Les Hommes des Glières

Partager :

Prise d'armes sur le plateau des Glières.
Prise d'armes sur le plateau des Glières. Source : Photo Raymond Perrillat / Association des Glières.

Camerone - 30 avril 1863

Partager :

Célébration de la bataille de Camerone au Méxique.
Célébration de la bataille de Camerone au Méxique. Source : Légion étrangère.

 

Créée en 1831 par Louis-Philippe, la Légion étrangère a pris part à tous les combats menés par la France, elle a participé à la constitution de l'Empire français.

Dans la mystique de ce corps d'élite, un fait d'armes, symbolise son héroïsme et son sens du devoir, Camerone.

Des décorations, en reconnaissance de la nation

Partager :

Croix de guerre 1914-1918
Croix de guerre 1914-1918. Source : Photo Franck Beauperin

En instituant la Croix de guerre 1914-1918, le décret d'avril 1915 instaure le principe d'honorer les actes de bravoure individuels et les actions d'éclat des formations militaires. Cependant, cette conception perdure bien au delà de la Grande Guerre.

D'autres décorations récompensent la bravoure et l'abnégation de ceux qui se sont particulièrement distingués lors d'engagements armés.

Septembre 1943, la libération de la Corse

Partager :

Un groupe de maquisards de la région de Sartene lors de la libération de la Corse en 1943

La Corse, occupée du 11 novembre 1942 au 4 octobre 1943, est située dans un théâtre de guerre qui englobe l'Afrique du Nord, l'Italie péninsulaire et insulaire. Son sort est étroitement lié à l'évolution politique de l'Italie fasciste et à ses péripéties militaires.

Libération de la poche de La Rochelle

Partager :

La Rochelle. Premiers pourparlers pour la reddition au château de la Jarne (commandant Hemmerlé, interprête).
Mémorial de la poche de La Rochelle 1944-1945, près de Saint-Sauveur-d'Aunis. Source : Licence Creative Commons

Face à l'avancée alliée à l'été 1944, Hitler ordonne aux secteurs fortifiés de la côte ouest de la France de résister.

Au printemps 1945, les armées de libération laissent ainsi à l'arrière des poches littorales de résistance allemande à Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire, sur l'île de Ré, l'île d'Oléron, à Royan, sur la Pointe de Grave et à La Rochelle.

Les camps d'internement dans les Hautes-Pyrénées (65)

Partager :

Gare de Lannemezan
Gare de Lannemezan. Source : Memrial-genWeb

Les camps dans les Pyrénées-Atlantiques (64)

Partager :

Carte postale de la vue de Eaux Bonnes vers 1900.
Carte postale de la vue de Eaux Bonnes vers 1900. Source : Collection privée

Camp d'internement de Saint Pol

Partager :

Les Saint-Polois ne retrouvèrent leurs foyers qu'à la fin d'avril 1945
Les Saint-Polois ne retrouvèrent leurs foyers qu'à la fin d'avril 1945. Photo du "Phare Dunkerquois"

Prisonniers chez eux...

Alors que la France était libérée, le camp d'internement de St-Pol retenait ceux qui ne voulaient pas partir. Septembre 1944 : le Nord se libère, l'étau se resserre autour des Allemands qui s'enferment dans la poche de Dunkerque, emprisonnant pas moins de 12.000 Allemands et 25.000 civils. Une trêve est conclue les 4 et 5 octobre afin d'évacuer presque tous les civils car quelques réfractaires, qualifiés de " bouches inutiles ", refusent de partir. Pour mieux les contrôler (et mettre main basse sur leurs vivres), les occupants créent quatre camps d'internement le 14 février 1945 à Coudekerque-Branche, Malo, Rosendaël et Saint-Pol.

14 juillet 1945

Partager :

Défilé du 14 juillet 1945 à Paris. Vue aérienne de la place de la Bastille. ©ecpa>d

De l’Arc de triomphe à la place de la Nation en passant par la place de la Bastille où est installée la tribune officielle, la foule s’est massée sur le parcours du défilé tandis que la capitale s’est parée de drapeaux tricolores. La célébration de la fête nationale, dans une Europe en paix et un territoire libéré, renoue, après six années d'interruption.

Libération de la poche de l'île de Ré

Partager :

Le 9 mai 1945, des troupes du 4e Zouaves débarquent.
Bunker de la Wehrmacht sur l'île de Ré. Source : Licence Creative Commons.

Face à l'avancée alliée à l'été 1944, Hitler ordonne aux secteurs fortifiés de la côte ouest de la France de résister.

Au printemps 1945, les armées de libération laissent ainsi à l'arrière des poches littorales de résistance allemande à Dunkerque, Lorient, Saint-Nazaire, sur l'Ile de Ré, l'île d'Oléron, à Royan, sur la Pointe de Grave et à La Rochelle.