Monument FFL - Ile de Sein

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Monument FFL. Source : Site de la mairie de l'Ile de Sein

Sculpté par Quillivic, ce monument est dédié aux Forces Françaises Libres.

Sur fond de granit en forme de croix de Lorraine, un Sénan se tient debout.

A Men-Neï, un monument est érigé, il est dédié à la Force Française Libre. Sculpté par Quillivic, bien en vue du nouveau phare qui veille sur lui, il est orné de deux inscriptions : "Kentoc'h Mervel" (plutôt mourir) & "Le soldat qui ne se reconnaît pas vaincu a toujours raison.".

Le 7 septembre 1960, le Général de Gaulle, alors Président de la République, vint en voyage officiel sur l'Ile de Sein afin d'inaugurer ce monument du souvenir et de la reconnaissance. Le moment est solennel, le porte-avions Clemenceau est immense devant l'île et un hélicoptère atterrit. Le grand homme en descend. Les Sénans sont tous là pour accueillir "leur" Général. Les femmes portent l'habit du dimanche, jusqu'au Maire, Madame Kerloc'h, qui a également revêtu la jibilinenn. Les Sénans en choeur, vibrant d'émotion retenue, entonne "Le Libéra". Tous chantent et offrent par leurs voix les épreuves par lesquelles ils sont passés, vingt années auparavant, le dévouement, la loyauté, la mort, la faim, les blessures et surtout la rage de vaincre.

Le Général de Gaulle en est touché et comprend le message envoyé par ces gens simples, entiers, naturels et si spontanés. Sur la tribune dressée en son honneur, il remercie les hommes et les femmes debout, aux beaux et fiers visages tournés vers lui. "Voici la mer, toujours mobile. Voilà le ciel sans cesse changeant. Et voilà le granit de Bretagne qui lui, ne change jamais. L'Ile de Sein a su, le moment où il le fallait, donner l'exemple. Le mouvement à cette époque fut naturel et spontané, parce qu'il s'agissait de l'île, de ses enfants, et parce qu'à travers les siècles, vous êtes confrontés avec les combats puisqu'il s'agissait de vous même et de votre courage. J'ai compris, avec le Libéra que vous chantiez tout à l'heure, ce que fut votre sacrifice en 1940. Cela demeure à Sein et cela demeure dans l'esprit de la France tout entière. La France a eu bien des malheurs, mais grâce à ses efforts, grâce aux vôtres, elle renaît. La France est ce que dans nos rêves, nous avons toujours voulu qu'elle fut : grande, prospère et fraternelle. C'est au nom de la France que je suis venu rendre hommage à l'Ile de Sein, à cette terre de courage et d'exemple, à mon compagnon, l'Ile de Sein. Dans les jours qui me restent à vivre, j'emporterai de cette cérémonie un souvenir inoubliable."

Puis, sous les applaudissements des Sénans émus, le Président de Gaulle lève les bras en un immense V de la victoire. Sur le registre de la mairie qu'il visite par la suite, il inscrit : "A l'Ile de Sein, mon compagnon, avec mes voeux, de tout mon coeur". Le général de Gaulle appréciait beaucoup l'Ile de Sein et ses habitants. A titre d'exemple, il gardait toujours près de lui, dans son bureau, rue Solferino, un cadeau que les Sénans lui avaient offert le 12 juin 1949. Il s'agissait de la statue d'une Bretonne en faïence de Quimper, oeuvre de R. Micheau-Vemez. Il l'avait posée sur un guéridon, bien en évidence, et le visage de céramique lui rappelait sans cesse son compagnon, embrassant dans ce mot unique toute la commune sénane.

Sein reste encore d'actualité et liée à la mémoire de l'illustre général car en 2002, un exemplaire du Mouez Enez Sun de novembre 2000 a été remis au Musée Charles de Gaulle, installé dans la maison natale à Lille. Ce mensuel est le journal local de l'Ile de Sein. Ce numéro du Mouez Enez Sun reprenait les cérémonies organisées en mémoire du Grand Homme, lors de sa disparition en 1970, trente ans plus tôt.

 

Site internet

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Infos pratiques

Adresse

29990
- Ile-de-Sein

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accès libre

Musée des Spahis de La Horgne

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Musée des Spahis de La Horgne. ©jleporcq

Ce lieu présente l'histoire et l'importance des Spahis dans l'histoire militaire française.

Créé à l'initiative de l'Association amicale des Spahis, le musée des Spahis de La Horgne (Ardennes) montre l'importance des troupes d'Afrique du Nord, et plus particulièrement des Spahis, dans l'histoire militaire française.

Son lieu d'implantation est emblématique. Dans le village de La Horgne, entre le 13 et le 15 mai 1940, la 3e Brigade de Spahis montés a tenu en arrêt la 1re division blindée allemande de Gudérian.

La visite s'articule autour de six thèmes :

Le cheval, compagnon de l'homme, à la vie à la mort . les hommes composant les régiments de Spahis, d'origine, de culture et de confession différentes . la sociabilité des Spahis qui a forgé une communauté  exemplaire . les Ardennes en 1940 et les débuts de la Deuxième Guerre mondiale . la bataille de La Horgne, un épisode dramatique mais symbolique des missions assurées . le souvenir et la reconnaissance du sacrifice de ces soldats.

Le musée présente notamment les tenues de combat et d'apparat des Spahis . une selle d'officier . de multiples objets de la vie quotidienne des Spahis . des armements . des décorations.


Horaires

Samedi, dimanche et jours fériés du 15 mai au 15 septembre. 

Tous les jours en juillet et août de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 19 heures.

 

Centre Historique et Pédagogique - Musée des Spahis

08430 La Horgne

Tél. : 03 24 35 68 42 / 24 57 32 04

 

Le Burnous - Association amicale des spahis 

18, rue de Vézelay 75008 PARIS

E-mail : le.burnous@wanadoo.fr

 

Le Burnous

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Infos pratiques

Adresse

08430
La Horgne
03 24 35 68 42

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 15 mai au 15 septembre : samedi, dimanche et jours fériés Tous les jours en juillet et août de 10 h à 12 h et de 14 h à 19 h.

Mémorial national des Spahis à La Horgne

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Mémorial des Spahis. Source : fr.wikipedia.org

Ce mémorial rend hommage au courage, à la témérité et au sacrifice des Spahis morts sur tous les théâtres d'opération depuis 1830

Érigé en 1950 à l'initiative du "Burnous", Association amicale des Spahis, le mémorial national de La Horgne, rend hommage au courage, à la témérité et au sacrifice des Spahis morts sur tous les théâtres d'opération depuis 1830.

La Horgne, village dévasté en 1940 a été en effet le lieu de combats acharnés entre des éléments de la 1re Panzerdivision de l'armée de Guderian qui, le 13 mai 1940, perce les lignes françaises à Sedan, et les Spahis.

Les hommes de la 3e brigade de Spahis (3BS) du colonel Marc qui doivent ralentir l'avancée allemande, ceux du 2e régiment de Spahis algériens du colonel Burnol, et du 2e régiment de Spahis marocains du colonel Geoffroy, tiennent leurs positions autour du village de La Horgne jusqu'au 15 mai. Subissant les assauts de la 1re Panzerdivision, les Saphis sont encerclés, et doivent se replier à partir de 17 heures.

Plusieurs centaines d'entre eux sont tués, blessés, disparus ou prisonniers ainsi que les deux chefs de corps, les colonels Burnol et Geoffroy. Ce15 mai 1940, la 3e Brigade de Spahis a résisté pendant dix heures aux blindés allemands de la 1re Panzerdivision. Les survivants se sont ensuite rassemblés en escadrons et poursuivront la lutte jusqu'à l'armistice.

Inscription du monument : "À la gloire des Spahis morts au champ d'honneur Ici, le 15 mai 1940 la 3ème Brigade de Spahis montés (2ème Algériens et 2ème Marocains) s'est sacrifiée pour briser l'avance de la 1ère Division blindée allemande. La Horgne 15 mai 1940."

 

Le Burnous

Association amicale des spahis

18, rue de Vézelay

75008 PARIS

E-mail : le.burnous@wanadoo.fr

 

Un sentier pédestre comportant 7 stations sera inauguré le 30 mai 2010 lors des cérémonies commémoratives anniversaires. Il présente le contexte historique, les spahis, la journée du 15 mai 1940, l'épilogue, le sort du village de La Horgne, la commémoration et l'adversaire.

 

Le Burnous

Monuments aux morts :

08_La Horgne  

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Infos pratiques

Adresse

08430
La Horgne
03 29 89 84 19

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accès libre

Musée d'histoire du XXe siècle - Résistance et Déportation

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Une salle du musée du XXème siècle. Source : site de la commune d'Estivareilles

Ce Musée est un lieu de mémoire, un outil pédagogique et culturel situé dans le Pays d'Art et d'Histoire du Forez - Estivareilles.


Consulter l'offre pédagogique du musée >>>  musée estivareilles


Plus qu'un mémorial sur l'épisode d'août 1944 à Estivareilles, le Musée d'Histoire du XXe siècle est un espace de réflexion et de débats sur les problèmes contemporains à la lumière des événements passés, notamment les Droits de l'Homme. 

La présentation muséographique a été pensée dans le but d'être accessible à tous, en particulier pour le jeune public. Estivareilles, commune de 500 habitants du pays de Saint-Bonnet-le-Château, à 900 mètres d'altitude, est située dans les monts du Forez, dans le département de la Loire, à 40 km de Saint-Etienne, 60 km de Le Puy-en-Velay, et 100 km de Lyon.

Un musée, un lieu, un village

Implanté au coeur du village, les anciens bâtiments de la Congrégation des soeurs Saint-Joseph abritent aujourd'hui le nouveau musée d'histoire du XXe siècle. La rénovation de l'aile nord marque l'achèvement du projet de restauration du site qui comprend désormais la mairie, des gîtes communaux, des logements locatifs, un parking, ainsi qu'un jardin central qui donne une unité à ce micro quartier.

Une réalisation surprenante : le musée d'histoire du XXe siècle Estivareilles, un haut lieu de la Résistance

Fin août 1944, le petit bourg d'Estivareilles tremble... Une colonne allemande, lourdement armée, quitte la caserne Romeuf du Puy-en-Velay et fonce sur St Etienne... La voie ferrée St Etienne - le Puy est coupée au Pertuiset et, sous l'action des maquis, les nationales ne sont pas sûres. Alors, la colonne nazie aux abois, prête à tout, emprunte les routes de crête, harcelée par les F.T.P.F. de Wodli : Saint-Paulien, Bellevue-la-Montagne, Chomelix, Craponne-sur-Arzon... Estivareilles.

L'Armée Secrète de la Loire a pris position, les maquis régionaux convergent sur la petite commune du Haut-Forez. Avec la Libération de St Etienne le 19 août, le danger est grand pour la population... Et le Commandant Marey (chef de l'Armée Secrète de la Loire) décide d'arrêter les allemands à Estivareilles !

Le 22 août c'est la reddition...

1984 : création d'un musée

Quarante ans plus tard, le musée départemental de l'Armée Secrète et de la Résistance ouvre au public, en présence de Lucien Neuwirth, grande personnalité de la Résistance et du président du Conseil général de la Loire. Ce projet, initié et réalisé par les membres de l'Armée Secrète de la Loire (association loi 1901), est soutenu par les élus de la commune d'Estivareilles.

Modernisation et réorganisation : le musée d'histoire du XXe siècle

21 mai 1999, Jean-Pierre Masseret, secrétaire d'Etat à la Défense, chargé des Anciens Combattants inaugure le nouveau musée. Fondé en 1984 par les Anciens Résistants de l'Armée Secrète de la Loire, le musée a été entièrement réaménagé en 1999 pour s'ouvrir aux jeunes générations. Le musée d'histoire du XXe siècle est conçu comme un lieu de mémoire, mais aussi comme un outil pédagogique et culturel. Plus qu'un mémorial sur l'épisode d'août 1944 à Estivareilles, c'est un espace de réflexion et de débats sur les problèmes contemporains à la lumière des événements passés. La présentation muséographique a été pensée dans le but d'être accessible à tous, en particulier pour le jeune public. Venez (re)vivre l'aventure du XXe siècle en parcourant un musée moderne et interactif.

Des objets témoins mais aussi des bandes sons, des images d'archives, de nombreuses photos, des vidéos... jalonnent votre parcours muséographique adapté à toute la famille. Le musée possède dans ses réserves, des exemples précieux "d'albums-souvenirs" (cahiers de bord) réalisés par les Résistants eux-mêmes. Le témoignage de "l'auteur-témoin" dessine parfaitement une géographie de la mémoire individuelle qui construit, avec d'autres, notre mémoire collective. La mise en valeur de ces derniers témoignages "directs" (laissés par les "acteurs") nous permet de rendre hommage aux Résistants à travers quelques exemples forts tout en transmettant aux jeunes générations les valeurs de la Résistance et de montrer ainsi comment un événement historique devient élément du patrimoine. Le musée possède en outre dans ses réserves (fonds Charreton) des objets provenant du camp Dora-Commando de Buchenwald. Ces documents ont été rassemblés par un déporté lors de ces nombreux voyages "souvenirs" dans son ancien camp. Un programme d'expositions temporaires, de conférences, de rencontres vous est proposé tout au long de l'année.

Le projet culturel du musée

Quatre grandes motivations sous-tendent le projet culturel du musée :

Témoigner.

Aujourd'hui, nous avons la chance de travailler avec les générations qui ont connu la première moitié du siècle, et notamment les Résistants et les Déportés. Leur participation est essentielle, précieuse. L'éclairage qu'ils apportent donne du sens, de la sensibilité, de l'émotion et de l'humanité à nos réflexions...

Expliquer.

Grâce à une approche historique et chronologique de l'ensemble du siècle, ce lieu permet d'appréhender l'enchaînement des faits, le pourquoi des événements, la succession des dates... Entre l'émergence des sociétés industrielles de la toute fin du XIXe siècle, le développement de la guerre de 14-18, la fin des terroirs et le déroulement de l'histoire récente européenne, la Résistance et l'horreur de la Déportation sont situés dans le siècle, sont mises en perspective, en situation, pour une meilleure compréhension et pour tirer les leçons pertinentes de l'Histoire.

Transmettre.

Ce nouveau lieu d'histoire est appelé à transmettre aux jeunes générations des connaissances sur les fractures et les événements majeurs du XXe siècle, mais aussi à perpétuer la mémoire des anciens Résistants et l'idéal de la Résistance.

Réfléchir.

Enfin, par une relecture de notre passé, c'est le temps présent, le monde actuel que nous souhaitons interroger. Plus qu'un strict lieu de mémoire, davantage qu'une leçon d'histoire, c'est fort du témoignage des acteurs de notre siècle et muni d'un regard d'historien que nous entreprenons d'instaurer, à la lumière du combat de la Résistance et des événements du passé, un débat sur notre actualité.

Une muséographie moderne

La muséographie, résolument moderne, a été pensée pour raconter ce siècle de manière attractive et didactique. Systèmes interactifs, enregistrements sonores, vidéos, ambiance lumineuse cohabitent avec la rigueur historique et le traitement des périodes noires de notre siècle. Le visiteur devient acteur de sa visite et s'approprie le lieu, les objets, la présentation ...

Le jeune public, un public privilégié

Le musée veut toucher avant tout le jeune public. Pari difficile car les "jeunes" ont des préjugés tenaces concernant la visite d'un musée. La présentation muséographique, la création d'un service pédagogique et d'une mallette pédagogique, ont été pensées pour répondre à cet objectif. Chaque année, à l'occasion du "Concours National de la Résistance et de la Déportation" dans les collèges et lycées, le musée réalise un dossier destiné à aider les collégiens et les lycéens dans leurs recherches. Ce petit document (non exhaustif bien sûr !) présente des textes, documents (adapté au sujet du concours) et une bibliographie sommaire consultable au musée. Les archives du musée, la bibliothèque, la vidéothèque sont, sur rendez-vous, à la disposition des participants.

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Infos pratiques

Adresse

Rue du couvent 42380
Estivareilles
04 77 50 29 20

Tarifs

Adulte : 3,10 €Passeport Patrimoine : 2 €Enfant (8 - 16 ans) : 1,50 €Enfant (-8 ans) : Gratuit

Horaires d'ouverture hebdomadaires

De 14h à 18h

Fermetures annuelles

Fermé les samedis et lundis du 12 novembre au 31 mars, le 25 décembre et 1er janvier

Mémorial des Martyrs de la Déportation

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®Jacques ROBERT

Le mémorial des martyrs de la Déportation, sur l'île de la Cité à Paris, voulu par l'association "le Réseau du Souvenir" et confié à l'architecte Georges-Henri Pingusson, a été inaugurée le 12 avril 1962 par le général de Gaulle.


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Consulter l'offre pédagogique du mémorial >>>  mémorial déportation


Oeuvre singulière, le mémorial suggère certains aspects caractéristiques du monde concentrationnaire : l'emprisonnement, l'oppression, l'évasion impossible. Impliquant le visiteur, le mémorial suscite le recueillement vers une crypte conservant la dépouille d'un déporté inconnu.

Afin de renforcer la portée du mémorial et son impact auprès d'un large public, notamment les plus jeunes, un parcours pédagogique complémentaire fut inauguré en avril 1975 dans les salles supérieures, pour faire face à la montée du négationnisme. Rénové au printemps 2016, il a été finalisé en janvier 2022. Cette nouvelle muséographie, issue des derniers travaux historiques, permet de saisir les singularités des différentes déportations, d'étudier la politique répressive allemande sur le territoire français, la collaboration et d'évoquer les processus de protection des mémoires de la Seconde Guerre mondiale.


 

 

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Infos pratiques

Adresse

5 quai de l'Archevêché 75004
Paris
06 14 67 54 98

Tarifs

Entrée et visite guidée gratuites pour tous les visiteurs / La réservation est obligatoire pour les groupes à partir de 10 personnes

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert tous les jours, selon ces horaires - Haute saison (du 1er avril au 30 septembre) : de 10h à 19h / Basse saison (1er octobre au 31 mars) : de 10h à 17h

Fermetures annuelles

Les 1er janvier, 1er mai, 15 août, 1er novembre et 25 décembre

Site Web : www.onac-vg.fr

Espace muséal du Maquis de Vabre

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35 petites juives ayant séjourné à Renne, près de Vabre, en 1942, avant de partir pour les Etats-Unis via la Suisse. Source : Photo d'archive de l'Amicale des Maquis de Vabre

Situé dans le Tarn, ce lieu témoigne de la vie et de l'organisation d'un maquis de Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale par le biais de documents authentiques.

Vabre est un bourg montagnard à la pointe Est du département du Tarn. Il est au centre d'un relief en creux qui suit l'étroite saignée des rivières dans le haut pays de Castres. La Résistance et le Maquis y sont dans leur terroir naturel.

L'espace muséal du Maquis de Vabre montre au visiteur les armes, les objets, les photographies et témoignages de la vie quotidienne du maquis qui était composé de membres du scoutisme français protestants unionistes et israélites. Ses grandes figures sont Pol-Roux (Guy de Rouville) et Robert Gamzon.

Quelques grands thèmes développés :

Les armes, la correspondance et le renseignement, le quotidien (ravitaillement, les comptes, les mariages), la propagande, les actions de sabotage, les personnalités du maquis (Pasteur Cadier, Marcel Guy, Marcel Doret, etc.).
 

Amicale des Maquis de Vabre

Rue du Suquet, 81330 Vabre

Maquis de Vabre

 

Syndicat d'initiative

Rue Vieille - 81330 Vabre

Tél.: 05.63.50.48.75

E-Mail : sivabre@voila.fr

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Infos pratiques

Adresse

Maison de la montagne - 81330
Vabre
Amicale des Maquis de Vabre

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Sur rendez-vous uniquement

Stèle du Carreyrou

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Vue générale de Montech. Carte postale ancienne - Source : www.delcampe.fr

La stèle du Carreyrou en mémoire des événements survenus à Montech lors de la Seconde Guerre mondiale.

En janvier 1943, la zone libre n'est plus. Les troupes allemandes arrivent à Montech et réquisitionnent de nombreuses maisons. Le château de Cadars est occupé par les officiers et la Kommandantur est installée place de la Mairie. La partie sud de la forêt est déclarée "zone interdite".

Le 5 juin 1944, des villageois, membres de la 10e Compagnie Armée secrète prennent le maquis. Le détachement de Montech est commandé par Pierre Fourcade, alias Fournier, MM. Granier et Rouaux, retraités de l'Armée, Pierre Delos, Armand Bonnet et René Clavel. Le groupe d'hommes traverse la Garonne en barque, car les ponts sont gardés. Après trois nuits de marche, les Montéchois et les Finhanais rejoignent des Beaumontois. A Montech, la vie suit son cours. Le couvre-feu est décrété à 22 h.

Le dépôt d'essence de Montbartier est bombardé à plusieurs reprises fin juillet.

Deux résistants de Montricoux, André Jouany et Joseph Lespinet sont exécutés. Le 19 août, plusieurs explosions sont entendues dans la forêt. Les baraquements de la Cellulose, où logent les troupes allemandes, sautent à leur tour. Le château de Cadars brûle. Un convoi allemand est intercepté à la Vitarelle. Le 20 août, au même endroit, Jean Lacaze, 20 ans, est tué lors d'un combat violent, huit fermes et maisons sont brûlées à Montech et Saint-Portier en représailles.

Les années de guerre emporteront dix "enfants" de Montech.

 

Mairie

Place de la Mairie BP n° 5 82700 Montech

Tél. : 05 63 64 82 44

Fax : 05 63 64 87 62

Courriel : mairie-montech@info82.com

Office de tourisme du Tarn-et-Garonne

Ville de Montech (82)

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Infos pratiques

Adresse

82700
Montech
Tél. : 05 63 64 82 44 Fax : 05 63 64 87 62

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Accessible toute l'année.Office de Tourisme "Garonne et Canal"Place Jean JaurèsTél./Fax. : 05 63 64 16 32E-mail : com.garonne.canal@wanadoo.fr

Camp d'internement de Septfonds

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Septfonds 1939. Républicains espagnols parqués au camp de Judes. Source photo : Carte postale

Ce camp du Tarn-et-Garonne a été un camp de rassemblement et d'internement français pour étrangers...

La création du camp de Septfonds s'inscrit dans le contexte d'arrivée massive de réfugiés Républicains espagnols à partir de janvier 1939 et l'exode massif des populations juives de l'Est, les Ostjuden, fuyant l'Allemagne d'Hitler.

Trois ans après que le général Franco eut renversé par un coup d'état militaire le gouvernement républicain de Madrid, la chute de Barcelone, le 26 janvier 1939, jette sur les routes 300 000 civils et 200 000 militaires.

Le général Ménard, commandant la région militaire de Toulouse, est nommé en février pour coordonner la mise en place des structures d'accueil. Afin de limiter les nombre de camps dans les Pyrénées-Orientales, il décide d'ouvrir six grands centres à la frontières espagnole afin d'accueillir 100 000 personnes : Bram (Aude), Le Vernet (Haute-Garonne), Agde (Hérault), Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), Oloraon (Pays Basque), et Septfonds (décision prise le 26 février).

Louis Boucoiran et plusieurs officiers supérieurs, dont le général Noël, commandant le 17ème région militaire, arrêtent le choix définitif d'un terrain de 50 hectares de pâture pour moutons en Tarn-et-Garonne.

M. Olivier, architecte, et le capitaine du génie Castéla sont chargés de la réalisation du plan d'ensemble.

Cinquante kilomètres de clôture (barbelés, miradors, projecteurs) sont installés par l'armée . le chemin vicinal n° 10 est rendu carrossable . les entreprises locales oeuvrent à la construction d'une quarantaine de baraquements, une infirmerie et une prison.

Plus d'un millier de soldats sont affectés à la surveillance des lieux : six pelotons de gardes mobiles , un escadron de cavalerie du 20e dragons, un bataillon d'infanterie du 107e d'Angoulême et un bataillon du 16e régiment de tirailleurs sénégalais venu de la caserne Guibert de Montauban.

Le 5 mars, le premier convoi arrive à Septfonds . 2 000 hommes viennent ainsi quotidiennement grossir les rangs des internés. Les premiers Républicains espagnols, en raison de l'inachèvement des travaux sont installés provisoirement dans le camp de La Lande avant de rejoindre leur camp d'attribution, celui de Judes, le 16 mars. 16 000 Espagnols s'entassent dans quarante-cinq baraques de planches couvertes de tôles ondulées.

Les conditions de vie sont, à l'instar de nombreux camps de réfugiés espagnols, très difficiles : problèmes sanitaires et d'hygiène, problèmes de ravitaillement, absence d'eau courante, de chauffage et d'électricité dans les baraques. Au moins 81 d'entre eux décèdent dans les premiers temps, conduisant à la création d'un cimetière.

Une vie sociale, culturelle et politique naît cependant à l'intérieur du camp : des comités ou des cellules regroupant les militants du parti communiste espagnol sont créés . d'autres organisent des activités artistiques . les enfants espagnols sont scolarisés dans le village.

Des équipes sont affectées à l'entretien du camp ou détachées à l'extérieur pour des travaux d'utilité publique (curage de fossés, restauration de berges de rivières notamment) . un grand nombre est recruté par les agriculteurs ou les industriels des environs dans le cadre notamment des unités de prestataires instaurées à l'été 1938. Un an plus tard la menace de la guerre aboutit à la mise à disposition de cette main d'oeuvre dans l'industrie lourde et leur mise à disposition de l'armée . 79 compagnies de travailleurs étrangers regroupant 20 000 Espagnols fonctionnent à la déclaration de guerre.

Le camp fonctionnera ainsi jusqu'au 1er mars 1940, date de son retour à des activités de défense. Seules les 220e et 221e Compagnies y sont maintenues pour l'entretien.

Le camp est utilisé pour l'instruction d'étrangers s'engageant dans l'armée française . il reçoit environ 800 aviateurs de l'armée polonaise en France. La guerre jette sur les routes nombre d'Allemands et ressortissant du Reich. Les camps de réfugiés espagnols sont alors réactivés. Avec la débâcle de mai-juin 1940 et l'instauration du gouvernement de Vichy à partir de juillet, le camp de Septfonds devient centre de démobilisation pour les engagés volontaires étrangers, le "reliquat" des bataillons de l'Infanterie légère d'Afrique et la Légion étrangère, ainsi que pour les militaires français jugés "indésirables".

La loi du 27 septembre 1940 supprime les compagnies de travailleurs étrangers (CTE) et institue les groupements de travailleurs étrangers (GTE). Trois groupes sont formés au camp de Septfonds : les groupes 552 et 533 composés d'Espagnols et le groupe 302, réservé aux volontaires étrangers démobilisés, majoritairement composé de Juifs.

Le 17 novembre, le gouvernement de Vichy promulgue une loi qui transfère la responsabilité de la surveillance des camps au ministère de l'intérieur. En janvier 1941 le camp comprend ainsi un centre d'internement pour étrangers, des groupements de travailleurs étrangers et une annexe à l'hôpital de la ville. En février 1941, des étrangers considérés comme non dangereux y sont rassemblés. Devenant donc centre d'hébergement pour étrangers "en surnombre dans l'économie nationale", le camp de Septfonds, prévu pour recevoir 2 500 personnes, rassemble une nouvelle catégorie d'internés : les officiers de l'armée alliée, dont des Polonais. Ce sont ensuite les communistes étrangers, arrêtés dans le Tarn-et-Garonne à la fin du mois de juin 1941, qui y sont détenus.

Menacé de fermeture à l'automne 1941, le camp devient alors un centre de triage régional pour les étrangers jugés indésirables ou en situation irrégulière, arrêtés dans le département. Progressivement, Vichy décide d'augmenter le nombre de travailleurs juifs encadrés, par des transferts d'internés provenant d'autres camps, et prend la décision de créer des groupes formés de Juifs seulement. A Septfonds, il s'agit du 302e Groupe "palestinien" de travailleurs étrangers. Sur ordre du ministère de l'Intérieur, le 30 juin, les internés sont évacués et le camp est fermé. Les Juifs du département sont alors majoritairement assignés à résidence surveillée jusqu'à sa ré-ouverture en août 1942 dans le cadre du dispositif de la solution finale, mis en oeuvre sur les territoires du Reich nazi à partir de la conférence Wansee (janvier 1942).

Suite aux rafles de Juifs dans le département, les 84 GTE du camp, partent pour Auschwitz, via Drancy, de la gare de Caussade. La grade rafle du 26 août dans le département conduit à 173 arrestations auxquelles viendront se joindre celles de Réalville et de Montech. Au total, pour l'année 1942, ce sont donc 295 Juifs qui auront transité par Septfonds.

En novembre, la zone libre n'est plus. Le camp reste en activité : au printemps 1943, aux 70 déportés viennent se joindre des étrangers astreints au "Travail obligatoire" dans les chantiers de l'organisation Todt, ainsi que des femmes juives "sans ressource et sans emploi" à partir de septembre 1943.

Septfonds est libéré par la résistance au cours de la première quinzaine d'août 1944, lors de "l'attaque de la nuit de Carnaval 44".

Entre août 1944 et mai 1945, date de fermeture définitive du camp, les lieux sont utilisés pour la détention de cinq cents personnes soupçonnées de collaboration dans le département. Les faits de collaboration tiennent dans la plupart des cas à une collaboration économique : ravitaillement agricole, travaux de construction ou de réparation.

Les lieux sont abandonnés pendant trente ans . la friche et les broussailles recouvrent baraquements et cimetières. A partir de 1970, les acteurs institutionnels et associatifs décident de faire de Septfonds un lieu de souvenir et un lieu de mémoire. Quatre secteurs sont décidés : le cimetière espagnol (situé à deux kilomètres du village), la stèle érigée en souvenir des Juifs déportés (square Henry Grau), l'oratoire polonais construit par les prisonniers avant leur transfert, le Mémorial du camp.
En 1978, le cimetière espagnol est créé. En 1990, une stèle à la mémoire des 295 Juifs, déportés du camp d'internement au mois d'août 1942, est érigée dans un square du village de Septfonds. Deux ans plus tard, une exposition présentant une synthèse historique du camp et de ses diverses périodes d'utilisation est réalisée, en attendant, en 1995, l'aménagement d'une salle d'exposition et de documentation au musée de la Résistance et de la Déportation de Montauban, consacrée à l'histoire des camps d'internement du sud-ouest, en particulier le camp de Septfonds. L'oratoire des Polonais, édifié en 1941 sur la route d'accès au camp, est restauré.

En 1996, le "Mémorial du camp de Septfonds" voit le jour . une stèle du souvenir est inaugurée. Deux ans après, des panneaux historiques viennent compléter le lieu de mémoire.

 

Mairie de Septfonds

Rue de la République 82240 Sptfonds

Tél. : 05.63.64.90.27

Fax : 05.63.64.90.42

E-mail : mairie@septfonds.fr

 

Maison des mémoires de Septfonds

 

Ville de Septfonds (82)

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Camp de Caylus

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Camp de Caylus. Le réfectoire. Source : L'ECOLE MILITAIRE ANNEXE DES TRANSMISSIONS (E.Mi.A.T.)

Ancienne forteresse médiévale de la frontière Quercy Rouergue dans le Tarn-et-Garonne...

Ancienne forteresse médiévale de la frontière Quercy Rouergue dans le Tarn-et-Garonne, le territoire de la commune de Caylus a été utilisé par la régime de Vichy comme lieu d'internement et groupement de travail pour étrangers. Le camp d'internement de Caylus (Tarn-et-Garonne) est installé sur le territoire du camp militaire.

Ce camp, embryonnaire en 1902, se développe à partir de 1920 par l'achat de terrains et l'installation progressive de structures en dur et d'un réseau d'adduction d'eau à partir de 1927. En 1932, un plan d'agrandissement du camp est proposé. Les premiers travaux de terrassement seront entrepris à partir du printemps 1939 par les réfugiés espagnols gardés par les cadres de l'armée.

Le menaces de guerre à l'été provoquent une demande accrue de main d'oeuvre. L'armée emploie alors les réfugiés espagnols pour l'effort national de réarmement. La guerre déclarée, les réfugiés pallient le manque de main d'oeuvre mobilisée. En janvier 1940 le camp d'internement est fermé.

A partir du mois de juin, le gouvernement de Vichy organise un réseau hiérarchisé des camps. La garnison démobilisée retourne à la vie civile. Le camp est alors occupé par des Polonais, juifs pour la plupart, encadrés par des officiers et sous-officiers français en civil. Parallèlement, le groupement de travailleurs étrangers n° 866, connu par les courriers de camps en mai-juin 1941 succède aux équipes employées sous le gouvernement Daladier. Les troupes allemandes dépassant la ligne de démarcation et s'installent au camp en février-mars 1943. Quelques responsables du camp se soustraient aux occupants les stocks d'armes et de munitions en les camouflant en lieu sûr. Dénoncés, il sont arrêtés par la gestapo.

A partir de mars 1944, la 2e SS Panzer Grenadier Division "Das Reich", composée de Waffen SS volontaires et de Wolksdeutshe, investit le sud de la France. Ses éléments, commandés par général Lammerning, sont répartis dans une vingtaine de commune tarn-et-garonnaises, dont le camp de Caylus. Dès le mois de mai, des éléments de la "Das Reich", cantonnés à Valence d'Agen et à Moissac, commandés par Dickmann, et d'autres bataillons (de Montauban, Nègrepelisse, Caylus) dirigés par le Werner sillonnent le département et commettent des exactions sur les civils. Les unités de la "Das Reich" se lancent dans une campagne d'éradication de la Résistance. Le 1er juin, les troupes allemandes stationnées au camp de Caylus lancent des représailles en réponse à l'attaque du dépôt de munitions de Capdenac (Lot). Elles tuent des civils (neufs morts au total, assassinés ou fusillés) dans les communes du Lot de Limogne-en-Quercy, Cadrieu et Frontenac.

Après guerre, le camp est utilisé pour l'internement des prisonniers de guerre allemands. Par la suite, le camp de Caylus reprend ses fonctions au sein de la défense nationale : il accueille l'infanterie, la cavalerie (devenue troupes motorisées), l'artillerie, l'aviation et des unités de gardes mobiles et de gendarmerie. Pendant un an environ, une unité Nord-africaine (le 14° tirailleurs) y est affectée avant d'être dissoute lors de l'indépendance de l'Algérie. En 1962, le camp sert aux manoeuvres inter-alliées dans le cadre de l'OTAN. Actuellement, le camp de Caylus s'étend sur plus de 5 500 hectares. Il abrite l'Etablissement annexe de Commissariat de l'armée de terre.

 

Office du tourisme

rue Droite 82160 CAYLUS

Tél.: 05.63.67.00.28 - Fax : 05.63.24.02.91

E-mail : ot.caylus@wanadoo.fr

 

Groupement de camp de Caylus

82160 Caylus - Tél. : 05 45 22 42 48

 

Office de tourisme du Tarn-et-Garonne

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Hôtel national des Invalides - Musée de l'Armée

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Le plus grand ensemble muséal d'histoire militaire de France.

 

- Vidéo : #350ansInvalides Les Invalides, 350 ans d'Histoire de France -

Consulter l'offre pédagogique du musée (Première Guerre mondiale) >>>  musée armée

Consulter l'offre pédagogique du musée (Seconde Guerre mondiale) >>>  musée armée


Né en 1905 de la fusion du musée de l'artillerie et du musée historique de l'armée, le musée de l'armée forme aujourd'hui le plus grand ensemble muséal d'histoire militaire de France et l'un des tout premiers au monde.

Implanté dans l'hôtel national des Invalides, prestigieux édifice du 17ème siècle qui fut fondé par le roi Louis XIV pour recueillir les soldats blessés, les convalescents et les invalides, le musée de l'armée rassemble de nombreux chefs-d'oeuvre de l'art militaire de la période médiévale à nos jours, notamment une collection d'armes et d'armures, des modèles réduits d'artillerie, un riche fonds de portraits et de scènes de batailles, ainsi que les souvenirs historiques et les uniformes des armées de l'ancien régime jusqu'aux deux conflits mondiaux du 20ème siècle.

Deux monuments religieux sont rattachés au musée de l'armée :

  • l'église Saint Louis des Invalides, dont la voûte est ornée des trophées militaires de la France,
  • l'église du dôme qui abrite le tombeau de l'empereur Napoléon Ier.

 

 

Ce monument historique, dont le ministère de la défense est affectataire,
fait partie d'un protocole Culture Défense, signé le 17 septembre 2005. 

 

Musée de l'Armée

Hôtel national des Invalides

129, rue de Grenelle - 75007 Paris

Téléphone : 01.44.42.38.77

E-mail : accueil-ma@invalides.org

 

Entrées du musée


Côté Esplanade des Invalides, 129 rue de Grenelle

 

Côté Place Vauban

 

Les visiteurs en situation de handicap moteur sont invités par le 6 boulevard des Invalides.

 

 

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Infos pratiques

Adresse

129 rue de Grenelle - 75007
Paris
01.44.42.38.77

Tarifs

Tarif plein : 9,5 €Tarif réduit : 7,5 €Un billet Musée vous donne accès : aux collections permanentes du musée de l'Armée à l'Eglise du Dôme, tombeau de Napoléon Ier à l'Historial Charles de Gaulle au musée des Plans-Reliefs au musée de l'Ordre de la Libération(fermé pour travaux jusqu'en juin 2015)

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Du 1er avril au 31 octobre : de 10h à 18hDu 1er novembre au 31 mars : de 10h à 17hClôture des caisses 30 mn avant la fermeture.

Fermetures annuelles

les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre

Site Web : www.musee-armee.fr