemblements rendant hommage aux fusillés de Châteaubriant s’organisent.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Châteaubriant


Le 30 septembre 1945, « L’Amicale Des Anciens Internés Politiques de Châteaubriant-Voves » est créée. Dès lors, cette Association a pour but de maintenir le souvenir de ces hommes, objectif intégré dans la démarche du tourisme de mémoire.

Cette ambition passe par l’entretien du mémorial national érigé à Châteaubriant et par l’aménagement de la Carrière des fusillés. Le site fut classé en 1993.

Le monument inauguré le 22 octobre 1950 fut réalisé par Antoine ROHAL, sculpteur.
Depuis 1951, les alvéoles devant le monument contiennent un peu de terre des hauts lieux de la Résistance. Tout autour de la carriére sont installées en 1986 les stéles portant photographie et les indications personnelles de chaque fusillé.

Elle passe également par l’organisation de commémorations et de conférences. Actuellement, le titre est « Amicale de Châteaubriant-Voves-Rouillé-Aincourt ».

Pour transmettre cette histoire au public, le Musée de la Résistance à Châteaubriant,implanté dans la ferme qui jouxtait la carrière où ont été fusillés 27 hommes dont Guy Môquet, est inauguré en 2001 par l’Amicale. En 2007, l’Amicale délègue la gestion et l’animation du Musée à l’« Association des Amis du Musée de la Résistance de Châteaubriant ». Des expositions permettent de mieux comprendre la vie des internés et la Résistance dans le pays de Châteaubriant. Chaque année, une exposition en lien avec le thème du Concours National de la résistance et de la Déportation.

L’Office de Tourisme Intercommunal du Castelbriantais propose des visites guidées payantes de la Carrière et du Musée. Le Musée peut également être visité de manière libre et gratuite. Des documents sont mis à la disposition du public.

 

 

 

Sources : ©Musée de la Résistance à Châteaubriant
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Infos pratiques

Adresse

La Sablière, Carrière des Fusillés 44110
Châteaubriant
02 40 28 60 36 (ou office de tourisme : 02 40 28 20 90)

Tarifs

Gratuité (sauf office de tourisme)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mercredi et samedi de 14H à 17H et sur rendez‐vous pour les visites de groupes en téléphonant

Fermetures annuelles

Le Musée est fermé au public du 23 décembre 2015 au mardi 12 janvier 2016 inclus, la réouverture s’effectue le mercredi 13 janvier 2016 à 14h.Office de tourisme de référence - 29 Place Charles de Gaulle ‐ BP 203 ‐ 44146 CHATEAUBRIANT Cedex - Tel. : 02 40 28 20 90

La Cascade du Bois de Boulogne

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Monument de la Cascade du Bois de Boulogne. Source : GNU Free Documentation License

>> Cérémonie le 18 août 2019 - Hommage aux jeunes résistants, combattants de la liberté et de l'espoir, massacrés par les Allemands moins de dix jours avant la Libération de Paris.

Le 16 août 1944, trente cinq jeunes gens âgés de 18 à 22 ans furent fusillés derrière l'étang du Réservoir après être tombés dans un traquenard qui aboutit à leur arrestation.

 

Membres des Forces françaises de l'intérieur, francs-tireurs et partisans de la ville de Chelles, membres de l'Organisation civile et militaire de la jeunesse, Jeunes Chrétiens Combattants et membres du réseau Turma Vengeance, ils appartenaient à cinq organisations différentes.

 

Mais tous voulaient participer à la libération de Paris (25-26 août) et acceptèrent une mission de transport d'armes proposée par un soi-disant agent de l'Intelligence Service. C'est sans armes qu'ils se rassemblèrent à un rendez-vous place des Ternes.

 

À peine rassemblés, ils furent encerclés par la Gestapo puis conduits au siège de celle-ci où ils furent gardés et interrogés jusque vers 22 heures, avant d'être emmenés à la Cascade et fusillés.

 

Tous les ans, ce tragique événement est commémoré sur les lieux du drame où les vieux chênes "conservent en leur coeur les balles qui tuèrent ces adolescents".

 

Le bois fut bombardé à plusieurs reprises au cours de la Seconde Guerre mondiale, mais l'épisode le plus tragique se produisit le 4 avril 1943 où, sur les 38 bombes s'abattant sur le 16e arrondissement, 6 tombèrent sur l'hippodrome de Longchamp dont c'était la réouverture, entraînant la mort de nombreux promeneurs.

 

En souvenir de ce jour tragique, des résineux furent replantés dans les trouées occasionnées dans le massif forestier tout proche, mais beaucoup de ces arbres furent déracinés par la tempête de décembre 1999.

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Infos pratiques

Adresse

Carrefour de Longchamp - 75016
Paris

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année

Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie

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Résultat de la volonté de résistants de transmettre aux jeunes générations l’histoire de la Résistance et de la Déportation de Picardie et les idéaux pour lesquels les résistants s’étaient battus, un musée a été inauguré en 1986 dans l’Aisne à Tergnier.

L’initiative de la création revient à M.Etienne DROMAS, capitaine FFI du groupement B et président des Combattants Volontaires de la Résistance.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Picardie


La Picardie est une région fortement touchée par les deux guerres mondiales. 

Région stratégique, lieu de passage entre le nord de l'Europe et Paris, la Picardie se trouve partagée entre la zone interdite et la zone occupée. La présence de l'occupant est durement ressentie. Des hommes et des femmes vont peu à peu réagir. "L'armée de l'ombre" se construit. 

Le département de l'Aisne a sur son territoire un musée consacré à l'histoire des résistants et des déportés. Un musée voulu par des résistants dont Etienne Dromas, qui a trouvé sa place dans la commune associée de Tergnier, Fargniers. 

Vous êtes invités à découvrir ce musée unique en Picardie, implanté sur une place classée monument historique.

L’histoire du lieu

Après avoir trouvé à Tergnier un bâtiment pouvant l’accueillir, le conseil général de l’Aisne vote la somme nécessaire à sa rénovation. L’office départemental de tourisme, avec à sa tête Maurice Bruaux, apporte son aide et son concours. Le premier aménagement se fait grâce à la mobilisation des résistants qui assurent son fonctionnement pendant de nombreuses années.

 

À voir

Le premier espace permet de découvrir et de comprendre l’histoire de la période allant de l’arrivée d’Hitler au pouvoir jusqu’à l’intervention du maréchal Pétain le 17 juin 1940, suivent des espaces consacrés à l’appel du 18 juin, la naissance de la Résistance et son action, la vie quotidienne sous l’Occupation, la répression et la Déportation. Un espace est également consacré au bureau des opérations aériennes et aux parachutages, aux forces françaises libres dans le monde, au Débarquement et à la Libération. De nombreux objets et matériels viennent compléter l’exposition permanente : un Beechcraft C.45, une locomotive, un wagon ayant servi à la déportation… En octobre 2005, 300 mètres carrés se sont ajoutés à la salle d’exposition permanente. Cet espace polyvalent met à disposition du public une salle de réunion, de conférence, d’exposition temporaire et de projection ainsi qu’une médiathèque et un centre documentaire.

Le musée accorde une place toute particulière au public scolaire. Des dossiers pédagogiques ont été élaborés. Des ateliers (analyse de documents, rencontre avec des témoins…) sont développés sur différents thèmes (la vie sous l’Occupation, la Résistance…), et sont animés par les enseignants ou par un intervenant du musée.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie
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Infos pratiques

Adresse

5 place carnegie FARGNIERS 02700
Tergnier
Téléphone/ 03.23.57.93.77

Tarifs

Individuels :- adultes : 5€- 18-25 ans : 1€- moins de 18 ans : gratuité.Entrée + visite guidée : 6 € (sur réservation)Groupes (à partir de 10 personnes):- adultes : 5€- scolaires : 2€.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18hDimanche après-midi de 14h30 à 18h30

Fermetures annuelles

1 mai1er novembre24 et 25 décembre31 décembre et 1er janvier et tous les lundisOffice de tourisme : place du marché Couvert - 02300 Chauny - Tel : 03.23.52.10.79

Monument national à la Résistance du Plateau des Glières

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Monument National de la Résistance. Source : Conseil Général de la Haute-Savoie

 

Ce mémorial rappelle le théâtre de combats entre maquisards, Milice française et armée allemande de février à mars 1944.

 

 

Plateau des Glières et Monument de Gilioli

 

Magnifique plateau situé au cœur de la Haute Savoie à 1440m d'altitude, le site des Glières est un rendez-vous incontournable.

Haut lieu de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, son territoire montagneux, et de ce fait stratégique, a permis de faire du Plateau des Glières un point de parachutage des armes pour la résistance locale.

Le 31 janvier 1944, compte tenu de la situation "insurrectionnelle", le gouvernement de collaboration de Vichy, sur l'injonction des autorités allemandes, décide d'en finir avec la Résistance et met le département en état de siège. Ce même jour, 120 maquisards sous les ordres du lieutenant Tom Morel, chef des maquis de l'Armée Secrète en Haute Savoie, montent au Plateau des Glières pour assurer la réception des parachutages.

 

Les maquisards sont d'anciens cadres du 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins d'Annecy, des Républicains espagnols, des Francs Tireurs et Partisans, unis par le même désir de libérer la France.

Le 26 mars 1944, une attaque massive mobilisant environ 10 000 hommes est menée par les troupes allemandes et les miliciens français. Les moyens mis en œuvre sont disproportionnés face aux 465 maquisards présents sur le Plateau. Après avoir procédé à des repérages, les maquisards reçoivent l'ordre du capitaine Maurice Anjot, désormais chef du maquis suite au décès de Tom Morel, de décrocher dans la soirée. 129 maquisards et 20 résistants des vallées, n'ayant pu échapper à l'encerclement des forces de l'ordre, sont tués lors du combat, fusillés ou morts en déportation.

 

La bataille des Glières est, dès le début, grâce à la radio de Londres, le symbole de la Résistance française. Les mois suivants, les maquis se restructurent pour organiser la réception d'un nouveau parachutage, qui aura lieu le 1er août. Il permettra la libération de la Haute-Savoie avant même l'arrivée des troupes alliées, dès le 19 août 1944.

 

Le 2 septembre 1973, le Monument National à la Résistance d'Emile Gilioli, construit à l'initiative des Rescapés des Glières, est inauguré par André Malraux. Il n'est pas un monument aux morts mais un symbole d'espérance. Aujourd'hui, un parcours balisé accessible à tous types de marcheurs, longeant les zones de parachutages, vous guide sur le Plateau des Glières appartenant désormais à la mémoire collective. Les panneaux explicatifs ponctuant cet itinéraire relatent la vie quotidienne des maquisards et les évènements de février et mars 1944.

 

 

Les sentiers de la Mémoire

Sur le plateau, des sentiers permettent de découvrir le site des parachutages et l'organisation de la défense du plateau :

Le sentier "Tom Morel", seul chemin d'accès au plateau en hiver, était la voie de ravitaillement du maquis. Le sentier de "l'Attaque", relativement difficile en raison du dénivelé, a été utilisé par les agents de liaison du Maquis des Glières. Les Allemands l'ont aussi emprunté lors de l'attaque du 26 mars 1944 à Monthièvret.

 

Le sentier de "l'Escarmouche" ou sentier des "Eaux Noires" qui doit son nom au ruisseau venant de la combe d'Ablon qui coule sur des roches détritiques noirâtres, a été emprunté notamment par les résistants de Thorens. C'est là que la Milice a perdu son premier homme.

 

Le sentier du "Dernier Assaut" permet l'accès au site d'alpage de Champ-Laitier attaqué le 26 mars 1944.

 

Le sentier des "Espagnols" fut le lieu de passage d'un groupe d'Espagnols venus de Nâves-Parmelan, ainsi que de trois Italiens. Avant eux, le garde-forestier du secteur avait emprunté ce chemin pour accompagner de jeunes réfractaires au Service du Travail Obligatoire sur le Plateau des Glières. Un poste de guet, installé au Pas du Roc par les résistants, verrouillait de façon dissuasive le passage. Aucun assaillant ne s'y hasarda.

 

Le sentier de "l'Ultimatum" constituait une voie royale d'accès au Plateau des Glières. Il était verrouillé dans la vallée par les forces de Vichy, et sur le plateau par les maquisards. L'avant-veille de l'assaut allemand, il a été emprunté par un groupe porteur d'un ultimatum de reddition.

 

Site de Morette


Situé à la porte d'entrée des vallées de Thônes, le site historique départemental de Morette est composé de trois éléments majeurs : la Nécropole Nationale des Glières le Musée départemental de la Résistance le Mémorial départemental de la Déportation

 

La Nécropole Nationale des Glières

Les corps de 105 résistants, principalement combattants des Glières, abattus par les Allemands et les forces du maintien de l'ordre françaises reposent dans la Nécropole.

 

Le Musée départemental de la Résistance

Situé dans un chalet d'alpage datant de 1794, il est représentatif de ceux qui abritaient les maquisards.

Créé en 1964, par l'Association des Rescapés des Glières, l'idée de départ était de rassembler dans un musée tous les souvenirs et toute la documentation que les Rescapés conservaient. Il est devenu Musée départemental en 1978. Présenté sur 3 niveaux, il permet de découvrir les périodes successives du conflit mondial qui débute en 1939, jusqu'à la Libération du département de la Haute-Savoie en août 1944.

 

Le Mémorial départemental de la Déportation

Il apporte un témoignage bouleversant sur les camps nazis (photos, cartes des camps nazis, poèmes de déportés, tenues...). Créé en 1965, par l'Association des Déportés, Internés et Familles de la Haute-Savoie rattachée à l'Union Nationale des Associations de Déportés, Internés et Familles (UNADIF), il est devenu Mémorial départemental. Le bâtiment actuel renferme une exposition volontairement dépouillée qui se veut porteuse d'un message de mémoire et de vigilance.

 


Site de Morette

74230 La Balme de Thuy

Tel : 04 50 32 18 38

 

Plateau des Glières

Mémoire du Maquis

Tel : 04 50 33 21 31

 

Horaires d'ouverture des sites départementaux

Tous les jours sauf le samedi, de 9H30 à 12H30 et de 13H30 à 17H

En juillet et août, 7/7 jours de 10H à 12H30 et de 14H à 18H

 

Site de Morette : fermé en décembre et janvier

Plateau des Glières : fermé du 1er octobre au 1er samedi des vacances de Nöel inclus

 

Renseignements et réservations

Les visites guidées peuvent être organisées toute l'année, durant les périodes d'ouverture, sur réservation.

Activités pédagogiques sur réservation.

 


Conseil Général de la Haute-Savoie

Direction des Affaires Culturelles Service Mémoire et Citoyenneté

18, avenue du Trésum 74000 Annecy

Tél: 04 50 51 87 00

Fax: 04 50 51 86 98

E-mail: resistancedepartementale74@cg74.fr

 

Culture 74

 

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Infos pratiques

Adresse

site de Morette 74230
Thônes
Site de Morette 04 50 32 18 38 Plateau des Glières 04 50 33 21 31

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours sauf le samedi, de 9H30 à 12H30 et de 13H30 à 17HEn juillet et août, 7/7 jours de 10H à 12H30 et de 14H à 18H

Fermetures annuelles

Site de Morette : fermé en décembre et janvierPlateau des Glières : fermé du 1er octobre au 1er samedi des vacances de Nöel inclus

Musée de la Résistance de l’Aube

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© Mussy-sur-Seine - G. Burgelin

L’histoire de la Résistance auboise foisonne de parcours et de personnalités diverses. Dès la Libération, des associations d’anciens Résistants se créent et mettent en place des projets de commémoration et de monuments à la mémoire des combats menés dans l’Aube.

Ainsi se crée, en 1967, l’association « Le Musée de la Résistance », ayant pour initiative d'aménager un lieu de mémoire destiné à perpétuer le souvenir des résistants qui ont combattu en juin 1944 dans le Maquis de Mussy-Grancey, dit maquis Montcalm, implanté dans le massif forestier entre la vallée de la Seine et la vallée de l'Ource. Placé sous le commandement d'Émile Alagiraude (dont le pseudo dans l'Armée secrète était Montcalm) regroupait 200 F.F.I. (Forces Françaises de l’Intérieur) en juin 1944 au moment du débarquement de Normandie, et près de 1 200 à la fin du mois de juillet. Le musée de la Résistance implanté à Mussy-sur-Seine prend ses racines dans la volonté du Colonel Poirier et Commandant Hubert Danesini, anciens de l’Armée Secrète, conjointe à celle de Gildas Bernard, Directeur des Archives Départementales de l’Aube.

Dès 1964, une exposition itinérante autour de la résistance auboise est créée, présentant des collections locales liées en grande partie au maquis Mussy-Grancey. Suite à la constitution de l’association du musée par les membres de l'Amicale des Combattants volontaires de l'armée secrète et du Comité du souvenir du maquis de Mussy-Grancey, en 1967, le musée voit le jour en 1971 grâce au bâtiment réaménagé par l’architecte départemental, M. Morisseau. Il est installé dans les locaux annexes de l'ancienne gendarmerie de Mussy-sur-Seine mis à la disposition de l’association. Il est inauguré par Robert Galley le 23 mai 1971, en présence du préfet de l'Aube et des conseillers généraux de Mussy et de Bar sur Seine. Devenu municipal en 1974, il est aujourd’hui Musée de France depuis 2002.

Aujourd’hui devenu musée de la Résistance de l’Aube, il ouvre à nouveau ses portes à la suite de travaux importants de rénovation et restauration sur son bâti, sa scénographie et l’ensemble de ses collections : du matériel et des tenues utilisées par les anciens Résistants au maquis, des tenues de déportés, des photographies, des affiches liées à l’Occupation ou à la Libération, constituent entre autres le fonds du musée. Il a vocation à accueillir les objets et les mémoires de la Résistance dans l’Aube, incluant de fait d’autres maquis (B.O.A., Commandos M, Libé Nord, etc.), d’autres types de résistances (celle des femmes, celle pratiquée hors des maquis, etc.), ainsi que d’autres collections qui découleront de donations ou de dépôts locaux.

 


 

Facebook : https://www.facebook.com/museeresistanceaube/

Instagram : @museeresistanceaube

 

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Infos pratiques

Adresse

6 rue Boursault 10250
Mussy-sur-Seine
03 53 63 00 20

Tarifs

Tarif plein : 5€ / Tarif réduit (étudiants, – 18 ans, +65 ans, Pass culture, Pass Côte des Bar) : 3€ / Gratuit (-6 ans, handicapés & accompagnateurs, demandeurs d’emploi, guide conférenciers, carte ICOM, journalistes, anciens combattants/déportés, militaires, invalides de guerre, Pass éducation)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouverture du mardi au dimanche, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h30 / Fermeture le lundi

Fermetures annuelles

Fermeture annuelle / visites sur réservation : du 6 novembre 2022 au 8 avril 2023

Musée de la Résistance et de la Déportation de l'Isère

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© Denis Vedelago

Initié il y a plus de cinquante ans par d’anciens résistants, déportés et des enseignants, conçu dans un esprit pédagogique et de transmission, le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère est un musée d’histoire et de société. En 1994, il devient départemental et s’installe 14, rue Hébert à Grenoble.  


Consulter l'offre pédagogique du musée >>> Visuel_offre_péda


Le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère met en lumière l’histoire de la Seconde Guerre mondiale à partir des faits et vécus locaux et restitue dans leur chronologie, les causes et les conséquences du conflit. Il permet aussi de comprendre comment et à partir de quels choix individuels est née la Résistance et souligne l’ampleur des souffrances et des sacrifices de ceux qui se sont engagés pour permettre le retour de la République. Au-delà, le musée interroge le visiteur sur les enseignements que notre société peut tirer de l’histoire, autour des valeurs intemporelles de la Résistance.

Le musée c'est...

- un bâtiment de 1 100 m² dont plus de 700 m² d'espaces de présentation répartis sur trois niveaux,

- plus de quarante expositions temporaires, avec en moyenne deux expositions par an,

- plus de cinquante publications éditées depuis 1994,

- un centre de documentation ouvert à tous sur rendez-vous,

- une offre éducative variée,

- une programmation culturelle riche et plurielle, proposée à tous les publics,

- enfin, il est le fruit de la société civile. Les fondateurs se sont rassemblés au sein de l'association des Amis du Musée de la Résistance et de la Déportation, qui continue de vivre aux côtés du musée.

La collection du musée est mise en valeur par une muséographie qui s’appuie sur la restitution de lieux ou d'ambiances : émotion et réflexion sont tour à tour sollicitées dans les espaces de longue durée.

Un parcours pédagogique intégré à la scénographie des espaces de longue durée permet une lecture du musée adaptée aux plus jeunes. Des carrés jaunes servent de lexique et permettent de comprendre les éléments et événements clés de l'Histoire.

Cinq thèmes sont abordés : l'entrée en Résistance ; les maquis ; la situation des Juifs à Grenoble et en Isère entre 1939 et 1945 ; Résistance, répressions et déportations ; La Libération. Les thèmes sont développés de manière chronologique, le parcours de la visite se décline sur les trois niveaux du musée.

Le musée propose une large programmation : projections de film, conférences-débats, présentations d’ouvrage, spectacles, ou encore jeux de piste. Des ateliers créatifs et philo, des lectures ou encore des ciné-goûters sont proposés aux familles et aux plus jeunes.

 


 


 

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Infos pratiques

Adresse

14, rue Hébert 38000
Grenoble
+33 (0)4 76 42 38 53

Tarifs

Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Lundi-vendredi : 9h - 18h / Mardi : 13h30 - 18h / Samedi, dimanche et jours fériés : 10h - 18h / Fermé le mardi matin

Fermetures annuelles

1er mai, 25 décembre et 1er janvier

Site Web : www.musees.isere.fr