Montormel-Coudehard

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Mémorial de Montormel-Coudehard. Source : site memorial-montormel.org

Ce mémorial a été construit en 1994, à l'occasion du 50e anniversaire de la bataille de Normandie

L'espace muséographique de Coudehard - Montormel, unique en son genre, est situé au coeur de la poche de Falaise, là où finit de s'effondrer sous les coups Alliés la puissante machine de guerre allemande.

L'espace muséographique se compose d'un monument-exposition extérieur et d'une visite guidée au sein du mémorial, qui propose un programme annuel et aux alentours une visite libre du champ de bataille.

Le monument a été érigé pour le 20e anniversaire de la bataille, en 1965. Son architecture sobre invite à la réflexion sur le sens des événements tragiques qui se sont déroulés ici, et commémore le sacrifice des soldats polonais tombés "pour notre liberté et la votre".

Le mémorial a été construit en 1994, à l'occasion du 50e anniversaire de la bataille. Inséré dans le flanc de la colline 262, à l'endroit où les chars polonais vinrent s'installer l'après-midi du 19 août 1944, il se compose naturellement dans le paysage.

Le programme annuel, ouvert à tous, propose des découvertes guidées dans la poche de Falaise, projections de films, et animations culturelles diverses.

Les alentours du mémorial identifiés par le circuit "Août 1944" permettent de repérer les endroits stratégiques âprement disputés au cours des combats de la poche de Falaise et de rendre hommage aux combattants. Témoignage des efforts conjugués de quatre nations alliées à vaincre un ennemi commun, l'espace muséographique de Coudehard - Montormel constitue une plongée inoubliable dans l'enfer de la bataille de Normandie, dont la découverte constitue immanquablement une expérience d'une rare portée pédagogique.

 

Mémorial de Montormel-Coudehard

"Les Hayettes" 61160 Montormel

Tél. : 02 33 67 38 61

Fax : 02 33 67 38 72

E-mail : memorial.montormel@worldonline.fr

 

Ouverture :

Du 1er mai au 30 septembre : Tous les jours : 9h30 - 18h00

Du 1er octobre au 31 mars : Mercredi / Samedi / Dimanche : 10h00 - 17h00

(Les autres jours sur réservation pour les groupes)

Du 1er au 30 avril : Tous les jours : 10h00 - 17h00

 

Tarifs :

Adultes 5€
Groupes 4€
Etudiants et enfants de plus 12 ans 3,50€
Enfants (moins de 12 ans) 2,50€
Anciens combattants 4€
Veterans Seconde Guerre Mondiale Gratuit

 

Mémorial de Montormel

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Infos pratiques

Adresse

Les Hayettes 61160
Montormel
Tél. : 02 33 67 38 61 - Fax : 02 33 67 38 72

Tarifs

Adultes 5€Groupes 4€Etudiants et enfants de plus 12 ans 3,50€Enfants (moins de 12 ans) 2,50€Anciens combattants 4€Veterans Seconde Guerre Mondiale Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er mai au 30 septembre, tous les jours : 9h30 - 18h00Du 1er octobre au 31 mars, mercredi / samedi / dimanche : 10h00 – 17h00.(Les autres jours sur réservation pour les groupes)Du 1er au 30 avril, tous les jours : 10h00 – 17h00

Fermetures annuelles

du 15 décembre au 15 janvier

La Malmaison

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Le cimetière allemand de La Malmaison. Source : SGA/DMPA - JP le Padellec

Le champ de bataille du secteur de La Malmaison est situé dans la partie ouest du Chemin des Dames.

Les combats de l'année 1917

Le champ de bataille du secteur de La Malmaison est situé à une quinzaine de kilomètres, au nord-est de Soissons, entre l'Aisne et l'Ailette, dans la partie ouest du Chemin des Dames. Position stratégique intéressante, le site, repéré au XIXème siècle, est incorporé par Séré de Rivières dans son système de défense du Laonnois.

Le fort de La Malmaison, bien que rendu inutile avec l'évolution de l'armement (crise de l'obus torpille) et désaffecté au début de la guerre, est réutilisé par l'armée allemande lorsque cette dernière fortifie la zone du Chemin des Dames.

Côté français, le nombre élevé de pertes suite à l'offensive commandée par Nivelle, instaure un climat d'abattement et provoque des mutineries au sein des troupes. Les généraux Nivelle et Mangin sont limogés . Pétain succède à Nivelle. Il regagne la confiance des troupes et prépare minutieusement une offensive limitée dans le secteur de La Malmaison pour l'automne 1917.

L'assaut, lancé le 23 octobre 1917, s'achève le 26 octobre par un succès. L'armée retrouve confiance en elle et dans sa hiérarchie, les troupes impériales se replient au nord du Chemin des Dames, dans la vallée de l'Ailette. La 38e D.I. d'Afrique du général Salin et six divisions de 38 chars Schneider et 30 Saint-Chamond de l'arme spéciale (A.S.) n° 8, 10, 11, 12, 31 et 33, appuyées par 1 850 pièces d'artillerie qui ont préparé le terrain les six jours précédents, battent le terrain de Vauxaillon à Filain, le 23 octobre 1917 à 5h15.

L'A.S. 12 passe les tranchées du Casse-tête et de Leibnitz, prend la tranchée de la Carabine, avancée qui doit être mise en attente en raison de la boue. L'infanterie encercle les carrières de Bohery, prises par les hommes du régiment d'infanterie coloniale du Maroc (R.I.C.M.) du colonel Bailleul à 15h00. Le lendemain, à 6h00, le 4e Zouaves du commandant Giraud s'empare du fort de La Malmaison. Les chars de l'A.S. 31 et le 75e R.I. emportent les ravins de Fruty alors que l'A.S. 11 nettoie le ravin de Vaudesson et que le 17e bataillon de chasseurs à pied (B.C.P.), appuyé par la 4e batterie, enlève la tranchée des Oubliettes, atteignant le plateau de Chavignon.

Le 25 octobre, le 14e corps d'armée, soutenu par les Saint-Chamond de l'A.S. 10, se rend maître du village de Pinon, pendant que les chasseurs alpins entrent dans Pargny et que le 1er B.C.P. conquiert Chavignon et Les Bruyères.

L'armée française atteint les rives de l'Ailette.

Bilan : 8 000 tués, environ 30 000 blessés, 11 500 hommes capturés côté allemand . 14 000 hommes blessés et tués côté français. Prise de 200 canons, 222 Minenwerfer, et 720 mitrailleuses allemands.

 

La stèle des Zouaves rappelle l'héroïsme du 4e Zouaves du R.I.C.M., du 4e Zouaves Tirailleurs et 3e Tirailleurs algériens de la 38e D.I. qui soutenus par le 32e régiment d'artillerie de campagne (R.A.C.) et commandés par le commandant Giraud (futur général), ont enlevé le fort de La Malmaison le 23 octobre 1917, capturant 600 hommes et 17 canons allemands.

Le monument au régiment d'infanterie coloniale du Maroc (R.I.C.M.) du colonel Bailleul, rend hommage au courage et à la ténacité de ces hommes dans le secteur des carrières de Bohery.

Cimetière allemand 1944

Le cimetière allemand de La Malmaison, dans la partie ouest du Chemin des Dames, rassemble les corps des soldats du Reich tombés lors de la Seconde Guerre mondiale, en particulier en 1944 pendant l'offensive alliée de la Libération, notamment lors de la percée d'Avranche.

La convention franco-allemande de 1954 a transformé le site provisoire de La Malmaison en cimetière allemand définitif. 11 841 corps reposent dans ce lieu inauguré le 21 août 1965.

Les premiers corps ont été ramenés dès 1941 par trains spéciaux des sites des monts de l'Aisne (offensive de 1940). Une grande campagne de regroupement menée par les services français et le Volksbund à l'été 1960 a eu lieu dans les six départements limitrophes du Fort de la Malmaison.

Cette campagne a aboutit au regroupement des corps de 68 00 soldats de la Wehrmacht, réinhumés dans le cimetière allemand de La Malmaison.


Cimetière allemand 1944

Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge e.V. Bundesgeschäftsstelle Werner-Hilpert-Straße 2 D 34112 Kassel

Tel. : 0180 / 570 09-99 

Fax: 05 61 / 70 09-221

E-Mail: info@volksbund.de

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Infos pratiques

Adresse

Fort de la Malmaison 02000
Chavignon
0180 / 570 09 99

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accès libre

Courriel : info@volksbund.de

Musée de l'Artillerie

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Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Ecoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. Fort de plus de 21.000 visiteurs en 2014, dont 7.000 enfants et adolescents, le Musée de l’artillerie est donc une vraie ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Après « Soldats de plomb » en 2011, « Animaux dans la guerre » en 2012, « La Marne » en 2014 et « Coups de pinceaux » en 2015, l’exposition temporaire de l’année 2016 s’attache à témoigner des batailles de Verdun et de la Somme, paroxysmes militaires et humains de la violence de masse au cours de la Grande Guerre, devenus des symboles de paix et de réconciliation.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

S’appuyant sur une collection de près de 15.000 objets dont 2.000 d’intérêt majeur, le Musée de l’artillerie présente une collection unique dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

VERDUN-LA SOMME

Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces

Du 21 mai au 20 novembre 2016, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, le Musée de l’artillerie de Draguignan organise une exposition consacrée aux deux batailles titanesques de Verdun et de La Somme. Du dimanche au mercredi inclus (et les jeudis sur rendez-vous), de 9h00 à midi et de 13h30 à 17h30, l’exposition intitulée VERDUN – LA SOMME, Au milieu de la guerre, au bout de leurs forces, réalisée en partenariat avec des collectionneurs privés, traite de ces deux batailles, véritables virages de la guerre où l’intensité des combats a dépassé tout ce que l’Homme avait connu auparavant. Par son discours pédagogique et la richesse de sa présentation, cette exposition est conçue pour tous les âges, des plus jeunes aux plus expérimentés. Exposition adaptée pour la visite par des classes du CM1 au Lycée, dans le cadre des cours d’histoire et d’éducation à la citoyenneté.

 

 

Sources : ©Musée de l'Artillerie
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Infos pratiques

Adresse

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Tarifs

entrée gratuite

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30, du dimanche au mercredi inclus(le jeudi et le vendredi, possibilité de visites de groupes sur rendez-vous)

Fermetures annuelles

Du 15 décembre au 15 janvier.Office du tourisme intercommunal de la Dracénie - Adresse : 2, avenue Carnot, 83300 DRAGUIGNAN - Tel : 04.98.10.51.05 - Site : www.tourisme-dracénie.com

Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie

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Résultat de la volonté de résistants de transmettre aux jeunes générations l’histoire de la Résistance et de la Déportation de Picardie et les idéaux pour lesquels les résistants s’étaient battus, un musée a été inauguré en 1986 dans l’Aisne à Tergnier.

L’initiative de la création revient à M.Etienne DROMAS, capitaine FFI du groupement B et président des Combattants Volontaires de la Résistance.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  Picardie


La Picardie est une région fortement touchée par les deux guerres mondiales. 

Région stratégique, lieu de passage entre le nord de l'Europe et Paris, la Picardie se trouve partagée entre la zone interdite et la zone occupée. La présence de l'occupant est durement ressentie. Des hommes et des femmes vont peu à peu réagir. "L'armée de l'ombre" se construit. 

Le département de l'Aisne a sur son territoire un musée consacré à l'histoire des résistants et des déportés. Un musée voulu par des résistants dont Etienne Dromas, qui a trouvé sa place dans la commune associée de Tergnier, Fargniers. 

Vous êtes invités à découvrir ce musée unique en Picardie, implanté sur une place classée monument historique.

L’histoire du lieu

Après avoir trouvé à Tergnier un bâtiment pouvant l’accueillir, le conseil général de l’Aisne vote la somme nécessaire à sa rénovation. L’office départemental de tourisme, avec à sa tête Maurice Bruaux, apporte son aide et son concours. Le premier aménagement se fait grâce à la mobilisation des résistants qui assurent son fonctionnement pendant de nombreuses années.

 

À voir

Le premier espace permet de découvrir et de comprendre l’histoire de la période allant de l’arrivée d’Hitler au pouvoir jusqu’à l’intervention du maréchal Pétain le 17 juin 1940, suivent des espaces consacrés à l’appel du 18 juin, la naissance de la Résistance et son action, la vie quotidienne sous l’Occupation, la répression et la Déportation. Un espace est également consacré au bureau des opérations aériennes et aux parachutages, aux forces françaises libres dans le monde, au Débarquement et à la Libération. De nombreux objets et matériels viennent compléter l’exposition permanente : un Beechcraft C.45, une locomotive, un wagon ayant servi à la déportation… En octobre 2005, 300 mètres carrés se sont ajoutés à la salle d’exposition permanente. Cet espace polyvalent met à disposition du public une salle de réunion, de conférence, d’exposition temporaire et de projection ainsi qu’une médiathèque et un centre documentaire.

Le musée accorde une place toute particulière au public scolaire. Des dossiers pédagogiques ont été élaborés. Des ateliers (analyse de documents, rencontre avec des témoins…) sont développés sur différents thèmes (la vie sous l’Occupation, la Résistance…), et sont animés par les enseignants ou par un intervenant du musée.

 

Sources : ©Musée de la Résistance et de la Déportation de Picardie
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Infos pratiques

Adresse

5 place carnegie FARGNIERS 02700
Tergnier
Téléphone/ 03.23.57.93.77

Tarifs

Individuels :- adultes : 5€- 18-25 ans : 1€- moins de 18 ans : gratuité.Entrée + visite guidée : 6 € (sur réservation)Groupes (à partir de 10 personnes):- adultes : 5€- scolaires : 2€.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Mardi au samedi de 10h à 12h et de 14h à 18hDimanche après-midi de 14h30 à 18h30

Fermetures annuelles

1 mai1er novembre24 et 25 décembre31 décembre et 1er janvier et tous les lundisOffice de tourisme : place du marché Couvert - 02300 Chauny - Tel : 03.23.52.10.79

Musée des Troupes de Marine

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©Musée des Troupes de Marine

Musée d’histoire, de sciences et techniques, d’arts et traditions militaires, mais aussi d’aventures humaines. En 2006, le Musée des Troupes de Marine a obtenu le label « musée de France ».

Le Musée des Troupes de Marine est une évocation illustrée aussi bien par ses collections très diversifiées, que par des archives et des documents iconographiques, des troupes coloniales de Richelieu à nos jours. L'une des missions du musée est de conserver la trace et les preuves du rôle pacificateur et civilisateur de la France dans son empire colonial.

Les collections sont constituées d'uniformes, d'insignes, d'armes, de coiffures et de décorations, affiches, dessins, documents photographiques, pièces d'archives, souvenirs de personnages, illustres ou non, etc. . soit environ 10.000 objets.

L'une des caractéristiques majeures des objets de cette collection est leur taille. Ils sont de dimensions modestes, mis à part la voiture de Gallieni et quelques pièces d'artillerie.

L'autre caractéristique est leur nombre : il s'agit de collections de grandes séries tels que 4.000 décorations, 700 fanions, 3.000 insignes métalliques et des dizaines de milliers d'images.

On estime qu'environ 50 % des objets proviennent de collections publiques (dépôts d'autres musées et récupération du patrimoine des salles d'honneur de régiments dissous à l'occasion de restructurations du ministère de la défense), l'autre moitié provenant des dons des particuliers.

Depuis 1993, le musée dispose d'un auditorium de 250 places où l'AAMTDM organise un cycle annuel de conférences.

À partir de l'an 2000, le musée organise, chaque année, une journée d'étude ou un colloque scientifique. Il présente chaque trimestre une nouvelle exposition temporaire et participe aux célébrations du ministère de la culture : Printemps des musées, Festival de la langue française, Nuit européenne des musées et Journées européennes du patrimoine. En 1996, l'ampleur de la documentation conservée au musée a motivé la création du Centre d'Histoire et d'Etudes des Troupes d'Outre-Mer (CHETOM), le centre de recherches du musée. Les chercheurs peuvent y consulter, sur rendez-vous, les archives, les fonds privés, les fonds cartographiques ou iconographiques et la bibliothèque spécialisée du musée forte de dix mille ouvrages.

À travers l'histoire des colonies, ce sont les principales étapes de l'Histoire de France qui sont présentées au Musée des Troupes de Marine. Le musée s'intègre dans un paysage culturel historique. En plus d'être la «maison mère» des Troupes de Marine, Fréjus a un patrimoine militaire particulièrement riche (notamment avec la présence d'une pagode bouddhique et d'une mosquée africaine sur sa commune). Il nous renvoie aussi au débarquement de Provence d'Août 1944.

Le rayonnement du musée est important, son expertise est reconnue et ses collections particulièrement sollicitées. Près de 480.000 visiteurs dont plus de 2.000 enfants et adolescents ont été accueillis dans le musée, très souvent dans le cadre de découverte du patrimoine. Le musée est également tourné vers les militaires, les jeunes engagés et les jeunes cadres viennent y trouver leurs racines . ces hommes et ces femmes qui entrent parmi le corps des soldats des Troupes de Marine ont une histoire à découvrir.

Sources : ©Musée des Troupes de Marine
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Infos pratiques

Adresse

Avenue du Musée des Troupes de Marine 83600
Fréjus
04 94 17 86 03

Tarifs

Entrée gratuite Salles climatisées

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h Visites guidées sur RDV (du lundi au vendredi) ; Scolaires, périscolaires, étudiants, situation de handicap…

Site Web : Site officiel
Courriel : museetdm@wanadoo.fr

Stonne - Circuit de la Bataille Mai-Juin 1940

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Char B1 bis. Source : Licence Creative Commons. Libre de droit

En mai 1940, le village de Stonne a été le théâtre d'âpres combats entre la Wehrmacht et les blindés français.

En mai 1940, le village de Stonne a été le théâtre d'âpres combats entre la Wehrmacht et les blindés français. Pris et repris sept fois en quatre jours, il a été entièrement détruit.

Un mémorial, duquel part un circuit touristique, situé au centre du village, commémore la résistance de l'armée française à l'invasion allemande. En 1940, la France se croit protégée par la ligne Maginot. Le massif des Ardennes est considéré comme infranchissable. La défense de la Meuse assurée par la 2e armée de Huntziger de la vallée de la Bar à Longuyon, et la zone de Sedan étant défendue par le 10e corps d'armée de Grandsard.

Au mois de mai, les Allemands attaquent les Ardennes afin de réaliser la rupture au niveau de Sedan.

Dès le 11 mai, la cavalerie française qui s'était portée au devant des Allemands en Belgique se replie, Huntziger remanie en vain son dispositif : la Wehrmacht est aux portes de Sedan le 12 mai et entreprend, dès le lendemain, les opérations de franchissement de la Meuse. Le 14 mai, les Allemands forcent le passage au niveau du cimetière de Nouzonville et peuvent alors prendre à revers les défenseurs de Monthermé. Huntziger renforce le dispositif défensif sur la ligne Stonne-Forêt du Mont Dieu. Il doit cependant abandonner la zone de terrain entre la Chiers et la Meuse, ce qui aboutit à augmenter l'écart entre les 1re et 10e armées. Le 15 mai, les Allemands passent à l'offensive sur Stonne avec l'aviation et les panzers. Entre le 15 et le 18 mai, le village changera 19 fois de mains et les pertes - 33 chars français et 24 panzers allemands - témoignent de l'âpreté des combats pour tenir cette position stratégique. Afin de prendre à revers la position, la Wehrmacht lance une offensive vers Tannay, le 23 mai, y défait le 1er régiment de Hussards et s'empare du village le 24 mai. A proximité, la 3e division d'infanterie Coloniale (3e DIC), qui tient la forêt du Mont Dieu, doit se replier par un étroit couloir dans la nuit du 24 au 25 mai, abandonnant définitivement le secteur. Cette bataille aura fait 3 000 morts du côté allemand contre 1 000 dans l'armée française.

Un espace mémoire a été créé, il comprend :

  • 1 monument en granit rose sur lequel est gravé le nom de toutes les unités ayant combattu dans la région,
  • 1 char B1 bis du même type que ceux qui se sont illustrés ici lors de la première bataille de chars de la dernière guerre,
  • 1 table d'orientation définissant les différentes lignes de résistance,
  • 1 mur représentant des ruines sur lequel sont scellées deux plaques de marbre noir, l'une relatant le déroulement de la bataille, l'autre la carte du circuit historique.

Au bas de la butte de Stonne dite "Pain de Sucre", un char moderne AMX 13, rend hommage à toute l'armée blindée, du premier au tout dernier, le char Leclerc.

Le circuit de tourisme de mémoire passant par les villages témoins des combats de mai et juin 1940 est balisé et jalonné de panneaux d'orientation. Quatorze étapes retracent les évènements qui se sont déroulés dans ces villages, rendant ainsi hommage aux 5 000 soldats français tombés au champ d'honneur en ces lieux lors de la bataille des Ardennes.

 

Office du tourisme des cantons de Carignan, Mouzon et Raucourt Le Paquis de Frappant

08110 Mogues

Tél. : 03.24.29.79.91

Fax : 03.24.29.79.45

E-mail : officedetourismedes3cantons@wanadoo.fr

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Infos pratiques

Adresse

08390
Stonne
03 24 29 79 91

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accès libre

Ouvrage de Bambesch

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Ouvrage du Bambesch. Source : http://www.fort2metz.fr

Petit ouvrage de 3 blocs construit en 1932, il dépendait alors du "secteur fortifié de Faulquemont".

Situé à proximité de la route Metz - Saint-Avold - Sarrebruck, l'ouvrage de Bambesch est composé de 3 blocs reliés entre eux par des galeries souterraines.

Ce fort a été construit en 1932 à l'est du bois du Bambesch, il dépendait alors du secteur fortifié de Faulquemont. Suite au repli de l'armée française en juin 1940, l'ouvrage (isolé) a été encerclé et attaqué le 20 juin 1940 par des éléments allemands de la 167e Division d'Infanterie. Démoli par un canon FLAK de 88 mm, le bloc 2 (au sud) est évacué, les hommes se réfugient dans la galerie à 30 m sous terre. L'ennemi attaque finalement le bloc 3, risquant à tout moment de bloquer l'équipage au fond de l'ouvrage. Après guerre, l'entretien fut assuré en permanence par des spécialistes du génie militaire, jusqu'au rachat de l'ouvrage par la commune de Bambiderstroff.

Le site est ouvert au public depuis le 31 août 1973. Toutes les installations sont en bon état : machines, chambrées des soldats, infirmerie, installation électrique., chambres de tir... Les reliefs de l'ancien ''casernement léger'' construit juste à côté du PO ont été dégagés pour permettre l'observation.

 

Association des guides

M.Deguglielmo Tel : 03 87 90 31 95

 

Mairie de Bambiderstroff

Tel : 03 87 90 30 11

Fax : 03 87 90 41 74

 

L'ouvrage est ouvert le 2ème et 4e dimanche du mois d'avril à septembre inclus le lundi de Pâques, lundi de Pentecôte et le 15 août. Visites pour les groupes même en semaine sur demande.

 

Site Fortweb sur les fortifications européennes

Site consacré à la ligne Maginot

 

Quizz : Forts et citadelles

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Infos pratiques

Adresse

57690
Bambiderstroff
Association des guidesM.DeguglielmoTel : 03 87 90 31 95Mairie de BambiderstroffTel : 03 87 90 30 11Fax : 03 87 90 41 74

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert le 2e et 4e dimanche du mois d'avril à septembre inclus le lundi de Pâques, lundi de Pentecôte et le 15 août. Visites pour les groupes même en semaine sur demande.

Ouvrage du Michelsberg

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Construit entre 1930 et 1937, le Michelsberg est un gros ouvrage d’artillerie de la célèbre ligne Maginot.
 


 

Composé d’une entrée et de 5 blocs de combat, cet ouvrage était armé de 8 canons et plusieurs dizaines de fusils et mitrailleuses. Son armement lui permettait de tirer une tonne d’obus à la minute. Le bloc 5 comporte une tourelle de 75 qui est le plus gros modèle de la ligne Maginot et qui a une masse de 265 tonnes.

Son équipage de 515 hommes fut héroïque en opposant une vive résistance à l’attaque allemande du 22 Juin 1940. Ses canons tirèrent plus de 6200 obus. C’est « invaincu » que l’armistice imposa la fin du combat à ses hommes.

En compagnie d’un guide vous découvrirez l’univers souterrain de la ligne Maginot. Le parcours de visite vous mènera de l’entrée à un bloc de combat en passant par l’usine, la caserne, les cuisines et le PC. En haut du bloc retrouvez la tourelle de 75, monstre d’acier de 265 tonnes. Une visite au cœur de notre histoire !
 


 

 

 

Quizz : Forts et citadelles

 

 

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Allée du commandant Pelletier 57320
Ebersviller
07 50 66 39 19

Tarifs

Adulte : 7€ / Enfant (8 à 14 ans) : 3,50€ / Groupe : 5€ par pers. / Gratuit (-) de 8 ans

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Visites guidées uniquement les samedis et dimanches d’avril à septembre inclus à 14h30 / D’octobre à mars (voir dates sur site internet) / Tous les jours et toute l’année pour les groupes sur rdv

Monument national à la Résistance du Plateau des Glières

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Monument National de la Résistance. Source : Conseil Général de la Haute-Savoie

 

Ce mémorial rappelle le théâtre de combats entre maquisards, Milice française et armée allemande de février à mars 1944.

 

 

Plateau des Glières et Monument de Gilioli

 

Magnifique plateau situé au cœur de la Haute Savoie à 1440m d'altitude, le site des Glières est un rendez-vous incontournable.

Haut lieu de la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale, son territoire montagneux, et de ce fait stratégique, a permis de faire du Plateau des Glières un point de parachutage des armes pour la résistance locale.

Le 31 janvier 1944, compte tenu de la situation "insurrectionnelle", le gouvernement de collaboration de Vichy, sur l'injonction des autorités allemandes, décide d'en finir avec la Résistance et met le département en état de siège. Ce même jour, 120 maquisards sous les ordres du lieutenant Tom Morel, chef des maquis de l'Armée Secrète en Haute Savoie, montent au Plateau des Glières pour assurer la réception des parachutages.

 

Les maquisards sont d'anciens cadres du 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins d'Annecy, des Républicains espagnols, des Francs Tireurs et Partisans, unis par le même désir de libérer la France.

Le 26 mars 1944, une attaque massive mobilisant environ 10 000 hommes est menée par les troupes allemandes et les miliciens français. Les moyens mis en œuvre sont disproportionnés face aux 465 maquisards présents sur le Plateau. Après avoir procédé à des repérages, les maquisards reçoivent l'ordre du capitaine Maurice Anjot, désormais chef du maquis suite au décès de Tom Morel, de décrocher dans la soirée. 129 maquisards et 20 résistants des vallées, n'ayant pu échapper à l'encerclement des forces de l'ordre, sont tués lors du combat, fusillés ou morts en déportation.

 

La bataille des Glières est, dès le début, grâce à la radio de Londres, le symbole de la Résistance française. Les mois suivants, les maquis se restructurent pour organiser la réception d'un nouveau parachutage, qui aura lieu le 1er août. Il permettra la libération de la Haute-Savoie avant même l'arrivée des troupes alliées, dès le 19 août 1944.

 

Le 2 septembre 1973, le Monument National à la Résistance d'Emile Gilioli, construit à l'initiative des Rescapés des Glières, est inauguré par André Malraux. Il n'est pas un monument aux morts mais un symbole d'espérance. Aujourd'hui, un parcours balisé accessible à tous types de marcheurs, longeant les zones de parachutages, vous guide sur le Plateau des Glières appartenant désormais à la mémoire collective. Les panneaux explicatifs ponctuant cet itinéraire relatent la vie quotidienne des maquisards et les évènements de février et mars 1944.

 

 

Les sentiers de la Mémoire

Sur le plateau, des sentiers permettent de découvrir le site des parachutages et l'organisation de la défense du plateau :

Le sentier "Tom Morel", seul chemin d'accès au plateau en hiver, était la voie de ravitaillement du maquis. Le sentier de "l'Attaque", relativement difficile en raison du dénivelé, a été utilisé par les agents de liaison du Maquis des Glières. Les Allemands l'ont aussi emprunté lors de l'attaque du 26 mars 1944 à Monthièvret.

 

Le sentier de "l'Escarmouche" ou sentier des "Eaux Noires" qui doit son nom au ruisseau venant de la combe d'Ablon qui coule sur des roches détritiques noirâtres, a été emprunté notamment par les résistants de Thorens. C'est là que la Milice a perdu son premier homme.

 

Le sentier du "Dernier Assaut" permet l'accès au site d'alpage de Champ-Laitier attaqué le 26 mars 1944.

 

Le sentier des "Espagnols" fut le lieu de passage d'un groupe d'Espagnols venus de Nâves-Parmelan, ainsi que de trois Italiens. Avant eux, le garde-forestier du secteur avait emprunté ce chemin pour accompagner de jeunes réfractaires au Service du Travail Obligatoire sur le Plateau des Glières. Un poste de guet, installé au Pas du Roc par les résistants, verrouillait de façon dissuasive le passage. Aucun assaillant ne s'y hasarda.

 

Le sentier de "l'Ultimatum" constituait une voie royale d'accès au Plateau des Glières. Il était verrouillé dans la vallée par les forces de Vichy, et sur le plateau par les maquisards. L'avant-veille de l'assaut allemand, il a été emprunté par un groupe porteur d'un ultimatum de reddition.

 

Site de Morette


Situé à la porte d'entrée des vallées de Thônes, le site historique départemental de Morette est composé de trois éléments majeurs : la Nécropole Nationale des Glières le Musée départemental de la Résistance le Mémorial départemental de la Déportation

 

La Nécropole Nationale des Glières

Les corps de 105 résistants, principalement combattants des Glières, abattus par les Allemands et les forces du maintien de l'ordre françaises reposent dans la Nécropole.

 

Le Musée départemental de la Résistance

Situé dans un chalet d'alpage datant de 1794, il est représentatif de ceux qui abritaient les maquisards.

Créé en 1964, par l'Association des Rescapés des Glières, l'idée de départ était de rassembler dans un musée tous les souvenirs et toute la documentation que les Rescapés conservaient. Il est devenu Musée départemental en 1978. Présenté sur 3 niveaux, il permet de découvrir les périodes successives du conflit mondial qui débute en 1939, jusqu'à la Libération du département de la Haute-Savoie en août 1944.

 

Le Mémorial départemental de la Déportation

Il apporte un témoignage bouleversant sur les camps nazis (photos, cartes des camps nazis, poèmes de déportés, tenues...). Créé en 1965, par l'Association des Déportés, Internés et Familles de la Haute-Savoie rattachée à l'Union Nationale des Associations de Déportés, Internés et Familles (UNADIF), il est devenu Mémorial départemental. Le bâtiment actuel renferme une exposition volontairement dépouillée qui se veut porteuse d'un message de mémoire et de vigilance.

 


Site de Morette

74230 La Balme de Thuy

Tel : 04 50 32 18 38

 

Plateau des Glières

Mémoire du Maquis

Tel : 04 50 33 21 31

 

Horaires d'ouverture des sites départementaux

Tous les jours sauf le samedi, de 9H30 à 12H30 et de 13H30 à 17H

En juillet et août, 7/7 jours de 10H à 12H30 et de 14H à 18H

 

Site de Morette : fermé en décembre et janvier

Plateau des Glières : fermé du 1er octobre au 1er samedi des vacances de Nöel inclus

 

Renseignements et réservations

Les visites guidées peuvent être organisées toute l'année, durant les périodes d'ouverture, sur réservation.

Activités pédagogiques sur réservation.

 


Conseil Général de la Haute-Savoie

Direction des Affaires Culturelles Service Mémoire et Citoyenneté

18, avenue du Trésum 74000 Annecy

Tél: 04 50 51 87 00

Fax: 04 50 51 86 98

E-mail: resistancedepartementale74@cg74.fr

 

Culture 74

 

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Infos pratiques

Adresse

site de Morette 74230
Thônes
Site de Morette 04 50 32 18 38 Plateau des Glières 04 50 33 21 31

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Tous les jours sauf le samedi, de 9H30 à 12H30 et de 13H30 à 17HEn juillet et août, 7/7 jours de 10H à 12H30 et de 14H à 18H

Fermetures annuelles

Site de Morette : fermé en décembre et janvierPlateau des Glières : fermé du 1er octobre au 1er samedi des vacances de Nöel inclus

Maison d’Izieu, mémorial des enfants juifs exterminés

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Un lieu de mémoire de la Shoah pour réfléchir aux valeurs citoyennes hier et aujourd'hui.

La Maison d’Izieu lance un appel à la population pour collecter des archives familiales et municipales | Projet 2021
 PrésentationActualités du mémorial | Accès direct
[ Vidéo ] Sources : Ministère de la Défense - Auteur : Flora Cantin - Direction : DICOD

Consulter l'offre pédagogique >>>  maison d'Izieu


Situé dans l’Ain, la Maison d’Izieu perpétue le souvenir des enfants et adultes juifs qui y avaient trouvé refuge entre mai 1943 et le 6 avril 1944.

Attaché au présent et tourné vers l’avenir, le mémorial suscite la réflexion sur le crime contre l’humanité et les circonstances qui l’engendrent.

À travers l’évocation des enfants juifs d’Izieu et de leurs éducateurs, c’est contre toute forme d’intolérance et de racisme qu’il entend lutter.

En mai 1943, Sabine et Miron Zlatin, en lien avec l’Œuvre de Secours aux Enfants (OSE), installent une quinzaine d’enfants juifs à Izieu, alors en zone d’occupation italienne, ce qui les met temporairement à l’abri des poursuites antisémites.

Jusqu’en janvier 1944, date de la dernière liste du registre des présences tenu par Miron Zlatin, 105 enfants ont séjourné à la colonie d’Izieu.
Celle-ci est souvent un lieu de passage dans un réseau de sauvetage plus vaste, composé d’autres maisons, de familles d’accueil ou de filières de passage en Suisse.

Au matin du 6 avril 1944, 44 enfants, âgés de 4 à 17 ans, et 7 adultes furent raflés puis déportés sur ordre de Klaus Barbie, parce qu’ils étaient juifs. Le directeur de la colonie, M. Zlatin, ainsi que deux adolescents furent déportés vers des camps de travaux forcés en Estonie. Le reste du groupe fut déporté à Auschwitz. Seule une monitrice, Léa Feldblum, revint.

Traqué et ramené en France par Serge et Beate Klarsfeld, Klaus Barbie fut jugé et condamné à Lyon en 1987, pour crime contre l’humanité.

Au lendemain du procès, une association se crée autour de Mme Zlatin pour l’ouverture du « Musée-Mémorial des enfants d’Izieu ».

Aujourd’hui, deux bâtiments se visitent :

La maison, espace sensible d‘évocation, est dédiée à la mémoire. L'exposition y est volontairement sobre et claire.

La grange, dédiée à l’histoire, accueille une exposition de 530 m2 qui se déploie en trois thèmes : Pourquoi des enfants à Izieu ? fait découvrir au visiteur l’histoire et le parcours des enfants de la colonie . De Nuremberg à La Haye : juger les criminels propose une réflexion sur les jugements des criminels de guerre et sur les crimes contre l’humanité après 1945 . enfin, La mémoire et sa construction invite le visiteur à découvrir les mécanismes de construction de la mémoire à partir de la construction de la mémoire d’Izieu.

Visiter la Maison d’Izieu permet à tous les publics d’aborder le génocide des enfants juifs pendant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que l’histoire des réseaux de sauvetage qui ont cherché à soustraire ces enfants aux persécutions antisémites de la France de Vichy et de l’Allemagne nazie.

Le mémorial accueille les enfants à partir de 8 ans. Un livret de visite est remis gratuitement et permet de découvrir l'histoire des enfants d'Izieu et de parcourir le mémorial à son rythme.

Offre pédagogique :

Ateliers pour tous les niveaux scolaires, rencontres de témoins et d'artistes.

Offre tous publics :

Des visites accompagnées de la maison sont proposées tous les jours.

Visites pour les enfants en famille : mercredis des vacances scolaires (zone A), à 14h.

Audioguides en anglais, italien, espagnol et allemand.

Visites en anglais, italien, espagnol et allemand sur réservation.

 

Sources : ©Maison d’Izieu, mémorial des enfants juifs exterminés
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Infos pratiques

Adresse

70 route de Lambraz 01300
Izieu
04 79 87 21 05

Tarifs

Plein tarif : 7€ / Jeunes et retraités : 5€ / Groupes (à partir de 20 personnes) 6€ actifs - 4€ jeunes et retraités / Gratuité : enfants de moins de 10 ans, déportés / Pass illimité valable 13 mois : 15€

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De septembre à juin : en semaine 9h-17h - samedi 14h-18h - dimanche et jours fériés 10h-18h / En Juillet et août : tous les jours de 10h à 18h30

Fermetures annuelles

Week-ends de décembre, janvier et février, 1er mai et vacances de Noël / Office de tourisme de référence : Belley Bugey Sud Tourisme - 34 Grande Rue 01300 BELLEY - Tel 04 79 81 29 06 - Site Internet : bugeysud-tourisme.fr