Épisode 3 : musée du château-fort de Sedan

Disponible sur la chaîne YouTube du ministère des Armées | Accès à la vidéo en ligne


Web-série permettant de découvrir progressivement 10 sites de la guerre de 1870

Troisième épisode de notre websérie "1870, l’année terrible" : évocation de la bataille de Sedan du 1er septembre 1870, au travers de la charge héroïque de la première division de cavalerie de réserve – armée essentiellement par les régiments de chasseurs d’Afrique – commandée par le général Margueritte. Le ministère des Armées conduit des actions pour faire de ce 150e anniversaire de la guerre de 1870 un moment de "retour en mémoire". Ainsi est née cette websérie en 10 épisodes réalisée par à l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD) pour redécouvrir l’histoire de la guerre de 1870 à travers ses sites culturels et de mémoire, par le récit de lieux ou d’objets aussi symboliques qu’insolites.

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Épisode 2 : « Les combats de Bazeilles »

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Web-série permettant de découvrir progressivement 10 sites de la guerre de 1870

Deuxième épisode de notre websérie "1870, l’année terrible" : évocation des combats de Bazeilles du 1er septembre 1870, à travers la présentation du tableau ‘Les dernières cartouches d’Alphonse de Neuville’, conservé au musée de la maison de la dernière cartouche de Bazeilles (Ardennes), et de l’héroïsme et sacrifice des troupes de Marine lors de ces combats. Le ministère des Armées conduit des actions pour faire de ce 150e anniversaire de la guerre de 1870 un moment de "retour en mémoire". Ainsi est née cette websérie en 10 épisodes, réalisée par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), pour redécouvrir l’histoire de la guerre de 1870 à travers ses sites culturels et de mémoire, par le récit de lieux ou d’objets aussi symboliques qu’insolites.

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Épisode 1 : Musée de la Guerre de 1870 et de l'Annexion - GRAVELOTTE (57)

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Web-série permettant de découvrir progressivement 10 sites de la guerre de 1870

Premier épisode de notre websérie "1870, l’année terrible" : évocation des batailles de Mars-la-Tour/Rezonville et de Gravelotte/Saint-Privat des 16-18 août 1870, au travers de la présentation du Panorama de Rezonville peint par Edouard Detaille et Alphonse de Neuville, conservé au musée de la Guerre de 1870 et de l’annexion de Gravelotte (Moselle). Le ministère des Armées conduit des actions pour faire de ce 150e anniversaire de la guerre de 1870 un moment de "retour en mémoire". Ainsi est née cette websérie en 10 épisodes, réalisée par l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), pour redécouvrir l’histoire de la guerre de 1870 à travers ses sites culturels et de mémoire, par le récit de lieux ou d’objets aussi symboliques qu’insolites.

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Impact direct et conséquences profondes de la guerre de 1870

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Proclamation de l'Empire allemand dans la galerie des Glaces du château de Versailles, le 18 janvier 1871, tableau d'Anton von Werner, 1885. Bismarck-Museum
"Proclamation de l'Empire allemand dans la galerie des Glaces du château de Versailles, le 18 janvier 1871", Anton von Werner, 1885. Bismarck-Museum

Courte – elle a duré seulement dix mois dont six de combats effectifs –, circonscrite à deux nations, les Français et les Allemands, et relativement peu meurtrière – moins de 200 000 morts –, au regard de celles qui l’encadrent – les guerres napoléoniennes et la guerre civile américaine d’une part, la Première Guerre mondiale de l’autre –, la guerre de 1870 a d’énormes conséquences tant à l’intérieur des États concernés et en Italie voisine, que sur le plan des relations internationales. Il n’est pas exagéré d’écrire que la Première Guerre mondiale est fille de la guerre de 1870, voire même qu’elle inaugure un cycle guerrier européen qui ne s’achève qu’en 1945. Encore faut-il alors préciser qu’elle résulte elle-même, d’une certaine façon, des guerres de la Révolution et de l’Empire et de la défaite infligée par Napoléon à la Prusse, lors de la bataille d’Iéna, en 1806, et du fort sentiment national qui en découle.

Le système de défense de la France à l'épreuve de la guerre de 1870

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"La revue de Chalons du 9 octobre 1896" par Édouard Detaille, détail. Creative Commons

Le terme d'épreuve est d'usage pour évoquer les défaites militaires françaises qui jalonnent la guerre de 1870-1871 et leurs lourdes conséquences pour la nation. Ici, nous l'entendrons dansle sens de mise en lumière des carences du système de défense et de l'affaiblissement du lien entre la société et le devoir de défense pendant les deux premiers tiers du XIXe siècle jusqu'à la fin du Second Empire.

Le tourisme de mémoire en Ile-de-France

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La bataille de Saint-Privat

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Bataillon Nr. 9, les chasseurs de Lauenburg, à Gravelotte, Ernst Zimmer (1864-1924), 1910. Source : Kreismuseum Ratzeburg

La guerre franco-prussienne de 1870

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"Défense de la porte de Longboyau, château de Buzenval, 21 octobre 1870", Alphonse de Neuville, 1879

La guerre de 1870/1871 oppose la Confédération allemande à la France durant six mois. Les conséquences immédiates qui en résultent sont considérables chez les belligérants : d’un côté, chute du second empire français, guerre civile de la Commune, avènement de la République ; de l’autre, création de l’empire allemand sous l’égide de la Prusse.

 

Musée de la cavalerie

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© Musée de la cavalerie à Saumur

Situé en plein cœur de la cité de Saumur, ville du cheval, le musée de la cavalerie est déployé sur 1400 m² dans les anciennes écuries du Cadre Noir.

À travers un parcours chronologique, le Musée retrace cinq siècles d’histoire militaire de la France, depuis les troupes à cheval de l’ancienne monarchie jusqu’au au développement du char moderne au XXIe siècle.

Installées durant plusieurs décennies au sein même du bâtiment historique de l’Ecole de Cavalerie datant de 1767, les collections du Musée de la Cavalerie se donnent à voir depuis 2011 dans les anciennes « Ecuries du manège » de Saumur. Situées sur la place du Chardonnet, haut lieu de l’ « Equitation de tradition française® » inscrite en 2011 sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, cet édifice d’une élégante sobriété fut bâti en 1827. Pendant près de 150 ans, il demeura l’écurie du Cadre noir de Saumur, qui rassemblait l’ensemble des instructeurs militaires d’équitation de l’école de Cavalerie.

Rattaché aux Écoles militaires de Saumur, desquelles il dépend au même titre que le musée des Blindés, le musée de la Cavalerie s’intègre dans un vaste ensemble patrimonial, qui comprend tout à la fois un patrimoine mobilier composé d’une très riche collection de militaria, mais aussi immobilier en tant que bâtiment classé au titre des monuments historiques. Ce patrimoine bâti dont la construction débutât dès la deuxième moitié du XVIIIème siècle, forme un ensemble unique en Europe, le plus grand site dédié à l’équitation militaire en Europe.

Également lieu d’évocation du passé glorieux et parfois tragique des anciennes troupes montées, le musée participe enfin à la promotion et à la conservation d’un véritable patrimoine immatériel, où se mêlent mémoire et traditions et dont le fameux Carrousel de Saumur donne chaque été en juillet une éloquente illustration. Dans cette perspective, le musée contribue à maintenir cet ‘‘esprit cavalier’’, dont le panache légendaire, le gout de l’élégance et parfois de la fantaisie demeurent aujourd’hui encore, la marque de celle qui jadis se nommait « la reine des Batailles ».

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Articulé autour d’une muséographie didactique et moderne, le musée de la cavalerie permet de retracer six siècles d’histoire militaire de France à travers une riche collection d’uniformes, d’armes, d’emblèmes et d’objets en tous genres représentatifs de la cavalerie puis de l’arme blindée française.

Le Musée comprend un espace dédié aux expositions temporaires qui y sont chaque année organisées.

Enfin, un centre de documentation, riche de 18000 ouvrages sur l’histoire militaire, celle de la cavalerie et l’hippologie, est accessible à tous sur rendez-vous.

Lieu de diffusion du savoir, animé par une équipe dynamique dirigée par un officier conservateur, diplômé de l'École du Louvre et en histoire militaire, le musée de la cavalerie constitue un outil pédagogique à la disposition de tous les publics qu’ils soient militaires ou non, actifs, retraités, étudiants ou scolaires, en visites libres ou guidées.

Lieu culturel au service de la Défense, le musée participe aussi à la formation morale des militaires en contribuant au développement et à la diffusion de la spécificité du métier de soldat, du lien armée-nation et de l’identité de l’Arme Blindée Cavalerie, héritière des anciennes troupes à cheval.

Outil de rayonnement et espace de mémoire, le musée se veut enfin une vitrine de l’armée de Terre et de son histoire, qu’il participe à mieux faire connaitre auprès du grand public.

 

Sources : ©Musée de la cavalerie
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Infos pratiques

Adresse

Place Charles de Foucauld - 49400
Saumur
02 41 83 69 23

Site Web : musee-cavalerie.fr

Musée de l'Artillerie

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© Musée de l'artillerie/armée de Terre/Défense

Créé sur le site de Draguignan en 1982, titulaire du label « Musée de France » depuis 2006 et totalement rénové en 2013, le Musée de l’artillerie a pour double mission de témoigner de la richesse du patrimoine historique, technique et humain de l’arme, tout en participant à la formation de la génération montante.

Un outil de formation à la citoyenneté

Actif au sein des Écoles militaires de Draguignan, comme outil de formation des militaires et civils de la Défense, il est aussi tourné vers l’extérieur en accueillant un large public de touristes et de scolaires. C'est une ressource pédagogique pour les groupes scolaires comme pour les familles. Le Musée est aussi porteur d’expositions temporaires des plus variées.

Un conservatoire du patrimoine de l’artillerie

Le musée dispose d'une collection de près de 15 000 objets, dont les pièces les plus anciennes remontent au XIVe siècle. Tout particulièrement riches pour la période comprise entre 1870 et notre époque, les collections du musée font l’objet d’un chantier permanent de rénovation et de mise en valeur, notamment grâce au bénévolat de passionnés. La richesse de cette collection permet d’affirmer que le musée présente Sept cents ans d’histoire de France, vus à travers l’âme d’un canon (titre éponyme du livre de visite).

 

 

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Infos pratiques

Adresse

Quartier Bonaparte - Avenue de la Grande armée 83300
Draguignan
04 83 08 13 86

Tarifs

Entrée gratuite.

Horaires d'ouverture hebdomadaires

Ouvert du mardi au dimanche de 9h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h30.

Fermetures annuelles

Fermeture annuelle pendant les vacances de Noël.