Musée départemental de la Résistance et de la Déportation de Lorris

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© Hachem El Yamani

Implanté à proximité du Maquis de Lorris, lieu de mémoire fondamental de la Résistance loirétaine, le Musée de la Résistance et de la Déportation de Lorris retrace, dans un parcours de dix salles thématiques, une fresque des années 1939 à 1945 dans le Loiret. Rendant hommage aux victimes et combattants de la Seconde Guerre mondiale, il contribue à transmettre les valeurs de la Résistance.

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Fondé en 1988 à l’initiative d’anciens résistants et passé sous gestion du Département du Loiret en 2008, le Musée se compose de deux bâtiments de plain–pied, pleinement accessibles à tous les publics. Le premier se consacre aux espaces d’exposition permanente, tandis que le second accueille conférences, expositions temporaires et ateliers pédagogiques. Une salle de consultation des archives et de la bibliothèque du Musée est également accessible sur demande. Attenant au Musée, un paisible jardin propose au visiteur un espace mémoriel en hommage aux résistants–déportés du Loiret.

Formées principalement à partir de dons, les collections exposées explorent différentes perspectives de la Seconde Guerre mondiale. De la montée du nazisme à la Libération de l’Europe, des objets d’époque immergent le visiteur au cœur de la période. Pour approfondir l’expérience, des dispositifs audiovisuels favorisent la rencontre du visiteur avec les voix précieuses et irremplaçables des témoins.

Après une chronologie de la guerre présentée en introduction dans le Couloir du Temps, un premier espace expose les difficultés de la vie quotidienne sous l’Occupation. Tickets de rationnement, souliers à semelle de bois ou photographies de bombardements soulignent les privations et la violence du quotidien, rappelant les conséquences funestes de la guerre sur les civils. Plus loin, une zone de présentation du Régime de Vichy et de sa propagande invite le visiteur à méditer sur les menaces qui pèsent continuellement sur les valeurs démocratiques.

Le parcours se poursuit sur un espace de découverte et de commémoration de la Résistance, explorant notamment l’histoire du Maquis de Lorris. Remémorant la diversité des femmes et des hommes ayant forgé la Résistance, une série de portrait honore plusieurs figures locales, comme l’Abbé Thomas, l’agente britannique du SOE Lilian Rolfe ou encore le lieutenant–colonel Marc O’Neill, dont les engagements restent des sources d’inspiration pour toutes les générations.

Dans une salle dédiée à l’histoire des déportations et des camps d’internement de Beaune–la–Rolande, de Pithiviers et de Jargeau, un hommage est rendu aux victimes de la barbarie nazie. La statue du martyr de Jean Joudiou au KL de Mauthausen, la dernière lettre de Joseph Biegeleisen, déporté au camp d’extermination d’Auschwitz, ou encore la tenue de déportée de Renée Montembault au KL de Ravensbrück transmettent l’histoire et la mémoire des pans les plus sombres du vingtième siècle, retraçant les rouages des camps de la mort nazis.

La visite se termine par les combats de la Libération, la reconstruction de la France et le retour à la légalité républicaine, soulignant par exemple le rôle du Maquis de Lorris dans la Libération de Paris et du Loiret. En guise d’épilogue, un remarquable corsage en toile de parachute témoigne de l’atmosphère euphorique accueillant les soldats alliés et révèle les marques imprimées par la guerre sur la société française : mémoires collectives, objets conservés, récits partagés.

 


 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Esplanade Charles-de-Gaulle 45260
Lorris
02 38 94 84 19

Tarifs

Voir site internet : https://www.museelorris.fr/preparer-sa-visite/horaires-et-tarifs

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Voir site internet : https://www.museelorris.fr/preparer-sa-visite/horaires-et-tarifs

Fort d'Ivry-sur-Seine

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Prise de vue aérienne du fort d'Ivry. ©Michel Riehl – Source : ECPAD

Ce fort, construit entre 1841 et 1845, a été modifié après la guerre de 1870 afin de défendre Paris...

Propriété de l'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (E.C.P.A.D), le fort d'Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), construit entre 1841 et 1845, a été modifié après la guerre de 1870 afin de défendre Paris. Il appartient à la première ligne du système Séré de Rivières.

Construit entre 1841 et 1845, le fort était armé en 1870 de 94 pièces d'artillerie et commandé par le capitaine de vaisseau Krantz. Il était défendu par un bataillon de marins venus de Brest.

Les 29 et 30 novembre, le fort appuya les attaques des avant-postes du 6e corps prussien au Nord de Choisy-le-Roi, Thiais et Chevilly-la-Rue. Ces trois villages reçurent 5 500 obus dans la seule journée du 30. Les assiégeants ne durent leur salut qu'à leurs nombreuses tranchées. Les troupes françaises abandonnèrent les positions prises dans la soirée du 30. Le fort est occupé par le 6e Corps prussien du 29 janvier au 20 mars 1871. Une batterie de mortiers de 21 cm fut installée à la gorge pour tirer sur l'enceinte et des batteries de canons de 15 cm pour bombarder Paris en cas de reprise des combats.

La Commune occupa le fort après le départ des Prussiens, le colonel Rogowski commanda la garnison fédérée. Devant la menace d'un assaut des troupes du 3e corps versaillais, les Fédérés évacuant le fort dans la nuit du 24 au 25 mai, firent sauter un dépôt de munitions détruisant neuf des casemates du front 3-4.

Le fort est un pentagone à 5 bastions. Il est construit sur des galeries de carrières . seul un des bastions n'est pas établi sur des piliers de fondation. Les galeries (plus de 2 km) furent aménagées de 1852 à 1860 pour surveiller ces piliers et servir d'abris de bombardement (le ciel des galeries a une épaisseur de 6 m). Lors des travaux, on utilisa 2 bataillons du 65e Régiment de Ligne qui furent logés dans un camp de baraquements prés du fort.

La position dominante du fort est bien visible depuis le carrefour au Nord de l'entrée. Celle-ci est logée avec deux corps de garde dans cinq casemates voûtées. Trois poternes, dont 2 accolées à des latrines, existent aussi sur les autres fronts. Le rempart et les bastions sont surmontés d'une cinquantaine de traverses, dont 28 avec abri voûté. Le rempart entre les bastions 3 et 4 protège 18 casemates. l'une d'elles a reçu un four à pain. Les flancs adjacents des bastions sont équipés de casemates de tir pour l'infanterie. Les quatres autres remparts sont munis d'une escarpe avec chemin de ronde pour l'infanterie. La place d'armes est entourée d'une grande caserne pour la troupe et de 2 pavillons pour les officiers.

Ces bâtiments furent refaits en 1872.

Les 2 magasins à poudre présentent une surface intérieure de 142 m2. Le fort est doté de 3 puits. La maçonnerie est constituée de parements en meulière et pierre de taille pour les chaînages et les encadrements des ouvertures. Les toits des bâtiments sont en tuiles ou en zinc. Les voûtes des casemates et des magasins sont en pierre. Actuellement, les fossés sont conservés entre les bastions 1, 2, 3 et 4. A l'Ouest, une caserne de Gendarmerie occupe l'emplacement des fossés. Les glacis sont occupés par des jardins, un collège et un lycée, des pavillons et des immeubles. L'entrée se fait toujours par un corps de garde casemate. Le rempart a gardé ses traverses et ses casemates, même si ces dernières ont été transformée en bureaux. Les trois casernes refaites après 1872, ont été réaménagées, ainsi que les deux magasins à poudre de 1847.

Les locaux abritent l'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (E.C.P.A.D). Il conserve les archives audio-visuelles de l'histoire militaire de la France de 1900 à nos jours à travers 16 800 films et vidéos et plus de 3,5 millions de photographies.

La collection de la Première Guerre mondiale réunit l'ensemble des clichés et films réalisés par la Section Photographique et Cinématographique des Armées (SPCA) de 1915, date de sa création, à 1919, date de sa suppression. Ce fonds est constitué d'images directement liées au combat et à ses conséquences : le front français et le front d'Orient, à la vie des poilus, au service de santé des armées, aux prisonniers, et aux ruines des champs de bataille. d'images sur l'effort économique du pays et des colonies . d'images sur la vie politique et diplomatique : les visites officielles des chefs d'États ou des délégations étrangères, le Traité de Versailles... de prises de vues et d'oeuvres d'art, de monuments et de musées, et d'images réalisées en prévision de la reconstruction.

La collection de la Seconde Guerre mondiale rassemble des documents réalisés par les différentes forces en présence : la Drôle de guerre témoigne de la vie en campagne des armées françaises, de la mer du Nord à la frontière italienne, entre la déclaration de guerre et le début de la campagne de France . Vichy concerne les activités du gouvernement et de l'Armée d'Armistice, essentiellement en zone libre et en Afrique du Nord avant le débarquement allié . l'Armée de libération suit les principaux combats livrés, de l'Afrique du Nord à l'Europe, depuis Alger en novembre 1942 jusqu'à la libération des camps de concentration en 1945.

Le fonds allemand est particulièrement riche par le grand nombre de théâtres d'opérations qu'il illustre sur le front occidental et par la diversité des sujets traités dans le domaine militaire (scènes de combat et d'entraînement, vie des unités sur le front, répression des populations à l'Est, fabrication d'armes) et dans celui de la vie quotidienne. Production du SCA, Service Cinématographique des Armées désormais unifié après la guerre, la collection sur la guerre d'Indochine regroupe le Tonkin, l'Annam, la Cochinchine, le Cambodge, et le Laos.

Si les reportages militaires, dont la majorité concerne l'armée de Terre, représentent le sujet principal de cette collection, on y trouve également des documents décrivant le mode de vie, l'habitat et les coutumes spécifiques de diverses ethnies. Nombre de documents appartenant à cette collection illustrent l'action de la France dans ses colonies : maintien de l'ordre, mise en valeur industrielle et agricole, construction d'écoles, de logements, de dispensaires, mise en place de structures administratives. Ils attestent d'une volonté de présence française en Indochine et en Algérie.

Les fonds des Opérations extérieures. La protection des intérêts fondamentaux de la France peut conduire les forces armées à intervenir hors du territoire national. On parle alors d'opérations extérieures, effectuées dans le cadre de mandats internationaux comme l'OTAN ou l'ONU. Les principales opérations extérieures couvertes par l'ECPAD depuis 1945 sont la guerre de Corée (1952-1953), le Liban (1978-1984), le Tchad (1978-1987), «le Cambodge (1991-1993), la guerre du Golfe (1991), la Bosnie-Herzégovine (depuis 1992), le Rwanda(1994), le Kosovo et la Macédoine (depuis 1998), la Côte d'Ivoire, l'Afghanistan (depuis 2001).

 

Fort d'Ivry-sur-Seine

2-8 route du Fort

94205 Ivry-sur-Seine

 

Tourisme de mémoire

Mairie d'Ivry Esplanade Georges Marrane

94205 Ivry-sur-Seine cedex

Tél. : 0149.60.25.08

 

Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD)

Tél : 01.49.60.52.00

Fax : 01.49.60.52.06

e-mail : ecpad@ecpad.fr ou mediatheque@ecpad.fr

 

Site de l'établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense

Ville d'Ivry-sur-Seine

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

2-8 route du Fort 94205
Ivry-sur-Seine
Tourisme de mémoire Tél. : 0149.60.25.08 Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD)Tél : 01.49.60.52.00Fax : 01.49.60.52.06

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Se renseigner pour l'accessibilité au site

Le Musée de la Résistance en ligne (1940-1945)

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Capture d'écran du site ©AERI

Actualité Exposition virtuelle consacrée aux brassards de la Résistance

 

Le Musée de la Résistance en ligne (1940-1945) est un musée virtuel, visible sur Internet, à l’adresse : https://www.museedelaresistanceenligne.org


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  musée en ligne


L’AERI travaille, depuis plus de dix ans, à la réalisation de cédéroms (ou dvd-roms) sur la Résistance locale. Elle a réussi à se constituer un réseau dynamique de plusieurs centaines de personnes sur toute la France (enseignants, résistants, archivistes, historiens, étudiants, universitaires, conservateurs, représentants des collectivités et des associations…) . acquérir un savoir-faire en mettant en place une méthodologie de travail en réseau, via un site Intranet, et des compétences à la disposition des équipes (juriste, cartographe, chercheurs étrangers…) . récolter une masse documentaire considérable : plus de 30 000 documents (affiches, tracts, lettres, journaux, photos, documents sonores ou archives filmées…), 25 000 fiches historiques (thématiques, bibliographiques), 50 000 noms, 19 000 faits, et plus de 6 000 lieux référencés, 20 000 références archivistiques et bibliographiques.

D’où l’idée de créer, en lien avec de nombreux partenaires (fondations, ministères, collectivités, musées, centres d’archives, associations, centres de recherche…), un site portail de référence sur la période : le Musée de la Résistance en ligne (1940-1945).

Les outils informatiques utilisés mettent en évidence l’apport d’Internet aussi bien au niveau de la présentation et de l’analyse des documents que de leur utilisation pédagogique.

Grâce à l’outil Internet et aux technologies qui lui sont rattachées, le Musée de la Résistance en ligne est un site résolument grand-public, visible car à dimension nationale et internationale, valorisant des contenus culturels numériques en rassemblant des ressources, en diffusant de l’information et en redirigeant le visiteur vers l’interlocuteur adapté. 

Depuis janvier 2012, c’est au sein de la Fondation de la Résistance, que le "département AERI" poursuit ses missions.

Le Musée de la Résistance en ligne est visible par le public depuis janvier 2011 avec :

Des expositions régionales : une exposition sur la Drôme est en ligne depuis janvier 2011.
Une exposition de préfiguration sur la Résistance en PACA a été mise en ligne en décembre 2011.
L’exposition définitive sera prête en 2014. 

 

Plusieurs expositions sont déjà en ligne :

  • « Défense de la France » : exposition autour des 47 numéros de ce journal clandestin diffusé à plus de 150 000 exemplaires (février 2012).

  • « Eysses, une prison en Résistance (1943-1944) » : visite virtuelle de la Centrale d’Eysses où ont été incarcérés plus de 1 400 résistants de toute la France pendant la Seconde Guerre mondiale (depuis janvier 2012). Une exposition complémentaire présentant le parcours de treize résistants incarcérés à Eysses est en préparation.

  • « Serge Ravanel : un combat pour l’unité » : exposition sur ce grand résistant, compagnon de la Libération, libérateur de Toulouse (depuis août 2011).

  • Présentation d’une trentaine de gouaches sur des scènes de la Résistance, réalisées par un résistant drômois, Albert Fié (depuis janvier 2011).

  • « Résistants, une génération oubliée » : exposition photographique de Sand Arty (mai 2012).

  • Exposition autour du CNRD « Communiquer pour résister (1940-1945) » (automne 2012).

  • Exposition sur le mouvement Libération Nord, couplée avec l’exposition physique  présenté au Musée du général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris-Musée Jean Moulin. Un site Internet mobile optimisé pour une consultation sur smartphone ou tablette numérique a aussi été réalisé (www.exposition-libe-nord.org)  (septembre 2012).

  • De Lorraine à Robert Petit-Lorraine : une œuvre résistante (2013).

  • La photographie et les combats de la Résistance en Ardèche.

  • Exposition sur la Médaille de la Résistance (février 2013).

  • Exposition sur Jean Moulin complémentaire à celle réalisée par le Musée du général Leclerc de Hauteclocque, Musée Jean Moulin (Paris-Musées), en avril 2013.

  • Exposition sur le regroupement de la Résistance et le CNR (printemps 2013).

  • Exposition sur les maquis (avril 2013).

  • Exposition sur la Résistance et la Libération de la Corse (septembre 2013).

"Résistance et Libération de la Corse"


En cours de réalisation :

  • 11 novembre 1943, le défilé d’Oyonnax.

  • Exposition sur l’histoire du Vercors.

  • Exposition régionale sur la Résistance en Ardèche.

  • Exposition autour du CNRD « La libération du territoire et le retour à la République ».


Outre les espaces "Expositions", le musée virtuel dispose d’une médiathèque, "base média", où sont recensés tous les documents exposés dans le musée virtuel. Des ateliers pédagogiques à destination des enseignants et
de leurs élèves sont proposés sous forme de blog. Ils peuvent ainsi travailler sur des thématiques en lien avec les expositions, les programmes scolaires, le Concours national de la Résistance et de la Déportation.

De nombreuses ressources sur l'histoire de la Résistance sont produites par les institutions (musées, associations, fondations, centres d'archives, monde de l'Education...), mais aussi par des particuliers. Elles ne sont souvent que peu ou pas connues en dehors des réseaux spécialisés. La « salle de consultation » du Musée virtuel propose de centraliser ces ressources en distinguant : les guides méthodologiques, les sources primaires et fonds d'archives, les ressources bibliographiques et multimédias. Cet espace propose également un annuaire des musées de la Seconde Guerre mondiale.

 

AERI - 16-18 Place Dupleix - 75015 Paris - Tél : 01 45 66 62 72 - Fax : 01 45 67 64 24

E-mail : musee@aeri-resistance.com

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Infos pratiques

Adresse

AERI - 16-18 Place Dupleix 75015
Paris
01 45 66 62 72

Le C.H.R.D. de Lyon

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Salle du musée. Source : Le C.H.R.D.

En vingt ans, ce lieu de mémoire incontournable a reçu plus d’un million de visiteurs, se positionnant ainsi parmi les plus importants musées d’histoire de la Seconde Guerre mondiale en France. Il est installé symboliquement dans l'ancienne École de santé militaire occupée par la Gestapo entre 1943 et 1944.

 

- Exposition temporaire « Une étrange défaite ? Mai-juin 1940 » du 23 septembre 2020 au 21 mars 2021 -

Consulter l'offre pédagogique du centre >>>  Centre d'histoire de la Résistance et de la Déportation


Pour célébrer cette date anniversaire, le musée s'est doté d'une  nouvelle exposition permanente après un an de travaux. Un contenu concret a été privilégié, basé sur des éléments matériels et immatériels inédits : objets de collection et témoignages. Le parcours muséographique a été conçu au plus près des murs du bâtiment historique, ancien siège de la Gestapo de Lyon.

Alors que l’approche historique de cette période connaît un nouvel élan grâce à la recherche universitaire et que l’agglomération lyonnaise se dote de nouveaux équipements – la maison du docteur Dugoujon, lieu de l’arrestation de Jean Moulin le 21 juin 1943 et la prison de Montluc – mettant en perspective la notion de répression de la Résistance et de persécution de la population juive, il était nécessaire de réorienter le propos vers une approche plus pragmatique de l’histoire de la Résistance, de sa répression et du contexte social et politique de Lyon entre 1940 et 1945.

Valoriser les collections du musée, rendre compte des avancées de la recherche historique, révéler les spécificités de la ville de Lyon pendant la guerre et évoquer l’histoire du bâtiment sont quelques-uns des objectifs poursuivis par la nouvelle exposition.

Une scénographie renouvelée

Une trentaine de points audiovisuels, attachés aux chronologies ou à un objet, livre la voix des témoins pour offrir un contrepoint sensible à la découverte historique des événements, favorisant une rencontre que la disparition progressive des témoins rend désormais précieuse et irremplaçable.

Les collections

Pour la toute première fois, les collections du musée seront valorisées à travers un parcours de 300 m2 principalement centré sur la découverte des particularités de la Résistance dans le contexte urbain de la ville de Lyon.

Le fonds photographique

La nouvelle exposition met également à l’honneur le travail de trois photographes renommés de l'époque : André Gamet, Charles Bobenrieth et Émile Rougé.

Le service pédagogique

 

Alors que nous entrons désormais dans le "temps de l’Histoire", le CHRD se dote, à travers cette nouvelle exposition permanente, d’un outil de réflexion et d’échange apte à aider nos contemporains à comprendre
le monde complexe qui les entoure.

 

Centre d'Histoire de la Résistance et de la Déportation

14 avenue Berthelot - 69007 Lyon

Tél : 04 78 72 23 11

 

www.chrd.lyon.fr

 

Dossier de presse du C.H.R.D :

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Infos pratiques

Adresse

14 avenue Berthelot - 69007
Lyon

Tarifs

Exposition permanente :Tarif normal : 4€ - Tarif réduit : 2€Exposition temporaire :Tarif normal : 5€ - Tarif réduit : 3€Visite couplée :Tarif normal : 6€ - Tarif réduit : 4€Visite commentée et visite singulière :3€ + billet d’entrée Procès BarbieAccès libre

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du mercredi au dimanche, de 10h à 18h.Le centre de documentation :En libre accès. Du mercredi au samedi,de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

Fermetures annuelles

Les jours fériés (sauf le 8 mai).Entre Noël et le Jour de l'an.

Courriel : 04 78 72 23 11

Musée de la Résistance en Bretagne

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©Cadmée-AST-Gruet-Peutz-LTP

Le musée, situé à Saint-Marcel dans le Morbihan, vous plongera dans l’Histoire de la Seconde Guerre mondiale.

>Actualités

Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Saint-Marcel


18 juin 1944 : quatre ans exactement après l’appel lancé depuis Londres par le général de Gaulle, la bataille de Saint-Marcel s’engage. 150 parachutistes SAS de la France Libre et 2000 Résistants bretons tiennent en échec des troupes allemandes aguerries.

Implanté sur les lieux mêmes des combats qui ont marqué les mémoires, le musée de la Résistance en Bretagne a été entièrement modernisé après 20 mois de travaux. Il présente la vie quotidienne d’hommes et de femmes sous l’occupation et l’engagement de ces bretons dans l’armée des Ombres.

Au sein d’une scénographie entièrement renouvelée, ce sont près de1000 objets parmi 12 000 conservés avec soin, qui incarnent et perpétuent cette mémoire.

Les 1000 m² d’exposition s’articuleront autour d’un vaste patio marqué d’une immense de croix de Lorraine. Au fil du parcours, les objets de collection : armes, véhicules, mais aussi tunique et veste de déporté, objets du quotidien… ont été soigneusement choisis pour l’émotion ou l’Histoire qu’ils véhiculent.
Ces objets racontent tous une histoire, celle d’hommes et de femmes entrés en lutte contre les troupes d’occupation, mais surtout contre une idéologie : le nazisme.

Les nombreux contenus interactifs et multimédia et les reconstitutions grandeur nature (rue sous l’occupation, l’intérieur d’un blockhaus…) vous plongent au cœur même de la Seconde Guerre mondiale.

Au moment où les derniers acteurs et témoins de cette époque disparaissent, il nous semble essentiel que l’humain soit au cœur du parcours de votre visite afin de faire perdurer la mémoire.

Reconnu « Musée de France », le musée de la résistance en Bretagne vous promet une visite éducative et émouvante au cœur de l’Histoire.

 

Musée de la Résistance en Bretagne

Les Hardys Behelec - 56140 Saint-Marcel

Tél. : 02 97 75 16 90

Formulaire de contact

 


 

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Infos pratiques

Adresse

rue des hardys behellec 56140
Saint-Marcel
02 97 75 16 90

Tarifs

Plein tarif : 8 € Tarif réduit : 6 € https://www.musee-resistance-bretagne.com/horaires-tarifs/

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er mai au 30 septembre / Ouvert tous les jours, de 10h à 18h30. Du 1er février au 30 avril puis du 1er octobre au 31 décembre / Ouvert tous les jours, de 14h à 18h (Sauf le mardi). Les matinées sont réservées aux scolaires et aux groupes.

Fermetures annuelles

Fermeture annuelle : du 1er au 31 janvier

Mémorial National de la prison de Montluc

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©Bertrand Pichene - ONACVG

Le Mémorial National de la prison de Montluc rend hommage aux près de 10 000 résistants, Juifs et otages, victimes de l’occupant nazi entre 1943 et 1944. Haut lieu de la mémoire nationale et site emblématique de la Seconde Guerre mondiale à Lyon, cette prison traverse l’histoire du 20ème siècle, entre 1921 et 2009, date de sa fermeture comme maison d’arrêt pour femmes.



Construite en 1921, la prison de Montluc n'est réellement utilisée qu'à partir du début de la Seconde Guerre mondiale. Prison militaire du régime de Vichy à partir de 1940, elle est ensuite réquisitionnée par l’occupant nazi de janvier 1943 à août 1944, à la suite de l’invasion de la zone sud de la France par l’armée allemande. Prison militaire de la Wehrmacht, Montluc passe rapidement sous le contrôle de la Gestapo de Lyon et de son chef, Klaus Barbie.

Lieu d’internement de près de 10 000 hommes, femmes et enfants durant l’occupation allemande, et notamment des enfants d’Izieu, de Jean Moulin et de Marc Bloch, la prison de Montluc est un lieu emblématique des politiques de répression et de persécutions allemandes et françaises dans la région de Lyon, et l’une des principales portes d'entrée vers la déportation et les exécutions.

Devenue prison civile à partir de 1947, elle continue alors de fonctionner avec le tribunal militaire de Lyon et accueille ses différents condamnés, notamment pendant la guerre d'indépendance algérienne.

En février 1983, à la demande du garde des Sceaux Robert Badinter, Klaus Barbie est symboliquement emprisonné à la prison de Montluc durant quelques jours, sur le lieu de ses crimes. Son procès, en 1987, le condamne à la réclusion criminelle à perpétuité pour crime contre l’humanité.

La prison de Montluc ferme ses portes en tant que maison d'arrêt pour femmes en 2009 et devient, en 2014, un haut lieu de la mémoire nationale ouvert au public. Ce site historique rend hommage aux milliers de résistants, Juifs, et otages, qui y furent internés.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

4 rue Jeanne Hachette 69003
Lyon
04 78 53 60 41

Tarifs

Entrée gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Le site étant actuellement en travaux, les horaires peuvent évoluer (consulter notre site internet)

Fermetures annuelles

Le Mémorial est fermé les jours fériés, ainsi que du 25 décembre au 1er janvier inclus

Mémorial Jean Moulin

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© Ville de Caluire-et-Cuire

Qualifiée de « Capitale de la Résistance », Lyon et sa région furent le théâtre d’évènements majeurs de la Résistance et de la répression nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Parmi les nombreux sites commémoratifs, le Mémorial Jean Moulin est, avec la prison de Montluc et le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation, l’un des 3 hauts lieux de mémoire consacrés à cette période.

C’est à Caluire et Cuire, le 21 juin 1943, que Jean Moulin, représentant personnel du Général de Gaulle, chef des Mouvements Unis de la Résistance et président du Conseil National de la Résistance, fait ses derniers pas d’homme libre. En début d’après-midi, il sera arrêté par Klaus Barbie et la Gestapo avec 7 résistants responsables de l’Armée Secrète. Les suites de cette arrestation furent tragiques : Jean Moulin fut torturé et mourut lors de son transfert vers l’Allemagne.

La maison du Docteur Dugoujon, devenue Mémorial Jean Moulin en 2010, est inscrite à l’Inventaire des Monuments historiques et labellisée « Maison des Illustres ». Réhabilitée dans le respect de son aspect originel, elle constitue l’une des traces les plus importantes et bien conservées de la Résistance française dans la région de Lyon. Trois salles mémorielles permettent d’imaginer le cadre de l’arrestation du 21 juin 1943. La salle multimédia est un espace non mémoriel aménagé en sous-sol dans l'ancienne cave du docteur. Elle permet au visiteur d'approfondir ses connaissances et ses réflexions sur la période à travers des outils numériques et une scénographie repensée autour de la citoyenneté et des valeurs de la République.

 


 

 

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Infos pratiques

Adresse

Place Jean Gouailhardou 69300
Caluire-et-Cuire
04 78 98 85 26

Tarifs

Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Pour les individuels : les mercredis et samedis (les mardis, mercredis, jeudis et samedis pendant les vacances scolaires de la zone A) - Départ des visites guidées à 11h, 13h30 et 15h / Pour les groupes (adultes ; scolaires ; jeune public) : les mardis : de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h, les mercredis : de 9h à 12h30, les jeudis : de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h Le Mémorial est ouvert les 11 novembre, 8 mai et 14 juillet

Fermetures annuelles

Entre le 1er et le 15 août inclus et entre Noël et le jour de l’An

Musée de la Résistance en Morvan

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Inauguré le 26 juin 1983 par François Mitterrand, le musée est l’œuvre d’historiens et d’anciens résistants.

Situé au sein de la Maison du Parc naturel régional du Morvan, le musée permet de comprendre le rôle et l’importance de la Résistance dans la région, durant la Seconde Guerre mondiale.


- Actualité - juillet 2022 -
> Jeudi 28 juillet à 14h, Ouroux-en-Morvan | Sortie commentée au maquis Bernard | Ouroux-en-Morvan - Affiche
Documentaire sur l'histoire du massacre de Dun-les-Places

Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Morvan


Grâce à sa collection importante, le musée offre une proximité avec l’Histoire.

De nombreux objets, documents d’archives, matériels, photographies, armes… sont présentés à travers trois salles : Occupation, Résistance, Libération et Mémoire.

Un portrait de la « Galerie Numérique » du Morvan, au cœur de la visite, plonge le visiteur dans l’univers de la vie dans les maquis.

L’Occupation

La première salle sur l’Occupation aborde le sentiment patriotique et la défense du Morvan dès 1940, puis le poids de l’Occupation allemande : occupation des villes et villages, restriction des libertés, rationnement, réquisitions, répression nazie…

La Résistance

Face à la propagande allemande et vichyste, la Résistance s’organise : tracts et journaux clandestins, courageuses interventions de personnalités du Morvan, motivations…

Cette deuxième salle présente les premiers actes de Résistance jusqu’à la formation des Maquis (matériels divers, photographies, armes, tenues…) et l’aide apportée par les alliés (parachutages, containers, cartes, mannequin…)

La Libération et la Mémoire

Le Morvan occupe une position stratégique dans la Libération du territoire.

Les Maquis libèrent le Morvan en septembre 1944 : sabotages, combats, batailles (photos, reconstitution, objets…).

Enfin, la visite se termine sur la Mémoire et la philosophie de la Résistance (photographies de manifestations du souvenir, de stèles et de monuments : poèmes, textes, lettres…).

Galerie Numérique

« Les Maquis du Morvan » : nouveau portrait de la Galerie Numérique.

Installée à mi-parcours de l’exposition permanente, son portrait « Les Maquis du Morvan » est un espace de projection immersif présentant la vie quotidienne dans les maquis.

Dans cet espace, un film est diffusé sur deux écrans : d’un côté, les documents directement liés à la vie des maquis, de l’autre, la remise en perspective de ces évènements dans le contexte national et international de la guerre.

Cette installation plonge le visiteur dans l’univers des Maquis du Morvan, pour y découvrir leur organisation au quotidien : les actions, le campement, le rôle du chef, la faim, la peur, le courage…

De la petite à la grande Histoire, cette fresque parle des personnes, femmes et hommes, qui composèrent ces maquis et qui jouèrent un rôle central dans la libération de la France.

Activités Pédagogiques

Le musée est un espace qui répond pleinement aux exigences des programmes d’histoire, histoire des arts, éducation morale et civique des écoles, collèges et lycées. Il offre aux élèves et aux enseignants l’opportunité d’aborder de façon concrète différentes thématiques propres à la Seconde Guerre mondiale tout autant que les notions de droits humains, de liberté, d’engagement, de tolérance et de solidarité. Il permet également d’envisager une réflexion sur les valeurs de la République française et les principes fondateurs de la Construction européenne.

Enfin, il permet aux élèves de comprendre concrètement l’engagement citoyen.

 

Expositions, conférences, projections, événements nationaux (JEP, nuit des musées, etc.), cérémonies…

cliquez pour accéder à cet espace

 

Offre pédagogique (ateliers, visites adaptées, dossiers pédagogiques…)

Cliquez pour accéder à cet espace

 

 

Sources : ©Musée de la Résistance en Morvan
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Infos pratiques

Adresse

Maison du Parc 58230
Saint-Brisson
03 86 78 72 99

Tarifs

Plein tarif : 6,50 €- Jeunes : 4 €- Groupes : 4 €- Gratuité : enfants – de 8 ans et ambassadeurs (adhérents à l’association « Morvan, terre de Résistances – ARORM »)- Pass/tarifs groupés éventuels (enfants de 8 à 15 ans, chômeurs, famille de 4 personnes et +, Pass « Clé des Musées » et étudiants) : 4 €- Pass Résistance (accès au Musée de la Résistance et au Mémorial de Dun-les-Places) : 8,50 €

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours (sauf mardi, samedi matin) de 10h à 13h et de 14h à 18h de Mai à Septembre.Tous les jours (sauf mardi, samedi matin) de 10h à 13h et de 14h à 17h en Avril, Octobre et Novembre.Tous les jours de 10h à 13 et de 14h à 18h de Juillet à Août.

Fermetures annuelles

Du 11 Novembre au 1er Avril.Office de tourisme de référence : Maison du Parc – 58230 Saint-Brisson - Tel : 03 – 86 – 78 – 79 – 57

Mémorial de la Résistance du Vercors

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Vue panoramique. Source : Mémorial de la Résistance du Vercors

Le Mémorial est un monument commémoratif, un lieu de mémoire, de recueillement.

En 360°, partez à la découverte des nécropoles du Vercors (Drôme/Isère)

 

Entrez dans la forteresse et plongez dans le quotidien des maquisards. Un parcours symbolique de l'ombre à la lumière... Vassieux « Ici commence le Pays de la Liberté » L'histoire du premier et du plus important maquis de France.

À la différence d'un musée d'objets, le Mémorial recourt à la mise en scène, image, son et lumière.

Une architecture intégrée

Respectant le site naturel environnant exceptionnel, cette citadelle enchassée dans la montagne, laisse libre et intact le creux d'une combe. Le bâtiment camouflé, recouvert par la végétation, rappelle la clandestinité des maquisards.

Œuvre d'une grande puissance évocatrice

1 200m2 recréent l'atmosphère d'époque à travers un ensemble de codes à décrypter. Tout est conçu pour comprendre et ressentir ce que furent l'espoir et les drames d'alors.

Un message universel de vigilance et de solidarité

Le Mémorial est un monument commémoratif, un lieu de mémoire, de recueillement. Il entretient le souvenir des évènements tragiques de juillet 1944 et rend hommage aux hommes et aux femmes qui ont combattu pour la liberté. La visite incite à la réflexion grâce aux documentaires et aux témoignages : analyse et compréhension des comportements humains dans leurs actes de grandeur comme dans la barbarie. L'objectif est de souligner la valeur universelle du témoignage du Vercors. Il s'agit de faire entendre le message de la résistance, de toute résistance, au plus grand nombre. Toutes les résistances ne conduisent pas à la victoire, mais toutes mènent à la dignité. Le Mémorial accueille 37 000 visiteurs par an (dont 50% d'enfants).

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Infos pratiques

Adresse

Col de La Chau 26420
Vassieux-en-Vercors
04 75 48 26 00

Mémorial de Caen

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Le Mémorial de Caen. ©Licence Creative Commons. Libre de droit

Le mémorial expose les causes et les conséquences du deuxième conflit mondial, en prenant comme point départ l'année 1918.

[Spécial Centenaire] expo-photos « Photographies du Front d’Orient, 1914-1918 »


Consulter l'offre pédagogique du mémorial >>>  mémorial Caen


Inauguré le 6 juin 1988 par François Mitterrand, Le Mémorial de Caen est le musée de référence sur l'histoire du XXe siècle.

Labellisé Musée de France, il cherche à démontrer combien la compréhension du monde impose une connaissance de son histoire. À partir d'une scénographie innovante et chargée d'émotion, cette Cité de l'Histoire pour la Paix propose un voyage historique et une réflexion sur l'avenir à travers trois principaux espaces muséographiques : les tensions internationales et la Seconde Guerre mondiale, la Guerre froide ainsi que le thème de la paix.

Outre sa mission historique, Le Mémorial de Caen s'attache à démontrer la fragilité et les exigences de la Paix et des Droits de l'Homme.

Site culturel et touristique incontournable en Normandie, Le Mémorial de Caen s'ouvre sur des jardins de 35 hectares et est aujourd'hui l'un des premiers sites mémoriels européens avec une moyenne de 400 000 visiteurs par an. Plusieurs fois primé pour ses qualités d'accueil et la richesse de son contenu muséographique, il organise des visites guidées en complément de la visite du parcours.

Quatre espaces permanents et une exposition temporaire au Mémorial de Caen pour mieux comprendre l'histoire du XXe siècle.

Espaces permanents :

  • Berlin au cœur de la Guerre froide
     
  • Taches d'Opinions - L'actualité du monde à travers le dessin de presse
     
  • Guerre mondiale, Guerre totale
     
  • Le Débarquement et la Bataille de Normandie

Le Mémorial de Caen propose à ses visiteurs un système complet d'audioguides multilingues en complément des visites guidées.


Le Mémorial de Caen

Esplanade Eisenhower B.P. 55026 - 14050 Caen Cedex 4

Tél : 02 31 06 06 45 Fax : 02 31 06 01 66

Email : contact@memorial-caen.fr

 

Normandie Mémoire

Site du comité départemental du tourisme du Calvados

Site du comité régional du tourisme de Normandie

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Infos pratiques

Adresse

Esplanade Eisenhower - CS 55026 14066
caen Cedex 4
02 31 06 06 44