Septembre - novembre 1944. Vers le Rhin

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Foule devant l'hôtel de ville d'Autun tout juste libéré par les troupes de la 1re division de marche d'infanterie et les forces françaises de l'intérieur.
Foule devant l'hôtel de ville d'Autun tout juste libéré par les troupes de la 1re division de marche d'infanterie et les forces françaises de l'intérieur. © ECPAD/Auclaire

Fin août 1944 : débarquée à partir du 15 août en Provence, au sein de la 7e armée américaine que commande le général Patch, l'armée B du général de Lattre de Tassigny a libéré cette région et remonté la vallée du Rhône aux côtés des Américains, à la poursuite de la XIXe armée allemande en retraite, qui subit un désastre près de Montélimar.

 

À la Libération, reconstruire un pays en ruines

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Canevas de photographies du Havre.  ©ECPAD, © Site imagesduhavre, ©Site officiel de la Ville

Les destructions de la guerre touchaient l’ensemble du territoire national. Leur évaluation fut confiée à une Commission du coût de l’Occupation, créée le 21 octobre 1944, devenue un an plus tard la Commission consultative des dommages et des réparations.

 

1941- 1943. Libye-Égypte

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Colonne de véhicules en route vers le col d'Halfaya pendant le repli des troupes italo-allemandes, 31 octobre-10 novembre 1942. © ECPAD
Colonne de véhicules en route vers le col d'Halfaya pendant le repli des troupes italo-allemandes, 31 octobre-10 novembre 1942. © ECPAD

Les victimes civiles françaises de la bataille de Normandie

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Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA
Saint-Lô, détruite à 95 % après les bombardements de 1944, surnommée capitale des ruines. © Conseil Régional de Basse-Normandie / National Archives USA

Contrairement à la Première Guerre mondiale, la guerre de 1939-1945 a la particularité d’avoir été très meurtrière pour les populations civiles. Ainsi, en France, près de 400 000 civils ont été tués entre 1939 et 1945. 

La présence française en Indochine

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Le capitaine Borbal-Combret (au centre), des officiers de la 2e compagnie du 3e régiment de tirailleurs tonkinois et des soldats tonkinois à Lang-Nac près de Bac-Ninh. Ce cliché fait partie des plus anciens se rapportant à l’Indochine française dans les fonds de l’ECPAD. Décembre 1885. © collection colonel Laroche/ECPAD.
Le capitaine Borbal-Combret (au centre), des officiers de la 2e compagnie du 3e régiment de tirailleurs tonkinois et des soldats tonkinois à Lang-Nac près de Bac-Ninh. Décembre 1885. © collection colonel Laroche/ECPAD.

L’histoire des liens entre la France et ce que l’on a appelé l’Indochine commence au XVIIe siècle, lorsque des missionnaires jésuites atteignent l’Extrême-Orient et prend une importance capitale lorsque ces Jésuites, sous la direction de Mgr Pigeau de Béhaine, viennent soutenir les efforts d’unification de l’empereur d’Annam Gia Long. Celui-ci, appuyé par des conseillers militaires français, fut le premier unificateur du Vietnam à la fin du XVIIe siècle et sa dynastie devait régner jusqu’en 1955.

3 septembre 1943 - 2 mai 1945. La campagne d'Italie

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Les opérations en Méditerranée de juillet 1943 à mai 1945.
Les opérations en Méditerranée de juillet 1943 à mai 1945. © MINDEF/SGA/DMPA

 

Après le débarquement allié en Algérie et au Maroc, territoires sous contrôle du gouvernement de Vichy, la campagne de Tunisie permet de repousser définitivement les troupes germano-italiennes hors d'Afrique en mai 1943.

Les Britanniques retrouvent la maîtrise de la Méditerranée.

Dans le même temps, si la situation des Alliés s'améliore dans l'Atlantique, sur le front Est, les Soviétiques sont encore loin de la frontière allemande et attendent avec impatience l'ouverture d'un second front qui les soulagerait.

 

Les Forces navales françaises libres (FNFL)

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Pavillon F.N.F.L. © Coll. privée ©www.delcampe.net
Pavillon F.N.F.L. © Coll. privée ©www.delcampe.net

La situation de la marine française est, au lendemain de la demande d’armistice, tout à fait particulière.

Guillaumat et la défense de Paris

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Le général Guillaumat.
Le général Guillaumat. Source : BNF

Parallèlement à la mise en garde des armées alliées, visant en particulier la défense éloignée de Paris, on avait organisé, en toutes éventualités, la défense rapprochée de la capitale.

Le général Guillaumat, rappelé d' Orient, fut spécialement chargé de cette dernière mission. Le 15 juin, au cours d' une conférence réunie au grand-quartier-général des armées alliées, à Bombon, sous la présidence de M. Clemenceau, les attributions de chacune des autorités militaires intéressées à la question furent définies et délimitées.

La fin de la guerre du Pacifique

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Capitulation du Japon, Baie de Tokyo, 2 septembre 1945.Le général de l'armée Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées, lisant son discours d'ouverture de la cérémonie de capitulation à bord de l'USS Missouri (BB-63), le 2 septembre 1945. Les représentants des forces alliés sont derrières lui. © Gouvernement fédéral des États-Unis, libre de droit.
Capitulation du Japon, Baie de Tokyo, 2 septembre 1945. Le général de l'armée Douglas MacArthur, Commandant suprême des forces alliées, lisant son discours d'ouverture de la cérémonie de capitulation à bord de l'USS Missouri (BB-63), le 2 septembre 1945.

Après le 8 mai 1945, la guerre s'est poursuivie quelques mois encore en Extrême-Orient et dans le Pacifique.

Le Testament du Fantassin. Poème de Paul Verlet

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Photographie d'un cimetière militaire français.