Les Forces navales françaises libres (FNFL)

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Pavillon F.N.F.L. © Coll. privée ©www.delcampe.net
Pavillon F.N.F.L. © Coll. privée ©www.delcampe.net

La situation de la marine française est, au lendemain de la demande d’armistice, tout à fait particulière.

Le 11 novembre raconté par le maréchal Foch

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[...] À 5h05, on est d'accord sur le texte définitif. Il est décidé qu'afin d'arrêter les hostilités le plus tôt possible, la dernière page de ce texte sera dactylographiée immédiatement et que les signatures y seront apposées. 

À 5h10, les plénipotentiaires alliés et allemands y apposent leurs signatures. L'heure conventionnelle de 5 heures est adoptée comme heure de la signature. [...]

L'émancipation des femmes dans la Grande Guerre

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À Pompey, en Meurthe-et-Moselle, le 19 août 1917, des femmes fabriquent des noyaux de 155 mm. © Jacques Agié/ECPAD.
À Pompey, en Meurthe-et-Moselle, le 19 août 1917, des femmes fabriquent des noyaux de 155 mm. © Jacques Agié/ECPAD.

La Grande Guerre a-t-elle fait progresser l'émancipation des femmes ?

La bataille du Bois des Caures

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Carte du Bois des Caures, indiquant les positions des chasseurs le 21 février 1916. © Musée Emile Driant.
Carte du Bois des Caures, indiquant les positions des chasseurs le 21 février 1916. Source : Musée Emile Driant.

Le 20 février, Driant écrit dans l'une de ses dernières lettres : "L'ordre du général Bapst (...), la visite de Joffre hier prouvent que l'heure est proche et, au fond, j'éprouve une satisfaction à voir que je ne me suis pas trompé en annonçant il y a un mois ce qui arrive, (...) Leur assaut peut avoir lieu cette nuit comme il peut encore reculer de plusieurs jours, mais il est certain."

Guillaumat et la défense de Paris

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Le général Guillaumat.
Le général Guillaumat. Source : BNF

Parallèlement à la mise en garde des armées alliées, visant en particulier la défense éloignée de Paris, on avait organisé, en toutes éventualités, la défense rapprochée de la capitale.

Le général Guillaumat, rappelé d' Orient, fut spécialement chargé de cette dernière mission. Le 15 juin, au cours d' une conférence réunie au grand-quartier-général des armées alliées, à Bombon, sous la présidence de M. Clemenceau, les attributions de chacune des autorités militaires intéressées à la question furent définies et délimitées.

La naissance des associations d'anciens combattants

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Congrès national de l'UNC © Béatrice Gendron
Visuel du Congrès national de l'Union nationale des combattants. © Béatrice Gendron

La Première Guerre mondiale a profondément marqué les hommes, leur corps comme leur esprit.

Les premières associations naissent dès 1916 en réponse aux problèmes dramatiques des blessés qui s'entassent dans les hôpitaux en attendant d'être rendus à la vie civile. Dans le même temps, des mutilés en permission ou des réformés, confrontés à de grandes difficultés matérielles et morales, créent aussi des associations pour apporter conseils et secours. Après 1918, le retour à la vie civile est difficile. Le climat social est tendu.

Apparaissent alors des associations de combattants, expression d'une protestation de citoyens qui demandent justice.

La fin de la guerre du Pacifique

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Capitulation du Japon, Baie de Tokyo, 2 septembre 1945.Le général de l'armée Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées, lisant son discours d'ouverture de la cérémonie de capitulation à bord de l'USS Missouri (BB-63), le 2 septembre 1945. Les représentants des forces alliés sont derrières lui. © Gouvernement fédéral des États-Unis, libre de droit.
Capitulation du Japon, Baie de Tokyo, 2 septembre 1945. Le général de l'armée Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées, lisant son discours d'ouverture de la cérémonie de capitulation à bord de l'USS Missouri (BB-63), le 2 septembre 1945.

Après le 8 mai 1945, la guerre s'est poursuivie quelques mois encore en Extrême-Orient et dans le Pacifique.

Aux origines de la France Libre. L'Appel du 18 juin

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Le général de Gaulle parle à la radio de Londres. © Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale
Le général de Gaulle parle à la radio de Londres. © Comité d'histoire de la Deuxième Guerre mondiale

Le 10 mai 1940, les troupes allemandes pénètrent aux Pays-Bas et en Belgique. Les troupes françaises et anglaises interviennent en renfort sur la ligne Dyle-Breda. Mais en vain. Le 13 mai, les blindés du général Guderian, appuyés par la Luftwaffe, foncent sur Sedan et opèrent une brèche dans les Ardennes, point faible du dispositif de défense Maginot.

La bataille de la Somme

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Douglas Haig présente Pertab Singh au général Joffre. ©SHD

Déroulé des cérémonies Internationales du centenaire de la Bataille de la Somme 2016 L'offensive alliée sur la Somme avait pour objectif de rompre le front allemand en Picardie. Entre juillet et novembre 1916, les combats opposèrent des soldats d'une vingtaine de nations. Tous belligérants confondus, cette bataille fit 1 200 000 morts, blessés et disparus.

 

La Somme est ainsi un lieu de mémoire pour de nombreux peuples.

Le Testament du Fantassin. Poème de Paul Verlet

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Photographie d'un cimetière militaire français.

1918, l'assaut final

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L'attaque du 26 septembre 1918, au nord de Tahure. Fantassins traversant un terrain criblé de trous d'obus devenus autant de mares. © L'album de la guerre 1914-1919. © L'illustration
L'attaque du 26 septembre 1918, au nord de Tahure : fantassins traversant un terrain criblé de trous d'obus devenus autant de mares. Source : l'album de la guerre 1914-1919. © L'illustration

 Les coups de marteau du maréchal Foch

Début août, la situation militaire du front Ouest est inversée : certes les armées allemandes alignent plus de 200 divisions, mais les meilleures se sont usées dans les offensives de printemps alors que l'armée américaine, qui grossit au rythme de 250 000 hommes par mois, compte plus de 1 200 000 soldats, dont près d'un million , en état de combattre.

1917-1918. Les Français en Italie

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Plateau d'Asiago, le 17 juin 1918, lors de l'offensive autrichienne. © Libre de droit.
Plateau d'Asiago, le 17 juin 1918, lors de l'offensive autrichienne. © Libre de droit.

1914-1918. Les soldats coloniaux d'Afrique du Nord

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23 octobre 1917. Chemin des Dames, Aisne. « le Balcon », un tirailleur blessé. © Jacques Ridel/ECPAD
23 octobre 1917. Chemin des Dames, Aisne. « le Balcon », un tirailleur blessé. © Jacques Ridel/ECPAD

Le Canada dans la Seconde Guerre mondiale

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L'infanterie canadienne débarque sur la plage de Juno Beach et marche en direction de Bernières-sur-Mer, le 6 juin 1944. © Archives Nationales du Canada.
L'infanterie canadienne débarque sur la plage de Juno Beach et marche en direction de Bernières-sur-Mer, le 6 juin 1944. © Archives Nationales du Canada.

Réuni le 7 septembre 1939 en session spéciale, le Parlement du Canada accorde le surlendemain son appui à la Grande-Bretagne et à la France, en guerre contre l'Allemagne depuis le 3 septembre.

 

Juillet 1944. La libération de Caen

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Les premières troupes britanniques à Caen posent avec les habitants devant des magasins dévastés. © Imperial War Museum
Véhicules et navires alliés au lendemain du débarquement. © National Archives USA, libre de droit.

Les Alliés avaient prévu que la grande cité normande de Caen, important carrefour routier serait prise dès le Jour J. Or au début de juillet 1944, Caen n’est toujours pas libéré.

Le port d'Arromanches

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Vue aérienne du port artificiel Mulberry à Arromanches, Septembre 1944. © Imperial War Museum
Vue aérienne du port artificiel Mulberry à Arromanches, Septembre 1944. © Imperial War Museum

Normandie. La Poche de Falaise

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Soldats canadiens à l'entrée de la ville de Falaise, 17 juillet 1944. © domaine public
Soldats canadiens à l'entrée de la ville de Falaise, 17 juillet 1944. © domaine public

La Nouvelle-Calédonie dans les deux guerres mondiales

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Nouméa, départ pour la Grange, le 4 juin 1916 © Musée de la ville de Nouméa
Nouméa, départ pour la Grange, le 4 juin 1916 © Musée de la ville de Nouméa

Comme l'ensemble de la France et de l'Empire français, la Nouvelle-Calédonie, une des principales possessions françaises du Pacifique a joué son rôle, très peu connu en France mais néanmoins important, voire crucial à certaines époques des conflits mondiaux, en particulier lors de la Seconde Guerre mondiale dans les opérations du Pacifique.

Juin 1944. Les combats de Saint-Marcel

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Zone d'opérations des SAS et des maquis en Bretagne. © GNU Free Documentation License.
Zone d'opérations des SAS et des maquis en Bretagne. © GNU Free Documentation License.

Les combats de Saint-Marcel constituent une page emblématique de la Résistance bretonne.

Jean de Lattre de Tassigny

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 Le général de Lattre acclamé par la population de Colmar. Source : ECPAD
Le général de Lattre acclamé par la population de Colmar. Source : ECPAD

Au début de la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), Jean de Lattre de Tassigny est le plus jeune général de France.

Après la signature de l'armistice, le 22 juin 1940, il s'inspire de sa devise, "Ne pas subir", pour préparer la victoire contre l'occupant nazi. Son ralliement à la France Libre du général de Gaulle l'amène à Alger, d'où il partira avec son armée, en 1944, pour libérer la France, de la Provence au Rhin.

Le 9 mai 1945, ce futur maréchal de France est à Berlin aux côtés des Alliés, et signe, au nom de la France, l'acte solennel de la capitulation de l'Allemagne nazie.