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Gerbéviller National Cemetery

La nécropole nationale de Gerbéviller. © ECPAD

 

Pour accéder au panneau d'information de la nécropole, cliquer ici vignette_necropole_Gerbeviller

 

Gerbéviller National Cemetery, in the locality of Grand Rupt, is the final resting place for 2,167 soldiers who gave their lives for France during the Battle of the Trouée des Charmes, in August 1914. It was established in 1920, at the same time as the neighbouring German cemetery, and testifies to the extremely fierce fighting that took place in the region to stem the German advance in 1914. In 1924, the site was enlarged to receive the remains of soldiers exhumed from the neighbouring cemeteries of Charmes, Haroué, Moyen and Chenevièvres.

The cemetery contains the individual graves of 728 soldiers, together with the remains of another 1,439 soldiers buried in collective graves, all from World War I. Three soldiers who fell during World War II are also buried here.

 

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © ECPAD

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © Guillaume Pichard

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © Guillaume Pichard

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © Guillaume Pichard

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © Guillaume Pichard

  • La nécropole nationale de Gerbéviller. © Guillaume Pichard

  • Fantassins français en position dans un champ. Vêtus d'un pantalon rouge garance et capote bleue, les soldats français restent des plus exposés aux tirs des mitrailleuses ennemies. © Collection particulière FBN - DR

  • Vestiges du village de Gerbéviller. Gros bourg de 1600 habitants situé au sud-est de Nancy, Gerbévillier est âprement défendu, le 24 août 1914, par les Français. Au soir du 24, le village est conquis. Furieux qu'une poignée de soldats aient pu ralentir la progression de deux régiments, les Allemands rassemblent les civils qui n'ont pu fuir. Accusant ces personnes d'avoir pris part aux combats et d'avoir tiré sur l'ennemi, les Allemands exécutent, en représaille, une soixantaine de civils, n'épargnant ni les femmes ni les vieillards. Soumis au pillage, le village est détruit à 80%. © Collection particulière FBN - DR

  • Ruines du faubourg de Ramberviller - Gerbéviller, septembre 1914. © CIL/Collection Jean-Marie Picquart

  • Foule nombreuse participant à une cérémonie commémorative en l'honneur des civils fusillés et des soldats tués en 1914, Gerbéviller, août 1918. Tout au long de la guerre, les ruines de de Gerbévillier sont visitées par les plus hautes autorités politiques et militaires de la France. Par ailleurs, au début de la guerre, la presse, au travers de nombreux articles et d'une rhétorique éditoriale puissante, dénonce les comportements de l'ennemi. Avançant souvent le prétexte cynique des francs-tireurs, la presse oppose l'image de pays alliés, respectant les normes civilisées de la guerre, à celle d'un pays brutal et barbare. © ECPAD

  • Préfet Mirman prononçant un discours honorant le souvenir des victimes de Gerbévillier, août 1918. Nommé préfet de Meurthe-et-Moselle le 9 août 1914, Léon Mirman s'engage, tout au long de la guerre, à soutenir les réfugiés civils du département. © Archives municipales de Nancy