Il y a 75 ans, la Libération

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Cérémonie du 75e anniversaire des combats des Glières, à la nécropole de Morette, en présence du président de la République. 31 mars 2019. © Soazig de la Moissonnière/Présidence de la République

32e Rencontre nationale des trinômes académiques : L’ancrage historique et mémoriel du soutien à l’enseignement de défense

Rencontres cinématographiques Écrans/Mémoires

La Grande Galerie du musée de l'Air et de l'Espace se dévoile

Rose Valland, en quête de l'art spolié

"War Horse"

Websérie – Monument aux Morts pour la France en opérations extérieures (OPEX), la genèse du projet

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Le 11 novembre 2019 a été inauguré, au cœur du Parc André-Citroën de Paris, le Monument aux morts pour la France en opérations extérieures, haut-lieu de la mémoire nationale. Découvrez la genèse de ce projet.

« La Gloire et le Deuil »

La salle des cadets ouvre ses portes au musée de l’Armée

Bande annonce de l'exposition « Le marché de l'art sous l'Occupation, 1940-1944 »

Fondation de la France Libre : fil d’actualités à partager

Les soldats colonisés de l’Empire français (19e – 20e siècles)

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Embarquement pour le front des tirailleurs sénégalais stationnés à Fréjus en 1915. Ministère de la Culture/Théta
Embarquement pour le front des tirailleurs sénégalais stationnés à Fréjus en 1915. Ministère de la Culture/Théta

Des guerres de conquête coloniale au 19e siècle et jusqu’à la fin des conflits de décolonisation au milieu du 20e siècle, l’armée a progressivement institutionnalisé le recrutement d’hommes issus des populations sur lesquelles la France établissait, puis confortait et enfin tentait de maintenir sa domination. Ces hommes, dont les modalités de recrutement diffèrent selon la période et les espaces concernés, ont combattu sous le drapeau tricolore dans l’empire comme en Europe, pendant les deux conflits mondiaux. L’armée française, entre le milieu du 19e et le milieu du 20e siècle, peut donc être considérée comme une armée impériale et coloniale.

Nota Bene : web-série historique en partenariat avec L'Ordre de la Libération

COLLOQUE LE SOLDAT ET LA MORT

Les prisonniers français au Vietnam

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Les délégations de l'armée française et de l'APVN réunies à Trung Gia (Tonkin), juillet 1954. © ECPAD

À l’issue de la guerre française d’Indochine, plus de 20 000 combattants français, légionnaires et africains, sont portés "prisonniers et disparus", auxquels il faut ajouter des dizaines de milliers d’indochinois. Un traumatisme encore vivace.

Volontaires pour Diên Biên Phu

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Renfort parachutiste, mars 1954. © ECPAD

 

En avril 1954, après les combats qui se sont succédé lors de la bataille des cinq collines, la situation des effectifs du camp retranché s’est considérablement dégradée. Afin de renforcer la garnison, des volontaires non parachutistes sont largués sur Diên Biên Phu.

Indochine 1954

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Entraînement d'un escadron blindé de l'armée vietnamienne. © ECPAD

 

1954, l’armée française livrait, au cours de combats acharnés à Diên Biên Phu, sa dernière bataille majeure en Indochine. Alors que s’ouvre la conférence internationale de Genève, cette défaite précipite la fin de la guerre et celle de la présence française dans la région.

1958, une nouvelle République en guerre

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Pendant la «bataille d’Alger» : un parachutiste du 1er REP surveille le marché Clauzel, alors que la grève décrétée par le FLN s’amenuise et des magasins rouvrent, Alger, 3 février 1957. © STF/AFP

L’année 1958 connaît une situation exceptionnelle. Des changements institutionnels profonds s’opèrent alors que le pays est engagé depuis quatre ans dans une guerre qui semble sans issue. En faisant adopter une nouvelle Constitution, le général de Gaulle entend mettre un terme à la crise politique.

Les Rendez-vous de l'histoire > 9 au 13 octobre 2019

De Gaulle et l'Algérie

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Le général de Gaulle lors de son discours au balcon du gouvernement général à Alger, 4 juin 1958. © Ecpad

Membre du comité scientifique qui a animé le colloque sur "De Gaulle et l'Algérie" organisé par la DMPA aux Invalides les 9 et 10 mars 2012, l'historien Maurice Vaïsse fait la synthèse des principales réflexions des participants sur le "mystère algérien" du Général.